SMARTPHONELes applications bancaires dans le top 3 des plus consultées au réveil

Les applications bancaires dans le top 3 des plus consultées au réveil

SMARTPHONELa vérification des comptes arrivent après la consultation des emails et de l’actualité, mais avant la météo et les réseaux sociaux…
20 Minutes avec AFP

20 Minutes avec AFP

Après la consultation des e-mails et de l'actualité, la consultation du compte bancaire arrive à la troisième place des actions effectuées le matin sur tablette ou téléphone, selon un sondage OpinionWay pour Société Générale paru mercredi.

C'est en ligne que plus de 8 personnes sur 10 (81%) consultent principalement leur compte en banque et 14% d'entre eux utilisent pour cela un smartphone ou une tablette, selon ce sondage mené en avril auprès de 1.051 personnes.

Les seniors sont ceux qui consultent le plus

Pour Frédéric Micheau, directeur des études chez OpinionWay, «on dépasse largement la catégorie geek, d'autant que ceux qui le font le plus sont les seniors (50 ans et +)».

Parmi les premières actions effectuées le matin par les détenteurs de tablettes et smartphones, la consultation des comptes bancaires (23%) arrive devant celle de la météo (21%) et des réseaux sociaux (20%). Ce contact régulier avec la banque permet aux clients d'être bien informés sur leur compte: ils sont 88% à déclarer bien connaître au quotidien l'état de leurs compte bancaires.

Les applications de gestion de budget, qui permettent de classer les dépenses par catégories, sont utilisées par 15% des personnes interrogées, une pratique émergente qui devrait monter en puissance, selon Frédéric Micheau.

90% des interactions entre la banque et ses clients se font sur Internet

«Désormais, près de 90% des interactions entre la banque et ses clients se font via internet», a indiqué lors d'une conférence de presse Bernardo Sanchez Incera, directeur général délégué en charge de la banque de détail chez Société Générale.

S'il est convaincu que la relation bancaire restera «omnicanale» (via l'agence et les canaux digitaux), il estime que «le sens de l'immédiat est devenu un impératif».