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Terminé
Collision entre un TER et un TGV: Le TER n'aurait pas respecté la procédure
TRANSPORTS•Quarante personnes ont été blessées dans l'accident...
E.O.
17h02
Ce direct est maintenant terminé, merci de l'avoir suivi.
16h51
Le TER n'aurait pas respecté toute la procédure Les responsables de la SNCF et de RFF expliquent le déroulement des faits, avant l'accident: - Un premier TER s'est arrêté au signal rouge, et a constaté un dysfonctionnement. Il a prévenu le centre de commandement, qui a dépêché un agent de maintenance sur place. Le TER est reparti à vitesse réduite, comme le prévoit la procédure. - Le TGV s'est arrêté au signal et après avoir obtenu une autorisation, est reparti à vitesse réduite. - Le TER s'est aussi arrêté mais est reparti à vitesse normale, c'est à dire 125 km/h. En voyant le TGV, il a freiné mais n'a pu éviter le choc. La collision a eu lieu à 95 km/h.
16h45
Le conducteur du TER ne peut pas encore s'expliquer Il est en état de choc et ne se souvient pas de ce qui s'est passé, selon les responsables.
16h36
«Nous sommes tous déterminés à assurer la sécurité des chemins de fer», dit Jacques Rapoport
16h31
A l'heure actuelle : - La circulation est coupée sur les voies de la collision. Les trains sont toujours sur place, sous scellés. - Après l'enlèvement des trains, RFF procédera à des vérifications des installations. Le trafic ne reprendra qu'après. - Les trains circulent dans cette zone à vitesse réduite, sur une voie, en circulation alternée.
16h29
Les différentes étapes de la collision Cliquer ici pour voir l'image en grand. ( Source: SNCF)
16h27
C'est un accident «très spécifique» En 30 ans, il y a eu «un seul incident contraire à la sécurité», en 2000. 16h25: Le TER roulait à 120 km/h, le TGV à vitesse réduite Le TER a passé le signal rouge sans ralentir. Il n'a pu éviter la collision.
16h26
Trois enquêtes sont ouvertes Une par le BEATT, une judiciaire et une interne, «qui a déjà commencé», précise la SNCF. L'enquête interne donnera ses conclusions «sous huit jours», selon le président de RFF. Tous les documents «seront mis sur les sites internet». «La transparence est une valeur essentielle de notre action», ajoute-t-il. 16h24: Le signal en maintenance est un «BAPR» #confpresse #Denguin"un BAPR est un Bloc Automatique à Permissivité Restreinte soit un système automatique de sécurité " Alain Krakovitch — SNCF (@SNCF_infopresse) July 18, 2014
16h23
Un premier TER a constaté qu'un signal ne fonctionnait pas, explique Alain Krakovitch 16h21: «Le pronostic vital des blessés n'est plus engagé» , selon Alain Krakovitch, le directeur général sécurité de la SNCF. Un numéro spécial a été mis en place #confpresse #Denguin"Un numero special assistance sur la durée 01 71 82 58 88 a ét émis en place pour les voyageurs concernés" — SNCF (@SNCF_infopresse) July 18, 2014 Ainsi qu'une adresse mail: denguin@sncf.fr
16h17
La conférence de presse est un peu en retard....
15h52
Quarante blessés, et des images impressionnantes. La collision entre un TER et un TGV jeudi soir dans les Pyrénées-Atlantiques suscite de nombreuses interrogations. Selon le secrétaire d'Etat aux Transports, un signal qui était «en maintenance» au moment des faits, ce qui pourrait expliquer l'accident. D'après le directeur général de la sécurité de la SNCF, Alain Krakovitch, la collision a pu être entraînée par un signal resté en rouge en permanence. Ce dernier, ainsi que Jacques Rapoport, le président de Réseaux ferrés de France (RFF) vont donner plus d'explications ce vendredi à .
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