POLITIQUELa France va connaître «de nouveau des attaques», prévient Manuel Valls

La France va connaître «de nouveau des attaques», prévient Manuel Valls

POLITIQUELe Premier ministre a écarté l’idée de centres de rétention pour les personnes fichés S, qui seraient « dangereuse »...
Clémence Apetogbor

Clémence Apetogbor

La Premier ministre a défendu mercredi l’action du renseignement et de l’antiterrorisme en France malgré l’assassinat d’un couple de policiers lundi soir, affirmant sur France Inter qu’il n’y avait eu ni « négligence » ni « manque de discernement » dans le suivi du tueur de Magnanville (Yvelines).

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

Le Premier ministre a de nouveau écarté l’idée de centres de rétention pour les personnes radicalisées n’ayant pas été condamnées, portée par la droite, qui seraient « dangereux » et « affaibliraient la lutte contre le terrorisme ».

« Nous connaîtrons de nouveau des attaques »

La France doit « poursuivre le travail » engagé par le gouvernement pour « resserrer les mailles du filet » de l’antiterrorisme, a justifié Manuel Valls, en prévenant toutefois que le pays « connaîtra (it) de nouveau des attaques ».

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

« Il faut poursuivre ce travail, il faut resserrer les mailles du filet, il faut continuer à donner tous les moyens à la police, à la gendarmerie et aux services de renseignement. Mais nous connaîtrons de nouveau des attaques parce que nous faisons face à une organisation terroriste qui recule en Syrie et en Irak et qui se projette dans nos pays sous des formes différentes » afin de « créer la peur et diviser », a déclaré le Premier ministre.