Un loup-garou dans les Mauges?
B.D.
Une multiplication d'attaque de brebis égorgées par une mystérieuse bête dans les Mauges, zone correspondant au sud-ouest de l'actuel département du Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou. Il n'en faut pas plus à certains pour penser à la présence d'un loup-garou, rapporte Ouest France.
Entre août et avril, les éleveurs de la région ont perdu 86 ovins, rappelle le quotidien régional. Il pourrait s'agir d'un chien-loup tchécoslovaque, fruit du croisement entre le berger allemand et la louve des Carpates, toujours selon le journal, mais certains pensent qu'il pourrait s'agir d'un loup-garou.
Lundi, deux jeunes experts en la matière, la lycanthropie, ont débarqué depuis Paris pour trois jours d'«enquête» dans la région. Leur objectif: «sauver le loup-garou», cette bête «biologiquement exceptionnelle», pour pouvoir l’étudier vivant. Pour les adeptes de la lycanthropie, les résultats de leur «enquête» sont publiés sur leur page Facebook, «Sauvons les loups-garous français», et leur blog.
Une multiplication d'attaque de brebis égorgées par une mystérieuse bête dans les Mauges, zone correspondant au sud-ouest de l'actuel département du Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou. Il n'en faut pas plus à certains pour penser à la présence d'un loup-garou, rapporte Ouest France.
Entre août et avril, les éleveurs de la région ont perdu 86 ovins, rappelle le quotidien régional. Il pourrait s'agir d'un chien-loup tchécoslovaque, fruit du croisement entre le berger allemand et la louve des Carpates, toujours selon le journal, mais certains pensent qu'il pourrait s'agir d'un loup-garou.
Lundi, deux jeunes experts en la matière, la lycanthropie, ont débarqué depuis Paris pour trois jours d'«enquête» dans la région. Leur objectif: «sauver le loup-garou», cette bête «biologiquement exceptionnelle», pour pouvoir l’étudier vivant. Pour les adeptes de la lycanthropie, les résultats de leur «enquête» sont publiés sur leur page Facebook, «Sauvons les loups-garous français», et leur blog.
Une multiplication d'attaque de brebis égorgées par une mystérieuse bête dans les Mauges, zone correspondant au sud-ouest de l'actuel département du Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou. Il n'en faut pas plus à certains pour penser à la présence d'un loup-garou, rapporte Ouest France.
Entre août et avril, les éleveurs de la région ont perdu 86 ovins, rappelle le quotidien régional. Il pourrait s'agir d'un chien-loup tchécoslovaque, fruit du croisement entre le berger allemand et la louve des Carpates, toujours selon le journal, mais certains pensent qu'il pourrait s'agir d'un loup-garou.
Lundi, deux jeunes experts en la matière, la lycanthropie, ont débarqué depuis Paris pour trois jours d'«enquête» dans la région. Leur objectif: «sauver le loup-garou», cette bête «biologiquement exceptionnelle», pour pouvoir l’étudier vivant. Pour les adeptes de la lycanthropie, les résultats de leur «enquête» sont publiés sur leur page Facebook, «Sauvons les loups-garous français», et leur blog.
Une multiplication d'attaque de brebis égorgées par une mystérieuse bête dans les Mauges, zone correspondant au sud-ouest de l'actuel département du Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou. Il n'en faut pas plus à certains pour penser à la présence d'un loup-garou, rapporte Ouest France.
Entre août et avril, les éleveurs de la région ont perdu 86 ovins, rappelle le quotidien régional. Il pourrait s'agir d'un chien-loup tchécoslovaque, fruit du croisement entre le berger allemand et la louve des Carpates, toujours selon le journal, mais certains pensent qu'il pourrait s'agir d'un loup-garou.
Lundi, deux jeunes experts en la matière, la lycanthropie, ont débarqué depuis Paris pour trois jours d'«enquête» dans la région. Leur objectif: «sauver le loup-garou», cette bête «biologiquement exceptionnelle», pour pouvoir l’étudier vivant. Pour les adeptes de la lycanthropie, les résultats de leur «enquête» sont publiés sur leur page Facebook, «Sauvons les loups-garous français», et leur blog.
Une multiplication d'attaque de brebis égorgées par une mystérieuse bête dans les Mauges, zone correspondant au sud-ouest de l'actuel département du Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou. Il n'en faut pas plus à certains pour penser à la présence d'un loup-garou, rapporte Ouest France.
Entre août et avril, les éleveurs de la région ont perdu 86 ovins, rappelle le quotidien régional. Il pourrait s'agir d'un chien-loup tchécoslovaque, fruit du croisement entre le berger allemand et la louve des Carpates, toujours selon le journal, mais certains pensent qu'il pourrait s'agir d'un loup-garou.
Lundi, deux jeunes experts en la matière, la lycanthropie, ont débarqué depuis Paris pour trois jours d'«enquête» dans la région. Leur objectif: «sauver le loup-garou», cette bête «biologiquement exceptionnelle», pour pouvoir l’étudier vivant. Pour les adeptes de la lycanthropie, les résultats de leur «enquête» sont publiés sur leur page Facebook, «Sauvons les loups-garous français», et leur blog.
Une multiplication d'attaque de brebis égorgées par une mystérieuse bête dans les Mauges, zone correspondant au sud-ouest de l'actuel département du Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou. Il n'en faut pas plus à certains pour penser à la présence d'un loup-garou, rapporte Ouest France.
Entre août et avril, les éleveurs de la région ont perdu 86 ovins, rappelle le quotidien régional. Il pourrait s'agir d'un chien-loup tchécoslovaque, fruit du croisement entre le berger allemand et la louve des Carpates, toujours selon le journal, mais certains pensent qu'il pourrait s'agir d'un loup-garou.
Lundi, deux jeunes experts en la matière, la lycanthropie, ont débarqué depuis Paris pour trois jours d'«enquête» dans la région. Leur objectif: «sauver le loup-garou», cette bête «biologiquement exceptionnelle», pour pouvoir l’étudier vivant. Pour les adeptes de la lycanthropie, les résultats de leur «enquête» sont publiés sur leur page Facebook, «Sauvons les loups-garous français», et leur blog.
Une multiplication d'attaque de brebis égorgées par une mystérieuse bête dans les Mauges, zone correspondant au sud-ouest de l'actuel département du Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou. Il n'en faut pas plus à certains pour penser à la présence d'un loup-garou, rapporte Ouest France.
Entre août et avril, les éleveurs de la région ont perdu 86 ovins, rappelle le quotidien régional. Il pourrait s'agir d'un chien-loup tchécoslovaque, fruit du croisement entre le berger allemand et la louve des Carpates, toujours selon le journal, mais certains pensent qu'il pourrait s'agir d'un loup-garou.
Lundi, deux jeunes experts en la matière, la lycanthropie, ont débarqué depuis Paris pour trois jours d'«enquête» dans la région. Leur objectif: «sauver le loup-garou», cette bête «biologiquement exceptionnelle», pour pouvoir l’étudier vivant. Pour les adeptes de la lycanthropie, les résultats de leur «enquête» sont publiés sur leur page Facebook, «Sauvons les loups-garous français», et leur blog.
Une multiplication d'attaque de brebis égorgées par une mystérieuse bête dans les Mauges, zone correspondant au sud-ouest de l'actuel département du Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou. Il n'en faut pas plus à certains pour penser à la présence d'un loup-garou, rapporte Ouest France.
Entre août et avril, les éleveurs de la région ont perdu 86 ovins, rappelle le quotidien régional. Il pourrait s'agir d'un chien-loup tchécoslovaque, fruit du croisement entre le berger allemand et la louve des Carpates, toujours selon le journal, mais certains pensent qu'il pourrait s'agir d'un loup-garou.
Lundi, deux jeunes experts en la matière, la lycanthropie, ont débarqué depuis Paris pour trois jours d'«enquête» dans la région. Leur objectif: «sauver le loup-garou», cette bête «biologiquement exceptionnelle», pour pouvoir l’étudier vivant. Pour les adeptes de la lycanthropie, les résultats de leur «enquête» sont publiés sur leur page Facebook, «Sauvons les loups-garous français», et leur blog.