ACTU«Pokémon GO», objets de victimes de Nice, la France en colère

Les infos immanquables du jour: «Pokémon GO», objets de victimes de Nice, la France en colère

ACTUCe qu'il ne fallait pas manquer dans l'actualité de ce mercredi 20 juillet...
Armelle Le Goff

Armelle Le Goff

Ouf, on a moins chaud. Et puis demain c’est la sortie officielle de « Pokémon GO », le jeu/phénomène société de Nintendo. Tout va presque bien donc…

L’article le plus lu du jour : La sortie de « Pokémon GO » en France est imminente, 5 indices le prouvent

Le pays entier retient son souffle. Les Français trépignent, ne parviennent plus à travailler, ils n’attendent que ça. Le départ en vacances ? Mais non, la sortie de Pokémon GO le jeu/phénomène de société de Nintendo dont le lancement officiel en France a été retardé par les attentats de Nice.

Les dernières rumeurs annonçaient l’arrivée de Pikachu et ses amis dans les rues françaises avant la fin de la semaine. Sur Internet, plusieurs indices prouvent que le lancement officiel est imminent. 20 Minutes en a sélectionné cinq qui sont à retrouver ici.

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L’article le plus partagé du jour : Un homme arrêté pour avoir voulu revendre des objets appartenant aux victimes

Un homme a été interpellé, lundi, pour avoir mis en vente des objets appartenant aux victimes de l’attentat de Nice révèle Nice matin.

Après l’attaque qui a fait 84 morts et des centaines de blessés, jeudi dernier, à Nice, de nombreux objets jonchaient la promenade des Anglais, abandonnés dans la panique ou perdus par les victimes. Un Niçois de 39 ans aurait collecté ces objets pour tenter de les revendre… sur le Bon Coin. L’histoire est à lire par là.

L’article à lire du jour : La France est-elle en train de basculer dans la haine ?

« Est-ce que nous serons capables d’être ensemble, unis, forts ? Ou est-ce que nous allons connaître la discorde, la désunion et la dislocation ? » A cette question rhétorique de François Hollande, posée ce mardi lors de son déplacement à Lisbonne, nul n’a encore de réponse.

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Les réactions à l’attentat de Nice, survenu ce 14 juillet, se sont démarquées de celles consécutives au 13 novembre ou à l’attaque contre Charlie Hebdo : le hashtag #Jesuisépuisé, symptomatique de Français au bout du rouleau, et les propos violents tenus par certains responsables politiques ont ouvert la porte à une parole raciste décomplexée qui menace aujourd’hui la « cohésion nationale » que le chef de l’Etat appelle de ses vœux… Et c’est à lire par ici.