DEMENTIArend conteste auprès des députés LREM les «atrocités» qu'on lui prête

Harcèlement sexuel: Christophe Arend (LREM) conteste auprès de ses collègues députés les «atrocités» qu'on lui prête

DEMENTIIl a déposé plainte pour « dénonciation calomnieuse »…
20 Minutes avec AFP

20 Minutes avec AFP

Il dément. Le député LREM de Moselle Christophe Arend, qui fait l’objet d’une enquête préliminaire pour « harcèlement et agression sexuelle », a adressé ce mercredi un courrier aux élus de son groupe dans lequel il conteste les « atrocités » qu’on lui prête.

Dans ce courrier, transmis au président du groupe Richard Ferrand et aux députés LREM, mais aussi au président de l’Assemblée François de Rugy, Christophe Arend écrit que « les médias se font l’écho d’une plainte qui aurait été déposée contre moi par une ancienne attachée parlementaire ».

Une enquête préliminaire a en effet été ouverte ce lundi à l’encontre du député de Moselle par le parquet de Sarreguemines pour « harcèlement et agression sexuelle ».

Accusé d’avoir multiplié « les remarques sexistes » et les gestes déplacés

Cette enquête fait suite à une plainte déposée par son ex-assistante parlementaire qui l’accuse d’avoir multiplié « les remarques sexistes » et les gestes déplacés, et d’avoir « tout fait pour (la) faire craquer ».

« Je conteste avec la plus grande fermeté ces atrocités que l’on me prête de façon malveillante », écrit l’élu, qui a « déposé plainte pour dénonciation calomnieuse », selon son avocate.

Christophe Arend ajoute dans son courrier qu’il a « pleinement confiance en la justice » et se dit « certain qu’elle saura, en temps utile, déclarer (s) on innocence ».