ACTULes matchs à risque, Daesh et les homosexuels et la fessée de trop

Les infos immanquables du jour: Les matchs à risque, Daesh et les homosexuels et la fessée de trop

ACTUCe qu'il ne fallait pas manquer dans l'actualité de ce lundi 13 juin...
Armelle Le Goff

Armelle Le Goff

L’Euro 2016 bat son plein… Mais ce n’est pas une raison pour manquer les immanquables.

L’article le plus lu du jour : Après les violences à Marseille, quels sont les prochains matchs à risque ?

Du sud au nord, le conflit pourrait s’exporter. Les hooligans russes et anglais, dont les affrontements à Marseille ont tourné en boucle sur les télés et les réseaux sociaux, auront l’occasion de se recroiser mercredi et jeudi dans le Nord. Les premiers seront à Lille, les seconds à Lens, deux villes distantes d’à peine 40 km. Rien n’exclut qu’une revanche, comme le craint le préfet Michel Lalande, ait lieu. Mais d’autres matchs, classés à risque ailleurs en France, entourés donc d’une sérieuse menace de troubles à l’ordre public, pourraient donner lieu à de nouvelles scènes de guérilla urbaine. On les a listés ici.

L’article le plus partagé du jour : Au Moyen-Orient, Daesh mène une politique impitoyable envers les homosexuels

Un Américain identifié comme Omar Mateen a tué 50 personnes dans un night-club gay d’Orlando, dimanche. L’auteur de la tuerie a prêté allégeance à Daesh peu avant de passer à l’acte, tandis que l’Etat Islamique a revendiqué l’attentat à deux reprises. S’il est encore impossible d’affirmer que le groupe Etat Islamique a réellement coordonné l’attaque, il convient de rappeler que celui-ci mène une politique hostile envers les homosexuels au Moyen-Orient. Ainsi Wassim Nasr, spécialiste des mouvements jjihadistes et journaliste à France 24, rappelle « le sort atroce des homosexuels » dans les territoires occupés par Daesh, comme on vous l’explique ici.

L’article région du jour :Arrêté pour avoir mis une fessée à son fils

Une simple fessée ? Ou des gestes bien plus violents ? Un père de 39 ans, habitant Lyon, a arrêté chez lui samedi matin après avoir administré à son fiston de 5 ans, une correction. « Une fessée », selon les mots du trentenaire.

Qu’avait fait le petit garçon ? La Sûreté du Rhône, qui rapporte cette affaire ce lundi, ne le dit pas. Mais son père l’a frappé à l’école, devant le personnel de l’établissement, qui, choqué par la violence de la scène, est allé ensuite trouver la police.

Interrogé par les enquêteurs, le père de famille a nié avoir eu la main trop lourde, évoquant une simple fessée. Il a été laissé libre avec un rappel à la loi.