A380 dérouté: Dans quels cas un avion peut-il être forcé de changer de trajectoire?
DECRYPTAGE•Les principales questions-réponses sur le type de mésaventure survenu mardi sur un appareil d’Air France, dérouté alors qu’il devait effectuer un Paris-New York.Anne-Laëtitia Béraud
Un Airbus A380 d'Air France a été pris mardi dans de fortes turbulences qui ont obligé l'appareil, en vol pour New York, à faire demi-tour et se poser à Roissy, a annoncé la compagnie. Comment expliquer ce type de mésaventure? Quelle est la procédure dans ce cas? 20 Minutes vous détaille les principales questions-réponses sur cet événement…
Que s’est-il passé mardi?
Mardi, sur un vol d’Air France reliant Paris à New York, un Airbus A380 d'Air France est confronté après une heure de vol «à de très fortes bourrasques». Le vol AF006 de ce très gros porteur se trouve alors au-dessus du Royaume-Uni, encore «dans la phase de montée». «L'équipage a décidé de revenir vers Paris-Charles-de-Gaulle où l'avion s'est posé normalement à 16H26», a précisé la compagnie.
Capture d'écran du site http://www.flightradar24.com/ montrant la trajectoire du vol AF6 Paris-New York, le 4 novembre 2014.
Y a-t-il des blessés?
Trois membres de l'équipage ont été contusionnés, a annoncé la compagnie. Après l’atterrissage, ils ont été pris en charge par le Samu. Il n’y a pas de victimes, et une partie des passagers a pu reprendre un vol un peu plus tard dans la journée. Le reste devrait pouvoir rallier New York ce mercredi.
Pour quelles raisons un avion peut-il se dérouter?
Le changement de cap d’un avion n’est pas un phénomène exceptionnel. Cela peut être dû à une multitude de facteurs: Cela peut être dû à une avarie, pour éviter un espace aérien dangereux, à cause de la présence de passagers turbulents, à cause d’un commandant devenu fou, à cause d’un aéroport fermé ou menacé. Ce déroutement peut encore être causé par l'épuisement du carburant. Cela peut être aussi dû à la mort d’un passager, une prise d’otages, ou encore la suspicion de la présence d’une bombe à bord de l’aéronef. Sans compter le mauvais temps... A ce propos, des turbulences peuvent survenir dans un ciel dégagé, du fait des différences de pression.
En cas de mauvais temps, que décident les pilotes?
Un avion peut changer de cap pour éviter un phénomène météorologique problématique, comme par exemple un gros orage. Un code couleur existe d'ailleurs pour hiérarchiser l’intensité d’un orage. Vert pour une petite pluie sans conséquence, orange pour une pluie forte, rouge pour un orage violent avec des grêlons qui peuvent dépasser la taille d’une balle de ping-pong. A partir de l’orange, les pilotes envisagent un changement de cap. «On change toujours sa route quand il y a un gros orage», a confié à 20 Minutes Gérard Feldzer, commandant de bord et consultant aéronautique, après le crash de l'avion Air Algérie. Le pilote note qu’«il est excessivement rare qu’on perde un avion pour cause météo en vol.» A l’atterrissage, les accidents sont beaucoup plus nombreux qu’en croisière.
Les turbulences, le mal du siècle à venir pour les vols Paris-New York?
Mauvaise nouvelle. Mais, oui, le changement climatique devrait augmenter les turbulences sur ce trajet. D’après une étude britannique publiée en mars 2013 dans Nature climate change, les turbulences pourraient être deux fois plus fréquentes en 2050 qu’aujourd’hui sur un Paris-New York, et leur force augmenter de 10 à 40%. Ainsi, sur ce trajet de huit heures, au lieu de subir cinq minutes de turbulences en moyenne aujourd'hui, nous pourrions devoir nous accrocher à notre siège pendant 7 à 14 minutes.
Y a-t-il des blessés?
Trois membres de l'équipage ont été contusionnés, a annoncé la compagnie. Après l’atterrissage, ils ont été pris en charge par le Samu. Il n’y a pas de victimes, et une partie des passagers a pu reprendre un vol un peu plus tard dans la journée. Le reste devrait pouvoir rallier New York ce mercredi.
Pour quelles raisons un avion peut-il se dérouter?
Le changement de cap d’un avion n’est pas un phénomène exceptionnel. Cela peut être dû à une multitude de facteurs: Cela peut être dû à une avarie, pour éviter un espace aérien dangereux, à cause de la présence de passagers turbulents, à cause d’un commandant devenu fou, à cause d’un aéroport fermé ou menacé. Ce déroutement peut encore être causé par l'épuisement du carburant. Cela peut être aussi dû à la mort d’un passager, une prise d’otages, ou encore la suspicion de la présence d’une bombe à bord de l’aéronef. Sans compter le mauvais temps... A ce propos, des turbulences peuvent survenir dans un ciel dégagé, du fait des différences de pression.
En cas de mauvais temps, que décident les pilotes?
Un avion peut changer de cap pour éviter un phénomène météorologique problématique, comme par exemple un gros orage. Un code couleur existe d'ailleurs pour hiérarchiser l’intensité d’un orage. Vert pour une petite pluie sans conséquence, orange pour une pluie forte, rouge pour un orage violent avec des grêlons qui peuvent dépasser la taille d’une balle de ping-pong. A partir de l’orange, les pilotes envisagent un changement de cap. «On change toujours sa route quand il y a un gros orage», a confié à 20 Minutes Gérard Feldzer, commandant de bord et consultant aéronautique, après le crash de l'avion Air Algérie. Le pilote note qu’«il est excessivement rare qu’on perde un avion pour cause météo en vol.» A l’atterrissage, les accidents sont beaucoup plus nombreux qu’en croisière.
Les turbulences, le mal du siècle à venir pour les vols Paris-New York?
Mauvaise nouvelle. Mais, oui, le changement climatique devrait augmenter les turbulences sur ce trajet. D’après une étude britannique publiée en mars 2013 dans Nature climate change, les turbulences pourraient être deux fois plus fréquentes en 2050 qu’aujourd’hui sur un Paris-New York, et leur force augmenter de 10 à 40%. Ainsi, sur ce trajet de huit heures, au lieu de subir cinq minutes de turbulences en moyenne aujourd'hui, nous pourrions devoir nous accrocher à notre siège pendant 7 à 14 minutes.
Y a-t-il des blessés?
Trois membres de l'équipage ont été contusionnés, a annoncé la compagnie. Après l’atterrissage, ils ont été pris en charge par le Samu. Il n’y a pas de victimes, et une partie des passagers a pu reprendre un vol un peu plus tard dans la journée. Le reste devrait pouvoir rallier New York ce mercredi.
Pour quelles raisons un avion peut-il se dérouter?
Le changement de cap d’un avion n’est pas un phénomène exceptionnel. Cela peut être dû à une multitude de facteurs: Cela peut être dû à une avarie, pour éviter un espace aérien dangereux, à cause de la présence de passagers turbulents, à cause d’un commandant devenu fou, à cause d’un aéroport fermé ou menacé. Ce déroutement peut encore être causé par l'épuisement du carburant. Cela peut être aussi dû à la mort d’un passager, une prise d’otages, ou encore la suspicion de la présence d’une bombe à bord de l’aéronef. Sans compter le mauvais temps... A ce propos, des turbulences peuvent survenir dans un ciel dégagé, du fait des différences de pression.
En cas de mauvais temps, que décident les pilotes?
Un avion peut changer de cap pour éviter un phénomène météorologique problématique, comme par exemple un gros orage. Un code couleur existe d'ailleurs pour hiérarchiser l’intensité d’un orage. Vert pour une petite pluie sans conséquence, orange pour une pluie forte, rouge pour un orage violent avec des grêlons qui peuvent dépasser la taille d’une balle de ping-pong. A partir de l’orange, les pilotes envisagent un changement de cap. «On change toujours sa route quand il y a un gros orage», a confié à 20 Minutes Gérard Feldzer, commandant de bord et consultant aéronautique, après le crash de l'avion Air Algérie. Le pilote note qu’«il est excessivement rare qu’on perde un avion pour cause météo en vol.» A l’atterrissage, les accidents sont beaucoup plus nombreux qu’en croisière.
Les turbulences, le mal du siècle à venir pour les vols Paris-New York?
Mauvaise nouvelle. Mais, oui, le changement climatique devrait augmenter les turbulences sur ce trajet. D’après une étude britannique publiée en mars 2013 dans Nature climate change, les turbulences pourraient être deux fois plus fréquentes en 2050 qu’aujourd’hui sur un Paris-New York, et leur force augmenter de 10 à 40%. Ainsi, sur ce trajet de huit heures, au lieu de subir cinq minutes de turbulences en moyenne aujourd'hui, nous pourrions devoir nous accrocher à notre siège pendant 7 à 14 minutes.
Y a-t-il des blessés?
Trois membres de l'équipage ont été contusionnés, a annoncé la compagnie. Après l’atterrissage, ils ont été pris en charge par le Samu. Il n’y a pas de victimes, et une partie des passagers a pu reprendre un vol un peu plus tard dans la journée. Le reste devrait pouvoir rallier New York ce mercredi.
Pour quelles raisons un avion peut-il se dérouter?
Le changement de cap d’un avion n’est pas un phénomène exceptionnel. Cela peut être dû à une multitude de facteurs: Cela peut être dû à une avarie, pour éviter un espace aérien dangereux, à cause de la présence de passagers turbulents, à cause d’un commandant devenu fou, à cause d’un aéroport fermé ou menacé. Ce déroutement peut encore être causé par l'épuisement du carburant. Cela peut être aussi dû à la mort d’un passager, une prise d’otages, ou encore la suspicion de la présence d’une bombe à bord de l’aéronef. Sans compter le mauvais temps... A ce propos, des turbulences peuvent survenir dans un ciel dégagé, du fait des différences de pression.
En cas de mauvais temps, que décident les pilotes?
Un avion peut changer de cap pour éviter un phénomène météorologique problématique, comme par exemple un gros orage. Un code couleur existe d'ailleurs pour hiérarchiser l’intensité d’un orage. Vert pour une petite pluie sans conséquence, orange pour une pluie forte, rouge pour un orage violent avec des grêlons qui peuvent dépasser la taille d’une balle de ping-pong. A partir de l’orange, les pilotes envisagent un changement de cap. «On change toujours sa route quand il y a un gros orage», a confié à 20 Minutes Gérard Feldzer, commandant de bord et consultant aéronautique, après le crash de l'avion Air Algérie. Le pilote note qu’«il est excessivement rare qu’on perde un avion pour cause météo en vol.» A l’atterrissage, les accidents sont beaucoup plus nombreux qu’en croisière.
Les turbulences, le mal du siècle à venir pour les vols Paris-New York?
Mauvaise nouvelle. Mais, oui, le changement climatique devrait augmenter les turbulences sur ce trajet. D’après une étude britannique publiée en mars 2013 dans Nature climate change, les turbulences pourraient être deux fois plus fréquentes en 2050 qu’aujourd’hui sur un Paris-New York, et leur force augmenter de 10 à 40%. Ainsi, sur ce trajet de huit heures, au lieu de subir cinq minutes de turbulences en moyenne aujourd'hui, nous pourrions devoir nous accrocher à notre siège pendant 7 à 14 minutes.
Y a-t-il des blessés?
Trois membres de l'équipage ont été contusionnés, a annoncé la compagnie. Après l’atterrissage, ils ont été pris en charge par le Samu. Il n’y a pas de victimes, et une partie des passagers a pu reprendre un vol un peu plus tard dans la journée. Le reste devrait pouvoir rallier New York ce mercredi.
Pour quelles raisons un avion peut-il se dérouter?
Le changement de cap d’un avion n’est pas un phénomène exceptionnel. Cela peut être dû à une multitude de facteurs: Cela peut être dû à une avarie, pour éviter un espace aérien dangereux, à cause de la présence de passagers turbulents, à cause d’un commandant devenu fou, à cause d’un aéroport fermé ou menacé. Ce déroutement peut encore être causé par l'épuisement du carburant. Cela peut être aussi dû à la mort d’un passager, une prise d’otages, ou encore la suspicion de la présence d’une bombe à bord de l’aéronef. Sans compter le mauvais temps... A ce propos, des turbulences peuvent survenir dans un ciel dégagé, du fait des différences de pression.
En cas de mauvais temps, que décident les pilotes?
Un avion peut changer de cap pour éviter un phénomène météorologique problématique, comme par exemple un gros orage. Un code couleur existe d'ailleurs pour hiérarchiser l’intensité d’un orage. Vert pour une petite pluie sans conséquence, orange pour une pluie forte, rouge pour un orage violent avec des grêlons qui peuvent dépasser la taille d’une balle de ping-pong. A partir de l’orange, les pilotes envisagent un changement de cap. «On change toujours sa route quand il y a un gros orage», a confié à 20 Minutes Gérard Feldzer, commandant de bord et consultant aéronautique, après le crash de l'avion Air Algérie. Le pilote note qu’«il est excessivement rare qu’on perde un avion pour cause météo en vol.» A l’atterrissage, les accidents sont beaucoup plus nombreux qu’en croisière.
Les turbulences, le mal du siècle à venir pour les vols Paris-New York?
Mauvaise nouvelle. Mais, oui, le changement climatique devrait augmenter les turbulences sur ce trajet. D’après une étude britannique publiée en mars 2013 dans Nature climate change, les turbulences pourraient être deux fois plus fréquentes en 2050 qu’aujourd’hui sur un Paris-New York, et leur force augmenter de 10 à 40%. Ainsi, sur ce trajet de huit heures, au lieu de subir cinq minutes de turbulences en moyenne aujourd'hui, nous pourrions devoir nous accrocher à notre siège pendant 7 à 14 minutes.
Y a-t-il des blessés?
Trois membres de l'équipage ont été contusionnés, a annoncé la compagnie. Après l’atterrissage, ils ont été pris en charge par le Samu. Il n’y a pas de victimes, et une partie des passagers a pu reprendre un vol un peu plus tard dans la journée. Le reste devrait pouvoir rallier New York ce mercredi.
Pour quelles raisons un avion peut-il se dérouter?
Le changement de cap d’un avion n’est pas un phénomène exceptionnel. Cela peut être dû à une multitude de facteurs: Cela peut être dû à une avarie, pour éviter un espace aérien dangereux, à cause de la présence de passagers turbulents, à cause d’un commandant devenu fou, à cause d’un aéroport fermé ou menacé. Ce déroutement peut encore être causé par l'épuisement du carburant. Cela peut être aussi dû à la mort d’un passager, une prise d’otages, ou encore la suspicion de la présence d’une bombe à bord de l’aéronef. Sans compter le mauvais temps... A ce propos, des turbulences peuvent survenir dans un ciel dégagé, du fait des différences de pression.
En cas de mauvais temps, que décident les pilotes?
Un avion peut changer de cap pour éviter un phénomène météorologique problématique, comme par exemple un gros orage. Un code couleur existe d'ailleurs pour hiérarchiser l’intensité d’un orage. Vert pour une petite pluie sans conséquence, orange pour une pluie forte, rouge pour un orage violent avec des grêlons qui peuvent dépasser la taille d’une balle de ping-pong. A partir de l’orange, les pilotes envisagent un changement de cap. «On change toujours sa route quand il y a un gros orage», a confié à 20 Minutes Gérard Feldzer, commandant de bord et consultant aéronautique, après le crash de l'avion Air Algérie. Le pilote note qu’«il est excessivement rare qu’on perde un avion pour cause météo en vol.» A l’atterrissage, les accidents sont beaucoup plus nombreux qu’en croisière.
Les turbulences, le mal du siècle à venir pour les vols Paris-New York?
Mauvaise nouvelle. Mais, oui, le changement climatique devrait augmenter les turbulences sur ce trajet. D’après une étude britannique publiée en mars 2013 dans Nature climate change, les turbulences pourraient être deux fois plus fréquentes en 2050 qu’aujourd’hui sur un Paris-New York, et leur force augmenter de 10 à 40%. Ainsi, sur ce trajet de huit heures, au lieu de subir cinq minutes de turbulences en moyenne aujourd'hui, nous pourrions devoir nous accrocher à notre siège pendant 7 à 14 minutes.
Y a-t-il des blessés?
Trois membres de l'équipage ont été contusionnés, a annoncé la compagnie. Après l’atterrissage, ils ont été pris en charge par le Samu. Il n’y a pas de victimes, et une partie des passagers a pu reprendre un vol un peu plus tard dans la journée. Le reste devrait pouvoir rallier New York ce mercredi.
Pour quelles raisons un avion peut-il se dérouter?
Le changement de cap d’un avion n’est pas un phénomène exceptionnel. Cela peut être dû à une multitude de facteurs: Cela peut être dû à une avarie, pour éviter un espace aérien dangereux, à cause de la présence de passagers turbulents, à cause d’un commandant devenu fou, à cause d’un aéroport fermé ou menacé. Ce déroutement peut encore être causé par l'épuisement du carburant. Cela peut être aussi dû à la mort d’un passager, une prise d’otages, ou encore la suspicion de la présence d’une bombe à bord de l’aéronef. Sans compter le mauvais temps... A ce propos, des turbulences peuvent survenir dans un ciel dégagé, du fait des différences de pression.
En cas de mauvais temps, que décident les pilotes?
Un avion peut changer de cap pour éviter un phénomène météorologique problématique, comme par exemple un gros orage. Un code couleur existe d'ailleurs pour hiérarchiser l’intensité d’un orage. Vert pour une petite pluie sans conséquence, orange pour une pluie forte, rouge pour un orage violent avec des grêlons qui peuvent dépasser la taille d’une balle de ping-pong. A partir de l’orange, les pilotes envisagent un changement de cap. «On change toujours sa route quand il y a un gros orage», a confié à 20 Minutes Gérard Feldzer, commandant de bord et consultant aéronautique, après le crash de l'avion Air Algérie. Le pilote note qu’«il est excessivement rare qu’on perde un avion pour cause météo en vol.» A l’atterrissage, les accidents sont beaucoup plus nombreux qu’en croisière.
Les turbulences, le mal du siècle à venir pour les vols Paris-New York?
Mauvaise nouvelle. Mais, oui, le changement climatique devrait augmenter les turbulences sur ce trajet. D’après une étude britannique publiée en mars 2013 dans Nature climate change, les turbulences pourraient être deux fois plus fréquentes en 2050 qu’aujourd’hui sur un Paris-New York, et leur force augmenter de 10 à 40%. Ainsi, sur ce trajet de huit heures, au lieu de subir cinq minutes de turbulences en moyenne aujourd'hui, nous pourrions devoir nous accrocher à notre siège pendant 7 à 14 minutes.
Y a-t-il des blessés?
Trois membres de l'équipage ont été contusionnés, a annoncé la compagnie. Après l’atterrissage, ils ont été pris en charge par le Samu. Il n’y a pas de victimes, et une partie des passagers a pu reprendre un vol un peu plus tard dans la journée. Le reste devrait pouvoir rallier New York ce mercredi.
Pour quelles raisons un avion peut-il se dérouter?
Le changement de cap d’un avion n’est pas un phénomène exceptionnel. Cela peut être dû à une multitude de facteurs: Cela peut être dû à une avarie, pour éviter un espace aérien dangereux, à cause de la présence de passagers turbulents, à cause d’un commandant devenu fou, à cause d’un aéroport fermé ou menacé. Ce déroutement peut encore être causé par l'épuisement du carburant. Cela peut être aussi dû à la mort d’un passager, une prise d’otages, ou encore la suspicion de la présence d’une bombe à bord de l’aéronef. Sans compter le mauvais temps... A ce propos, des turbulences peuvent survenir dans un ciel dégagé, du fait des différences de pression.
En cas de mauvais temps, que décident les pilotes?
Un avion peut changer de cap pour éviter un phénomène météorologique problématique, comme par exemple un gros orage. Un code couleur existe d'ailleurs pour hiérarchiser l’intensité d’un orage. Vert pour une petite pluie sans conséquence, orange pour une pluie forte, rouge pour un orage violent avec des grêlons qui peuvent dépasser la taille d’une balle de ping-pong. A partir de l’orange, les pilotes envisagent un changement de cap. «On change toujours sa route quand il y a un gros orage», a confié à 20 Minutes Gérard Feldzer, commandant de bord et consultant aéronautique, après le crash de l'avion Air Algérie. Le pilote note qu’«il est excessivement rare qu’on perde un avion pour cause météo en vol.» A l’atterrissage, les accidents sont beaucoup plus nombreux qu’en croisière.
Les turbulences, le mal du siècle à venir pour les vols Paris-New York?
Mauvaise nouvelle. Mais, oui, le changement climatique devrait augmenter les turbulences sur ce trajet. D’après une étude britannique publiée en mars 2013 dans Nature climate change, les turbulences pourraient être deux fois plus fréquentes en 2050 qu’aujourd’hui sur un Paris-New York, et leur force augmenter de 10 à 40%. Ainsi, sur ce trajet de huit heures, au lieu de subir cinq minutes de turbulences en moyenne aujourd'hui, nous pourrions devoir nous accrocher à notre siège pendant 7 à 14 minutes.
Y a-t-il des blessés?
Trois membres de l'équipage ont été contusionnés, a annoncé la compagnie. Après l’atterrissage, ils ont été pris en charge par le Samu. Il n’y a pas de victimes, et une partie des passagers a pu reprendre un vol un peu plus tard dans la journée. Le reste devrait pouvoir rallier New York ce mercredi.
Pour quelles raisons un avion peut-il se dérouter?
Le changement de cap d’un avion n’est pas un phénomène exceptionnel. Cela peut être dû à une multitude de facteurs: Cela peut être dû à une avarie, pour éviter un espace aérien dangereux, à cause de la présence de passagers turbulents, à cause d’un commandant devenu fou, à cause d’un aéroport fermé ou menacé. Ce déroutement peut encore être causé par l'épuisement du carburant. Cela peut être aussi dû à la mort d’un passager, une prise d’otages, ou encore la suspicion de la présence d’une bombe à bord de l’aéronef. Sans compter le mauvais temps... A ce propos, des turbulences peuvent survenir dans un ciel dégagé, du fait des différences de pression.
En cas de mauvais temps, que décident les pilotes?
Un avion peut changer de cap pour éviter un phénomène météorologique problématique, comme par exemple un gros orage. Un code couleur existe d'ailleurs pour hiérarchiser l’intensité d’un orage. Vert pour une petite pluie sans conséquence, orange pour une pluie forte, rouge pour un orage violent avec des grêlons qui peuvent dépasser la taille d’une balle de ping-pong. A partir de l’orange, les pilotes envisagent un changement de cap. «On change toujours sa route quand il y a un gros orage», a confié à 20 Minutes Gérard Feldzer, commandant de bord et consultant aéronautique, après le crash de l'avion Air Algérie. Le pilote note qu’«il est excessivement rare qu’on perde un avion pour cause météo en vol.» A l’atterrissage, les accidents sont beaucoup plus nombreux qu’en croisière.
Les turbulences, le mal du siècle à venir pour les vols Paris-New York?
Mauvaise nouvelle. Mais, oui, le changement climatique devrait augmenter les turbulences sur ce trajet. D’après une étude britannique publiée en mars 2013 dans Nature climate change, les turbulences pourraient être deux fois plus fréquentes en 2050 qu’aujourd’hui sur un Paris-New York, et leur force augmenter de 10 à 40%. Ainsi, sur ce trajet de huit heures, au lieu de subir cinq minutes de turbulences en moyenne aujourd'hui, nous pourrions devoir nous accrocher à notre siège pendant 7 à 14 minutes.
Y a-t-il des blessés?
Trois membres de l'équipage ont été contusionnés, a annoncé la compagnie. Après l’atterrissage, ils ont été pris en charge par le Samu. Il n’y a pas de victimes, et une partie des passagers a pu reprendre un vol un peu plus tard dans la journée. Le reste devrait pouvoir rallier New York ce mercredi.
Pour quelles raisons un avion peut-il se dérouter?
Le changement de cap d’un avion n’est pas un phénomène exceptionnel. Cela peut être dû à une multitude de facteurs: Cela peut être dû à une avarie, pour éviter un espace aérien dangereux, à cause de la présence de passagers turbulents, à cause d’un commandant devenu fou, à cause d’un aéroport fermé ou menacé. Ce déroutement peut encore être causé par l'épuisement du carburant. Cela peut être aussi dû à la mort d’un passager, une prise d’otages, ou encore la suspicion de la présence d’une bombe à bord de l’aéronef. Sans compter le mauvais temps... A ce propos, des turbulences peuvent survenir dans un ciel dégagé, du fait des différences de pression.
En cas de mauvais temps, que décident les pilotes?
Un avion peut changer de cap pour éviter un phénomène météorologique problématique, comme par exemple un gros orage. Un code couleur existe d'ailleurs pour hiérarchiser l’intensité d’un orage. Vert pour une petite pluie sans conséquence, orange pour une pluie forte, rouge pour un orage violent avec des grêlons qui peuvent dépasser la taille d’une balle de ping-pong. A partir de l’orange, les pilotes envisagent un changement de cap. «On change toujours sa route quand il y a un gros orage», a confié à 20 Minutes Gérard Feldzer, commandant de bord et consultant aéronautique, après le crash de l'avion Air Algérie. Le pilote note qu’«il est excessivement rare qu’on perde un avion pour cause météo en vol.» A l’atterrissage, les accidents sont beaucoup plus nombreux qu’en croisière.
Les turbulences, le mal du siècle à venir pour les vols Paris-New York?
Mauvaise nouvelle. Mais, oui, le changement climatique devrait augmenter les turbulences sur ce trajet. D’après une étude britannique publiée en mars 2013 dans Nature climate change, les turbulences pourraient être deux fois plus fréquentes en 2050 qu’aujourd’hui sur un Paris-New York, et leur force augmenter de 10 à 40%. Ainsi, sur ce trajet de huit heures, au lieu de subir cinq minutes de turbulences en moyenne aujourd'hui, nous pourrions devoir nous accrocher à notre siège pendant 7 à 14 minutes.
Y a-t-il des blessés?
Trois membres de l'équipage ont été contusionnés, a annoncé la compagnie. Après l’atterrissage, ils ont été pris en charge par le Samu. Il n’y a pas de victimes, et une partie des passagers a pu reprendre un vol un peu plus tard dans la journée. Le reste devrait pouvoir rallier New York ce mercredi.
Pour quelles raisons un avion peut-il se dérouter?
Le changement de cap d’un avion n’est pas un phénomène exceptionnel. Cela peut être dû à une multitude de facteurs: Cela peut être dû à une avarie, pour éviter un espace aérien dangereux, à cause de la présence de passagers turbulents, à cause d’un commandant devenu fou, à cause d’un aéroport fermé ou menacé. Ce déroutement peut encore être causé par l'épuisement du carburant. Cela peut être aussi dû à la mort d’un passager, une prise d’otages, ou encore la suspicion de la présence d’une bombe à bord de l’aéronef. Sans compter le mauvais temps... A ce propos, des turbulences peuvent survenir dans un ciel dégagé, du fait des différences de pression.
En cas de mauvais temps, que décident les pilotes?
Un avion peut changer de cap pour éviter un phénomène météorologique problématique, comme par exemple un gros orage. Un code couleur existe d'ailleurs pour hiérarchiser l’intensité d’un orage. Vert pour une petite pluie sans conséquence, orange pour une pluie forte, rouge pour un orage violent avec des grêlons qui peuvent dépasser la taille d’une balle de ping-pong. A partir de l’orange, les pilotes envisagent un changement de cap. «On change toujours sa route quand il y a un gros orage», a confié à 20 Minutes Gérard Feldzer, commandant de bord et consultant aéronautique, après le crash de l'avion Air Algérie. Le pilote note qu’«il est excessivement rare qu’on perde un avion pour cause météo en vol.» A l’atterrissage, les accidents sont beaucoup plus nombreux qu’en croisière.
Les turbulences, le mal du siècle à venir pour les vols Paris-New York?
Mauvaise nouvelle. Mais, oui, le changement climatique devrait augmenter les turbulences sur ce trajet. D’après une étude britannique publiée en mars 2013 dans Nature climate change, les turbulences pourraient être deux fois plus fréquentes en 2050 qu’aujourd’hui sur un Paris-New York, et leur force augmenter de 10 à 40%. Ainsi, sur ce trajet de huit heures, au lieu de subir cinq minutes de turbulences en moyenne aujourd'hui, nous pourrions devoir nous accrocher à notre siège pendant 7 à 14 minutes.
Y a-t-il des blessés?
Trois membres de l'équipage ont été contusionnés, a annoncé la compagnie. Après l’atterrissage, ils ont été pris en charge par le Samu. Il n’y a pas de victimes, et une partie des passagers a pu reprendre un vol un peu plus tard dans la journée. Le reste devrait pouvoir rallier New York ce mercredi.
Pour quelles raisons un avion peut-il se dérouter?
Le changement de cap d’un avion n’est pas un phénomène exceptionnel. Cela peut être dû à une multitude de facteurs: Cela peut être dû à une avarie, pour éviter un espace aérien dangereux, à cause de la présence de passagers turbulents, à cause d’un commandant devenu fou, à cause d’un aéroport fermé ou menacé. Ce déroutement peut encore être causé par l'épuisement du carburant. Cela peut être aussi dû à la mort d’un passager, une prise d’otages, ou encore la suspicion de la présence d’une bombe à bord de l’aéronef. Sans compter le mauvais temps... A ce propos, des turbulences peuvent survenir dans un ciel dégagé, du fait des différences de pression.
En cas de mauvais temps, que décident les pilotes?
Un avion peut changer de cap pour éviter un phénomène météorologique problématique, comme par exemple un gros orage. Un code couleur existe d'ailleurs pour hiérarchiser l’intensité d’un orage. Vert pour une petite pluie sans conséquence, orange pour une pluie forte, rouge pour un orage violent avec des grêlons qui peuvent dépasser la taille d’une balle de ping-pong. A partir de l’orange, les pilotes envisagent un changement de cap. «On change toujours sa route quand il y a un gros orage», a confié à 20 Minutes Gérard Feldzer, commandant de bord et consultant aéronautique, après le crash de l'avion Air Algérie. Le pilote note qu’«il est excessivement rare qu’on perde un avion pour cause météo en vol.» A l’atterrissage, les accidents sont beaucoup plus nombreux qu’en croisière.
Les turbulences, le mal du siècle à venir pour les vols Paris-New York?
Mauvaise nouvelle. Mais, oui, le changement climatique devrait augmenter les turbulences sur ce trajet. D’après une étude britannique publiée en mars 2013 dans Nature climate change, les turbulences pourraient être deux fois plus fréquentes en 2050 qu’aujourd’hui sur un Paris-New York, et leur force augmenter de 10 à 40%. Ainsi, sur ce trajet de huit heures, au lieu de subir cinq minutes de turbulences en moyenne aujourd'hui, nous pourrions devoir nous accrocher à notre siège pendant 7 à 14 minutes.
Y a-t-il des blessés?
Trois membres de l'équipage ont été contusionnés, a annoncé la compagnie. Après l’atterrissage, ils ont été pris en charge par le Samu. Il n’y a pas de victimes, et une partie des passagers a pu reprendre un vol un peu plus tard dans la journée. Le reste devrait pouvoir rallier New York ce mercredi.
Pour quelles raisons un avion peut-il se dérouter?
Le changement de cap d’un avion n’est pas un phénomène exceptionnel. Cela peut être dû à une multitude de facteurs: Cela peut être dû à une avarie, pour éviter un espace aérien dangereux, à cause de la présence de passagers turbulents, à cause d’un commandant devenu fou, à cause d’un aéroport fermé ou menacé. Ce déroutement peut encore être causé par l'épuisement du carburant. Cela peut être aussi dû à la mort d’un passager, une prise d’otages, ou encore la suspicion de la présence d’une bombe à bord de l’aéronef. Sans compter le mauvais temps... A ce propos, des turbulences peuvent survenir dans un ciel dégagé, du fait des différences de pression.
En cas de mauvais temps, que décident les pilotes?
Un avion peut changer de cap pour éviter un phénomène météorologique problématique, comme par exemple un gros orage. Un code couleur existe d'ailleurs pour hiérarchiser l’intensité d’un orage. Vert pour une petite pluie sans conséquence, orange pour une pluie forte, rouge pour un orage violent avec des grêlons qui peuvent dépasser la taille d’une balle de ping-pong. A partir de l’orange, les pilotes envisagent un changement de cap. «On change toujours sa route quand il y a un gros orage», a confié à 20 Minutes Gérard Feldzer, commandant de bord et consultant aéronautique, après le crash de l'avion Air Algérie. Le pilote note qu’«il est excessivement rare qu’on perde un avion pour cause météo en vol.» A l’atterrissage, les accidents sont beaucoup plus nombreux qu’en croisière.
Les turbulences, le mal du siècle à venir pour les vols Paris-New York?
Mauvaise nouvelle. Mais, oui, le changement climatique devrait augmenter les turbulences sur ce trajet. D’après une étude britannique publiée en mars 2013 dans Nature climate change, les turbulences pourraient être deux fois plus fréquentes en 2050 qu’aujourd’hui sur un Paris-New York, et leur force augmenter de 10 à 40%. Ainsi, sur ce trajet de huit heures, au lieu de subir cinq minutes de turbulences en moyenne aujourd'hui, nous pourrions devoir nous accrocher à notre siège pendant 7 à 14 minutes.
Y a-t-il des blessés?
Trois membres de l'équipage ont été contusionnés, a annoncé la compagnie. Après l’atterrissage, ils ont été pris en charge par le Samu. Il n’y a pas de victimes, et une partie des passagers a pu reprendre un vol un peu plus tard dans la journée. Le reste devrait pouvoir rallier New York ce mercredi.
Pour quelles raisons un avion peut-il se dérouter?
Le changement de cap d’un avion n’est pas un phénomène exceptionnel. Cela peut être dû à une multitude de facteurs: Cela peut être dû à une avarie, pour éviter un espace aérien dangereux, à cause de la présence de passagers turbulents, à cause d’un commandant devenu fou, à cause d’un aéroport fermé ou menacé. Ce déroutement peut encore être causé par l'épuisement du carburant. Cela peut être aussi dû à la mort d’un passager, une prise d’otages, ou encore la suspicion de la présence d’une bombe à bord de l’aéronef. Sans compter le mauvais temps... A ce propos, des turbulences peuvent survenir dans un ciel dégagé, du fait des différences de pression.
En cas de mauvais temps, que décident les pilotes?
Un avion peut changer de cap pour éviter un phénomène météorologique problématique, comme par exemple un gros orage. Un code couleur existe d'ailleurs pour hiérarchiser l’intensité d’un orage. Vert pour une petite pluie sans conséquence, orange pour une pluie forte, rouge pour un orage violent avec des grêlons qui peuvent dépasser la taille d’une balle de ping-pong. A partir de l’orange, les pilotes envisagent un changement de cap. «On change toujours sa route quand il y a un gros orage», a confié à 20 Minutes Gérard Feldzer, commandant de bord et consultant aéronautique, après le crash de l'avion Air Algérie. Le pilote note qu’«il est excessivement rare qu’on perde un avion pour cause météo en vol.» A l’atterrissage, les accidents sont beaucoup plus nombreux qu’en croisière.
Les turbulences, le mal du siècle à venir pour les vols Paris-New York?
Mauvaise nouvelle. Mais, oui, le changement climatique devrait augmenter les turbulences sur ce trajet. D’après une étude britannique publiée en mars 2013 dans Nature climate change, les turbulences pourraient être deux fois plus fréquentes en 2050 qu’aujourd’hui sur un Paris-New York, et leur force augmenter de 10 à 40%. Ainsi, sur ce trajet de huit heures, au lieu de subir cinq minutes de turbulences en moyenne aujourd'hui, nous pourrions devoir nous accrocher à notre siège pendant 7 à 14 minutes.
Y a-t-il des blessés?
Trois membres de l'équipage ont été contusionnés, a annoncé la compagnie. Après l’atterrissage, ils ont été pris en charge par le Samu. Il n’y a pas de victimes, et une partie des passagers a pu reprendre un vol un peu plus tard dans la journée. Le reste devrait pouvoir rallier New York ce mercredi.
Pour quelles raisons un avion peut-il se dérouter?
Le changement de cap d’un avion n’est pas un phénomène exceptionnel. Cela peut être dû à une multitude de facteurs: Cela peut être dû à une avarie, pour éviter un espace aérien dangereux, à cause de la présence de passagers turbulents, à cause d’un commandant devenu fou, à cause d’un aéroport fermé ou menacé. Ce déroutement peut encore être causé par l'épuisement du carburant. Cela peut être aussi dû à la mort d’un passager, une prise d’otages, ou encore la suspicion de la présence d’une bombe à bord de l’aéronef. Sans compter le mauvais temps... A ce propos, des turbulences peuvent survenir dans un ciel dégagé, du fait des différences de pression.
En cas de mauvais temps, que décident les pilotes?
Un avion peut changer de cap pour éviter un phénomène météorologique problématique, comme par exemple un gros orage. Un code couleur existe d'ailleurs pour hiérarchiser l’intensité d’un orage. Vert pour une petite pluie sans conséquence, orange pour une pluie forte, rouge pour un orage violent avec des grêlons qui peuvent dépasser la taille d’une balle de ping-pong. A partir de l’orange, les pilotes envisagent un changement de cap. «On change toujours sa route quand il y a un gros orage», a confié à 20 Minutes Gérard Feldzer, commandant de bord et consultant aéronautique, après le crash de l'avion Air Algérie. Le pilote note qu’«il est excessivement rare qu’on perde un avion pour cause météo en vol.» A l’atterrissage, les accidents sont beaucoup plus nombreux qu’en croisière.
Les turbulences, le mal du siècle à venir pour les vols Paris-New York?
Mauvaise nouvelle. Mais, oui, le changement climatique devrait augmenter les turbulences sur ce trajet. D’après une étude britannique publiée en mars 2013 dans Nature climate change, les turbulences pourraient être deux fois plus fréquentes en 2050 qu’aujourd’hui sur un Paris-New York, et leur force augmenter de 10 à 40%. Ainsi, sur ce trajet de huit heures, au lieu de subir cinq minutes de turbulences en moyenne aujourd'hui, nous pourrions devoir nous accrocher à notre siège pendant 7 à 14 minutes.
Y a-t-il des blessés?
Trois membres de l'équipage ont été contusionnés, a annoncé la compagnie. Après l’atterrissage, ils ont été pris en charge par le Samu. Il n’y a pas de victimes, et une partie des passagers a pu reprendre un vol un peu plus tard dans la journée. Le reste devrait pouvoir rallier New York ce mercredi.
Pour quelles raisons un avion peut-il se dérouter?
Le changement de cap d’un avion n’est pas un phénomène exceptionnel. Cela peut être dû à une multitude de facteurs: Cela peut être dû à une avarie, pour éviter un espace aérien dangereux, à cause de la présence de passagers turbulents, à cause d’un commandant devenu fou, à cause d’un aéroport fermé ou menacé. Ce déroutement peut encore être causé par l'épuisement du carburant. Cela peut être aussi dû à la mort d’un passager, une prise d’otages, ou encore la suspicion de la présence d’une bombe à bord de l’aéronef. Sans compter le mauvais temps... A ce propos, des turbulences peuvent survenir dans un ciel dégagé, du fait des différences de pression.
En cas de mauvais temps, que décident les pilotes?
Un avion peut changer de cap pour éviter un phénomène météorologique problématique, comme par exemple un gros orage. Un code couleur existe d'ailleurs pour hiérarchiser l’intensité d’un orage. Vert pour une petite pluie sans conséquence, orange pour une pluie forte, rouge pour un orage violent avec des grêlons qui peuvent dépasser la taille d’une balle de ping-pong. A partir de l’orange, les pilotes envisagent un changement de cap. «On change toujours sa route quand il y a un gros orage», a confié à 20 Minutes Gérard Feldzer, commandant de bord et consultant aéronautique, après le crash de l'avion Air Algérie. Le pilote note qu’«il est excessivement rare qu’on perde un avion pour cause météo en vol.» A l’atterrissage, les accidents sont beaucoup plus nombreux qu’en croisière.
Les turbulences, le mal du siècle à venir pour les vols Paris-New York?
Mauvaise nouvelle. Mais, oui, le changement climatique devrait augmenter les turbulences sur ce trajet. D’après une étude britannique publiée en mars 2013 dans Nature climate change, les turbulences pourraient être deux fois plus fréquentes en 2050 qu’aujourd’hui sur un Paris-New York, et leur force augmenter de 10 à 40%. Ainsi, sur ce trajet de huit heures, au lieu de subir cinq minutes de turbulences en moyenne aujourd'hui, nous pourrions devoir nous accrocher à notre siège pendant 7 à 14 minutes.
Y a-t-il des blessés?
Trois membres de l'équipage ont été contusionnés, a annoncé la compagnie. Après l’atterrissage, ils ont été pris en charge par le Samu. Il n’y a pas de victimes, et une partie des passagers a pu reprendre un vol un peu plus tard dans la journée. Le reste devrait pouvoir rallier New York ce mercredi.
Pour quelles raisons un avion peut-il se dérouter?
Le changement de cap d’un avion n’est pas un phénomène exceptionnel. Cela peut être dû à une multitude de facteurs: Cela peut être dû à une avarie, pour éviter un espace aérien dangereux, à cause de la présence de passagers turbulents, à cause d’un commandant devenu fou, à cause d’un aéroport fermé ou menacé. Ce déroutement peut encore être causé par l'épuisement du carburant. Cela peut être aussi dû à la mort d’un passager, une prise d’otages, ou encore la suspicion de la présence d’une bombe à bord de l’aéronef. Sans compter le mauvais temps... A ce propos, des turbulences peuvent survenir dans un ciel dégagé, du fait des différences de pression.
En cas de mauvais temps, que décident les pilotes?
Un avion peut changer de cap pour éviter un phénomène météorologique problématique, comme par exemple un gros orage. Un code couleur existe d'ailleurs pour hiérarchiser l’intensité d’un orage. Vert pour une petite pluie sans conséquence, orange pour une pluie forte, rouge pour un orage violent avec des grêlons qui peuvent dépasser la taille d’une balle de ping-pong. A partir de l’orange, les pilotes envisagent un changement de cap. «On change toujours sa route quand il y a un gros orage», a confié à 20 Minutes Gérard Feldzer, commandant de bord et consultant aéronautique, après le crash de l'avion Air Algérie. Le pilote note qu’«il est excessivement rare qu’on perde un avion pour cause météo en vol.» A l’atterrissage, les accidents sont beaucoup plus nombreux qu’en croisière.
Les turbulences, le mal du siècle à venir pour les vols Paris-New York?
Mauvaise nouvelle. Mais, oui, le changement climatique devrait augmenter les turbulences sur ce trajet. D’après une étude britannique publiée en mars 2013 dans Nature climate change, les turbulences pourraient être deux fois plus fréquentes en 2050 qu’aujourd’hui sur un Paris-New York, et leur force augmenter de 10 à 40%. Ainsi, sur ce trajet de huit heures, au lieu de subir cinq minutes de turbulences en moyenne aujourd'hui, nous pourrions devoir nous accrocher à notre siège pendant 7 à 14 minutes.
Y a-t-il des blessés?
Trois membres de l'équipage ont été contusionnés, a annoncé la compagnie. Après l’atterrissage, ils ont été pris en charge par le Samu. Il n’y a pas de victimes, et une partie des passagers a pu reprendre un vol un peu plus tard dans la journée. Le reste devrait pouvoir rallier New York ce mercredi.
Pour quelles raisons un avion peut-il se dérouter?
Le changement de cap d’un avion n’est pas un phénomène exceptionnel. Cela peut être dû à une multitude de facteurs: Cela peut être dû à une avarie, pour éviter un espace aérien dangereux, à cause de la présence de passagers turbulents, à cause d’un commandant devenu fou, à cause d’un aéroport fermé ou menacé. Ce déroutement peut encore être causé par l'épuisement du carburant. Cela peut être aussi dû à la mort d’un passager, une prise d’otages, ou encore la suspicion de la présence d’une bombe à bord de l’aéronef. Sans compter le mauvais temps... A ce propos, des turbulences peuvent survenir dans un ciel dégagé, du fait des différences de pression.
En cas de mauvais temps, que décident les pilotes?
Un avion peut changer de cap pour éviter un phénomène météorologique problématique, comme par exemple un gros orage. Un code couleur existe d'ailleurs pour hiérarchiser l’intensité d’un orage. Vert pour une petite pluie sans conséquence, orange pour une pluie forte, rouge pour un orage violent avec des grêlons qui peuvent dépasser la taille d’une balle de ping-pong. A partir de l’orange, les pilotes envisagent un changement de cap. «On change toujours sa route quand il y a un gros orage», a confié à 20 Minutes Gérard Feldzer, commandant de bord et consultant aéronautique, après le crash de l'avion Air Algérie. Le pilote note qu’«il est excessivement rare qu’on perde un avion pour cause météo en vol.» A l’atterrissage, les accidents sont beaucoup plus nombreux qu’en croisière.
Les turbulences, le mal du siècle à venir pour les vols Paris-New York?
Mauvaise nouvelle. Mais, oui, le changement climatique devrait augmenter les turbulences sur ce trajet. D’après une étude britannique publiée en mars 2013 dans Nature climate change, les turbulences pourraient être deux fois plus fréquentes en 2050 qu’aujourd’hui sur un Paris-New York, et leur force augmenter de 10 à 40%. Ainsi, sur ce trajet de huit heures, au lieu de subir cinq minutes de turbulences en moyenne aujourd'hui, nous pourrions devoir nous accrocher à notre siège pendant 7 à 14 minutes.
Y a-t-il des blessés?
Trois membres de l'équipage ont été contusionnés, a annoncé la compagnie. Après l’atterrissage, ils ont été pris en charge par le Samu. Il n’y a pas de victimes, et une partie des passagers a pu reprendre un vol un peu plus tard dans la journée. Le reste devrait pouvoir rallier New York ce mercredi.
Pour quelles raisons un avion peut-il se dérouter?
Le changement de cap d’un avion n’est pas un phénomène exceptionnel. Cela peut être dû à une multitude de facteurs: Cela peut être dû à une avarie, pour éviter un espace aérien dangereux, à cause de la présence de passagers turbulents, à cause d’un commandant devenu fou, à cause d’un aéroport fermé ou menacé. Ce déroutement peut encore être causé par l'épuisement du carburant. Cela peut être aussi dû à la mort d’un passager, une prise d’otages, ou encore la suspicion de la présence d’une bombe à bord de l’aéronef. Sans compter le mauvais temps... A ce propos, des turbulences peuvent survenir dans un ciel dégagé, du fait des différences de pression.
En cas de mauvais temps, que décident les pilotes?
Un avion peut changer de cap pour éviter un phénomène météorologique problématique, comme par exemple un gros orage. Un code couleur existe d'ailleurs pour hiérarchiser l’intensité d’un orage. Vert pour une petite pluie sans conséquence, orange pour une pluie forte, rouge pour un orage violent avec des grêlons qui peuvent dépasser la taille d’une balle de ping-pong. A partir de l’orange, les pilotes envisagent un changement de cap. «On change toujours sa route quand il y a un gros orage», a confié à 20 Minutes Gérard Feldzer, commandant de bord et consultant aéronautique, après le crash de l'avion Air Algérie. Le pilote note qu’«il est excessivement rare qu’on perde un avion pour cause météo en vol.» A l’atterrissage, les accidents sont beaucoup plus nombreux qu’en croisière.
Les turbulences, le mal du siècle à venir pour les vols Paris-New York?
Mauvaise nouvelle. Mais, oui, le changement climatique devrait augmenter les turbulences sur ce trajet. D’après une étude britannique publiée en mars 2013 dans Nature climate change, les turbulences pourraient être deux fois plus fréquentes en 2050 qu’aujourd’hui sur un Paris-New York, et leur force augmenter de 10 à 40%. Ainsi, sur ce trajet de huit heures, au lieu de subir cinq minutes de turbulences en moyenne aujourd'hui, nous pourrions devoir nous accrocher à notre siège pendant 7 à 14 minutes.
Y a-t-il des blessés?
Trois membres de l'équipage ont été contusionnés, a annoncé la compagnie. Après l’atterrissage, ils ont été pris en charge par le Samu. Il n’y a pas de victimes, et une partie des passagers a pu reprendre un vol un peu plus tard dans la journée. Le reste devrait pouvoir rallier New York ce mercredi.
Pour quelles raisons un avion peut-il se dérouter?
Le changement de cap d’un avion n’est pas un phénomène exceptionnel. Cela peut être dû à une multitude de facteurs: Cela peut être dû à une avarie, pour éviter un espace aérien dangereux, à cause de la présence de passagers turbulents, à cause d’un commandant devenu fou, à cause d’un aéroport fermé ou menacé. Ce déroutement peut encore être causé par l'épuisement du carburant. Cela peut être aussi dû à la mort d’un passager, une prise d’otages, ou encore la suspicion de la présence d’une bombe à bord de l’aéronef. Sans compter le mauvais temps... A ce propos, des turbulences peuvent survenir dans un ciel dégagé, du fait des différences de pression.
En cas de mauvais temps, que décident les pilotes?
Un avion peut changer de cap pour éviter un phénomène météorologique problématique, comme par exemple un gros orage. Un code couleur existe d'ailleurs pour hiérarchiser l’intensité d’un orage. Vert pour une petite pluie sans conséquence, orange pour une pluie forte, rouge pour un orage violent avec des grêlons qui peuvent dépasser la taille d’une balle de ping-pong. A partir de l’orange, les pilotes envisagent un changement de cap. «On change toujours sa route quand il y a un gros orage», a confié à 20 Minutes Gérard Feldzer, commandant de bord et consultant aéronautique, après le crash de l'avion Air Algérie. Le pilote note qu’«il est excessivement rare qu’on perde un avion pour cause météo en vol.» A l’atterrissage, les accidents sont beaucoup plus nombreux qu’en croisière.
Les turbulences, le mal du siècle à venir pour les vols Paris-New York?
Mauvaise nouvelle. Mais, oui, le changement climatique devrait augmenter les turbulences sur ce trajet. D’après une étude britannique publiée en mars 2013 dans Nature climate change, les turbulences pourraient être deux fois plus fréquentes en 2050 qu’aujourd’hui sur un Paris-New York, et leur force augmenter de 10 à 40%. Ainsi, sur ce trajet de huit heures, au lieu de subir cinq minutes de turbulences en moyenne aujourd'hui, nous pourrions devoir nous accrocher à notre siège pendant 7 à 14 minutes.