Nos internautes ont fêté Halloween et c’était pourri
LOOSE•Halloween! Ça se passe forcément bien non? Eh bien, lisez les témoignages de nos internautes…A.B
Pas besoin d’aller chercher bien loin pour des histoires d’horreur pendant Halloween. Si cette fête n’est pas si plébiscitée que ça en France (contrairement aux Etats-Unis, où elle représente un budget conséquent pour les familles), ils sont nombreux à faire l’effort de la célébrer dûment. Bonbons, enfants, sourires… Vous avez du mal à imaginer comment celle-ci pourrait mal se passer ? Lisez plutôt.
« Une année, j’avais acheté des bonbons pour les enfants, qui sont passés 10 fois, c’est-à-dire jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de bonbons et que je me fasse traiter de "crevarde" », commence Alison. Alice lui a emboîté le pas, en nous racontant que « des enfants sont venus » avant la date même d’Halloween, « pas déguisés, pas maquillés et en stipulant que si je n’avais pas de bonbons, je pouvais toujours leur donner de l’argent ».
Vous en voulez encore ? Voici l’anecdote d’Aurélie : « Nous fêtions le premier Halloween dans notre maison. Nous avons tout décoré et acheté un stock de bonbons, que notre fils a distribués avec une copine. Résultat : des gosses se sont servis par poignées et nous ont traités de "bourges" car nous ne vivons pas en HLM. Ils ont écrasé les bonbons par terre devant notre portail, ont lancé des œufs sur la maison et une bouteille d’acide sur la voiture des voisins. Notre fils est rentré sans un seul bonbon car les gens n’ouvraient pas ». Vaccinée, cette maman « ne décore plus, n’achète plus de bonbons et (fait) mine d’être absente ».
Gardons un peu espoir
Rassurez-vous, il reste d’irréductibles partisans de cette fête païenne à qui il n’arrive pas de mésaventures aussi pénibles. Mais tout de même, notons que Clairette, dont le « fils de 6 ans avait invité sa petite chérie pour fêter Halloween », n’a mis que 15 minutes pour faire le tour « d’un immeuble ayant 4 étages avec 6 appartements par étage ». En effet, « seulement deux portes se sont ouvertes ».
Le mieux à faire reste de retourner la situation à son avantage, comme a très bien su le faire Geneviève : « Il y a cinq ans, mes filles étaient malheureuses de ne pas avoir été conviées par les autres enfants. Nous avons alors pris la décision de les effrayer à leur arrivée chez nous. Alors que la petite troupe sonnait à la porte, je leur ai ouvert en tenant dans ma main une énorme hache et en portant le masque de Scream. Mes filles sont apparues, déguisées elles aussi. Les enfants ont hurlé et j’ai dû les rattraper pour leur donner les sachets de bonbons qu’ils avaient bien mérités. » Sans rancune ?