C'est l'heure du BIM: Violences du 1er-Mai, amitié franco-italienne et heurts post-élections au Bénin
ACTUALITES•« 20 Minutes » compile pour vous les infos qu'il ne faut pas manquer ce matin dans votre Bulletin d'information matinal (BIM)...M.C.
Vous avez manqué les infos de ce début de matinée ? On vous a concocté un récap' pour vous aider à y voir plus clair.
Manifestation du 1er-Mai : Syndicats et opposition dénoncent la gestion des violences du gouvernement
Les syndicats CGT et Solidaires, de même que plusieurs responsables politiques d’opposition, ont vivement critiqué le dispositif sécuritaire mis en place mercredi à Paris pour répondre aux violences des radicaux lors de la manifestation du 1er mai, mais le gouvernement s’est défendu. Pour Philippe Martinez, le secrétaire général de la CGT, « il y a un problème » avec le préfet de police Didier Lallement et le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner. Avant même le départ de la manifestation, en début d’après-midi, le leader syndical avait été contraint de quitter le cortège de tête, après avoir été pris à partie par des radicaux.
Emmanuel Macron et Sergio Mattarella, le président italien, se retrouvent à Amboise autour de Léonard de Vinci
Le jour exact du 500e anniversaire de la mort de Léonard de Vinci, Emmanuel Macron reçoit jeudi en Touraine son homologue italien Sergio Mattarella, pour célébrer la culture européenne et l’amitié franco-italienne, après les tensions des derniers mois. Le 2 mai 1519, le peintre et savant génial (né en 1452) s’éteignait dans le château du Clos-Lucé d’Amboise, trois ans après avoir été invité en France par le roi François Ier.
Bénin : Violents heurts et barricades dans les rues après l’annonce des résultats des élections
De violents heurts ont éclaté au Bénin et la capitale économique, Cotonou, était bloquée quelques heures après l’annonce des résultats des élections législatives, marquées par un fort taux d’abstention et par l’absence de l’opposition. Les opposants béninois se sont soulevés craignant l’arrestation imminente de l’ancien chef de l’Etat, Boni Yayi (1996-2006), qui avait appelé au boycottage des élections, puis avait lancé un ultimatum lundi pour demander au président Patrice Talon d’interrompre le processus électoral, qualifié de « coup d’Etat institutionnel ».