Les immanquables du jour: La presse algérienne sous le choc, nouveau plan anti-tabac et le procès de Mamie Yvette
ACTU•Ce qu'il ne fallait pas manquer dans l'actualité de ce jeudi 25 septembre...Armelle Le Goff
La journée de ce jeudi a été riche en événements. Et en articles écrits par la rédaction de 20 Minutes. Pour lire les meilleurs, ceux que vous avez préférés, les plus lus et partagés, c'est maintenant.
L'article le plus partagé du jour: Otage décapité: La presse algérienne évoque un pays «sous le choc»
Pour l'Algérie, longtemps touchée par le terrorisme durant les années 1990, cet acte ignoble replonge le pays dans un passé qu'elle tentait d'oublier. La presse locale évoque un pays «sous le choc». Tous les quotidiens font évidemment leur une sur la barbarie des djihadistes du groupe «Soldats du Califat». Mais aussi sur ses conséquences. A lire aussi notre reportage à la mosquée de Paris.
L'article le plus commenté du jour: Interdiction de fumer devant des enfants en voiture: «Nos politiques veulent nous infantiliser»
La ministre de la Santé Marisol Touraine présentait ce jeudi son plan antitabac. Parmi les annonces: l'interdiction de fumer dans les voitures transportant des mineurs de moins de 12 ans. En cas d’infraction, une amende est prévue pour l’automobiliste. «La même que celle encourue lorsqu’on fume dans un lieu public», a précisé la ministre. Éric de Caumont, avocat et président de l’association des avocats de l’automobile, dénonce «l’obsession de sécurité de nos dirigeants».
L'article région du jour: Pas-de-Calais: «Mamie Yvette», 76 ans, jugée pour avoir organisé 169 lotos
Elle n’a jamais touché le jackpot. Pire, Yvette Bert, 76 ans, s'est retrouvée ce jeudi à la barre du tribunal correctionnel d’Arras (Pas-de-Calais) pour avoir organisé plus de 160 lotos-bingos entre 2009 et 2013. Au total, ses loteries auraient généré 460.753 euros de recettes. Un peu trop pour l’administration fiscale qui lui réclame à ce titre 88.000 euros d’impôts. Autre problème: l’organisation de loteries est prohibée en France depuis la loi du 21 mai 1836. Selon le Code pénal, «Mamie Yvette» encourt une peine de trois ans de prison et 90.000 euros d’amende en plus des arriérés d’impôts.