EPIDEMIELa Garantie jeunes étendue en 2021 à 200.000 bénéficiaires

Coronavirus : La Garantie jeunes étendue en 2021 à 200.000 bénéficiaires

EPIDEMIELa Garantie jeunes propose une allocation mensuelle d’un montant maximal de 484 euros
20 Minutes avec AFP

20 Minutes avec AFP

La Garantie jeunes bénéficiera en 2021 à « au moins 200.000 jeunes », soit un doublement de ses bénéficiaires, a annoncé ce jeudi le Premier ministre, Jean Castex, indiquant que des aides, y compris financières, seront aussi prévues pour les jeunes diplômés cherchant un premier emploi.

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« Nous doublerons l’année prochaine le nombre de bénéficiaires de la Garantie jeunes par rapport à ce qui était prévu en 2020 » et « ce ne sont pas 100.000 mais au moins 200.000 jeunes » qui pourront ainsi en bénéficier, a annoncé Jean Castex lors d’une conférence de presse.

Une aide pour trouver un premier emploi

La Garantie jeunes propose une allocation mensuelle (d’un montant maximal de 484 euros) et un accompagnement renforcé en mission locale pendant un an aux jeunes de 16 à 25 ans qui ne sont « ni en emploi ni en études ni en formation » et « en situation de précarité financière ».

Notant que « la crise économique pénalise l’insertion des jeunes sur le marché du travail », Jean Castex a indiqué que le gouvernement allait « aussi aider les jeunes diplômés qui ont fini leurs études et ont de vraies difficultés, compte tenu de la crise, à trouver leur premier emploi ».

Cette aide prendra la forme d’un « dispositif spécifique » avec à la fois un accompagnement par Pôle emploi ou l’Association pour l’emploi des cadres (Apec) et le « bénéfice d’une allocation financière », a-t-il détaillé.


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La ministre du Travail, Élisabeth Borne, a cité le cas d’une « jeune diplômée » qui, en raison de la crise, aurait des difficultés à trouver un emploi. « Ses parents ne peuvent pas l’aider, elle finançait ses études par un petit boulot de serveuse, mais avec la crise elle ne trouve plus de travail, elle est donc sans ressources. Nous allons l’aider financièrement le temps de sa recherche », avec « un soutien financier sur mesure jusqu’à 500 euros par mois », a-t-elle dit.