JUSTICEVol de cocaïne à la PJ : Rocancourt, «l’escroc des stars» mis en examen

Vol de cocaïne à la PJ : Rocancourt, «l’escroc des stars» mis en examen

JUSTICEChristophe Rocancourt, « l'escroc des stars », a été mis en examen dans l'affaire du vol de coke à la PJ, apprend-on ce vendredi après-midi de source judiciaire...
20 Minutes avec AFP

20 Minutes avec AFP

Christophe Rocancourt, «l'escroc des stars», a été mis en examen dans l'affaire du vol de 52 kg cocaïne à la PJ en juillet dernier, apprend-on ce vendredi soir de source judiciaire.

Selon des sources proches du dossier, les enquêteurs ont constaté que Christophe Rocancourt avait eu des contacts en détention avec Jonathan G. Il est aussi soupçonné d'avoir demandé à une de ses connaissances, venue lui rendre visite au parloir, de prendre contact avec le frère de l'ex-brigadier des «stups» pour aller chercher de l'argent. Une partie de la somme aurait été cachée dans le lac de Créteil.

Il a été mis en examen pour complicité de recel de détournement de biens par personne dépositaire de l'autorité publique et blanchiment de trafic de stupéfiants en bande organisé, a précisé la source judiciaire. Après sa mise en examen, il devait passer devant un magistrat spécialisé qui doit statuer sur son éventuel placement en détention provisoire, requis par le parquet de Paris.

Il refuse de s'exprimer

«Il conteste les faits mais il a refusé de s'exprimer devant les juges car ni lui ni moi-même n'avons été convoqués dans les délais légaux», a affirmé l'avocat de Christophe Rocancourt, Me Jérôme Boursican. En conséquence, l'avocat n'a pas assisté son client devant les juges pour « ne pas couvrir des abus de droit manifestes ».

«Dans ce dossier, il avait été placé en garde à vue il y a 15 jours mais n'avait pas été déféré. Ils l'ont convoqué deux jours avant sa libération pour le mettre en détention dans l'urgence», a assuré l'avocat, selon qui son client devait sortir de prison dimanche.

Le dixième suspect mis en examen

Dans l'affaire du vol des 52 kg de cocaïne au 36 quai des Orfèvres, Christophe Rocancourt est le dixième suspect mis en examen. Parmi les autres mis en cause, figurent plusieurs proches de Jonathan G., dont son épouse et son frère, également policier, et quatre autres fonctionnaires de police. D'une valeur estimée à la revente à deux millions d'euros, la cocaïne n'a pas été retrouvée.

Christophe Rocancourt est actuellement écroué à la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis (Essonne), dans une affaire de corruption, qui a valu au patron de la PJ parisienne, Bernard Petit, d'être mis en examen pour violation du secret de l'instruction et suspendu de ses fonctions dans la nuit de jeudi à vendredi.


Il refuse de s'exprimer

«Il conteste les faits mais il a refusé de s'exprimer devant les juges car ni lui ni moi-même n'avons été convoqués dans les délais légaux», a affirmé l'avocat de Christophe Rocancourt, Me Jérôme Boursican. En conséquence, l'avocat n'a pas assisté son client devant les juges pour « ne pas couvrir des abus de droit manifestes ».

«Dans ce dossier, il avait été placé en garde à vue il y a 15 jours mais n'avait pas été déféré. Ils l'ont convoqué deux jours avant sa libération pour le mettre en détention dans l'urgence», a assuré l'avocat, selon qui son client devait sortir de prison dimanche.

Le dixième suspect mis en examen

Dans l'affaire du vol des 52 kg de cocaïne au 36 quai des Orfèvres, Christophe Rocancourt est le dixième suspect mis en examen. Parmi les autres mis en cause, figurent plusieurs proches de Jonathan G., dont son épouse et son frère, également policier, et quatre autres fonctionnaires de police. D'une valeur estimée à la revente à deux millions d'euros, la cocaïne n'a pas été retrouvée.

Christophe Rocancourt est actuellement écroué à la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis (Essonne), dans une affaire de corruption, qui a valu au patron de la PJ parisienne, Bernard Petit, d'être mis en examen pour violation du secret de l'instruction et suspendu de ses fonctions dans la nuit de jeudi à vendredi.


Il refuse de s'exprimer

«Il conteste les faits mais il a refusé de s'exprimer devant les juges car ni lui ni moi-même n'avons été convoqués dans les délais légaux», a affirmé l'avocat de Christophe Rocancourt, Me Jérôme Boursican. En conséquence, l'avocat n'a pas assisté son client devant les juges pour « ne pas couvrir des abus de droit manifestes ».

«Dans ce dossier, il avait été placé en garde à vue il y a 15 jours mais n'avait pas été déféré. Ils l'ont convoqué deux jours avant sa libération pour le mettre en détention dans l'urgence», a assuré l'avocat, selon qui son client devait sortir de prison dimanche.

Le dixième suspect mis en examen

Dans l'affaire du vol des 52 kg de cocaïne au 36 quai des Orfèvres, Christophe Rocancourt est le dixième suspect mis en examen. Parmi les autres mis en cause, figurent plusieurs proches de Jonathan G., dont son épouse et son frère, également policier, et quatre autres fonctionnaires de police. D'une valeur estimée à la revente à deux millions d'euros, la cocaïne n'a pas été retrouvée.

Christophe Rocancourt est actuellement écroué à la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis (Essonne), dans une affaire de corruption, qui a valu au patron de la PJ parisienne, Bernard Petit, d'être mis en examen pour violation du secret de l'instruction et suspendu de ses fonctions dans la nuit de jeudi à vendredi.


Il refuse de s'exprimer

«Il conteste les faits mais il a refusé de s'exprimer devant les juges car ni lui ni moi-même n'avons été convoqués dans les délais légaux», a affirmé l'avocat de Christophe Rocancourt, Me Jérôme Boursican. En conséquence, l'avocat n'a pas assisté son client devant les juges pour « ne pas couvrir des abus de droit manifestes ».

«Dans ce dossier, il avait été placé en garde à vue il y a 15 jours mais n'avait pas été déféré. Ils l'ont convoqué deux jours avant sa libération pour le mettre en détention dans l'urgence», a assuré l'avocat, selon qui son client devait sortir de prison dimanche.

Le dixième suspect mis en examen

Dans l'affaire du vol des 52 kg de cocaïne au 36 quai des Orfèvres, Christophe Rocancourt est le dixième suspect mis en examen. Parmi les autres mis en cause, figurent plusieurs proches de Jonathan G., dont son épouse et son frère, également policier, et quatre autres fonctionnaires de police. D'une valeur estimée à la revente à deux millions d'euros, la cocaïne n'a pas été retrouvée.

Christophe Rocancourt est actuellement écroué à la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis (Essonne), dans une affaire de corruption, qui a valu au patron de la PJ parisienne, Bernard Petit, d'être mis en examen pour violation du secret de l'instruction et suspendu de ses fonctions dans la nuit de jeudi à vendredi.


Il refuse de s'exprimer

«Il conteste les faits mais il a refusé de s'exprimer devant les juges car ni lui ni moi-même n'avons été convoqués dans les délais légaux», a affirmé l'avocat de Christophe Rocancourt, Me Jérôme Boursican. En conséquence, l'avocat n'a pas assisté son client devant les juges pour « ne pas couvrir des abus de droit manifestes ».

«Dans ce dossier, il avait été placé en garde à vue il y a 15 jours mais n'avait pas été déféré. Ils l'ont convoqué deux jours avant sa libération pour le mettre en détention dans l'urgence», a assuré l'avocat, selon qui son client devait sortir de prison dimanche.

Le dixième suspect mis en examen

Dans l'affaire du vol des 52 kg de cocaïne au 36 quai des Orfèvres, Christophe Rocancourt est le dixième suspect mis en examen. Parmi les autres mis en cause, figurent plusieurs proches de Jonathan G., dont son épouse et son frère, également policier, et quatre autres fonctionnaires de police. D'une valeur estimée à la revente à deux millions d'euros, la cocaïne n'a pas été retrouvée.

Christophe Rocancourt est actuellement écroué à la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis (Essonne), dans une affaire de corruption, qui a valu au patron de la PJ parisienne, Bernard Petit, d'être mis en examen pour violation du secret de l'instruction et suspendu de ses fonctions dans la nuit de jeudi à vendredi.


Christophe Rocancourt est actuellement écroué à la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis (Essonne), dans une affaire de corruption, qui a valu au patron de la PJ parisienne, Bernard Petit, d'être mis en examen pour violation du secret de l'instruction et suspendu de ses fonctions dans la nuit de jeudi à vendredi.