HERITAGE«Johnny ne voulait pas que ses filles vivent l’abandon qu’il avait vécu»

VIDEO. «Johnny ne voulait pas que ses deux petites filles vivent l’abandon qu’il avait vécu», déclare son avocat

HERITAGEL’avocat de Laeticia, « scandalisé par les attaques dont elle fait l’objet », s’est exprimé dans « Paris Match »…
M.C.

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«Prétendre que Laeticia lui a forcé la main est une aberration quand on connaît la détermination de Johnny », déclare l’avocat du chanteur et de son épouse. A une semaine du premier round judiciaire très attendu sur l’héritage de Johnny Hallyday, qui a été renvoyé au 30 mars, Me Ardavan Amir-Aslani a accordé une interview à Paris Match, où il évoque la mort, « préoccupation quasi quotidienne » du chanteur, et son héritage, beaucoup moins élevé selon lui que les chiffres évoqués.

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Selon l’hebdomadaire, c’est « scandalisé par les attaques dont fait l’objet » Laeticia et « considérant que la bataille engagée par David et Laura porte préjudice à l’œuvre de Johnny » que l’avocat a décidé d’accorder cet entretien.

Il aurait, selon Caroline Mangez, rédactrice en chef de Paris Match, « constaté toutes ces années la préoccupation permanente de Johnny Hallyday de mettre à plat son patrimoine, dans un premier temps, et ensuite d’organiser cette succession ».

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« Chaque fois que le sujet de la mort de Johnny était abordé, elle pleurait »

« Bien qu’étant un sujet tabou, la mort était pour lui une préoccupation quasi quotidienne, explique l’avocat. D’abord parce qu’il était passé tout près, en 2009 [Johnny avait dû être plongé dans un coma artificiel], et que cela l’avait secoué », estime l’avocat. Selon lui, Johnny était « conscient de l’écart d’âge conséquent avec son épouse, avec ses deux plus jeunes filles. Peu de temps après sa naissance, son père était parti, sa mère l’avait laissé. Johnny ne voulait pas que ses deux petites filles vivent ce qu’il avait vécu : l’indigence, l’abandon… »

Laeticia, elle, « vivait mal de devoir envisager la mort de son mari. Chaque fois que le sujet était abordé, elle pleurait », affirme l’avocat. « C’est pourquoi Johnny préférait qu’elle ne soit pas présente lorsqu’il venait me parler de la période qui suivrait sa disparition. »

Quand au montant de l’héritage, « On a parlé de 100 millions, [Me Amir-Aslani] me dit que ce serait plutôt un tiers. Et il est pour partie constitué d’actifs immobiliers », a encore déclaré Caroline Mangez sur BFMTV.