Retraites: L'Institut Montaigne propose de travailler jusqu'à 63 ans en 2025
EMPLOI•Le think tank libéral souhaite un alignement rapide des régimes privés et publics de retraite qui constituerait une « condition de l ’ acceptation d ’ efforts partagés par tous »...20 Minutes avec agences
Afin d’assurer l’avenir des retraites, travailler plus longtemps et aligner les régimes privés et publics sont les deux axes proposés, dans un document rendu public ce mercredi par l’Institut Montaigne (Retraites : pour une réforme durable. Assurer l'équilibre pour garantir l'avenir).
Afin d’assurer l’avenir des retraites, travailler plus longtemps et aligner les régimes privés et publics sont les deux axes proposés, dans un document rendu public ce mercredi par l’Institut Montaigne (Retraites : pour une réforme durable. Assurer l'équilibre pour garantir l'avenir).
Afin d’assurer l’avenir des retraites, travailler plus longtemps et aligner les régimes privés et publics sont les deux axes proposés, dans un document rendu public ce mercredi par l’Institut Montaigne (Retraites : pour une réforme durable. Assurer l'équilibre pour garantir l'avenir).
Malgré les réformes successives, six depuis 1993, la question du financement des retraites « n’est pas réglée » et « une nouvelle réforme sera nécessaire », estime ce think tank libéral.
Recul de l’âge de la retraite contre augmentation de la durée de cotisation
Porter l’âge de départ à 63 ans (au lieu de 62) et la durée de cotisation à 43 ans en 2025 serait donc la piste à privilégier. Ceci en mettant à l’index la loi de 2014 qui prévoit bien un allongement de la durée de cotisation, mais plus progressif : un trimestre tous les trois ans à partir de la génération 1958, jusqu’à 43 ans (172 trimestres) en 2035, soit pour les générations 1973 et suivantes.
Sans avancer de chiffrage, l’Institut Montaigne affirme que les effets d’un recul de l’âge de la retraite sont « plus importants que ceux d’une augmentation de la durée de cotisation ».
Faire converger davantage encore les régimes publics et privés, serait la seconde piste à exploiter. Différentes réformes ont rapproché les situations mais il reste, selon l’organisme, la question du « calcul des droits ». La pension de retraite des agents de l’Etat et des bénéficiaires de la plupart des régimes spéciaux est calculée sur les six derniers mois, alors que celle des salariés du privé l’est sur les 25 meilleures années.
Avoire le « courage » de renoncer à la prise en compte de la pénibilité
L’Institut Montaigne suggère ainsi un alignement rapide, pour toutes les personnes à plus de sept ans de la retraite. Un tel rapprochement des régimes répond à un objectif financier, mais est aussi « la condition de l’acceptation d’efforts partagés par tous ».
>> A lire aussi : Pourquoi ça coince toujours du côté de l'emploi des séniors?
Dans le collimateur de l’Institut, figure aussi la prise en compte de la pénibilité, qui peut permettre un départ anticipé à la retraite, « un piège politique » auquel « il faudrait avoir le courage de renoncer purement et simplement », au profit du développement de la prévention.
A noter que selon des données de l’organisme, le taux d’emploi des 55-64 ans en France reste faible (48,9 %), contre 66,1 % pour la moyenne des pays de l’OCDE.
Malgré les réformes successives, six depuis 1993, la question du financement des retraites « n’est pas réglée » et « une nouvelle réforme sera nécessaire », estime ce think tank libéral.
Recul de l’âge de la retraite contre augmentation de la durée de cotisation
Porter l’âge de départ à 63 ans (au lieu de 62) et la durée de cotisation à 43 ans en 2025 serait donc la piste à privilégier. Ceci en mettant à l’index la loi de 2014 qui prévoit bien un allongement de la durée de cotisation, mais plus progressif : un trimestre tous les trois ans à partir de la génération 1958, jusqu’à 43 ans (172 trimestres) en 2035, soit pour les générations 1973 et suivantes.
Sans avancer de chiffrage, l’Institut Montaigne affirme que les effets d’un recul de l’âge de la retraite sont « plus importants que ceux d’une augmentation de la durée de cotisation ».
Faire converger davantage encore les régimes publics et privés, serait la seconde piste à exploiter. Différentes réformes ont rapproché les situations mais il reste, selon l’organisme, la question du « calcul des droits ». La pension de retraite des agents de l’Etat et des bénéficiaires de la plupart des régimes spéciaux est calculée sur les six derniers mois, alors que celle des salariés du privé l’est sur les 25 meilleures années.
Avoire le « courage » de renoncer à la prise en compte de la pénibilité
L’Institut Montaigne suggère ainsi un alignement rapide, pour toutes les personnes à plus de sept ans de la retraite. Un tel rapprochement des régimes répond à un objectif financier, mais est aussi « la condition de l’acceptation d’efforts partagés par tous ».
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Dans le collimateur de l’Institut, figure aussi la prise en compte de la pénibilité, qui peut permettre un départ anticipé à la retraite, « un piège politique » auquel « il faudrait avoir le courage de renoncer purement et simplement », au profit du développement de la prévention.
A noter que selon des données de l’organisme, le taux d’emploi des 55-64 ans en France reste faible (48,9 %), contre 66,1 % pour la moyenne des pays de l’OCDE.
Malgré les réformes successives, six depuis 1993, la question du financement des retraites « n’est pas réglée » et « une nouvelle réforme sera nécessaire », estime ce think tank libéral.
Recul de l’âge de la retraite contre augmentation de la durée de cotisation
Porter l’âge de départ à 63 ans (au lieu de 62) et la durée de cotisation à 43 ans en 2025 serait donc la piste à privilégier. Ceci en mettant à l’index la loi de 2014 qui prévoit bien un allongement de la durée de cotisation, mais plus progressif : un trimestre tous les trois ans à partir de la génération 1958, jusqu’à 43 ans (172 trimestres) en 2035, soit pour les générations 1973 et suivantes.
Sans avancer de chiffrage, l’Institut Montaigne affirme que les effets d’un recul de l’âge de la retraite sont « plus importants que ceux d’une augmentation de la durée de cotisation ».
Faire converger davantage encore les régimes publics et privés, serait la seconde piste à exploiter. Différentes réformes ont rapproché les situations mais il reste, selon l’organisme, la question du « calcul des droits ». La pension de retraite des agents de l’Etat et des bénéficiaires de la plupart des régimes spéciaux est calculée sur les six derniers mois, alors que celle des salariés du privé l’est sur les 25 meilleures années.
Avoire le « courage » de renoncer à la prise en compte de la pénibilité
L’Institut Montaigne suggère ainsi un alignement rapide, pour toutes les personnes à plus de sept ans de la retraite. Un tel rapprochement des régimes répond à un objectif financier, mais est aussi « la condition de l’acceptation d’efforts partagés par tous ».
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A noter que selon des données de l’organisme, le taux d’emploi des 55-64 ans en France reste faible (48,9 %), contre 66,1 % pour la moyenne des pays de l’OCDE.
Malgré les réformes successives, six depuis 1993, la question du financement des retraites « n’est pas réglée » et « une nouvelle réforme sera nécessaire », estime ce think tank libéral.
Recul de l’âge de la retraite contre augmentation de la durée de cotisation
Porter l’âge de départ à 63 ans (au lieu de 62) et la durée de cotisation à 43 ans en 2025 serait donc la piste à privilégier. Ceci en mettant à l’index la loi de 2014 qui prévoit bien un allongement de la durée de cotisation, mais plus progressif : un trimestre tous les trois ans à partir de la génération 1958, jusqu’à 43 ans (172 trimestres) en 2035, soit pour les générations 1973 et suivantes.
Sans avancer de chiffrage, l’Institut Montaigne affirme que les effets d’un recul de l’âge de la retraite sont « plus importants que ceux d’une augmentation de la durée de cotisation ».
Faire converger davantage encore les régimes publics et privés, serait la seconde piste à exploiter. Différentes réformes ont rapproché les situations mais il reste, selon l’organisme, la question du « calcul des droits ». La pension de retraite des agents de l’Etat et des bénéficiaires de la plupart des régimes spéciaux est calculée sur les six derniers mois, alors que celle des salariés du privé l’est sur les 25 meilleures années.
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A noter que selon des données de l’organisme, le taux d’emploi des 55-64 ans en France reste faible (48,9 %), contre 66,1 % pour la moyenne des pays de l’OCDE.
Malgré les réformes successives, six depuis 1993, la question du financement des retraites « n’est pas réglée » et « une nouvelle réforme sera nécessaire », estime ce think tank libéral.
Recul de l’âge de la retraite contre augmentation de la durée de cotisation
Porter l’âge de départ à 63 ans (au lieu de 62) et la durée de cotisation à 43 ans en 2025 serait donc la piste à privilégier. Ceci en mettant à l’index la loi de 2014 qui prévoit bien un allongement de la durée de cotisation, mais plus progressif : un trimestre tous les trois ans à partir de la génération 1958, jusqu’à 43 ans (172 trimestres) en 2035, soit pour les générations 1973 et suivantes.
Sans avancer de chiffrage, l’Institut Montaigne affirme que les effets d’un recul de l’âge de la retraite sont « plus importants que ceux d’une augmentation de la durée de cotisation ».
Faire converger davantage encore les régimes publics et privés, serait la seconde piste à exploiter. Différentes réformes ont rapproché les situations mais il reste, selon l’organisme, la question du « calcul des droits ». La pension de retraite des agents de l’Etat et des bénéficiaires de la plupart des régimes spéciaux est calculée sur les six derniers mois, alors que celle des salariés du privé l’est sur les 25 meilleures années.
Avoire le « courage » de renoncer à la prise en compte de la pénibilité
L’Institut Montaigne suggère ainsi un alignement rapide, pour toutes les personnes à plus de sept ans de la retraite. Un tel rapprochement des régimes répond à un objectif financier, mais est aussi « la condition de l’acceptation d’efforts partagés par tous ».
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A noter que selon des données de l’organisme, le taux d’emploi des 55-64 ans en France reste faible (48,9 %), contre 66,1 % pour la moyenne des pays de l’OCDE.
Malgré les réformes successives, six depuis 1993, la question du financement des retraites « n’est pas réglée » et « une nouvelle réforme sera nécessaire », estime ce think tank libéral.
Recul de l’âge de la retraite contre augmentation de la durée de cotisation
Porter l’âge de départ à 63 ans (au lieu de 62) et la durée de cotisation à 43 ans en 2025 serait donc la piste à privilégier. Ceci en mettant à l’index la loi de 2014 qui prévoit bien un allongement de la durée de cotisation, mais plus progressif : un trimestre tous les trois ans à partir de la génération 1958, jusqu’à 43 ans (172 trimestres) en 2035, soit pour les générations 1973 et suivantes.
Sans avancer de chiffrage, l’Institut Montaigne affirme que les effets d’un recul de l’âge de la retraite sont « plus importants que ceux d’une augmentation de la durée de cotisation ».
Faire converger davantage encore les régimes publics et privés, serait la seconde piste à exploiter. Différentes réformes ont rapproché les situations mais il reste, selon l’organisme, la question du « calcul des droits ». La pension de retraite des agents de l’Etat et des bénéficiaires de la plupart des régimes spéciaux est calculée sur les six derniers mois, alors que celle des salariés du privé l’est sur les 25 meilleures années.
Avoire le « courage » de renoncer à la prise en compte de la pénibilité
L’Institut Montaigne suggère ainsi un alignement rapide, pour toutes les personnes à plus de sept ans de la retraite. Un tel rapprochement des régimes répond à un objectif financier, mais est aussi « la condition de l’acceptation d’efforts partagés par tous ».
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Dans le collimateur de l’Institut, figure aussi la prise en compte de la pénibilité, qui peut permettre un départ anticipé à la retraite, « un piège politique » auquel « il faudrait avoir le courage de renoncer purement et simplement », au profit du développement de la prévention.
A noter que selon des données de l’organisme, le taux d’emploi des 55-64 ans en France reste faible (48,9 %), contre 66,1 % pour la moyenne des pays de l’OCDE.
Malgré les réformes successives, six depuis 1993, la question du financement des retraites « n’est pas réglée » et « une nouvelle réforme sera nécessaire », estime ce think tank libéral.
Recul de l’âge de la retraite contre augmentation de la durée de cotisation
Porter l’âge de départ à 63 ans (au lieu de 62) et la durée de cotisation à 43 ans en 2025 serait donc la piste à privilégier. Ceci en mettant à l’index la loi de 2014 qui prévoit bien un allongement de la durée de cotisation, mais plus progressif : un trimestre tous les trois ans à partir de la génération 1958, jusqu’à 43 ans (172 trimestres) en 2035, soit pour les générations 1973 et suivantes.
Sans avancer de chiffrage, l’Institut Montaigne affirme que les effets d’un recul de l’âge de la retraite sont « plus importants que ceux d’une augmentation de la durée de cotisation ».
Faire converger davantage encore les régimes publics et privés, serait la seconde piste à exploiter. Différentes réformes ont rapproché les situations mais il reste, selon l’organisme, la question du « calcul des droits ». La pension de retraite des agents de l’Etat et des bénéficiaires de la plupart des régimes spéciaux est calculée sur les six derniers mois, alors que celle des salariés du privé l’est sur les 25 meilleures années.
Avoire le « courage » de renoncer à la prise en compte de la pénibilité
L’Institut Montaigne suggère ainsi un alignement rapide, pour toutes les personnes à plus de sept ans de la retraite. Un tel rapprochement des régimes répond à un objectif financier, mais est aussi « la condition de l’acceptation d’efforts partagés par tous ».
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Dans le collimateur de l’Institut, figure aussi la prise en compte de la pénibilité, qui peut permettre un départ anticipé à la retraite, « un piège politique » auquel « il faudrait avoir le courage de renoncer purement et simplement », au profit du développement de la prévention.
A noter que selon des données de l’organisme, le taux d’emploi des 55-64 ans en France reste faible (48,9 %), contre 66,1 % pour la moyenne des pays de l’OCDE.
Malgré les réformes successives, six depuis 1993, la question du financement des retraites « n’est pas réglée » et « une nouvelle réforme sera nécessaire », estime ce think tank libéral.
Recul de l’âge de la retraite contre augmentation de la durée de cotisation
Porter l’âge de départ à 63 ans (au lieu de 62) et la durée de cotisation à 43 ans en 2025 serait donc la piste à privilégier. Ceci en mettant à l’index la loi de 2014 qui prévoit bien un allongement de la durée de cotisation, mais plus progressif : un trimestre tous les trois ans à partir de la génération 1958, jusqu’à 43 ans (172 trimestres) en 2035, soit pour les générations 1973 et suivantes.
Sans avancer de chiffrage, l’Institut Montaigne affirme que les effets d’un recul de l’âge de la retraite sont « plus importants que ceux d’une augmentation de la durée de cotisation ».
Faire converger davantage encore les régimes publics et privés, serait la seconde piste à exploiter. Différentes réformes ont rapproché les situations mais il reste, selon l’organisme, la question du « calcul des droits ». La pension de retraite des agents de l’Etat et des bénéficiaires de la plupart des régimes spéciaux est calculée sur les six derniers mois, alors que celle des salariés du privé l’est sur les 25 meilleures années.
Avoire le « courage » de renoncer à la prise en compte de la pénibilité
L’Institut Montaigne suggère ainsi un alignement rapide, pour toutes les personnes à plus de sept ans de la retraite. Un tel rapprochement des régimes répond à un objectif financier, mais est aussi « la condition de l’acceptation d’efforts partagés par tous ».
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Dans le collimateur de l’Institut, figure aussi la prise en compte de la pénibilité, qui peut permettre un départ anticipé à la retraite, « un piège politique » auquel « il faudrait avoir le courage de renoncer purement et simplement », au profit du développement de la prévention.
A noter que selon des données de l’organisme, le taux d’emploi des 55-64 ans en France reste faible (48,9 %), contre 66,1 % pour la moyenne des pays de l’OCDE.
Malgré les réformes successives, six depuis 1993, la question du financement des retraites « n’est pas réglée » et « une nouvelle réforme sera nécessaire », estime ce think tank libéral.
Recul de l’âge de la retraite contre augmentation de la durée de cotisation
Porter l’âge de départ à 63 ans (au lieu de 62) et la durée de cotisation à 43 ans en 2025 serait donc la piste à privilégier. Ceci en mettant à l’index la loi de 2014 qui prévoit bien un allongement de la durée de cotisation, mais plus progressif : un trimestre tous les trois ans à partir de la génération 1958, jusqu’à 43 ans (172 trimestres) en 2035, soit pour les générations 1973 et suivantes.
Sans avancer de chiffrage, l’Institut Montaigne affirme que les effets d’un recul de l’âge de la retraite sont « plus importants que ceux d’une augmentation de la durée de cotisation ».
Faire converger davantage encore les régimes publics et privés, serait la seconde piste à exploiter. Différentes réformes ont rapproché les situations mais il reste, selon l’organisme, la question du « calcul des droits ». La pension de retraite des agents de l’Etat et des bénéficiaires de la plupart des régimes spéciaux est calculée sur les six derniers mois, alors que celle des salariés du privé l’est sur les 25 meilleures années.
Avoire le « courage » de renoncer à la prise en compte de la pénibilité
L’Institut Montaigne suggère ainsi un alignement rapide, pour toutes les personnes à plus de sept ans de la retraite. Un tel rapprochement des régimes répond à un objectif financier, mais est aussi « la condition de l’acceptation d’efforts partagés par tous ».
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Dans le collimateur de l’Institut, figure aussi la prise en compte de la pénibilité, qui peut permettre un départ anticipé à la retraite, « un piège politique » auquel « il faudrait avoir le courage de renoncer purement et simplement », au profit du développement de la prévention.
A noter que selon des données de l’organisme, le taux d’emploi des 55-64 ans en France reste faible (48,9 %), contre 66,1 % pour la moyenne des pays de l’OCDE.
Malgré les réformes successives, six depuis 1993, la question du financement des retraites « n’est pas réglée » et « une nouvelle réforme sera nécessaire », estime ce think tank libéral.
Recul de l’âge de la retraite contre augmentation de la durée de cotisation
Porter l’âge de départ à 63 ans (au lieu de 62) et la durée de cotisation à 43 ans en 2025 serait donc la piste à privilégier. Ceci en mettant à l’index la loi de 2014 qui prévoit bien un allongement de la durée de cotisation, mais plus progressif : un trimestre tous les trois ans à partir de la génération 1958, jusqu’à 43 ans (172 trimestres) en 2035, soit pour les générations 1973 et suivantes.
Sans avancer de chiffrage, l’Institut Montaigne affirme que les effets d’un recul de l’âge de la retraite sont « plus importants que ceux d’une augmentation de la durée de cotisation ».
Faire converger davantage encore les régimes publics et privés, serait la seconde piste à exploiter. Différentes réformes ont rapproché les situations mais il reste, selon l’organisme, la question du « calcul des droits ». La pension de retraite des agents de l’Etat et des bénéficiaires de la plupart des régimes spéciaux est calculée sur les six derniers mois, alors que celle des salariés du privé l’est sur les 25 meilleures années.
Avoire le « courage » de renoncer à la prise en compte de la pénibilité
L’Institut Montaigne suggère ainsi un alignement rapide, pour toutes les personnes à plus de sept ans de la retraite. Un tel rapprochement des régimes répond à un objectif financier, mais est aussi « la condition de l’acceptation d’efforts partagés par tous ».
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Dans le collimateur de l’Institut, figure aussi la prise en compte de la pénibilité, qui peut permettre un départ anticipé à la retraite, « un piège politique » auquel « il faudrait avoir le courage de renoncer purement et simplement », au profit du développement de la prévention.
A noter que selon des données de l’organisme, le taux d’emploi des 55-64 ans en France reste faible (48,9 %), contre 66,1 % pour la moyenne des pays de l’OCDE.
Malgré les réformes successives, six depuis 1993, la question du financement des retraites « n’est pas réglée » et « une nouvelle réforme sera nécessaire », estime ce think tank libéral.
Recul de l’âge de la retraite contre augmentation de la durée de cotisation
Porter l’âge de départ à 63 ans (au lieu de 62) et la durée de cotisation à 43 ans en 2025 serait donc la piste à privilégier. Ceci en mettant à l’index la loi de 2014 qui prévoit bien un allongement de la durée de cotisation, mais plus progressif : un trimestre tous les trois ans à partir de la génération 1958, jusqu’à 43 ans (172 trimestres) en 2035, soit pour les générations 1973 et suivantes.
Sans avancer de chiffrage, l’Institut Montaigne affirme que les effets d’un recul de l’âge de la retraite sont « plus importants que ceux d’une augmentation de la durée de cotisation ».
Faire converger davantage encore les régimes publics et privés, serait la seconde piste à exploiter. Différentes réformes ont rapproché les situations mais il reste, selon l’organisme, la question du « calcul des droits ». La pension de retraite des agents de l’Etat et des bénéficiaires de la plupart des régimes spéciaux est calculée sur les six derniers mois, alors que celle des salariés du privé l’est sur les 25 meilleures années.
Avoire le « courage » de renoncer à la prise en compte de la pénibilité
L’Institut Montaigne suggère ainsi un alignement rapide, pour toutes les personnes à plus de sept ans de la retraite. Un tel rapprochement des régimes répond à un objectif financier, mais est aussi « la condition de l’acceptation d’efforts partagés par tous ».
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A noter que selon des données de l’organisme, le taux d’emploi des 55-64 ans en France reste faible (48,9 %), contre 66,1 % pour la moyenne des pays de l’OCDE.
Malgré les réformes successives, six depuis 1993, la question du financement des retraites « n’est pas réglée » et « une nouvelle réforme sera nécessaire », estime ce think tank libéral.
Recul de l’âge de la retraite contre augmentation de la durée de cotisation
Porter l’âge de départ à 63 ans (au lieu de 62) et la durée de cotisation à 43 ans en 2025 serait donc la piste à privilégier. Ceci en mettant à l’index la loi de 2014 qui prévoit bien un allongement de la durée de cotisation, mais plus progressif : un trimestre tous les trois ans à partir de la génération 1958, jusqu’à 43 ans (172 trimestres) en 2035, soit pour les générations 1973 et suivantes.
Sans avancer de chiffrage, l’Institut Montaigne affirme que les effets d’un recul de l’âge de la retraite sont « plus importants que ceux d’une augmentation de la durée de cotisation ».
Faire converger davantage encore les régimes publics et privés, serait la seconde piste à exploiter. Différentes réformes ont rapproché les situations mais il reste, selon l’organisme, la question du « calcul des droits ». La pension de retraite des agents de l’Etat et des bénéficiaires de la plupart des régimes spéciaux est calculée sur les six derniers mois, alors que celle des salariés du privé l’est sur les 25 meilleures années.
Avoire le « courage » de renoncer à la prise en compte de la pénibilité
L’Institut Montaigne suggère ainsi un alignement rapide, pour toutes les personnes à plus de sept ans de la retraite. Un tel rapprochement des régimes répond à un objectif financier, mais est aussi « la condition de l’acceptation d’efforts partagés par tous ».
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Dans le collimateur de l’Institut, figure aussi la prise en compte de la pénibilité, qui peut permettre un départ anticipé à la retraite, « un piège politique » auquel « il faudrait avoir le courage de renoncer purement et simplement », au profit du développement de la prévention.
A noter que selon des données de l’organisme, le taux d’emploi des 55-64 ans en France reste faible (48,9 %), contre 66,1 % pour la moyenne des pays de l’OCDE.
Malgré les réformes successives, six depuis 1993, la question du financement des retraites « n’est pas réglée » et « une nouvelle réforme sera nécessaire », estime ce think tank libéral.
Recul de l’âge de la retraite contre augmentation de la durée de cotisation
Porter l’âge de départ à 63 ans (au lieu de 62) et la durée de cotisation à 43 ans en 2025 serait donc la piste à privilégier. Ceci en mettant à l’index la loi de 2014 qui prévoit bien un allongement de la durée de cotisation, mais plus progressif : un trimestre tous les trois ans à partir de la génération 1958, jusqu’à 43 ans (172 trimestres) en 2035, soit pour les générations 1973 et suivantes.
Sans avancer de chiffrage, l’Institut Montaigne affirme que les effets d’un recul de l’âge de la retraite sont « plus importants que ceux d’une augmentation de la durée de cotisation ».
Faire converger davantage encore les régimes publics et privés, serait la seconde piste à exploiter. Différentes réformes ont rapproché les situations mais il reste, selon l’organisme, la question du « calcul des droits ». La pension de retraite des agents de l’Etat et des bénéficiaires de la plupart des régimes spéciaux est calculée sur les six derniers mois, alors que celle des salariés du privé l’est sur les 25 meilleures années.
Avoire le « courage » de renoncer à la prise en compte de la pénibilité
L’Institut Montaigne suggère ainsi un alignement rapide, pour toutes les personnes à plus de sept ans de la retraite. Un tel rapprochement des régimes répond à un objectif financier, mais est aussi « la condition de l’acceptation d’efforts partagés par tous ».
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Dans le collimateur de l’Institut, figure aussi la prise en compte de la pénibilité, qui peut permettre un départ anticipé à la retraite, « un piège politique » auquel « il faudrait avoir le courage de renoncer purement et simplement », au profit du développement de la prévention.
A noter que selon des données de l’organisme, le taux d’emploi des 55-64 ans en France reste faible (48,9 %), contre 66,1 % pour la moyenne des pays de l’OCDE.
Malgré les réformes successives, six depuis 1993, la question du financement des retraites « n’est pas réglée » et « une nouvelle réforme sera nécessaire », estime ce think tank libéral.
Recul de l’âge de la retraite contre augmentation de la durée de cotisation
Porter l’âge de départ à 63 ans (au lieu de 62) et la durée de cotisation à 43 ans en 2025 serait donc la piste à privilégier. Ceci en mettant à l’index la loi de 2014 qui prévoit bien un allongement de la durée de cotisation, mais plus progressif : un trimestre tous les trois ans à partir de la génération 1958, jusqu’à 43 ans (172 trimestres) en 2035, soit pour les générations 1973 et suivantes.
Sans avancer de chiffrage, l’Institut Montaigne affirme que les effets d’un recul de l’âge de la retraite sont « plus importants que ceux d’une augmentation de la durée de cotisation ».
Faire converger davantage encore les régimes publics et privés, serait la seconde piste à exploiter. Différentes réformes ont rapproché les situations mais il reste, selon l’organisme, la question du « calcul des droits ». La pension de retraite des agents de l’Etat et des bénéficiaires de la plupart des régimes spéciaux est calculée sur les six derniers mois, alors que celle des salariés du privé l’est sur les 25 meilleures années.
Avoire le « courage » de renoncer à la prise en compte de la pénibilité
L’Institut Montaigne suggère ainsi un alignement rapide, pour toutes les personnes à plus de sept ans de la retraite. Un tel rapprochement des régimes répond à un objectif financier, mais est aussi « la condition de l’acceptation d’efforts partagés par tous ».
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Dans le collimateur de l’Institut, figure aussi la prise en compte de la pénibilité, qui peut permettre un départ anticipé à la retraite, « un piège politique » auquel « il faudrait avoir le courage de renoncer purement et simplement », au profit du développement de la prévention.
A noter que selon des données de l’organisme, le taux d’emploi des 55-64 ans en France reste faible (48,9 %), contre 66,1 % pour la moyenne des pays de l’OCDE.
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Malgré les réformes successives, six depuis 1993, la question du financement des retraites « n’est pas réglée » et « une nouvelle réforme sera nécessaire », estime ce think tank libéral.
Recul de l’âge de la retraite contre augmentation de la durée de cotisation
Porter l’âge de départ à 63 ans (au lieu de 62) et la durée de cotisation à 43 ans en 2025 serait donc la piste à privilégier. Ceci en mettant à l’index la loi de 2014 qui prévoit bien un allongement de la durée de cotisation, mais plus progressif : un trimestre tous les trois ans à partir de la génération 1958, jusqu’à 43 ans (172 trimestres) en 2035, soit pour les générations 1973 et suivantes.
Sans avancer de chiffrage, l’Institut Montaigne affirme que les effets d’un recul de l’âge de la retraite sont « plus importants que ceux d’une augmentation de la durée de cotisation ».
Faire converger davantage encore les régimes publics et privés, serait la seconde piste à exploiter. Différentes réformes ont rapproché les situations mais il reste, selon l’organisme, la question du « calcul des droits ». La pension de retraite des agents de l’Etat et des bénéficiaires de la plupart des régimes spéciaux est calculée sur les six derniers mois, alors que celle des salariés du privé l’est sur les 25 meilleures années.
Avoire le « courage » de renoncer à la prise en compte de la pénibilité
L’Institut Montaigne suggère ainsi un alignement rapide, pour toutes les personnes à plus de sept ans de la retraite. Un tel rapprochement des régimes répond à un objectif financier, mais est aussi « la condition de l’acceptation d’efforts partagés par tous ».
>> A lire aussi : Pourquoi ça coince toujours du côté de l'emploi des séniors?
Dans le collimateur de l’Institut, figure aussi la prise en compte de la pénibilité, qui peut permettre un départ anticipé à la retraite, « un piège politique » auquel « il faudrait avoir le courage de renoncer purement et simplement », au profit du développement de la prévention.
A noter que selon des données de l’organisme, le taux d’emploi des 55-64 ans en France reste faible (48,9 %), contre 66,1 % pour la moyenne des pays de l’OCDE.
Malgré les réformes successives, six depuis 1993, la question du financement des retraites « n’est pas réglée » et « une nouvelle réforme sera nécessaire », estime ce think tank libéral.
Recul de l’âge de la retraite contre augmentation de la durée de cotisation
Porter l’âge de départ à 63 ans (au lieu de 62) et la durée de cotisation à 43 ans en 2025 serait donc la piste à privilégier. Ceci en mettant à l’index la loi de 2014 qui prévoit bien un allongement de la durée de cotisation, mais plus progressif : un trimestre tous les trois ans à partir de la génération 1958, jusqu’à 43 ans (172 trimestres) en 2035, soit pour les générations 1973 et suivantes.
Sans avancer de chiffrage, l’Institut Montaigne affirme que les effets d’un recul de l’âge de la retraite sont « plus importants que ceux d’une augmentation de la durée de cotisation ».
Faire converger davantage encore les régimes publics et privés, serait la seconde piste à exploiter. Différentes réformes ont rapproché les situations mais il reste, selon l’organisme, la question du « calcul des droits ». La pension de retraite des agents de l’Etat et des bénéficiaires de la plupart des régimes spéciaux est calculée sur les six derniers mois, alors que celle des salariés du privé l’est sur les 25 meilleures années.
Avoire le « courage » de renoncer à la prise en compte de la pénibilité
L’Institut Montaigne suggère ainsi un alignement rapide, pour toutes les personnes à plus de sept ans de la retraite. Un tel rapprochement des régimes répond à un objectif financier, mais est aussi « la condition de l’acceptation d’efforts partagés par tous ».
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Dans le collimateur de l’Institut, figure aussi la prise en compte de la pénibilité, qui peut permettre un départ anticipé à la retraite, « un piège politique » auquel « il faudrait avoir le courage de renoncer purement et simplement », au profit du développement de la prévention.
A noter que selon des données de l’organisme, le taux d’emploi des 55-64 ans en France reste faible (48,9 %), contre 66,1 % pour la moyenne des pays de l’OCDE.