IMMANQUABLESLes immanquables du jour: Hanouna et les journalistes, Mimie Mathy et Booba et la tactique du PS

Les immanquables du jour: Hanouna et les journalistes, Mimie Mathy et Booba et la tactique du PS

IMMANQUABLESCe qu'il ne fallait pas manquer dans l'actualité de ce lundi 7 décembre...
Armelle Le Goff

Armelle Le Goff

Il s’agirait de ne pas les manquer les immanquables. Surtout un lendemain d’élections régionales…

L’article le plus lu du jour : Cyril Hanouna rend les journalistes et les politiques responsables de la montée du FN

C’est un peu accessoire mais il n’empêche c’est un des papiers que vous avez le plus lus ce lundi. La réaction de l’animateur de D8, Cyril Hanouna, qui s’en est pris aux journalistes et aux politiques dimanche soir sur Twitter, laissant entendre qu’ils étaient responsables des résultats du scrutin, après la victoire du FN au premier tour des élections régionales, vous a beaucoup fait réagir.

« Les journalistes, continuez à en faire des tartines, continuez à instaurer un climat anxiogène ! Vous avez gagné les gars ! #irresponsable — Cyril Hanouna (@Cyrilhanouna) 6 Décembre 2015 »

Si les résultats des élections vous intéressent aussi cliquez par là pour retrouver les résultats région par région

L’article le plus violent du jour : Mimie Mathy tacle Booba : « Si ça se trouve il regarde Joséphine et pleure devant »

Il ne faut pas chercher Mimie Mathy. Dans une interview accordée à Télépoche, l’interprète de Joséphine ange gardien sur TF1 n’a pas hésité à régler ses comptes avec l’un des artistes les plus féroces du rap français : Booba. Dans son titre LVMH, le Duc de Boulogne balançait en effet une punchline quelque peu agressive : « J’te la mets jusqu’à la ge-gor (gorge) comme si j’b*****s Mimie Mathy », déclarait-il. Une déclaration musicale qui n’a pas beaucoup plu à la principale intéressée. « Si ça se trouve il regarde Joséphine et pleure devant son poste ».

Mimie Mathy dans l’épisode de "Joséphine, Ange Gardien" intitulé "Papa est un chippendale". - TF1



L’article le plus tactique du jour : Les retraits du PS sont-ils vraiment payants pour contrer le FN au second tour ?

Faire barrage au Front national, coûte que coûte. Quitte à privilégier une victoire des Républicains et à se retrouver sans aucun élu. Dans le vestiaire socialiste, la tactique fomentée depuis dimanche soir semble assez claire. Leur chef de file, Jean-Christophe Cambadélis a déjà invité les candidats PS arrivés en troisième position au premier tour à se retirer, adoptant la ligne dite du « front républicain », bien résumée par la formule « n’importe qui mais pas le FN ».

Sur le papier, trois régions sont concernées par des triangulaires : Le Nord-Pas-de-Calais-Picardie, où Pierre de Saintignon (3e avec 18,3 % des voix) a accepté de se désister pour le second tour. La PACA, où Christophe Castaner (3e avec 16,6 %) s’est également autoéliminé. Et enfin le Grand Est, où malgré son retard conséquent et les consignes du parti, Jean-Pierre Masseret (3e avec 16,11 %) n’a, lui, pas l’intention de rayer son nom.

>> Retrouvez tous les articles de 20 Minutes sur les élections régionales