FAITS DIVERSUn garçon de 8 ans retrouvé mort étouffé en Saône-et-Loire

Saône-et-Loire: Un garçon de 8 ans retrouvé mort étouffé à son domicile à Saint-Rémy

FAITS DIVERSLa mère de l'enfant a donné l'alerte dans la nuit de dimanche à lundi, en évoquant un cambriolage qui aurait mal tourné...
Elisa Frisullo

E.F.

Depuis ce lundi matin, les hommes de la police technique et scientifique et de la police judiciaire de Dijon sont mobilisés pour passer les lieux du drame au peigne fin. Selon Le Journal de Saône et Loire, un enfant de 8 ans, Lucas, a été tué dans la nuit de lundi à mardi à Saint-Rémy en Saône-et-Loire, dans des circonstances violentes.

La mère de l’enfant auditionnée ce lundi matin

Selon les rares éléments qui ont filtré pour l’heure sur cette affaire, la mère du garçon aurait appelé les secours vers 2 heures du matin en expliquant que son enfant venait d’être tué au cours d’un cambriolage survenu au domicile familial situé dans un quartier résidentiel de la banlieue de Chalon-sur-Saône.

À l’arrivée des secours, le petit, retrouvé avec un sac plastique sur la tête, était déjà mort, selon une source proche de l’enquête.

Capture d'écran d'un communiqué de la maire de Saint-Rémy en Saône et Loire après la mort d'un enfant de 8 ans, tué dans la nuit du 4 au 5 février 2018 dans des circonstances encore floues.
Capture d'écran d'un communiqué de la maire de Saint-Rémy en Saône et Loire après la mort d'un enfant de 8 ans, tué dans la nuit du 4 au 5 février 2018 dans des circonstances encore floues.  - Capture d'écran

Une cellule psychologique mise en place dans l'école du garçon

Une autopsie doit être pratiquée mardi dans l’après-midi pour déterminer les causes précises de la mort de l’enfant. Sa maman, qui vivait seule depuis huit ans avec son fils dans ce petit pavillon, selon le quotidien régional, est entendue ce lundi dans les locaux de la police judiciaire de Dijon. Une enquête de voisinage est également en cours dans le quartier où Lucas vivait.

La maire de la commune de Saint-Rémy a indiqué ce lundi dans un communiqué, qu'en lien avec les services de l'Education nationale, un soutine psychologique avait été mis en place pour les enfants scolarisés dans la même école que la petite victime, les enseignants et les personnels assurant le périscolaire.

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