Baccalauréat : Quand le bénévolat peut rapporter des points
JEUNESSE•Il s’agirait de valoriser « la participation volontaire des collégiens et lycéens à un projet citoyen »...20 Minutes avec agence
Cette proposition n’est qu’une parmi les 25 du rapport Reconnaître, valoriser, encourager l’engagement des jeunes rendu, ce lundi, à Patrick Kenner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports et commandé, en décembre, à France Stratégie. Mais à l’heure du baccalauréat 2015, la mesure fait grand bruit puisqu’il propose tout simplement d’accorder des points supplémentaires à l’examen, notamment aux candidats qui font du bénévolat.
Cette « note bénévolat » serait instaurée pour l’obtention du bac mais aussi du brevet, du CAP et du BEP et serait accordée en fonction de différents critères tels que la capacité à « gérer un projet ou un budget », « créer un site internet » ou encore « parler en public ».
Un système équivalent pour les étudiants et la fonction publique
Il s’agirait ainsi, comme le souligne une synthèse du rapport, de valoriser « la participation volontaire des collégiens et lycéens à un projet citoyen dans le cadre d’une association d’intérêt général, dans ou en dehors du cadre scolaire ». Un projet évalué par les enseignants, dont la note serait continuerait, elle, d’avoir une place importante.
Les auteurs proposent même de mettre en place un système équivalent pour les étudiants et même les concours de la fonction publique. Pour les élèves d’université, cela passerait, par exemple, par l’obtention de crédits supplémentaires (nécessaires à valider un semestre) pour ceux ayant effectué « au moins 50 heures de bénévolat au cours d’un semestre ». En ce qui concerne les seconds, là encore le coup de pouce se traduirait par l’octroi de points supplémentaires qui sont justifiés par la nécessité de récompenser « l’attachement au service de l’intérêt général, dont les missions de service public sont l’expression ».
« Avoir confiance en sa jeunesse »
Cette proposition n’est qu’une parmi les 25 du rapport Reconnaître, valoriser, encourager l’engagement des jeunes rendu, ce lundi, à Patrick Kenner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports et commandé, en décembre, à France Stratégie. Mais à l’heure du baccalauréat 2015, la mesure fait grand bruit puisqu’il propose tout simplement d’accorder des points supplémentaires à l’examen, notamment aux candidats qui font du bénévolat.
Cette « note bénévolat » serait instaurée pour l’obtention du bac mais aussi du brevet, du CAP et du BEP et serait accordée en fonction de différents critères tels que la capacité à « gérer un projet ou un budget », « créer un site internet » ou encore « parler en public ».
Un système équivalent pour les étudiants et la fonction publique
Il s’agirait ainsi, comme le souligne une synthèse du rapport, de valoriser « la participation volontaire des collégiens et lycéens à un projet citoyen dans le cadre d’une association d’intérêt général, dans ou en dehors du cadre scolaire ». Un projet évalué par les enseignants, dont la note serait continuerait, elle, d’avoir une place importante.
Les auteurs proposent même de mettre en place un système équivalent pour les étudiants et même les concours de la fonction publique. Pour les élèves d’université, cela passerait, par exemple, par l’obtention de crédits supplémentaires (nécessaires à valider un semestre) pour ceux ayant effectué « au moins 50 heures de bénévolat au cours d’un semestre ». En ce qui concerne les seconds, là encore le coup de pouce se traduirait par l’octroi de points supplémentaires qui sont justifiés par la nécessité de récompenser « l’attachement au service de l’intérêt général, dont les missions de service public sont l’expression ».
« Avoir confiance en sa jeunesse »
Cette proposition n’est qu’une parmi les 25 du rapport Reconnaître, valoriser, encourager l’engagement des jeunes rendu, ce lundi, à Patrick Kenner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports et commandé, en décembre, à France Stratégie. Mais à l’heure du baccalauréat 2015, la mesure fait grand bruit puisqu’il propose tout simplement d’accorder des points supplémentaires à l’examen, notamment aux candidats qui font du bénévolat.
Cette « note bénévolat » serait instaurée pour l’obtention du bac mais aussi du brevet, du CAP et du BEP et serait accordée en fonction de différents critères tels que la capacité à « gérer un projet ou un budget », « créer un site internet » ou encore « parler en public ».
Un système équivalent pour les étudiants et la fonction publique
Il s’agirait ainsi, comme le souligne une synthèse du rapport, de valoriser « la participation volontaire des collégiens et lycéens à un projet citoyen dans le cadre d’une association d’intérêt général, dans ou en dehors du cadre scolaire ». Un projet évalué par les enseignants, dont la note serait continuerait, elle, d’avoir une place importante.
Les auteurs proposent même de mettre en place un système équivalent pour les étudiants et même les concours de la fonction publique. Pour les élèves d’université, cela passerait, par exemple, par l’obtention de crédits supplémentaires (nécessaires à valider un semestre) pour ceux ayant effectué « au moins 50 heures de bénévolat au cours d’un semestre ». En ce qui concerne les seconds, là encore le coup de pouce se traduirait par l’octroi de points supplémentaires qui sont justifiés par la nécessité de récompenser « l’attachement au service de l’intérêt général, dont les missions de service public sont l’expression ».
« Avoir confiance en sa jeunesse »
Cette proposition n’est qu’une parmi les 25 du rapport Reconnaître, valoriser, encourager l’engagement des jeunes rendu, ce lundi, à Patrick Kenner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports et commandé, en décembre, à France Stratégie. Mais à l’heure du baccalauréat 2015, la mesure fait grand bruit puisqu’il propose tout simplement d’accorder des points supplémentaires à l’examen, notamment aux candidats qui font du bénévolat.
Cette « note bénévolat » serait instaurée pour l’obtention du bac mais aussi du brevet, du CAP et du BEP et serait accordée en fonction de différents critères tels que la capacité à « gérer un projet ou un budget », « créer un site internet » ou encore « parler en public ».
Un système équivalent pour les étudiants et la fonction publique
Il s’agirait ainsi, comme le souligne une synthèse du rapport, de valoriser « la participation volontaire des collégiens et lycéens à un projet citoyen dans le cadre d’une association d’intérêt général, dans ou en dehors du cadre scolaire ». Un projet évalué par les enseignants, dont la note serait continuerait, elle, d’avoir une place importante.
Les auteurs proposent même de mettre en place un système équivalent pour les étudiants et même les concours de la fonction publique. Pour les élèves d’université, cela passerait, par exemple, par l’obtention de crédits supplémentaires (nécessaires à valider un semestre) pour ceux ayant effectué « au moins 50 heures de bénévolat au cours d’un semestre ». En ce qui concerne les seconds, là encore le coup de pouce se traduirait par l’octroi de points supplémentaires qui sont justifiés par la nécessité de récompenser « l’attachement au service de l’intérêt général, dont les missions de service public sont l’expression ».
« Avoir confiance en sa jeunesse »
Cette proposition n’est qu’une parmi les 25 du rapport Reconnaître, valoriser, encourager l’engagement des jeunes rendu, ce lundi, à Patrick Kenner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports et commandé, en décembre, à France Stratégie. Mais à l’heure du baccalauréat 2015, la mesure fait grand bruit puisqu’il propose tout simplement d’accorder des points supplémentaires à l’examen, notamment aux candidats qui font du bénévolat.
Cette « note bénévolat » serait instaurée pour l’obtention du bac mais aussi du brevet, du CAP et du BEP et serait accordée en fonction de différents critères tels que la capacité à « gérer un projet ou un budget », « créer un site internet » ou encore « parler en public ».
Un système équivalent pour les étudiants et la fonction publique
Il s’agirait ainsi, comme le souligne une synthèse du rapport, de valoriser « la participation volontaire des collégiens et lycéens à un projet citoyen dans le cadre d’une association d’intérêt général, dans ou en dehors du cadre scolaire ». Un projet évalué par les enseignants, dont la note serait continuerait, elle, d’avoir une place importante.
Les auteurs proposent même de mettre en place un système équivalent pour les étudiants et même les concours de la fonction publique. Pour les élèves d’université, cela passerait, par exemple, par l’obtention de crédits supplémentaires (nécessaires à valider un semestre) pour ceux ayant effectué « au moins 50 heures de bénévolat au cours d’un semestre ». En ce qui concerne les seconds, là encore le coup de pouce se traduirait par l’octroi de points supplémentaires qui sont justifiés par la nécessité de récompenser « l’attachement au service de l’intérêt général, dont les missions de service public sont l’expression ».
« Avoir confiance en sa jeunesse »
Cette proposition n’est qu’une parmi les 25 du rapport Reconnaître, valoriser, encourager l’engagement des jeunes rendu, ce lundi, à Patrick Kenner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports et commandé, en décembre, à France Stratégie. Mais à l’heure du baccalauréat 2015, la mesure fait grand bruit puisqu’il propose tout simplement d’accorder des points supplémentaires à l’examen, notamment aux candidats qui font du bénévolat.
Cette « note bénévolat » serait instaurée pour l’obtention du bac mais aussi du brevet, du CAP et du BEP et serait accordée en fonction de différents critères tels que la capacité à « gérer un projet ou un budget », « créer un site internet » ou encore « parler en public ».
Un système équivalent pour les étudiants et la fonction publique
Il s’agirait ainsi, comme le souligne une synthèse du rapport, de valoriser « la participation volontaire des collégiens et lycéens à un projet citoyen dans le cadre d’une association d’intérêt général, dans ou en dehors du cadre scolaire ». Un projet évalué par les enseignants, dont la note serait continuerait, elle, d’avoir une place importante.
Les auteurs proposent même de mettre en place un système équivalent pour les étudiants et même les concours de la fonction publique. Pour les élèves d’université, cela passerait, par exemple, par l’obtention de crédits supplémentaires (nécessaires à valider un semestre) pour ceux ayant effectué « au moins 50 heures de bénévolat au cours d’un semestre ». En ce qui concerne les seconds, là encore le coup de pouce se traduirait par l’octroi de points supplémentaires qui sont justifiés par la nécessité de récompenser « l’attachement au service de l’intérêt général, dont les missions de service public sont l’expression ».
« Avoir confiance en sa jeunesse »
Cette proposition n’est qu’une parmi les 25 du rapport Reconnaître, valoriser, encourager l’engagement des jeunes rendu, ce lundi, à Patrick Kenner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports et commandé, en décembre, à France Stratégie. Mais à l’heure du baccalauréat 2015, la mesure fait grand bruit puisqu’il propose tout simplement d’accorder des points supplémentaires à l’examen, notamment aux candidats qui font du bénévolat.
Cette « note bénévolat » serait instaurée pour l’obtention du bac mais aussi du brevet, du CAP et du BEP et serait accordée en fonction de différents critères tels que la capacité à « gérer un projet ou un budget », « créer un site internet » ou encore « parler en public ».
Un système équivalent pour les étudiants et la fonction publique
Il s’agirait ainsi, comme le souligne une synthèse du rapport, de valoriser « la participation volontaire des collégiens et lycéens à un projet citoyen dans le cadre d’une association d’intérêt général, dans ou en dehors du cadre scolaire ». Un projet évalué par les enseignants, dont la note serait continuerait, elle, d’avoir une place importante.
Les auteurs proposent même de mettre en place un système équivalent pour les étudiants et même les concours de la fonction publique. Pour les élèves d’université, cela passerait, par exemple, par l’obtention de crédits supplémentaires (nécessaires à valider un semestre) pour ceux ayant effectué « au moins 50 heures de bénévolat au cours d’un semestre ». En ce qui concerne les seconds, là encore le coup de pouce se traduirait par l’octroi de points supplémentaires qui sont justifiés par la nécessité de récompenser « l’attachement au service de l’intérêt général, dont les missions de service public sont l’expression ».
« Avoir confiance en sa jeunesse »
Cette proposition n’est qu’une parmi les 25 du rapport Reconnaître, valoriser, encourager l’engagement des jeunes rendu, ce lundi, à Patrick Kenner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports et commandé, en décembre, à France Stratégie. Mais à l’heure du baccalauréat 2015, la mesure fait grand bruit puisqu’il propose tout simplement d’accorder des points supplémentaires à l’examen, notamment aux candidats qui font du bénévolat.
Cette « note bénévolat » serait instaurée pour l’obtention du bac mais aussi du brevet, du CAP et du BEP et serait accordée en fonction de différents critères tels que la capacité à « gérer un projet ou un budget », « créer un site internet » ou encore « parler en public ».
Un système équivalent pour les étudiants et la fonction publique
Il s’agirait ainsi, comme le souligne une synthèse du rapport, de valoriser « la participation volontaire des collégiens et lycéens à un projet citoyen dans le cadre d’une association d’intérêt général, dans ou en dehors du cadre scolaire ». Un projet évalué par les enseignants, dont la note serait continuerait, elle, d’avoir une place importante.
Les auteurs proposent même de mettre en place un système équivalent pour les étudiants et même les concours de la fonction publique. Pour les élèves d’université, cela passerait, par exemple, par l’obtention de crédits supplémentaires (nécessaires à valider un semestre) pour ceux ayant effectué « au moins 50 heures de bénévolat au cours d’un semestre ». En ce qui concerne les seconds, là encore le coup de pouce se traduirait par l’octroi de points supplémentaires qui sont justifiés par la nécessité de récompenser « l’attachement au service de l’intérêt général, dont les missions de service public sont l’expression ».
« Avoir confiance en sa jeunesse »
En missionnant ces experts, Patrick Kanner relevait, en décembre, que le président François Hollande avait fait de la jeunesse sa priorité. « Une nation qui n’a pas confiance en sa jeunesse est une nation qui n’a pas confiance en son avenir », tranche aujourd’hui le ministre dans son avant-propos à ce rapport de 77 pages. Un rapport dont la première mesure du volet 21 (« Promouvoir le rajeunissement des institutions démocratiques ») suggère, rappelons-le, de limiter à 70 ans maximum la possibilité de briguer un mandat électoral, parlementaire ou local.