Dur, dur la reprise le lundi. Heureusement, en fin de journée, il y a les immanquables. Le meilleur de l'actu du jour, c'est maintenant avec 20 Minutes.

L'article le plus partagé du jour: Un baiser de 10 secondes revient à partager 80 millions de bactéries

Des scientifiques de l’Institut Micropia au Pays-Bas affirment que le baiser ne serait pas qu'un acte de pur plaisir, mais une manière pour le couple de partager un «microbiote» (une flore microbienne) commun. Ou le baiser comme bouclier pour consolider son système immunitaire et pour mieux combattre les maladies communes ou les micro-organismes auxquels nous faisons face chaque jour.

L'article le plus lu du jour: Le rebond de Philae sur sa comète en photo

L'Agence spatiale européenne (ESA) a dévoilé dimanche sur le blog de Rosetta des images de Philae après son rebond sur la surface de la comète «Choury», lors de son atterrissage historique mercredi.

L'article région du jour: Tony Meilhon de nouveau face aux juges pour le meurtre de Laëtitia Perrais

En juin 2013, il avait été condamné par la cour d’assises de Loire-Atlantique à la perpétuité, assortie d’une peine de sûreté de 22 ans, et accompagnée d’une éventuelle «rétention de sûreté» à sa sortie de détention.

C’est probablement cette dernière mesure, extrêmement rare, qui a convaincu Tony Meilhon, 35 ans, de faire appel et provoquer un nouveau procès-fleuve qui débute ce mardi à Rennes.

L'article de la rédaction: Maxime Hauchard, Normand de 22 ans, égorgeur présumé de Daesh

Le profil type du djihadiste Français n’existe pas. Mais le parcours de Maxime Hauchard, authentifié de façon formelle par les services de renseignement, est celui le plus redouté par les services de renseignement. Radicalisé dans sa chambre, secrètement, en zone périurbaine de Rouen, la nouvelle figure française emblématique de Daesh a construit son identité de terroriste en loup solitaire.

«90% des cas de maltraitance infantile ne sont pas signalés»

La Haute autorité de santé (HAS) publie ce lundi une recommandation pour sensibiliser les médecins au repérage des cas de maltraitances sur mineur. Qu'elles soient physiques, psychiques ou sexuelles. «Il y a une telle sous-estimation des cas de maltraitance qu'il y a une grande marge de manœuvre. Au final, on pourrait sauver un grand nombre de vies d'enfants», explique à 20 Minutes Cédric Grouchka, l'un des responsables de la HAS.