Mission Rosetta: Le robot Philae ne répond pas
ESPACE•Philae a besoin d'une température interne supérieure à - 45 degrés Celsius et d'au moins 5 watts de puissance pour se réveiller...20 Minutes avec agences
Le robot Philae, qui se trouve sur la comète Tchouri depuis mi-novembre, reste silencieux, en dépit d'une nouvelle tentative, dimanche, pour entrer en contact avec lui, viennent d'indiquer les responsables de l'atterrisseur. La sonde européenne Rosetta a rouvert son système de communication vers Philae dimanche, en espérant capter un signal du robot. En vain, a annoncé Stephan Ulamec, responsable de l'atterrisseur, lors d'une conférence de presse de l'Union européenne des Géosciences (EGU) à Vienne, (Autriche).
«Actuellement, le robot est à nouveau en mode d'écoute. Nous attendons un signal mais hier et aujourd'hui (mercredi) nous n'avons rien entendu», a précisé l'expert du DLR, le centre spatial allemand, basé à Cologne.
Assoupi depuis le 15 novembre
Pour rappel, le petit robot, muni de panneaux solaires, est assoupi depuis le 15 novembre sur la comète faute d'un ensoleillement suffisant pour que sa batterie se recharge. Mais comme 67P/Tchourioumov-Guérassimenko se rapproche du soleil, les scientifiques, qui continuent toutefois d'analyser les données auparavant envoyées par Philae, espèrent que la batterie du robot va redémarrer.
Mais il a besoin d'une température interne supérieure à - 45 degrés Celsius et d'au moins 5 watts de puissance pour se réveiller. Tant qu'il n'est pas en mesure de générer 19 watts, il ne pourra pas envoyer de signaux à la Terre via la sonde. «Il y aurait une chance de réactiver (les ordinateurs de Philae) probablement entre avril et mai», estime Stephan Ulamec. «Mais, mai et juin sont des dates plus réalistes pour un réveil du robot.»
«Il n'y aura probablement plus de chance pour qu'il se réveille un jour»
Le calendrier se resserre donc. Car le 13 août, la comète atteindra son point le plus proche du Soleil (périhélie), avant de s'en éloigner. «Et si le robot ne s'est toujours pas réveillé le 14 août, alors il n'y aura probablement plus de chance pour qu'il se réveille un jour», a lâché Stephan Ulamec.
Passager durant plus de dix ans de la sonde européenne Rosetta, Philae a été largué le 12 novembre sur la comète Tchouri, une première. L'atterrissage avait été mouvementé: après plusieurs rebonds, il s'était retrouvé coincé entre des falaises, dans un lieu peu éclairé. Depuis, les aventures du petit robot, qui pèse 100 kg sur la Terre, mais est plus léger qu'une plume sur la comète, tiennent en haleine le monde entier.
«Actuellement, le robot est à nouveau en mode d'écoute. Nous attendons un signal mais hier et aujourd'hui (mercredi) nous n'avons rien entendu», a précisé l'expert du DLR, le centre spatial allemand, basé à Cologne.
Assoupi depuis le 15 novembre
Pour rappel, le petit robot, muni de panneaux solaires, est assoupi depuis le 15 novembre sur la comète faute d'un ensoleillement suffisant pour que sa batterie se recharge. Mais comme 67P/Tchourioumov-Guérassimenko se rapproche du soleil, les scientifiques, qui continuent toutefois d'analyser les données auparavant envoyées par Philae, espèrent que la batterie du robot va redémarrer.
Mais il a besoin d'une température interne supérieure à - 45 degrés Celsius et d'au moins 5 watts de puissance pour se réveiller. Tant qu'il n'est pas en mesure de générer 19 watts, il ne pourra pas envoyer de signaux à la Terre via la sonde. «Il y aurait une chance de réactiver (les ordinateurs de Philae) probablement entre avril et mai», estime Stephan Ulamec. «Mais, mai et juin sont des dates plus réalistes pour un réveil du robot.»
«Il n'y aura probablement plus de chance pour qu'il se réveille un jour»
Le calendrier se resserre donc. Car le 13 août, la comète atteindra son point le plus proche du Soleil (périhélie), avant de s'en éloigner. «Et si le robot ne s'est toujours pas réveillé le 14 août, alors il n'y aura probablement plus de chance pour qu'il se réveille un jour», a lâché Stephan Ulamec.
Passager durant plus de dix ans de la sonde européenne Rosetta, Philae a été largué le 12 novembre sur la comète Tchouri, une première. L'atterrissage avait été mouvementé: après plusieurs rebonds, il s'était retrouvé coincé entre des falaises, dans un lieu peu éclairé. Depuis, les aventures du petit robot, qui pèse 100 kg sur la Terre, mais est plus léger qu'une plume sur la comète, tiennent en haleine le monde entier.
«Actuellement, le robot est à nouveau en mode d'écoute. Nous attendons un signal mais hier et aujourd'hui (mercredi) nous n'avons rien entendu», a précisé l'expert du DLR, le centre spatial allemand, basé à Cologne.
Assoupi depuis le 15 novembre
Pour rappel, le petit robot, muni de panneaux solaires, est assoupi depuis le 15 novembre sur la comète faute d'un ensoleillement suffisant pour que sa batterie se recharge. Mais comme 67P/Tchourioumov-Guérassimenko se rapproche du soleil, les scientifiques, qui continuent toutefois d'analyser les données auparavant envoyées par Philae, espèrent que la batterie du robot va redémarrer.
Mais il a besoin d'une température interne supérieure à - 45 degrés Celsius et d'au moins 5 watts de puissance pour se réveiller. Tant qu'il n'est pas en mesure de générer 19 watts, il ne pourra pas envoyer de signaux à la Terre via la sonde. «Il y aurait une chance de réactiver (les ordinateurs de Philae) probablement entre avril et mai», estime Stephan Ulamec. «Mais, mai et juin sont des dates plus réalistes pour un réveil du robot.»
«Il n'y aura probablement plus de chance pour qu'il se réveille un jour»
Le calendrier se resserre donc. Car le 13 août, la comète atteindra son point le plus proche du Soleil (périhélie), avant de s'en éloigner. «Et si le robot ne s'est toujours pas réveillé le 14 août, alors il n'y aura probablement plus de chance pour qu'il se réveille un jour», a lâché Stephan Ulamec.
Passager durant plus de dix ans de la sonde européenne Rosetta, Philae a été largué le 12 novembre sur la comète Tchouri, une première. L'atterrissage avait été mouvementé: après plusieurs rebonds, il s'était retrouvé coincé entre des falaises, dans un lieu peu éclairé. Depuis, les aventures du petit robot, qui pèse 100 kg sur la Terre, mais est plus léger qu'une plume sur la comète, tiennent en haleine le monde entier.
«Actuellement, le robot est à nouveau en mode d'écoute. Nous attendons un signal mais hier et aujourd'hui (mercredi) nous n'avons rien entendu», a précisé l'expert du DLR, le centre spatial allemand, basé à Cologne.
Assoupi depuis le 15 novembre
Pour rappel, le petit robot, muni de panneaux solaires, est assoupi depuis le 15 novembre sur la comète faute d'un ensoleillement suffisant pour que sa batterie se recharge. Mais comme 67P/Tchourioumov-Guérassimenko se rapproche du soleil, les scientifiques, qui continuent toutefois d'analyser les données auparavant envoyées par Philae, espèrent que la batterie du robot va redémarrer.
Mais il a besoin d'une température interne supérieure à - 45 degrés Celsius et d'au moins 5 watts de puissance pour se réveiller. Tant qu'il n'est pas en mesure de générer 19 watts, il ne pourra pas envoyer de signaux à la Terre via la sonde. «Il y aurait une chance de réactiver (les ordinateurs de Philae) probablement entre avril et mai», estime Stephan Ulamec. «Mais, mai et juin sont des dates plus réalistes pour un réveil du robot.»
«Il n'y aura probablement plus de chance pour qu'il se réveille un jour»
Le calendrier se resserre donc. Car le 13 août, la comète atteindra son point le plus proche du Soleil (périhélie), avant de s'en éloigner. «Et si le robot ne s'est toujours pas réveillé le 14 août, alors il n'y aura probablement plus de chance pour qu'il se réveille un jour», a lâché Stephan Ulamec.
Passager durant plus de dix ans de la sonde européenne Rosetta, Philae a été largué le 12 novembre sur la comète Tchouri, une première. L'atterrissage avait été mouvementé: après plusieurs rebonds, il s'était retrouvé coincé entre des falaises, dans un lieu peu éclairé. Depuis, les aventures du petit robot, qui pèse 100 kg sur la Terre, mais est plus léger qu'une plume sur la comète, tiennent en haleine le monde entier.
«Actuellement, le robot est à nouveau en mode d'écoute. Nous attendons un signal mais hier et aujourd'hui (mercredi) nous n'avons rien entendu», a précisé l'expert du DLR, le centre spatial allemand, basé à Cologne.
Assoupi depuis le 15 novembre
Pour rappel, le petit robot, muni de panneaux solaires, est assoupi depuis le 15 novembre sur la comète faute d'un ensoleillement suffisant pour que sa batterie se recharge. Mais comme 67P/Tchourioumov-Guérassimenko se rapproche du soleil, les scientifiques, qui continuent toutefois d'analyser les données auparavant envoyées par Philae, espèrent que la batterie du robot va redémarrer.
Mais il a besoin d'une température interne supérieure à - 45 degrés Celsius et d'au moins 5 watts de puissance pour se réveiller. Tant qu'il n'est pas en mesure de générer 19 watts, il ne pourra pas envoyer de signaux à la Terre via la sonde. «Il y aurait une chance de réactiver (les ordinateurs de Philae) probablement entre avril et mai», estime Stephan Ulamec. «Mais, mai et juin sont des dates plus réalistes pour un réveil du robot.»
«Il n'y aura probablement plus de chance pour qu'il se réveille un jour»
Le calendrier se resserre donc. Car le 13 août, la comète atteindra son point le plus proche du Soleil (périhélie), avant de s'en éloigner. «Et si le robot ne s'est toujours pas réveillé le 14 août, alors il n'y aura probablement plus de chance pour qu'il se réveille un jour», a lâché Stephan Ulamec.
Passager durant plus de dix ans de la sonde européenne Rosetta, Philae a été largué le 12 novembre sur la comète Tchouri, une première. L'atterrissage avait été mouvementé: après plusieurs rebonds, il s'était retrouvé coincé entre des falaises, dans un lieu peu éclairé. Depuis, les aventures du petit robot, qui pèse 100 kg sur la Terre, mais est plus léger qu'une plume sur la comète, tiennent en haleine le monde entier.
«Actuellement, le robot est à nouveau en mode d'écoute. Nous attendons un signal mais hier et aujourd'hui (mercredi) nous n'avons rien entendu», a précisé l'expert du DLR, le centre spatial allemand, basé à Cologne.
Assoupi depuis le 15 novembre
Pour rappel, le petit robot, muni de panneaux solaires, est assoupi depuis le 15 novembre sur la comète faute d'un ensoleillement suffisant pour que sa batterie se recharge. Mais comme 67P/Tchourioumov-Guérassimenko se rapproche du soleil, les scientifiques, qui continuent toutefois d'analyser les données auparavant envoyées par Philae, espèrent que la batterie du robot va redémarrer.
Mais il a besoin d'une température interne supérieure à - 45 degrés Celsius et d'au moins 5 watts de puissance pour se réveiller. Tant qu'il n'est pas en mesure de générer 19 watts, il ne pourra pas envoyer de signaux à la Terre via la sonde. «Il y aurait une chance de réactiver (les ordinateurs de Philae) probablement entre avril et mai», estime Stephan Ulamec. «Mais, mai et juin sont des dates plus réalistes pour un réveil du robot.»
«Il n'y aura probablement plus de chance pour qu'il se réveille un jour»
Le calendrier se resserre donc. Car le 13 août, la comète atteindra son point le plus proche du Soleil (périhélie), avant de s'en éloigner. «Et si le robot ne s'est toujours pas réveillé le 14 août, alors il n'y aura probablement plus de chance pour qu'il se réveille un jour», a lâché Stephan Ulamec.
Passager durant plus de dix ans de la sonde européenne Rosetta, Philae a été largué le 12 novembre sur la comète Tchouri, une première. L'atterrissage avait été mouvementé: après plusieurs rebonds, il s'était retrouvé coincé entre des falaises, dans un lieu peu éclairé. Depuis, les aventures du petit robot, qui pèse 100 kg sur la Terre, mais est plus léger qu'une plume sur la comète, tiennent en haleine le monde entier.
«Actuellement, le robot est à nouveau en mode d'écoute. Nous attendons un signal mais hier et aujourd'hui (mercredi) nous n'avons rien entendu», a précisé l'expert du DLR, le centre spatial allemand, basé à Cologne.
Assoupi depuis le 15 novembre
Pour rappel, le petit robot, muni de panneaux solaires, est assoupi depuis le 15 novembre sur la comète faute d'un ensoleillement suffisant pour que sa batterie se recharge. Mais comme 67P/Tchourioumov-Guérassimenko se rapproche du soleil, les scientifiques, qui continuent toutefois d'analyser les données auparavant envoyées par Philae, espèrent que la batterie du robot va redémarrer.
Mais il a besoin d'une température interne supérieure à - 45 degrés Celsius et d'au moins 5 watts de puissance pour se réveiller. Tant qu'il n'est pas en mesure de générer 19 watts, il ne pourra pas envoyer de signaux à la Terre via la sonde. «Il y aurait une chance de réactiver (les ordinateurs de Philae) probablement entre avril et mai», estime Stephan Ulamec. «Mais, mai et juin sont des dates plus réalistes pour un réveil du robot.»
«Il n'y aura probablement plus de chance pour qu'il se réveille un jour»
Le calendrier se resserre donc. Car le 13 août, la comète atteindra son point le plus proche du Soleil (périhélie), avant de s'en éloigner. «Et si le robot ne s'est toujours pas réveillé le 14 août, alors il n'y aura probablement plus de chance pour qu'il se réveille un jour», a lâché Stephan Ulamec.
Passager durant plus de dix ans de la sonde européenne Rosetta, Philae a été largué le 12 novembre sur la comète Tchouri, une première. L'atterrissage avait été mouvementé: après plusieurs rebonds, il s'était retrouvé coincé entre des falaises, dans un lieu peu éclairé. Depuis, les aventures du petit robot, qui pèse 100 kg sur la Terre, mais est plus léger qu'une plume sur la comète, tiennent en haleine le monde entier.
«Actuellement, le robot est à nouveau en mode d'écoute. Nous attendons un signal mais hier et aujourd'hui (mercredi) nous n'avons rien entendu», a précisé l'expert du DLR, le centre spatial allemand, basé à Cologne.
Assoupi depuis le 15 novembre
Pour rappel, le petit robot, muni de panneaux solaires, est assoupi depuis le 15 novembre sur la comète faute d'un ensoleillement suffisant pour que sa batterie se recharge. Mais comme 67P/Tchourioumov-Guérassimenko se rapproche du soleil, les scientifiques, qui continuent toutefois d'analyser les données auparavant envoyées par Philae, espèrent que la batterie du robot va redémarrer.
Mais il a besoin d'une température interne supérieure à - 45 degrés Celsius et d'au moins 5 watts de puissance pour se réveiller. Tant qu'il n'est pas en mesure de générer 19 watts, il ne pourra pas envoyer de signaux à la Terre via la sonde. «Il y aurait une chance de réactiver (les ordinateurs de Philae) probablement entre avril et mai», estime Stephan Ulamec. «Mais, mai et juin sont des dates plus réalistes pour un réveil du robot.»
«Il n'y aura probablement plus de chance pour qu'il se réveille un jour»
Le calendrier se resserre donc. Car le 13 août, la comète atteindra son point le plus proche du Soleil (périhélie), avant de s'en éloigner. «Et si le robot ne s'est toujours pas réveillé le 14 août, alors il n'y aura probablement plus de chance pour qu'il se réveille un jour», a lâché Stephan Ulamec.
Passager durant plus de dix ans de la sonde européenne Rosetta, Philae a été largué le 12 novembre sur la comète Tchouri, une première. L'atterrissage avait été mouvementé: après plusieurs rebonds, il s'était retrouvé coincé entre des falaises, dans un lieu peu éclairé. Depuis, les aventures du petit robot, qui pèse 100 kg sur la Terre, mais est plus léger qu'une plume sur la comète, tiennent en haleine le monde entier.
«Actuellement, le robot est à nouveau en mode d'écoute. Nous attendons un signal mais hier et aujourd'hui (mercredi) nous n'avons rien entendu», a précisé l'expert du DLR, le centre spatial allemand, basé à Cologne.
Assoupi depuis le 15 novembre
Pour rappel, le petit robot, muni de panneaux solaires, est assoupi depuis le 15 novembre sur la comète faute d'un ensoleillement suffisant pour que sa batterie se recharge. Mais comme 67P/Tchourioumov-Guérassimenko se rapproche du soleil, les scientifiques, qui continuent toutefois d'analyser les données auparavant envoyées par Philae, espèrent que la batterie du robot va redémarrer.
Mais il a besoin d'une température interne supérieure à - 45 degrés Celsius et d'au moins 5 watts de puissance pour se réveiller. Tant qu'il n'est pas en mesure de générer 19 watts, il ne pourra pas envoyer de signaux à la Terre via la sonde. «Il y aurait une chance de réactiver (les ordinateurs de Philae) probablement entre avril et mai», estime Stephan Ulamec. «Mais, mai et juin sont des dates plus réalistes pour un réveil du robot.»
«Il n'y aura probablement plus de chance pour qu'il se réveille un jour»
Le calendrier se resserre donc. Car le 13 août, la comète atteindra son point le plus proche du Soleil (périhélie), avant de s'en éloigner. «Et si le robot ne s'est toujours pas réveillé le 14 août, alors il n'y aura probablement plus de chance pour qu'il se réveille un jour», a lâché Stephan Ulamec.
Passager durant plus de dix ans de la sonde européenne Rosetta, Philae a été largué le 12 novembre sur la comète Tchouri, une première. L'atterrissage avait été mouvementé: après plusieurs rebonds, il s'était retrouvé coincé entre des falaises, dans un lieu peu éclairé. Depuis, les aventures du petit robot, qui pèse 100 kg sur la Terre, mais est plus léger qu'une plume sur la comète, tiennent en haleine le monde entier.
«Actuellement, le robot est à nouveau en mode d'écoute. Nous attendons un signal mais hier et aujourd'hui (mercredi) nous n'avons rien entendu», a précisé l'expert du DLR, le centre spatial allemand, basé à Cologne.
Assoupi depuis le 15 novembre
Pour rappel, le petit robot, muni de panneaux solaires, est assoupi depuis le 15 novembre sur la comète faute d'un ensoleillement suffisant pour que sa batterie se recharge. Mais comme 67P/Tchourioumov-Guérassimenko se rapproche du soleil, les scientifiques, qui continuent toutefois d'analyser les données auparavant envoyées par Philae, espèrent que la batterie du robot va redémarrer.
Mais il a besoin d'une température interne supérieure à - 45 degrés Celsius et d'au moins 5 watts de puissance pour se réveiller. Tant qu'il n'est pas en mesure de générer 19 watts, il ne pourra pas envoyer de signaux à la Terre via la sonde. «Il y aurait une chance de réactiver (les ordinateurs de Philae) probablement entre avril et mai», estime Stephan Ulamec. «Mais, mai et juin sont des dates plus réalistes pour un réveil du robot.»
«Il n'y aura probablement plus de chance pour qu'il se réveille un jour»
Le calendrier se resserre donc. Car le 13 août, la comète atteindra son point le plus proche du Soleil (périhélie), avant de s'en éloigner. «Et si le robot ne s'est toujours pas réveillé le 14 août, alors il n'y aura probablement plus de chance pour qu'il se réveille un jour», a lâché Stephan Ulamec.
Passager durant plus de dix ans de la sonde européenne Rosetta, Philae a été largué le 12 novembre sur la comète Tchouri, une première. L'atterrissage avait été mouvementé: après plusieurs rebonds, il s'était retrouvé coincé entre des falaises, dans un lieu peu éclairé. Depuis, les aventures du petit robot, qui pèse 100 kg sur la Terre, mais est plus léger qu'une plume sur la comète, tiennent en haleine le monde entier.
«Actuellement, le robot est à nouveau en mode d'écoute. Nous attendons un signal mais hier et aujourd'hui (mercredi) nous n'avons rien entendu», a précisé l'expert du DLR, le centre spatial allemand, basé à Cologne.
Assoupi depuis le 15 novembre
Pour rappel, le petit robot, muni de panneaux solaires, est assoupi depuis le 15 novembre sur la comète faute d'un ensoleillement suffisant pour que sa batterie se recharge. Mais comme 67P/Tchourioumov-Guérassimenko se rapproche du soleil, les scientifiques, qui continuent toutefois d'analyser les données auparavant envoyées par Philae, espèrent que la batterie du robot va redémarrer.
Mais il a besoin d'une température interne supérieure à - 45 degrés Celsius et d'au moins 5 watts de puissance pour se réveiller. Tant qu'il n'est pas en mesure de générer 19 watts, il ne pourra pas envoyer de signaux à la Terre via la sonde. «Il y aurait une chance de réactiver (les ordinateurs de Philae) probablement entre avril et mai», estime Stephan Ulamec. «Mais, mai et juin sont des dates plus réalistes pour un réveil du robot.»
«Il n'y aura probablement plus de chance pour qu'il se réveille un jour»
Le calendrier se resserre donc. Car le 13 août, la comète atteindra son point le plus proche du Soleil (périhélie), avant de s'en éloigner. «Et si le robot ne s'est toujours pas réveillé le 14 août, alors il n'y aura probablement plus de chance pour qu'il se réveille un jour», a lâché Stephan Ulamec.
Passager durant plus de dix ans de la sonde européenne Rosetta, Philae a été largué le 12 novembre sur la comète Tchouri, une première. L'atterrissage avait été mouvementé: après plusieurs rebonds, il s'était retrouvé coincé entre des falaises, dans un lieu peu éclairé. Depuis, les aventures du petit robot, qui pèse 100 kg sur la Terre, mais est plus léger qu'une plume sur la comète, tiennent en haleine le monde entier.