FAC DE DROITLe doyen de la fac de droit de Montpellier contre-attaque et porte plainte

Montpellier: Le doyen de la fac de droit, mis en examen dans l’affaire du commando cagoulé, porte plainte contre X

FAC DE DROITMenaces, injures et incitation à la haine: le doyen de la fac de droit de Montpellier, Philippe Pétel, soupçonné d’avoir favorisé l’intrusion d’un commando, porte plainte contre X...
Jérôme Diesnis

Jérôme Diesnis

Le doyen de la faculté de droit de Montpellier, Philippe Pétel, a porté plainte contre X pour menaces, injures et incitation à la haine. « On appelle à les passer à tabac, lui et sa famille, on insulte son père de 90 ans et on le caricature en Hitler », précise son avocate Iris Christol, au Journal du Dimanche.

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

Le doyen, directement mis en cause par les personnes qui bloquaient l’amphi de la fac de droit lors de l’intervention d’un groupuscule armé et cagoulé dans la nuit du 22 au 23 mars, est mis en examen pour complicité d’intrusion dans la faculté. Il avait démissionné de son poste dans la foulée.

Commando cagoulé : deux hommes mis en examen

Outre le doyen, un professeur a également été mis en examen dans cette affaire pour complicité d’intrusion et violences en récidive. Les deux hommes ont également été suspendus par la ministre de l’Enseignement supérieur.

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

Le 30 mars, lors de l’annonce de cette double mise en examen, « aucun indice ne mettait en cause d’autres personnels ou étudiants de l’université », avait alors précisé le procureur de la République, Christophe Barret.