JUSTICEMise en examen de Lagarde: Le choix de la maintenir à son poste «incombe au FMI»

Mise en examen de Lagarde: Le choix de la maintenir à son poste «incombe au FMI»

JUSTICE«Le gouvernement n’a pas de commentaire à faire sur des décisions de justice», indique Stéphane Le Foll...
20 Minutes avec AFP

20 Minutes avec AFP

Le «choix» de maintenir à la tête du FMI Christine Lagarde, mise en examen pour négligence dans le dossier Tapie-Crédit Lyonnais, «incombe» à cette institution, a déclaré mercredi le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll.

«Le gouvernement n’a pas de commentaire à faire sur des choix qui incombent au FMI et aucun commentaire à faire sur des décisions de justice», a-t-il déclaré devant la presse lors de son compte-rendu du Conseil des ministres.

«Christine Lagarde s’est exprimée, une procédure judiciaire est en cours» et «il n’y a aucun commentaire à faire», a-t-il insisté, enchaînant: «les choix sont de la responsabilité du FMI».

De retour au travail dès cet après-midi

La directrice générale du Fonds Monétaire International a elle-même annoncé sa mise en examen mercredi à l’AFP. Interrogée sur l’hypothèse d’une démission, celle qui fut ministre de l’Economie de Nicolas Sarkozy a répondu par la négative, précisant qu’elle retournait «travailler à Washington dès cet après-midi».

L’affaire porte sur la sentence arbitrale de 2008 qui avait octroyé quelque 400 millions d’euros à Bernard Tapie -dont 45 millions d’euros au titre du préjudice moral- pour clore le long litige qui opposait l’homme d’affaires au Crédit Lyonnais sur la revente d’Adidas.

Pas de réaction du FMI

«La directrice générale s'est déjà exprimée sur cette affaire. Elle est maintenant en route pour Washington et informera, évidemment, le conseil d'administration (du FMI) dès que possible», a déclaré le porte-parole du Fonds monétaire international, Gerry Rice, dans un communiqué transmis à l'AFP. «Jusque-là, nous n'avons pas de commentaire supplémentaire», a-t-il ajouté.

mise en examen pour négligence dans le dossier Tapie-Crédit Lyonnais,

Le «choix» de maintenir à la tête du FMI Christine Lagarde, mise en examen pour négligence dans le dossier Tapie-Crédit Lyonnais, «incombe» à cette institution, a déclaré mercredi le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll.

«Le gouvernement n’a pas de commentaire à faire sur des choix qui incombent au FMI et aucun commentaire à faire sur des décisions de justice», a-t-il déclaré devant la presse lors de son compte-rendu du Conseil des ministres.

«Christine Lagarde s’est exprimée, une procédure judiciaire est en cours» et «il n’y a aucun commentaire à faire», a-t-il insisté, enchaînant: «les choix sont de la responsabilité du FMI».

De retour au travail dès cet après-midi

La directrice générale du Fonds Monétaire International a elle-même annoncé sa mise en examen mercredi à l’AFP. Interrogée sur l’hypothèse d’une démission, celle qui fut ministre de l’Economie de Nicolas Sarkozy a répondu par la négative, précisant qu’elle retournait «travailler à Washington dès cet après-midi».

L’affaire porte sur la sentence arbitrale de 2008 qui avait octroyé quelque 400 millions d’euros à Bernard Tapie -dont 45 millions d’euros au titre du préjudice moral- pour clore le long litige qui opposait l’homme d’affaires au Crédit Lyonnais sur la revente d’Adidas.

Pas de réaction du FMI

«La directrice générale s'est déjà exprimée sur cette affaire. Elle est maintenant en route pour Washington et informera, évidemment, le conseil d'administration (du FMI) dès que possible», a déclaré le porte-parole du Fonds monétaire international, Gerry Rice, dans un communiqué transmis à l'AFP. «Jusque-là, nous n'avons pas de commentaire supplémentaire», a-t-il ajouté.


Le «choix» de maintenir à la tête du FMI Christine Lagarde, mise en examen pour négligence dans le dossier Tapie-Crédit Lyonnais, «incombe» à cette institution, a déclaré mercredi le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll.

«Le gouvernement n’a pas de commentaire à faire sur des choix qui incombent au FMI et aucun commentaire à faire sur des décisions de justice», a-t-il déclaré devant la presse lors de son compte-rendu du Conseil des ministres.

«Christine Lagarde s’est exprimée, une procédure judiciaire est en cours» et «il n’y a aucun commentaire à faire», a-t-il insisté, enchaînant: «les choix sont de la responsabilité du FMI».

De retour au travail dès cet après-midi

La directrice générale du Fonds Monétaire International a elle-même annoncé sa mise en examen mercredi à l’AFP. Interrogée sur l’hypothèse d’une démission, celle qui fut ministre de l’Economie de Nicolas Sarkozy a répondu par la négative, précisant qu’elle retournait «travailler à Washington dès cet après-midi».

L’affaire porte sur la sentence arbitrale de 2008 qui avait octroyé quelque 400 millions d’euros à Bernard Tapie -dont 45 millions d’euros au titre du préjudice moral- pour clore le long litige qui opposait l’homme d’affaires au Crédit Lyonnais sur la revente d’Adidas.

Pas de réaction du FMI

«La directrice générale s'est déjà exprimée sur cette affaire. Elle est maintenant en route pour Washington et informera, évidemment, le conseil d'administration (du FMI) dès que possible», a déclaré le porte-parole du Fonds monétaire international, Gerry Rice, dans un communiqué transmis à l'AFP. «Jusque-là, nous n'avons pas de commentaire supplémentaire», a-t-il ajouté.


Le «choix» de maintenir à la tête du FMI Christine Lagarde, mise en examen pour négligence dans le dossier Tapie-Crédit Lyonnais, «incombe» à cette institution, a déclaré mercredi le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll.

«Le gouvernement n’a pas de commentaire à faire sur des choix qui incombent au FMI et aucun commentaire à faire sur des décisions de justice», a-t-il déclaré devant la presse lors de son compte-rendu du Conseil des ministres.

«Christine Lagarde s’est exprimée, une procédure judiciaire est en cours» et «il n’y a aucun commentaire à faire», a-t-il insisté, enchaînant: «les choix sont de la responsabilité du FMI».

De retour au travail dès cet après-midi

La directrice générale du Fonds Monétaire International a elle-même annoncé sa mise en examen mercredi à l’AFP. Interrogée sur l’hypothèse d’une démission, celle qui fut ministre de l’Economie de Nicolas Sarkozy a répondu par la négative, précisant qu’elle retournait «travailler à Washington dès cet après-midi».

L’affaire porte sur la sentence arbitrale de 2008 qui avait octroyé quelque 400 millions d’euros à Bernard Tapie -dont 45 millions d’euros au titre du préjudice moral- pour clore le long litige qui opposait l’homme d’affaires au Crédit Lyonnais sur la revente d’Adidas.

Pas de réaction du FMI

«La directrice générale s'est déjà exprimée sur cette affaire. Elle est maintenant en route pour Washington et informera, évidemment, le conseil d'administration (du FMI) dès que possible», a déclaré le porte-parole du Fonds monétaire international, Gerry Rice, dans un communiqué transmis à l'AFP. «Jusque-là, nous n'avons pas de commentaire supplémentaire», a-t-il ajouté.


Le «choix» de maintenir à la tête du FMI Christine Lagarde, mise en examen pour négligence dans le dossier Tapie-Crédit Lyonnais, «incombe» à cette institution, a déclaré mercredi le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll.

«Le gouvernement n’a pas de commentaire à faire sur des choix qui incombent au FMI et aucun commentaire à faire sur des décisions de justice», a-t-il déclaré devant la presse lors de son compte-rendu du Conseil des ministres.

«Christine Lagarde s’est exprimée, une procédure judiciaire est en cours» et «il n’y a aucun commentaire à faire», a-t-il insisté, enchaînant: «les choix sont de la responsabilité du FMI».

De retour au travail dès cet après-midi

La directrice générale du Fonds Monétaire International a elle-même annoncé sa mise en examen mercredi à l’AFP. Interrogée sur l’hypothèse d’une démission, celle qui fut ministre de l’Economie de Nicolas Sarkozy a répondu par la négative, précisant qu’elle retournait «travailler à Washington dès cet après-midi».

L’affaire porte sur la sentence arbitrale de 2008 qui avait octroyé quelque 400 millions d’euros à Bernard Tapie -dont 45 millions d’euros au titre du préjudice moral- pour clore le long litige qui opposait l’homme d’affaires au Crédit Lyonnais sur la revente d’Adidas.

Pas de réaction du FMI

«La directrice générale s'est déjà exprimée sur cette affaire. Elle est maintenant en route pour Washington et informera, évidemment, le conseil d'administration (du FMI) dès que possible», a déclaré le porte-parole du Fonds monétaire international, Gerry Rice, dans un communiqué transmis à l'AFP. «Jusque-là, nous n'avons pas de commentaire supplémentaire», a-t-il ajouté.


Le «choix» de maintenir à la tête du FMI Christine Lagarde, mise en examen pour négligence dans le dossier Tapie-Crédit Lyonnais, «incombe» à cette institution, a déclaré mercredi le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll.

«Le gouvernement n’a pas de commentaire à faire sur des choix qui incombent au FMI et aucun commentaire à faire sur des décisions de justice», a-t-il déclaré devant la presse lors de son compte-rendu du Conseil des ministres.

«Christine Lagarde s’est exprimée, une procédure judiciaire est en cours» et «il n’y a aucun commentaire à faire», a-t-il insisté, enchaînant: «les choix sont de la responsabilité du FMI».

De retour au travail dès cet après-midi

La directrice générale du Fonds Monétaire International a elle-même annoncé sa mise en examen mercredi à l’AFP. Interrogée sur l’hypothèse d’une démission, celle qui fut ministre de l’Economie de Nicolas Sarkozy a répondu par la négative, précisant qu’elle retournait «travailler à Washington dès cet après-midi».

L’affaire porte sur la sentence arbitrale de 2008 qui avait octroyé quelque 400 millions d’euros à Bernard Tapie -dont 45 millions d’euros au titre du préjudice moral- pour clore le long litige qui opposait l’homme d’affaires au Crédit Lyonnais sur la revente d’Adidas.

Pas de réaction du FMI

«La directrice générale s'est déjà exprimée sur cette affaire. Elle est maintenant en route pour Washington et informera, évidemment, le conseil d'administration (du FMI) dès que possible», a déclaré le porte-parole du Fonds monétaire international, Gerry Rice, dans un communiqué transmis à l'AFP. «Jusque-là, nous n'avons pas de commentaire supplémentaire», a-t-il ajouté.


Le «choix» de maintenir à la tête du FMI Christine Lagarde, mise en examen pour négligence dans le dossier Tapie-Crédit Lyonnais, «incombe» à cette institution, a déclaré mercredi le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll.

«Le gouvernement n’a pas de commentaire à faire sur des choix qui incombent au FMI et aucun commentaire à faire sur des décisions de justice», a-t-il déclaré devant la presse lors de son compte-rendu du Conseil des ministres.

«Christine Lagarde s’est exprimée, une procédure judiciaire est en cours» et «il n’y a aucun commentaire à faire», a-t-il insisté, enchaînant: «les choix sont de la responsabilité du FMI».

De retour au travail dès cet après-midi

La directrice générale du Fonds Monétaire International a elle-même annoncé sa mise en examen mercredi à l’AFP. Interrogée sur l’hypothèse d’une démission, celle qui fut ministre de l’Economie de Nicolas Sarkozy a répondu par la négative, précisant qu’elle retournait «travailler à Washington dès cet après-midi».

L’affaire porte sur la sentence arbitrale de 2008 qui avait octroyé quelque 400 millions d’euros à Bernard Tapie -dont 45 millions d’euros au titre du préjudice moral- pour clore le long litige qui opposait l’homme d’affaires au Crédit Lyonnais sur la revente d’Adidas.

Pas de réaction du FMI

«La directrice générale s'est déjà exprimée sur cette affaire. Elle est maintenant en route pour Washington et informera, évidemment, le conseil d'administration (du FMI) dès que possible», a déclaré le porte-parole du Fonds monétaire international, Gerry Rice, dans un communiqué transmis à l'AFP. «Jusque-là, nous n'avons pas de commentaire supplémentaire», a-t-il ajouté.


Le «choix» de maintenir à la tête du FMI Christine Lagarde, mise en examen pour négligence dans le dossier Tapie-Crédit Lyonnais, «incombe» à cette institution, a déclaré mercredi le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll.

«Le gouvernement n’a pas de commentaire à faire sur des choix qui incombent au FMI et aucun commentaire à faire sur des décisions de justice», a-t-il déclaré devant la presse lors de son compte-rendu du Conseil des ministres.

«Christine Lagarde s’est exprimée, une procédure judiciaire est en cours» et «il n’y a aucun commentaire à faire», a-t-il insisté, enchaînant: «les choix sont de la responsabilité du FMI».

De retour au travail dès cet après-midi

La directrice générale du Fonds Monétaire International a elle-même annoncé sa mise en examen mercredi à l’AFP. Interrogée sur l’hypothèse d’une démission, celle qui fut ministre de l’Economie de Nicolas Sarkozy a répondu par la négative, précisant qu’elle retournait «travailler à Washington dès cet après-midi».

L’affaire porte sur la sentence arbitrale de 2008 qui avait octroyé quelque 400 millions d’euros à Bernard Tapie -dont 45 millions d’euros au titre du préjudice moral- pour clore le long litige qui opposait l’homme d’affaires au Crédit Lyonnais sur la revente d’Adidas.

Pas de réaction du FMI

«La directrice générale s'est déjà exprimée sur cette affaire. Elle est maintenant en route pour Washington et informera, évidemment, le conseil d'administration (du FMI) dès que possible», a déclaré le porte-parole du Fonds monétaire international, Gerry Rice, dans un communiqué transmis à l'AFP. «Jusque-là, nous n'avons pas de commentaire supplémentaire», a-t-il ajouté.


Le «choix» de maintenir à la tête du FMI Christine Lagarde, mise en examen pour négligence dans le dossier Tapie-Crédit Lyonnais, «incombe» à cette institution, a déclaré mercredi le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll.

«Le gouvernement n’a pas de commentaire à faire sur des choix qui incombent au FMI et aucun commentaire à faire sur des décisions de justice», a-t-il déclaré devant la presse lors de son compte-rendu du Conseil des ministres.

«Christine Lagarde s’est exprimée, une procédure judiciaire est en cours» et «il n’y a aucun commentaire à faire», a-t-il insisté, enchaînant: «les choix sont de la responsabilité du FMI».

De retour au travail dès cet après-midi

La directrice générale du Fonds Monétaire International a elle-même annoncé sa mise en examen mercredi à l’AFP. Interrogée sur l’hypothèse d’une démission, celle qui fut ministre de l’Economie de Nicolas Sarkozy a répondu par la négative, précisant qu’elle retournait «travailler à Washington dès cet après-midi».

L’affaire porte sur la sentence arbitrale de 2008 qui avait octroyé quelque 400 millions d’euros à Bernard Tapie -dont 45 millions d’euros au titre du préjudice moral- pour clore le long litige qui opposait l’homme d’affaires au Crédit Lyonnais sur la revente d’Adidas.

Pas de réaction du FMI

«La directrice générale s'est déjà exprimée sur cette affaire. Elle est maintenant en route pour Washington et informera, évidemment, le conseil d'administration (du FMI) dès que possible», a déclaré le porte-parole du Fonds monétaire international, Gerry Rice, dans un communiqué transmis à l'AFP. «Jusque-là, nous n'avons pas de commentaire supplémentaire», a-t-il ajouté.


Le «choix» de maintenir à la tête du FMI Christine Lagarde, mise en examen pour négligence dans le dossier Tapie-Crédit Lyonnais, «incombe» à cette institution, a déclaré mercredi le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll.

«Le gouvernement n’a pas de commentaire à faire sur des choix qui incombent au FMI et aucun commentaire à faire sur des décisions de justice», a-t-il déclaré devant la presse lors de son compte-rendu du Conseil des ministres.

«Christine Lagarde s’est exprimée, une procédure judiciaire est en cours» et «il n’y a aucun commentaire à faire», a-t-il insisté, enchaînant: «les choix sont de la responsabilité du FMI».

De retour au travail dès cet après-midi

La directrice générale du Fonds Monétaire International a elle-même annoncé sa mise en examen mercredi à l’AFP. Interrogée sur l’hypothèse d’une démission, celle qui fut ministre de l’Economie de Nicolas Sarkozy a répondu par la négative, précisant qu’elle retournait «travailler à Washington dès cet après-midi».

L’affaire porte sur la sentence arbitrale de 2008 qui avait octroyé quelque 400 millions d’euros à Bernard Tapie -dont 45 millions d’euros au titre du préjudice moral- pour clore le long litige qui opposait l’homme d’affaires au Crédit Lyonnais sur la revente d’Adidas.

Pas de réaction du FMI

«La directrice générale s'est déjà exprimée sur cette affaire. Elle est maintenant en route pour Washington et informera, évidemment, le conseil d'administration (du FMI) dès que possible», a déclaré le porte-parole du Fonds monétaire international, Gerry Rice, dans un communiqué transmis à l'AFP. «Jusque-là, nous n'avons pas de commentaire supplémentaire», a-t-il ajouté.