INSOLITEDébarquement: Le vétéran fugueur rentré dans sa maison de retraite

Débarquement: Le vétéran fugueur rentré dans sa maison de retraite

INSOLITEAprès avoir effectué un périple en Normandie, pour assiter aux commémorations du 70e anniversaire du Débarquement...
Nicolas Bégasse

Nicolas Bégasse

Le vétéran britannique qui s'était échappé de sa maison de retraite, jeudi, pour se rendre aux commémorations du Débarquement, était de retour samedi et s'est dit prêt à repartir l'année prochaine s'il est «toujours là». «La grande évasion» titrent les tabloïds britanniques qui rapportent que Bernard Jordan, 89 ans, a fait preuve «d'une détermination aussi importante que lors du jour du Débarquement».

L'ancien maire de la ville de Hove, au sud-est de l'Angleterre, s'était échappé jeudi matin de sa maison de retraite. Ses médailles cachées sous son imperméable, il avait rejoint un bus de vétérans qui se rendait à Ouistreham en Normandie.

«J'ai passé un très bon moment. Je suis vraiment très content de l'avoir fait», a déclaré l'ancien officier de la Royal Air Force, en arrivant à Portsmouth, au sud de l'Angleterre samedi matin.

Très fatigué

Le personnel de la maison de retraite avait donné l'alerte jeudi en début de soirée. La police du Sussex avait alors fouillé toute la zone, vérifié auprès des hôpitaux, des compagnies de bus et de taxis, sans rien trouver. Le fugueur avait finalement été localisé le soir même, sain et sauf, au milieu de ses camarades du Débarquement en Normandie.

Après sept heures de traversée, il est rentré dans sa maison de retraite. «Je sais que je vais maintenant devoir affronter les conséquences», a-t-il ajouté. «Il est très fatigué. Il doit reprendre des forces et rester au repos», a déclaré à l'AFP Debbie McDonald, la directrice de l'établissement.

Un responsable de la maison de retraite a souligné que «le personnel de l'établissement a essayé d'obtenir une invitation» pour le vétéran, qui lui a été refusée en raison d'une demande trop tardive. Il avait été rapporté dans un premier temps que la maison de retraite lui avait interdit de se rendre en Normandie.

qui s'était échappé de sa maison de retraite

Le vétéran britannique qui s'était échappé de sa maison de retraite, jeudi, pour se rendre aux commémorations du Débarquement, était de retour samedi et s'est dit prêt à repartir l'année prochaine s'il est «toujours là». «La grande évasion» titrent les tabloïds britanniques qui rapportent que Bernard Jordan, 89 ans, a fait preuve «d'une détermination aussi importante que lors du jour du Débarquement».

L'ancien maire de la ville de Hove, au sud-est de l'Angleterre, s'était échappé jeudi matin de sa maison de retraite. Ses médailles cachées sous son imperméable, il avait rejoint un bus de vétérans qui se rendait à Ouistreham en Normandie.

«J'ai passé un très bon moment. Je suis vraiment très content de l'avoir fait», a déclaré l'ancien officier de la Royal Air Force, en arrivant à Portsmouth, au sud de l'Angleterre samedi matin.

Très fatigué

Le personnel de la maison de retraite avait donné l'alerte jeudi en début de soirée. La police du Sussex avait alors fouillé toute la zone, vérifié auprès des hôpitaux, des compagnies de bus et de taxis, sans rien trouver. Le fugueur avait finalement été localisé le soir même, sain et sauf, au milieu de ses camarades du Débarquement en Normandie.

Après sept heures de traversée, il est rentré dans sa maison de retraite. «Je sais que je vais maintenant devoir affronter les conséquences», a-t-il ajouté. «Il est très fatigué. Il doit reprendre des forces et rester au repos», a déclaré à l'AFP Debbie McDonald, la directrice de l'établissement.

Un responsable de la maison de retraite a souligné que «le personnel de l'établissement a essayé d'obtenir une invitation» pour le vétéran, qui lui a été refusée en raison d'une demande trop tardive. Il avait été rapporté dans un premier temps que la maison de retraite lui avait interdit de se rendre en Normandie.


Le vétéran britannique qui s'était échappé de sa maison de retraite, jeudi, pour se rendre aux commémorations du Débarquement, était de retour samedi et s'est dit prêt à repartir l'année prochaine s'il est «toujours là». «La grande évasion» titrent les tabloïds britanniques qui rapportent que Bernard Jordan, 89 ans, a fait preuve «d'une détermination aussi importante que lors du jour du Débarquement».

L'ancien maire de la ville de Hove, au sud-est de l'Angleterre, s'était échappé jeudi matin de sa maison de retraite. Ses médailles cachées sous son imperméable, il avait rejoint un bus de vétérans qui se rendait à Ouistreham en Normandie.

«J'ai passé un très bon moment. Je suis vraiment très content de l'avoir fait», a déclaré l'ancien officier de la Royal Air Force, en arrivant à Portsmouth, au sud de l'Angleterre samedi matin.

Très fatigué

Le personnel de la maison de retraite avait donné l'alerte jeudi en début de soirée. La police du Sussex avait alors fouillé toute la zone, vérifié auprès des hôpitaux, des compagnies de bus et de taxis, sans rien trouver. Le fugueur avait finalement été localisé le soir même, sain et sauf, au milieu de ses camarades du Débarquement en Normandie.

Après sept heures de traversée, il est rentré dans sa maison de retraite. «Je sais que je vais maintenant devoir affronter les conséquences», a-t-il ajouté. «Il est très fatigué. Il doit reprendre des forces et rester au repos», a déclaré à l'AFP Debbie McDonald, la directrice de l'établissement.

Un responsable de la maison de retraite a souligné que «le personnel de l'établissement a essayé d'obtenir une invitation» pour le vétéran, qui lui a été refusée en raison d'une demande trop tardive. Il avait été rapporté dans un premier temps que la maison de retraite lui avait interdit de se rendre en Normandie.


Le vétéran britannique qui s'était échappé de sa maison de retraite, jeudi, pour se rendre aux commémorations du Débarquement, était de retour samedi et s'est dit prêt à repartir l'année prochaine s'il est «toujours là». «La grande évasion» titrent les tabloïds britanniques qui rapportent que Bernard Jordan, 89 ans, a fait preuve «d'une détermination aussi importante que lors du jour du Débarquement».

L'ancien maire de la ville de Hove, au sud-est de l'Angleterre, s'était échappé jeudi matin de sa maison de retraite. Ses médailles cachées sous son imperméable, il avait rejoint un bus de vétérans qui se rendait à Ouistreham en Normandie.

«J'ai passé un très bon moment. Je suis vraiment très content de l'avoir fait», a déclaré l'ancien officier de la Royal Air Force, en arrivant à Portsmouth, au sud de l'Angleterre samedi matin.

Très fatigué

Le personnel de la maison de retraite avait donné l'alerte jeudi en début de soirée. La police du Sussex avait alors fouillé toute la zone, vérifié auprès des hôpitaux, des compagnies de bus et de taxis, sans rien trouver. Le fugueur avait finalement été localisé le soir même, sain et sauf, au milieu de ses camarades du Débarquement en Normandie.

Après sept heures de traversée, il est rentré dans sa maison de retraite. «Je sais que je vais maintenant devoir affronter les conséquences», a-t-il ajouté. «Il est très fatigué. Il doit reprendre des forces et rester au repos», a déclaré à l'AFP Debbie McDonald, la directrice de l'établissement.

Un responsable de la maison de retraite a souligné que «le personnel de l'établissement a essayé d'obtenir une invitation» pour le vétéran, qui lui a été refusée en raison d'une demande trop tardive. Il avait été rapporté dans un premier temps que la maison de retraite lui avait interdit de se rendre en Normandie.


Le vétéran britannique qui s'était échappé de sa maison de retraite, jeudi, pour se rendre aux commémorations du Débarquement, était de retour samedi et s'est dit prêt à repartir l'année prochaine s'il est «toujours là». «La grande évasion» titrent les tabloïds britanniques qui rapportent que Bernard Jordan, 89 ans, a fait preuve «d'une détermination aussi importante que lors du jour du Débarquement».

L'ancien maire de la ville de Hove, au sud-est de l'Angleterre, s'était échappé jeudi matin de sa maison de retraite. Ses médailles cachées sous son imperméable, il avait rejoint un bus de vétérans qui se rendait à Ouistreham en Normandie.

«J'ai passé un très bon moment. Je suis vraiment très content de l'avoir fait», a déclaré l'ancien officier de la Royal Air Force, en arrivant à Portsmouth, au sud de l'Angleterre samedi matin.

Très fatigué

Le personnel de la maison de retraite avait donné l'alerte jeudi en début de soirée. La police du Sussex avait alors fouillé toute la zone, vérifié auprès des hôpitaux, des compagnies de bus et de taxis, sans rien trouver. Le fugueur avait finalement été localisé le soir même, sain et sauf, au milieu de ses camarades du Débarquement en Normandie.

Après sept heures de traversée, il est rentré dans sa maison de retraite. «Je sais que je vais maintenant devoir affronter les conséquences», a-t-il ajouté. «Il est très fatigué. Il doit reprendre des forces et rester au repos», a déclaré à l'AFP Debbie McDonald, la directrice de l'établissement.

Un responsable de la maison de retraite a souligné que «le personnel de l'établissement a essayé d'obtenir une invitation» pour le vétéran, qui lui a été refusée en raison d'une demande trop tardive. Il avait été rapporté dans un premier temps que la maison de retraite lui avait interdit de se rendre en Normandie.


Le vétéran britannique qui s'était échappé de sa maison de retraite, jeudi, pour se rendre aux commémorations du Débarquement, était de retour samedi et s'est dit prêt à repartir l'année prochaine s'il est «toujours là». «La grande évasion» titrent les tabloïds britanniques qui rapportent que Bernard Jordan, 89 ans, a fait preuve «d'une détermination aussi importante que lors du jour du Débarquement».

L'ancien maire de la ville de Hove, au sud-est de l'Angleterre, s'était échappé jeudi matin de sa maison de retraite. Ses médailles cachées sous son imperméable, il avait rejoint un bus de vétérans qui se rendait à Ouistreham en Normandie.

«J'ai passé un très bon moment. Je suis vraiment très content de l'avoir fait», a déclaré l'ancien officier de la Royal Air Force, en arrivant à Portsmouth, au sud de l'Angleterre samedi matin.

Très fatigué

Le personnel de la maison de retraite avait donné l'alerte jeudi en début de soirée. La police du Sussex avait alors fouillé toute la zone, vérifié auprès des hôpitaux, des compagnies de bus et de taxis, sans rien trouver. Le fugueur avait finalement été localisé le soir même, sain et sauf, au milieu de ses camarades du Débarquement en Normandie.

Après sept heures de traversée, il est rentré dans sa maison de retraite. «Je sais que je vais maintenant devoir affronter les conséquences», a-t-il ajouté. «Il est très fatigué. Il doit reprendre des forces et rester au repos», a déclaré à l'AFP Debbie McDonald, la directrice de l'établissement.

Un responsable de la maison de retraite a souligné que «le personnel de l'établissement a essayé d'obtenir une invitation» pour le vétéran, qui lui a été refusée en raison d'une demande trop tardive. Il avait été rapporté dans un premier temps que la maison de retraite lui avait interdit de se rendre en Normandie.

au milieu de ses camarades du Débarquement

Le vétéran britannique qui s'était échappé de sa maison de retraite, jeudi, pour se rendre aux commémorations du Débarquement, était de retour samedi et s'est dit prêt à repartir l'année prochaine s'il est «toujours là». «La grande évasion» titrent les tabloïds britanniques qui rapportent que Bernard Jordan, 89 ans, a fait preuve «d'une détermination aussi importante que lors du jour du Débarquement».

L'ancien maire de la ville de Hove, au sud-est de l'Angleterre, s'était échappé jeudi matin de sa maison de retraite. Ses médailles cachées sous son imperméable, il avait rejoint un bus de vétérans qui se rendait à Ouistreham en Normandie.

«J'ai passé un très bon moment. Je suis vraiment très content de l'avoir fait», a déclaré l'ancien officier de la Royal Air Force, en arrivant à Portsmouth, au sud de l'Angleterre samedi matin.

Très fatigué

Le personnel de la maison de retraite avait donné l'alerte jeudi en début de soirée. La police du Sussex avait alors fouillé toute la zone, vérifié auprès des hôpitaux, des compagnies de bus et de taxis, sans rien trouver. Le fugueur avait finalement été localisé le soir même, sain et sauf, au milieu de ses camarades du Débarquement en Normandie.

Après sept heures de traversée, il est rentré dans sa maison de retraite. «Je sais que je vais maintenant devoir affronter les conséquences», a-t-il ajouté. «Il est très fatigué. Il doit reprendre des forces et rester au repos», a déclaré à l'AFP Debbie McDonald, la directrice de l'établissement.

Un responsable de la maison de retraite a souligné que «le personnel de l'établissement a essayé d'obtenir une invitation» pour le vétéran, qui lui a été refusée en raison d'une demande trop tardive. Il avait été rapporté dans un premier temps que la maison de retraite lui avait interdit de se rendre en Normandie.


Le vétéran britannique qui s'était échappé de sa maison de retraite, jeudi, pour se rendre aux commémorations du Débarquement, était de retour samedi et s'est dit prêt à repartir l'année prochaine s'il est «toujours là». «La grande évasion» titrent les tabloïds britanniques qui rapportent que Bernard Jordan, 89 ans, a fait preuve «d'une détermination aussi importante que lors du jour du Débarquement».

L'ancien maire de la ville de Hove, au sud-est de l'Angleterre, s'était échappé jeudi matin de sa maison de retraite. Ses médailles cachées sous son imperméable, il avait rejoint un bus de vétérans qui se rendait à Ouistreham en Normandie.

«J'ai passé un très bon moment. Je suis vraiment très content de l'avoir fait», a déclaré l'ancien officier de la Royal Air Force, en arrivant à Portsmouth, au sud de l'Angleterre samedi matin.

Très fatigué

Le personnel de la maison de retraite avait donné l'alerte jeudi en début de soirée. La police du Sussex avait alors fouillé toute la zone, vérifié auprès des hôpitaux, des compagnies de bus et de taxis, sans rien trouver. Le fugueur avait finalement été localisé le soir même, sain et sauf, au milieu de ses camarades du Débarquement en Normandie.

Après sept heures de traversée, il est rentré dans sa maison de retraite. «Je sais que je vais maintenant devoir affronter les conséquences», a-t-il ajouté. «Il est très fatigué. Il doit reprendre des forces et rester au repos», a déclaré à l'AFP Debbie McDonald, la directrice de l'établissement.

Un responsable de la maison de retraite a souligné que «le personnel de l'établissement a essayé d'obtenir une invitation» pour le vétéran, qui lui a été refusée en raison d'une demande trop tardive. Il avait été rapporté dans un premier temps que la maison de retraite lui avait interdit de se rendre en Normandie.


Le vétéran britannique qui s'était échappé de sa maison de retraite, jeudi, pour se rendre aux commémorations du Débarquement, était de retour samedi et s'est dit prêt à repartir l'année prochaine s'il est «toujours là». «La grande évasion» titrent les tabloïds britanniques qui rapportent que Bernard Jordan, 89 ans, a fait preuve «d'une détermination aussi importante que lors du jour du Débarquement».

L'ancien maire de la ville de Hove, au sud-est de l'Angleterre, s'était échappé jeudi matin de sa maison de retraite. Ses médailles cachées sous son imperméable, il avait rejoint un bus de vétérans qui se rendait à Ouistreham en Normandie.

«J'ai passé un très bon moment. Je suis vraiment très content de l'avoir fait», a déclaré l'ancien officier de la Royal Air Force, en arrivant à Portsmouth, au sud de l'Angleterre samedi matin.

Très fatigué

Le personnel de la maison de retraite avait donné l'alerte jeudi en début de soirée. La police du Sussex avait alors fouillé toute la zone, vérifié auprès des hôpitaux, des compagnies de bus et de taxis, sans rien trouver. Le fugueur avait finalement été localisé le soir même, sain et sauf, au milieu de ses camarades du Débarquement en Normandie.

Après sept heures de traversée, il est rentré dans sa maison de retraite. «Je sais que je vais maintenant devoir affronter les conséquences», a-t-il ajouté. «Il est très fatigué. Il doit reprendre des forces et rester au repos», a déclaré à l'AFP Debbie McDonald, la directrice de l'établissement.

Un responsable de la maison de retraite a souligné que «le personnel de l'établissement a essayé d'obtenir une invitation» pour le vétéran, qui lui a été refusée en raison d'une demande trop tardive. Il avait été rapporté dans un premier temps que la maison de retraite lui avait interdit de se rendre en Normandie.