Voici un condensé de la production de 20 Minutes de ce jeudi avec les immanquables du jour.

L’article le plus lu du jour : Lassana Bathily, « héros » de l’Hyper Cacher, a changé de vie

Il refuse l’étiquette de héros. Six mois après la terrible attaque de l’Hyper Cacher, Lassana Bathily, jeune employé du magasin qui avait courageusement sauvé des otages le 9 janvier dans le magasin de la porte de Vincennes, à Paris, tente de retrouver une vie normale. Le jeune homme, qui expliquait il y a quelques mois que retourner travailler à l’Hyper Cacher lui semblait trop dur, a trouvé un nouvel emploi dans un stade géré par la Mairie de Paris.

L’article le plus partagé du jour : Les policiers désormais autorisés à porter barbe et tatouages

C’est fait. Après deux années d’intenses négociations, Force ouvrière a fait plier l’administration. Désormais, les policiers français (unités de la police nationale) pourront arborer barbe et tatouages. Ils ne devront toutefois pas afficher des tatouages à « caractère raciste, politique, religieux, xénophobe, etc. ». La barbe, elle, doit être « soignée et compatible avec le port d’équipements ».

L’article de la rédaction du jour : Les cinq mesures phares du plan de lutte du gouvernement contre le harcèlement dans les transports

100 % des femmes ont déjà été victimes au moins une fois dans leur vie de remarques sexistes, de harcèlement ou d’agression sexuelle dans les transports en commun. Devant ces chiffres alarmants, le gouvernement a décidé d’agir et présenté un plan d’action national. Marches participatives, arrêt à la demande pour les femmes dans les bus de nuit… 20 Minutes vous présente les 5 mesures.

Si Margaux Collet, porte-parole de l’association Osez le Féminisme, salue les efforts déployés, elle tient à rester vigilante sur son application. Et, à l’occasion d’un chat cet après-midi dans les locaux de 20 Minutes, Pascale Boistard, la secrétaire d’Etat aux Droits des femmes, a affirmé que « dorénavant, il n’y aura plus de tolérance, plus d’indifférence, plus d’yeux fermés ».

L’article crise grecque du jour : Pourquoi un « Grexit » coûterait plus cher qu’un allégement de la dette

Avec une dette qui s’élève aujourd’hui à 320 milliards d’euros, combien coûterait à l’Europe une sortie de la Grèce de la zone euro ? Et combien si elle restait en voyant sa dette allégée ? C’est l’un des enjeux majeurs des négociations encore en cours pour tenter de trouver une issue à la crise grecque. Les calculs sont complexes, les paramètres multiples, et certains d’entre eux carrément inconnus. Malgré ces incertitudes, les économistes tentent d’évaluer le coût des deux scénarios. 20 Minutes vous livre quelques pistes.