Paralysés, ils réussissent à contrôler par la pensée le curseur d'un ordinateur
SANTE•Selon les scientifiques, cet exploit ouvre la voie à la création d'appareils permettant aux personnes handicapées d'être plus autonomes...20 Minutes avec agences
Des électrodes ont été implantées dans leur cortex moteur, cette partie du cerveau qui contrôle les mouvements. Et grâce à cette première, deux personnes paralysées sont parvenues à contrôler par la pensée le curseur d’un ordinateur. Un exploit.
Ce réseau d’électrodes a permis de décoder les « signaux » émis par cette partie du cerveau, et nos deux handicapés [souffrant d’une sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou maladie de Charcot, qui conduit inéluctablement à une paralysie] sont parvenus, en imaginant un mouvement, à déplacer ce curseur sur un écran jusqu’à une cible.
« Améliorer la qualité de vie des personnes paralysées »
Ce type de « prothèse cérébrale », qui fonctionne grâce à un appareillage électronique, pourrait « améliorer la qualité de vie des personnes paralysées » en permettant de contrôler à distance des ordinateurs voire des membres, explique le groupe d’universitaires américains à l’origine de cet exploit décrit, ce mardi, dans la revue Nature Medicine.
Déjà en 2011, dans le cadre de recherches effectuées par le groupement de recherche BrainGate2 [dont l’objectif est de développer des outils pour la mobilité, communication et autonomie des personnes handicapées], Cathy Hutchinson, une Américaine tétraplégique, avait pu actionner un bras robotisé grâce à un réseau d’électrodes implanté dans le cerveau. Mais, depuis, le système d’interprétation des ondes cérébrales a été fortement amélioré pour permettre un contrôle « plus rapide et plus précis » du curseur sur l’écran, explique Jaimie Henderson (université de Stanford), l’un des auteurs de l’article.
Rétablir un « lien » entre le cerveau et le membre paralysé
BrainGate2 qui regroupe plusieurs centres de recherche américains « explore différentes voies pour exploiter les signaux du cerveau » afin de permettre un jour à des paralysés de « contrôler des appareils dans leur environnement », ajoute Jaimie Henderson.
Il peut s’agir du contrôle d’un bras artificiel mais aussi du curseur d’une souris d’ordinateur, avant de pouvoir peut-être un jour rétablir un « lien » entre le cerveau et le membre paralysé d’une personne tétraplégique. Et Jaimie Henderson de souligner que cet exploit représente « une avancée vers l’un de nos buts qui est de permettre à un utilisateur (paralysé) de contrôler à volonté un ordinateur en déplaçant un curseur et en cliquant ».
Ce réseau d’électrodes a permis de décoder les « signaux » émis par cette partie du cerveau, et nos deux handicapés [souffrant d’une sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou maladie de Charcot, qui conduit inéluctablement à une paralysie] sont parvenus, en imaginant un mouvement, à déplacer ce curseur sur un écran jusqu’à une cible.
« Améliorer la qualité de vie des personnes paralysées »
Ce type de « prothèse cérébrale », qui fonctionne grâce à un appareillage électronique, pourrait « améliorer la qualité de vie des personnes paralysées » en permettant de contrôler à distance des ordinateurs voire des membres, explique le groupe d’universitaires américains à l’origine de cet exploit décrit, ce mardi, dans la revue Nature Medicine.
Déjà en 2011, dans le cadre de recherches effectuées par le groupement de recherche BrainGate2 [dont l’objectif est de développer des outils pour la mobilité, communication et autonomie des personnes handicapées], Cathy Hutchinson, une Américaine tétraplégique, avait pu actionner un bras robotisé grâce à un réseau d’électrodes implanté dans le cerveau. Mais, depuis, le système d’interprétation des ondes cérébrales a été fortement amélioré pour permettre un contrôle « plus rapide et plus précis » du curseur sur l’écran, explique Jaimie Henderson (université de Stanford), l’un des auteurs de l’article.
Rétablir un « lien » entre le cerveau et le membre paralysé
BrainGate2 qui regroupe plusieurs centres de recherche américains « explore différentes voies pour exploiter les signaux du cerveau » afin de permettre un jour à des paralysés de « contrôler des appareils dans leur environnement », ajoute Jaimie Henderson.
Il peut s’agir du contrôle d’un bras artificiel mais aussi du curseur d’une souris d’ordinateur, avant de pouvoir peut-être un jour rétablir un « lien » entre le cerveau et le membre paralysé d’une personne tétraplégique. Et Jaimie Henderson de souligner que cet exploit représente « une avancée vers l’un de nos buts qui est de permettre à un utilisateur (paralysé) de contrôler à volonté un ordinateur en déplaçant un curseur et en cliquant ».
Ce réseau d’électrodes a permis de décoder les « signaux » émis par cette partie du cerveau, et nos deux handicapés [souffrant d’une sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou maladie de Charcot, qui conduit inéluctablement à une paralysie] sont parvenus, en imaginant un mouvement, à déplacer ce curseur sur un écran jusqu’à une cible.
« Améliorer la qualité de vie des personnes paralysées »
Ce type de « prothèse cérébrale », qui fonctionne grâce à un appareillage électronique, pourrait « améliorer la qualité de vie des personnes paralysées » en permettant de contrôler à distance des ordinateurs voire des membres, explique le groupe d’universitaires américains à l’origine de cet exploit décrit, ce mardi, dans la revue Nature Medicine.
Déjà en 2011, dans le cadre de recherches effectuées par le groupement de recherche BrainGate2 [dont l’objectif est de développer des outils pour la mobilité, communication et autonomie des personnes handicapées], Cathy Hutchinson, une Américaine tétraplégique, avait pu actionner un bras robotisé grâce à un réseau d’électrodes implanté dans le cerveau. Mais, depuis, le système d’interprétation des ondes cérébrales a été fortement amélioré pour permettre un contrôle « plus rapide et plus précis » du curseur sur l’écran, explique Jaimie Henderson (université de Stanford), l’un des auteurs de l’article.
Rétablir un « lien » entre le cerveau et le membre paralysé
BrainGate2 qui regroupe plusieurs centres de recherche américains « explore différentes voies pour exploiter les signaux du cerveau » afin de permettre un jour à des paralysés de « contrôler des appareils dans leur environnement », ajoute Jaimie Henderson.
Il peut s’agir du contrôle d’un bras artificiel mais aussi du curseur d’une souris d’ordinateur, avant de pouvoir peut-être un jour rétablir un « lien » entre le cerveau et le membre paralysé d’une personne tétraplégique. Et Jaimie Henderson de souligner que cet exploit représente « une avancée vers l’un de nos buts qui est de permettre à un utilisateur (paralysé) de contrôler à volonté un ordinateur en déplaçant un curseur et en cliquant ».
Ce réseau d’électrodes a permis de décoder les « signaux » émis par cette partie du cerveau, et nos deux handicapés [souffrant d’une sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou maladie de Charcot, qui conduit inéluctablement à une paralysie] sont parvenus, en imaginant un mouvement, à déplacer ce curseur sur un écran jusqu’à une cible.
« Améliorer la qualité de vie des personnes paralysées »
Ce type de « prothèse cérébrale », qui fonctionne grâce à un appareillage électronique, pourrait « améliorer la qualité de vie des personnes paralysées » en permettant de contrôler à distance des ordinateurs voire des membres, explique le groupe d’universitaires américains à l’origine de cet exploit décrit, ce mardi, dans la revue Nature Medicine.
Déjà en 2011, dans le cadre de recherches effectuées par le groupement de recherche BrainGate2 [dont l’objectif est de développer des outils pour la mobilité, communication et autonomie des personnes handicapées], Cathy Hutchinson, une Américaine tétraplégique, avait pu actionner un bras robotisé grâce à un réseau d’électrodes implanté dans le cerveau. Mais, depuis, le système d’interprétation des ondes cérébrales a été fortement amélioré pour permettre un contrôle « plus rapide et plus précis » du curseur sur l’écran, explique Jaimie Henderson (université de Stanford), l’un des auteurs de l’article.
Rétablir un « lien » entre le cerveau et le membre paralysé
BrainGate2 qui regroupe plusieurs centres de recherche américains « explore différentes voies pour exploiter les signaux du cerveau » afin de permettre un jour à des paralysés de « contrôler des appareils dans leur environnement », ajoute Jaimie Henderson.
Il peut s’agir du contrôle d’un bras artificiel mais aussi du curseur d’une souris d’ordinateur, avant de pouvoir peut-être un jour rétablir un « lien » entre le cerveau et le membre paralysé d’une personne tétraplégique. Et Jaimie Henderson de souligner que cet exploit représente « une avancée vers l’un de nos buts qui est de permettre à un utilisateur (paralysé) de contrôler à volonté un ordinateur en déplaçant un curseur et en cliquant ».
Ce réseau d’électrodes a permis de décoder les « signaux » émis par cette partie du cerveau, et nos deux handicapés [souffrant d’une sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou maladie de Charcot, qui conduit inéluctablement à une paralysie] sont parvenus, en imaginant un mouvement, à déplacer ce curseur sur un écran jusqu’à une cible.
« Améliorer la qualité de vie des personnes paralysées »
Ce type de « prothèse cérébrale », qui fonctionne grâce à un appareillage électronique, pourrait « améliorer la qualité de vie des personnes paralysées » en permettant de contrôler à distance des ordinateurs voire des membres, explique le groupe d’universitaires américains à l’origine de cet exploit décrit, ce mardi, dans la revue Nature Medicine.
Déjà en 2011, dans le cadre de recherches effectuées par le groupement de recherche BrainGate2 [dont l’objectif est de développer des outils pour la mobilité, communication et autonomie des personnes handicapées], Cathy Hutchinson, une Américaine tétraplégique, avait pu actionner un bras robotisé grâce à un réseau d’électrodes implanté dans le cerveau. Mais, depuis, le système d’interprétation des ondes cérébrales a été fortement amélioré pour permettre un contrôle « plus rapide et plus précis » du curseur sur l’écran, explique Jaimie Henderson (université de Stanford), l’un des auteurs de l’article.
Rétablir un « lien » entre le cerveau et le membre paralysé
BrainGate2 qui regroupe plusieurs centres de recherche américains « explore différentes voies pour exploiter les signaux du cerveau » afin de permettre un jour à des paralysés de « contrôler des appareils dans leur environnement », ajoute Jaimie Henderson.
Il peut s’agir du contrôle d’un bras artificiel mais aussi du curseur d’une souris d’ordinateur, avant de pouvoir peut-être un jour rétablir un « lien » entre le cerveau et le membre paralysé d’une personne tétraplégique. Et Jaimie Henderson de souligner que cet exploit représente « une avancée vers l’un de nos buts qui est de permettre à un utilisateur (paralysé) de contrôler à volonté un ordinateur en déplaçant un curseur et en cliquant ».
Ce réseau d’électrodes a permis de décoder les « signaux » émis par cette partie du cerveau, et nos deux handicapés [souffrant d’une sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou maladie de Charcot, qui conduit inéluctablement à une paralysie] sont parvenus, en imaginant un mouvement, à déplacer ce curseur sur un écran jusqu’à une cible.
« Améliorer la qualité de vie des personnes paralysées »
Ce type de « prothèse cérébrale », qui fonctionne grâce à un appareillage électronique, pourrait « améliorer la qualité de vie des personnes paralysées » en permettant de contrôler à distance des ordinateurs voire des membres, explique le groupe d’universitaires américains à l’origine de cet exploit décrit, ce mardi, dans la revue Nature Medicine.
Déjà en 2011, dans le cadre de recherches effectuées par le groupement de recherche BrainGate2 [dont l’objectif est de développer des outils pour la mobilité, communication et autonomie des personnes handicapées], Cathy Hutchinson, une Américaine tétraplégique, avait pu actionner un bras robotisé grâce à un réseau d’électrodes implanté dans le cerveau. Mais, depuis, le système d’interprétation des ondes cérébrales a été fortement amélioré pour permettre un contrôle « plus rapide et plus précis » du curseur sur l’écran, explique Jaimie Henderson (université de Stanford), l’un des auteurs de l’article.
Rétablir un « lien » entre le cerveau et le membre paralysé
BrainGate2 qui regroupe plusieurs centres de recherche américains « explore différentes voies pour exploiter les signaux du cerveau » afin de permettre un jour à des paralysés de « contrôler des appareils dans leur environnement », ajoute Jaimie Henderson.
Il peut s’agir du contrôle d’un bras artificiel mais aussi du curseur d’une souris d’ordinateur, avant de pouvoir peut-être un jour rétablir un « lien » entre le cerveau et le membre paralysé d’une personne tétraplégique. Et Jaimie Henderson de souligner que cet exploit représente « une avancée vers l’un de nos buts qui est de permettre à un utilisateur (paralysé) de contrôler à volonté un ordinateur en déplaçant un curseur et en cliquant ».
Ce réseau d’électrodes a permis de décoder les « signaux » émis par cette partie du cerveau, et nos deux handicapés [souffrant d’une sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou maladie de Charcot, qui conduit inéluctablement à une paralysie] sont parvenus, en imaginant un mouvement, à déplacer ce curseur sur un écran jusqu’à une cible.
« Améliorer la qualité de vie des personnes paralysées »
Ce type de « prothèse cérébrale », qui fonctionne grâce à un appareillage électronique, pourrait « améliorer la qualité de vie des personnes paralysées » en permettant de contrôler à distance des ordinateurs voire des membres, explique le groupe d’universitaires américains à l’origine de cet exploit décrit, ce mardi, dans la revue Nature Medicine.
Déjà en 2011, dans le cadre de recherches effectuées par le groupement de recherche BrainGate2 [dont l’objectif est de développer des outils pour la mobilité, communication et autonomie des personnes handicapées], Cathy Hutchinson, une Américaine tétraplégique, avait pu actionner un bras robotisé grâce à un réseau d’électrodes implanté dans le cerveau. Mais, depuis, le système d’interprétation des ondes cérébrales a été fortement amélioré pour permettre un contrôle « plus rapide et plus précis » du curseur sur l’écran, explique Jaimie Henderson (université de Stanford), l’un des auteurs de l’article.
Rétablir un « lien » entre le cerveau et le membre paralysé
BrainGate2 qui regroupe plusieurs centres de recherche américains « explore différentes voies pour exploiter les signaux du cerveau » afin de permettre un jour à des paralysés de « contrôler des appareils dans leur environnement », ajoute Jaimie Henderson.
Il peut s’agir du contrôle d’un bras artificiel mais aussi du curseur d’une souris d’ordinateur, avant de pouvoir peut-être un jour rétablir un « lien » entre le cerveau et le membre paralysé d’une personne tétraplégique. Et Jaimie Henderson de souligner que cet exploit représente « une avancée vers l’un de nos buts qui est de permettre à un utilisateur (paralysé) de contrôler à volonté un ordinateur en déplaçant un curseur et en cliquant ».
BrainGate2
Ce réseau d’électrodes a permis de décoder les « signaux » émis par cette partie du cerveau, et nos deux handicapés [souffrant d’une sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou maladie de Charcot, qui conduit inéluctablement à une paralysie] sont parvenus, en imaginant un mouvement, à déplacer ce curseur sur un écran jusqu’à une cible.
« Améliorer la qualité de vie des personnes paralysées »
Ce type de « prothèse cérébrale », qui fonctionne grâce à un appareillage électronique, pourrait « améliorer la qualité de vie des personnes paralysées » en permettant de contrôler à distance des ordinateurs voire des membres, explique le groupe d’universitaires américains à l’origine de cet exploit décrit, ce mardi, dans la revue Nature Medicine.
Déjà en 2011, dans le cadre de recherches effectuées par le groupement de recherche BrainGate2 [dont l’objectif est de développer des outils pour la mobilité, communication et autonomie des personnes handicapées], Cathy Hutchinson, une Américaine tétraplégique, avait pu actionner un bras robotisé grâce à un réseau d’électrodes implanté dans le cerveau. Mais, depuis, le système d’interprétation des ondes cérébrales a été fortement amélioré pour permettre un contrôle « plus rapide et plus précis » du curseur sur l’écran, explique Jaimie Henderson (université de Stanford), l’un des auteurs de l’article.
Rétablir un « lien » entre le cerveau et le membre paralysé
BrainGate2 qui regroupe plusieurs centres de recherche américains « explore différentes voies pour exploiter les signaux du cerveau » afin de permettre un jour à des paralysés de « contrôler des appareils dans leur environnement », ajoute Jaimie Henderson.
Il peut s’agir du contrôle d’un bras artificiel mais aussi du curseur d’une souris d’ordinateur, avant de pouvoir peut-être un jour rétablir un « lien » entre le cerveau et le membre paralysé d’une personne tétraplégique. Et Jaimie Henderson de souligner que cet exploit représente « une avancée vers l’un de nos buts qui est de permettre à un utilisateur (paralysé) de contrôler à volonté un ordinateur en déplaçant un curseur et en cliquant ».
Ce réseau d’électrodes a permis de décoder les « signaux » émis par cette partie du cerveau, et nos deux handicapés [souffrant d’une sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou maladie de Charcot, qui conduit inéluctablement à une paralysie] sont parvenus, en imaginant un mouvement, à déplacer ce curseur sur un écran jusqu’à une cible.
« Améliorer la qualité de vie des personnes paralysées »
Ce type de « prothèse cérébrale », qui fonctionne grâce à un appareillage électronique, pourrait « améliorer la qualité de vie des personnes paralysées » en permettant de contrôler à distance des ordinateurs voire des membres, explique le groupe d’universitaires américains à l’origine de cet exploit décrit, ce mardi, dans la revue Nature Medicine.
Déjà en 2011, dans le cadre de recherches effectuées par le groupement de recherche BrainGate2 [dont l’objectif est de développer des outils pour la mobilité, communication et autonomie des personnes handicapées], Cathy Hutchinson, une Américaine tétraplégique, avait pu actionner un bras robotisé grâce à un réseau d’électrodes implanté dans le cerveau. Mais, depuis, le système d’interprétation des ondes cérébrales a été fortement amélioré pour permettre un contrôle « plus rapide et plus précis » du curseur sur l’écran, explique Jaimie Henderson (université de Stanford), l’un des auteurs de l’article.
Rétablir un « lien » entre le cerveau et le membre paralysé
BrainGate2 qui regroupe plusieurs centres de recherche américains « explore différentes voies pour exploiter les signaux du cerveau » afin de permettre un jour à des paralysés de « contrôler des appareils dans leur environnement », ajoute Jaimie Henderson.
Il peut s’agir du contrôle d’un bras artificiel mais aussi du curseur d’une souris d’ordinateur, avant de pouvoir peut-être un jour rétablir un « lien » entre le cerveau et le membre paralysé d’une personne tétraplégique. Et Jaimie Henderson de souligner que cet exploit représente « une avancée vers l’un de nos buts qui est de permettre à un utilisateur (paralysé) de contrôler à volonté un ordinateur en déplaçant un curseur et en cliquant ».
Ce réseau d’électrodes a permis de décoder les « signaux » émis par cette partie du cerveau, et nos deux handicapés [souffrant d’une sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou maladie de Charcot, qui conduit inéluctablement à une paralysie] sont parvenus, en imaginant un mouvement, à déplacer ce curseur sur un écran jusqu’à une cible.
« Améliorer la qualité de vie des personnes paralysées »
Ce type de « prothèse cérébrale », qui fonctionne grâce à un appareillage électronique, pourrait « améliorer la qualité de vie des personnes paralysées » en permettant de contrôler à distance des ordinateurs voire des membres, explique le groupe d’universitaires américains à l’origine de cet exploit décrit, ce mardi, dans la revue Nature Medicine.
Déjà en 2011, dans le cadre de recherches effectuées par le groupement de recherche BrainGate2 [dont l’objectif est de développer des outils pour la mobilité, communication et autonomie des personnes handicapées], Cathy Hutchinson, une Américaine tétraplégique, avait pu actionner un bras robotisé grâce à un réseau d’électrodes implanté dans le cerveau. Mais, depuis, le système d’interprétation des ondes cérébrales a été fortement amélioré pour permettre un contrôle « plus rapide et plus précis » du curseur sur l’écran, explique Jaimie Henderson (université de Stanford), l’un des auteurs de l’article.
Rétablir un « lien » entre le cerveau et le membre paralysé
BrainGate2 qui regroupe plusieurs centres de recherche américains « explore différentes voies pour exploiter les signaux du cerveau » afin de permettre un jour à des paralysés de « contrôler des appareils dans leur environnement », ajoute Jaimie Henderson.
Il peut s’agir du contrôle d’un bras artificiel mais aussi du curseur d’une souris d’ordinateur, avant de pouvoir peut-être un jour rétablir un « lien » entre le cerveau et le membre paralysé d’une personne tétraplégique. Et Jaimie Henderson de souligner que cet exploit représente « une avancée vers l’un de nos buts qui est de permettre à un utilisateur (paralysé) de contrôler à volonté un ordinateur en déplaçant un curseur et en cliquant ».