Prématurés: Les bébés et leur famille encore trop souvent négligés
JOURNEE MONDIALE DE LA PREMATURITE•Dans le monde aujourd'hui, un bébé sur dix naît prématuré, c ’ est-à-dire avant 37 semaines d ’ aménorrhée...20 Minutes avec agences
La prématurité est un enjeu de santé publique, a estimé l’association SOS Préma, qui, mardi, Journée mondiale de la prématurité, tirait la sonnette d’alarme et déplorait une prise en charge encore insuffisante de ces nouveau-nés vulnérables et de leur famille.
« Nous sommes là pour réveiller les consciences. Ces bébés sont nos adultes de demain. La prématurité est un véritable enjeu de santé publique », a déclaré, ce mardi, Charlotte Bouvard, fondatrice de l’association.
La prématurité a augmenté de 22 % en 15 ans en France
Dans le monde, un bébé sur dix naît prématuré, c’est-à-dire avant 37 semaines d’aménorrhée (ou 35 semaines de grossesse). En France, la prématurité concernait 7,4 % des naissances en 2010 contre 5,9 % en 1995, soit près de 22 % d’augmentation en 15 ans, souligne l’association, fondée en 2004.
Cette évolution s’explique par les progrès de la science, le développement de la procréation médicalement assistée qui favorise les grossesses multiples et donc les naissances prématurées mais aussi le mode de vie des femmes (fatigue liée à un travail pénible, stress, tabagisme, mauvaise alimentation, etc.) ainsi que le recul de l’âge de grossesse.
40 % des grands prématurés présentent des difficultés ou un handicap
Trois enfants sur quatre qui décèdent sont ainsi des prématurés. Et sans aller jusqu’à cette issue tragique, 40 % des grands prématurés (avant 30 semaines de grossesse) présentent des difficultés ou un handicap.
Malgré la réalité des chiffres, « la prise en charge du nouveau-né et de sa famille reste insuffisante », souligne Charlotte Bouvard, qui dénonce par ailleurs des inégalités de traitement intolérables sur le territoire. Les mois, voire les années suivant cette naissance sont « un parcours humain extrêmement difficile pour les parents », décrit-elle.
Bébés éloignés et manque de moyens
Et de citer les cas nombreux de mamans ayant accouché dans une maternité et dont les bébés sont hospitalisés à plus de 100 km de celles-ci. « Certaines ne font la connaissance de leur enfant que plusieurs jours après sa naissance », assure la spécialiste du dossier.
>> A lire ici : Les enfants prématurés réussiraient moins bien leur vie d’adulte
Une experte qui regrette également le manque de moyens : « Il y a des services de néonatologie qui ne disposent même pas de fauteuils décents pour que la maman puisse allaiter dans des conditions décentes. »
A noter que l’association, qui a aidé plus de 500.000 familles depuis 2004, a annoncé la création d’un groupe de travail « Prématurité et nouveau-nés vulnérables » à l’Assemblée Nationale.
#JMP2015
« Nous sommes là pour réveiller les consciences. Ces bébés sont nos adultes de demain. La prématurité est un véritable enjeu de santé publique », a déclaré, ce mardi, Charlotte Bouvard, fondatrice de l’association.
La prématurité a augmenté de 22 % en 15 ans en France
Dans le monde, un bébé sur dix naît prématuré, c’est-à-dire avant 37 semaines d’aménorrhée (ou 35 semaines de grossesse). En France, la prématurité concernait 7,4 % des naissances en 2010 contre 5,9 % en 1995, soit près de 22 % d’augmentation en 15 ans, souligne l’association, fondée en 2004.
Cette évolution s’explique par les progrès de la science, le développement de la procréation médicalement assistée qui favorise les grossesses multiples et donc les naissances prématurées mais aussi le mode de vie des femmes (fatigue liée à un travail pénible, stress, tabagisme, mauvaise alimentation, etc.) ainsi que le recul de l’âge de grossesse.
40 % des grands prématurés présentent des difficultés ou un handicap
Trois enfants sur quatre qui décèdent sont ainsi des prématurés. Et sans aller jusqu’à cette issue tragique, 40 % des grands prématurés (avant 30 semaines de grossesse) présentent des difficultés ou un handicap.
Malgré la réalité des chiffres, « la prise en charge du nouveau-né et de sa famille reste insuffisante », souligne Charlotte Bouvard, qui dénonce par ailleurs des inégalités de traitement intolérables sur le territoire. Les mois, voire les années suivant cette naissance sont « un parcours humain extrêmement difficile pour les parents », décrit-elle.
Bébés éloignés et manque de moyens
Et de citer les cas nombreux de mamans ayant accouché dans une maternité et dont les bébés sont hospitalisés à plus de 100 km de celles-ci. « Certaines ne font la connaissance de leur enfant que plusieurs jours après sa naissance », assure la spécialiste du dossier.
>> A lire ici : Les enfants prématurés réussiraient moins bien leur vie d’adulte
Une experte qui regrette également le manque de moyens : « Il y a des services de néonatologie qui ne disposent même pas de fauteuils décents pour que la maman puisse allaiter dans des conditions décentes. »
A noter que l’association, qui a aidé plus de 500.000 familles depuis 2004, a annoncé la création d’un groupe de travail « Prématurité et nouveau-nés vulnérables » à l’Assemblée Nationale.
« Nous sommes là pour réveiller les consciences. Ces bébés sont nos adultes de demain. La prématurité est un véritable enjeu de santé publique », a déclaré, ce mardi, Charlotte Bouvard, fondatrice de l’association.
La prématurité a augmenté de 22 % en 15 ans en France
Dans le monde, un bébé sur dix naît prématuré, c’est-à-dire avant 37 semaines d’aménorrhée (ou 35 semaines de grossesse). En France, la prématurité concernait 7,4 % des naissances en 2010 contre 5,9 % en 1995, soit près de 22 % d’augmentation en 15 ans, souligne l’association, fondée en 2004.
Cette évolution s’explique par les progrès de la science, le développement de la procréation médicalement assistée qui favorise les grossesses multiples et donc les naissances prématurées mais aussi le mode de vie des femmes (fatigue liée à un travail pénible, stress, tabagisme, mauvaise alimentation, etc.) ainsi que le recul de l’âge de grossesse.
40 % des grands prématurés présentent des difficultés ou un handicap
Trois enfants sur quatre qui décèdent sont ainsi des prématurés. Et sans aller jusqu’à cette issue tragique, 40 % des grands prématurés (avant 30 semaines de grossesse) présentent des difficultés ou un handicap.
Malgré la réalité des chiffres, « la prise en charge du nouveau-né et de sa famille reste insuffisante », souligne Charlotte Bouvard, qui dénonce par ailleurs des inégalités de traitement intolérables sur le territoire. Les mois, voire les années suivant cette naissance sont « un parcours humain extrêmement difficile pour les parents », décrit-elle.
Bébés éloignés et manque de moyens
Et de citer les cas nombreux de mamans ayant accouché dans une maternité et dont les bébés sont hospitalisés à plus de 100 km de celles-ci. « Certaines ne font la connaissance de leur enfant que plusieurs jours après sa naissance », assure la spécialiste du dossier.
>> A lire ici : Les enfants prématurés réussiraient moins bien leur vie d’adulte
Une experte qui regrette également le manque de moyens : « Il y a des services de néonatologie qui ne disposent même pas de fauteuils décents pour que la maman puisse allaiter dans des conditions décentes. »
A noter que l’association, qui a aidé plus de 500.000 familles depuis 2004, a annoncé la création d’un groupe de travail « Prématurité et nouveau-nés vulnérables » à l’Assemblée Nationale.
« Nous sommes là pour réveiller les consciences. Ces bébés sont nos adultes de demain. La prématurité est un véritable enjeu de santé publique », a déclaré, ce mardi, Charlotte Bouvard, fondatrice de l’association.
La prématurité a augmenté de 22 % en 15 ans en France
Dans le monde, un bébé sur dix naît prématuré, c’est-à-dire avant 37 semaines d’aménorrhée (ou 35 semaines de grossesse). En France, la prématurité concernait 7,4 % des naissances en 2010 contre 5,9 % en 1995, soit près de 22 % d’augmentation en 15 ans, souligne l’association, fondée en 2004.
Cette évolution s’explique par les progrès de la science, le développement de la procréation médicalement assistée qui favorise les grossesses multiples et donc les naissances prématurées mais aussi le mode de vie des femmes (fatigue liée à un travail pénible, stress, tabagisme, mauvaise alimentation, etc.) ainsi que le recul de l’âge de grossesse.
40 % des grands prématurés présentent des difficultés ou un handicap
Trois enfants sur quatre qui décèdent sont ainsi des prématurés. Et sans aller jusqu’à cette issue tragique, 40 % des grands prématurés (avant 30 semaines de grossesse) présentent des difficultés ou un handicap.
Malgré la réalité des chiffres, « la prise en charge du nouveau-né et de sa famille reste insuffisante », souligne Charlotte Bouvard, qui dénonce par ailleurs des inégalités de traitement intolérables sur le territoire. Les mois, voire les années suivant cette naissance sont « un parcours humain extrêmement difficile pour les parents », décrit-elle.
Bébés éloignés et manque de moyens
Et de citer les cas nombreux de mamans ayant accouché dans une maternité et dont les bébés sont hospitalisés à plus de 100 km de celles-ci. « Certaines ne font la connaissance de leur enfant que plusieurs jours après sa naissance », assure la spécialiste du dossier.
>> A lire ici : Les enfants prématurés réussiraient moins bien leur vie d’adulte
Une experte qui regrette également le manque de moyens : « Il y a des services de néonatologie qui ne disposent même pas de fauteuils décents pour que la maman puisse allaiter dans des conditions décentes. »
A noter que l’association, qui a aidé plus de 500.000 familles depuis 2004, a annoncé la création d’un groupe de travail « Prématurité et nouveau-nés vulnérables » à l’Assemblée Nationale.
« Nous sommes là pour réveiller les consciences. Ces bébés sont nos adultes de demain. La prématurité est un véritable enjeu de santé publique », a déclaré, ce mardi, Charlotte Bouvard, fondatrice de l’association.
La prématurité a augmenté de 22 % en 15 ans en France
Dans le monde, un bébé sur dix naît prématuré, c’est-à-dire avant 37 semaines d’aménorrhée (ou 35 semaines de grossesse). En France, la prématurité concernait 7,4 % des naissances en 2010 contre 5,9 % en 1995, soit près de 22 % d’augmentation en 15 ans, souligne l’association, fondée en 2004.
Cette évolution s’explique par les progrès de la science, le développement de la procréation médicalement assistée qui favorise les grossesses multiples et donc les naissances prématurées mais aussi le mode de vie des femmes (fatigue liée à un travail pénible, stress, tabagisme, mauvaise alimentation, etc.) ainsi que le recul de l’âge de grossesse.
40 % des grands prématurés présentent des difficultés ou un handicap
Trois enfants sur quatre qui décèdent sont ainsi des prématurés. Et sans aller jusqu’à cette issue tragique, 40 % des grands prématurés (avant 30 semaines de grossesse) présentent des difficultés ou un handicap.
Malgré la réalité des chiffres, « la prise en charge du nouveau-né et de sa famille reste insuffisante », souligne Charlotte Bouvard, qui dénonce par ailleurs des inégalités de traitement intolérables sur le territoire. Les mois, voire les années suivant cette naissance sont « un parcours humain extrêmement difficile pour les parents », décrit-elle.
Bébés éloignés et manque de moyens
Et de citer les cas nombreux de mamans ayant accouché dans une maternité et dont les bébés sont hospitalisés à plus de 100 km de celles-ci. « Certaines ne font la connaissance de leur enfant que plusieurs jours après sa naissance », assure la spécialiste du dossier.
>> A lire ici : Les enfants prématurés réussiraient moins bien leur vie d’adulte
Une experte qui regrette également le manque de moyens : « Il y a des services de néonatologie qui ne disposent même pas de fauteuils décents pour que la maman puisse allaiter dans des conditions décentes. »
A noter que l’association, qui a aidé plus de 500.000 familles depuis 2004, a annoncé la création d’un groupe de travail « Prématurité et nouveau-nés vulnérables » à l’Assemblée Nationale.
« Nous sommes là pour réveiller les consciences. Ces bébés sont nos adultes de demain. La prématurité est un véritable enjeu de santé publique », a déclaré, ce mardi, Charlotte Bouvard, fondatrice de l’association.
La prématurité a augmenté de 22 % en 15 ans en France
Dans le monde, un bébé sur dix naît prématuré, c’est-à-dire avant 37 semaines d’aménorrhée (ou 35 semaines de grossesse). En France, la prématurité concernait 7,4 % des naissances en 2010 contre 5,9 % en 1995, soit près de 22 % d’augmentation en 15 ans, souligne l’association, fondée en 2004.
Cette évolution s’explique par les progrès de la science, le développement de la procréation médicalement assistée qui favorise les grossesses multiples et donc les naissances prématurées mais aussi le mode de vie des femmes (fatigue liée à un travail pénible, stress, tabagisme, mauvaise alimentation, etc.) ainsi que le recul de l’âge de grossesse.
40 % des grands prématurés présentent des difficultés ou un handicap
Trois enfants sur quatre qui décèdent sont ainsi des prématurés. Et sans aller jusqu’à cette issue tragique, 40 % des grands prématurés (avant 30 semaines de grossesse) présentent des difficultés ou un handicap.
Malgré la réalité des chiffres, « la prise en charge du nouveau-né et de sa famille reste insuffisante », souligne Charlotte Bouvard, qui dénonce par ailleurs des inégalités de traitement intolérables sur le territoire. Les mois, voire les années suivant cette naissance sont « un parcours humain extrêmement difficile pour les parents », décrit-elle.
Bébés éloignés et manque de moyens
Et de citer les cas nombreux de mamans ayant accouché dans une maternité et dont les bébés sont hospitalisés à plus de 100 km de celles-ci. « Certaines ne font la connaissance de leur enfant que plusieurs jours après sa naissance », assure la spécialiste du dossier.
>> A lire ici : Les enfants prématurés réussiraient moins bien leur vie d’adulte
Une experte qui regrette également le manque de moyens : « Il y a des services de néonatologie qui ne disposent même pas de fauteuils décents pour que la maman puisse allaiter dans des conditions décentes. »
A noter que l’association, qui a aidé plus de 500.000 familles depuis 2004, a annoncé la création d’un groupe de travail « Prématurité et nouveau-nés vulnérables » à l’Assemblée Nationale.
« Nous sommes là pour réveiller les consciences. Ces bébés sont nos adultes de demain. La prématurité est un véritable enjeu de santé publique », a déclaré, ce mardi, Charlotte Bouvard, fondatrice de l’association.
La prématurité a augmenté de 22 % en 15 ans en France
Dans le monde, un bébé sur dix naît prématuré, c’est-à-dire avant 37 semaines d’aménorrhée (ou 35 semaines de grossesse). En France, la prématurité concernait 7,4 % des naissances en 2010 contre 5,9 % en 1995, soit près de 22 % d’augmentation en 15 ans, souligne l’association, fondée en 2004.
Cette évolution s’explique par les progrès de la science, le développement de la procréation médicalement assistée qui favorise les grossesses multiples et donc les naissances prématurées mais aussi le mode de vie des femmes (fatigue liée à un travail pénible, stress, tabagisme, mauvaise alimentation, etc.) ainsi que le recul de l’âge de grossesse.
40 % des grands prématurés présentent des difficultés ou un handicap
Trois enfants sur quatre qui décèdent sont ainsi des prématurés. Et sans aller jusqu’à cette issue tragique, 40 % des grands prématurés (avant 30 semaines de grossesse) présentent des difficultés ou un handicap.
Malgré la réalité des chiffres, « la prise en charge du nouveau-né et de sa famille reste insuffisante », souligne Charlotte Bouvard, qui dénonce par ailleurs des inégalités de traitement intolérables sur le territoire. Les mois, voire les années suivant cette naissance sont « un parcours humain extrêmement difficile pour les parents », décrit-elle.
Bébés éloignés et manque de moyens
Et de citer les cas nombreux de mamans ayant accouché dans une maternité et dont les bébés sont hospitalisés à plus de 100 km de celles-ci. « Certaines ne font la connaissance de leur enfant que plusieurs jours après sa naissance », assure la spécialiste du dossier.
>> A lire ici : Les enfants prématurés réussiraient moins bien leur vie d’adulte
Une experte qui regrette également le manque de moyens : « Il y a des services de néonatologie qui ne disposent même pas de fauteuils décents pour que la maman puisse allaiter dans des conditions décentes. »
A noter que l’association, qui a aidé plus de 500.000 familles depuis 2004, a annoncé la création d’un groupe de travail « Prématurité et nouveau-nés vulnérables » à l’Assemblée Nationale.
« Nous sommes là pour réveiller les consciences. Ces bébés sont nos adultes de demain. La prématurité est un véritable enjeu de santé publique », a déclaré, ce mardi, Charlotte Bouvard, fondatrice de l’association.
La prématurité a augmenté de 22 % en 15 ans en France
Dans le monde, un bébé sur dix naît prématuré, c’est-à-dire avant 37 semaines d’aménorrhée (ou 35 semaines de grossesse). En France, la prématurité concernait 7,4 % des naissances en 2010 contre 5,9 % en 1995, soit près de 22 % d’augmentation en 15 ans, souligne l’association, fondée en 2004.
Cette évolution s’explique par les progrès de la science, le développement de la procréation médicalement assistée qui favorise les grossesses multiples et donc les naissances prématurées mais aussi le mode de vie des femmes (fatigue liée à un travail pénible, stress, tabagisme, mauvaise alimentation, etc.) ainsi que le recul de l’âge de grossesse.
40 % des grands prématurés présentent des difficultés ou un handicap
Trois enfants sur quatre qui décèdent sont ainsi des prématurés. Et sans aller jusqu’à cette issue tragique, 40 % des grands prématurés (avant 30 semaines de grossesse) présentent des difficultés ou un handicap.
Malgré la réalité des chiffres, « la prise en charge du nouveau-né et de sa famille reste insuffisante », souligne Charlotte Bouvard, qui dénonce par ailleurs des inégalités de traitement intolérables sur le territoire. Les mois, voire les années suivant cette naissance sont « un parcours humain extrêmement difficile pour les parents », décrit-elle.
Bébés éloignés et manque de moyens
Et de citer les cas nombreux de mamans ayant accouché dans une maternité et dont les bébés sont hospitalisés à plus de 100 km de celles-ci. « Certaines ne font la connaissance de leur enfant que plusieurs jours après sa naissance », assure la spécialiste du dossier.
>> A lire ici : Les enfants prématurés réussiraient moins bien leur vie d’adulte
Une experte qui regrette également le manque de moyens : « Il y a des services de néonatologie qui ne disposent même pas de fauteuils décents pour que la maman puisse allaiter dans des conditions décentes. »
A noter que l’association, qui a aidé plus de 500.000 familles depuis 2004, a annoncé la création d’un groupe de travail « Prématurité et nouveau-nés vulnérables » à l’Assemblée Nationale.
« Nous sommes là pour réveiller les consciences. Ces bébés sont nos adultes de demain. La prématurité est un véritable enjeu de santé publique », a déclaré, ce mardi, Charlotte Bouvard, fondatrice de l’association.
La prématurité a augmenté de 22 % en 15 ans en France
Dans le monde, un bébé sur dix naît prématuré, c’est-à-dire avant 37 semaines d’aménorrhée (ou 35 semaines de grossesse). En France, la prématurité concernait 7,4 % des naissances en 2010 contre 5,9 % en 1995, soit près de 22 % d’augmentation en 15 ans, souligne l’association, fondée en 2004.
Cette évolution s’explique par les progrès de la science, le développement de la procréation médicalement assistée qui favorise les grossesses multiples et donc les naissances prématurées mais aussi le mode de vie des femmes (fatigue liée à un travail pénible, stress, tabagisme, mauvaise alimentation, etc.) ainsi que le recul de l’âge de grossesse.
40 % des grands prématurés présentent des difficultés ou un handicap
Trois enfants sur quatre qui décèdent sont ainsi des prématurés. Et sans aller jusqu’à cette issue tragique, 40 % des grands prématurés (avant 30 semaines de grossesse) présentent des difficultés ou un handicap.
Malgré la réalité des chiffres, « la prise en charge du nouveau-né et de sa famille reste insuffisante », souligne Charlotte Bouvard, qui dénonce par ailleurs des inégalités de traitement intolérables sur le territoire. Les mois, voire les années suivant cette naissance sont « un parcours humain extrêmement difficile pour les parents », décrit-elle.
Bébés éloignés et manque de moyens
Et de citer les cas nombreux de mamans ayant accouché dans une maternité et dont les bébés sont hospitalisés à plus de 100 km de celles-ci. « Certaines ne font la connaissance de leur enfant que plusieurs jours après sa naissance », assure la spécialiste du dossier.
>> A lire ici : Les enfants prématurés réussiraient moins bien leur vie d’adulte
Une experte qui regrette également le manque de moyens : « Il y a des services de néonatologie qui ne disposent même pas de fauteuils décents pour que la maman puisse allaiter dans des conditions décentes. »
A noter que l’association, qui a aidé plus de 500.000 familles depuis 2004, a annoncé la création d’un groupe de travail « Prématurité et nouveau-nés vulnérables » à l’Assemblée Nationale.
« Nous sommes là pour réveiller les consciences. Ces bébés sont nos adultes de demain. La prématurité est un véritable enjeu de santé publique », a déclaré, ce mardi, Charlotte Bouvard, fondatrice de l’association.
La prématurité a augmenté de 22 % en 15 ans en France
Dans le monde, un bébé sur dix naît prématuré, c’est-à-dire avant 37 semaines d’aménorrhée (ou 35 semaines de grossesse). En France, la prématurité concernait 7,4 % des naissances en 2010 contre 5,9 % en 1995, soit près de 22 % d’augmentation en 15 ans, souligne l’association, fondée en 2004.
Cette évolution s’explique par les progrès de la science, le développement de la procréation médicalement assistée qui favorise les grossesses multiples et donc les naissances prématurées mais aussi le mode de vie des femmes (fatigue liée à un travail pénible, stress, tabagisme, mauvaise alimentation, etc.) ainsi que le recul de l’âge de grossesse.
40 % des grands prématurés présentent des difficultés ou un handicap
Trois enfants sur quatre qui décèdent sont ainsi des prématurés. Et sans aller jusqu’à cette issue tragique, 40 % des grands prématurés (avant 30 semaines de grossesse) présentent des difficultés ou un handicap.
Malgré la réalité des chiffres, « la prise en charge du nouveau-né et de sa famille reste insuffisante », souligne Charlotte Bouvard, qui dénonce par ailleurs des inégalités de traitement intolérables sur le territoire. Les mois, voire les années suivant cette naissance sont « un parcours humain extrêmement difficile pour les parents », décrit-elle.
Bébés éloignés et manque de moyens
Et de citer les cas nombreux de mamans ayant accouché dans une maternité et dont les bébés sont hospitalisés à plus de 100 km de celles-ci. « Certaines ne font la connaissance de leur enfant que plusieurs jours après sa naissance », assure la spécialiste du dossier.
>> A lire ici : Les enfants prématurés réussiraient moins bien leur vie d’adulte
Une experte qui regrette également le manque de moyens : « Il y a des services de néonatologie qui ne disposent même pas de fauteuils décents pour que la maman puisse allaiter dans des conditions décentes. »
A noter que l’association, qui a aidé plus de 500.000 familles depuis 2004, a annoncé la création d’un groupe de travail « Prématurité et nouveau-nés vulnérables » à l’Assemblée Nationale.
« Nous sommes là pour réveiller les consciences. Ces bébés sont nos adultes de demain. La prématurité est un véritable enjeu de santé publique », a déclaré, ce mardi, Charlotte Bouvard, fondatrice de l’association.
La prématurité a augmenté de 22 % en 15 ans en France
Dans le monde, un bébé sur dix naît prématuré, c’est-à-dire avant 37 semaines d’aménorrhée (ou 35 semaines de grossesse). En France, la prématurité concernait 7,4 % des naissances en 2010 contre 5,9 % en 1995, soit près de 22 % d’augmentation en 15 ans, souligne l’association, fondée en 2004.
Cette évolution s’explique par les progrès de la science, le développement de la procréation médicalement assistée qui favorise les grossesses multiples et donc les naissances prématurées mais aussi le mode de vie des femmes (fatigue liée à un travail pénible, stress, tabagisme, mauvaise alimentation, etc.) ainsi que le recul de l’âge de grossesse.
40 % des grands prématurés présentent des difficultés ou un handicap
Trois enfants sur quatre qui décèdent sont ainsi des prématurés. Et sans aller jusqu’à cette issue tragique, 40 % des grands prématurés (avant 30 semaines de grossesse) présentent des difficultés ou un handicap.
Malgré la réalité des chiffres, « la prise en charge du nouveau-né et de sa famille reste insuffisante », souligne Charlotte Bouvard, qui dénonce par ailleurs des inégalités de traitement intolérables sur le territoire. Les mois, voire les années suivant cette naissance sont « un parcours humain extrêmement difficile pour les parents », décrit-elle.
Bébés éloignés et manque de moyens
Et de citer les cas nombreux de mamans ayant accouché dans une maternité et dont les bébés sont hospitalisés à plus de 100 km de celles-ci. « Certaines ne font la connaissance de leur enfant que plusieurs jours après sa naissance », assure la spécialiste du dossier.
>> A lire ici : Les enfants prématurés réussiraient moins bien leur vie d’adulte
Une experte qui regrette également le manque de moyens : « Il y a des services de néonatologie qui ne disposent même pas de fauteuils décents pour que la maman puisse allaiter dans des conditions décentes. »
A noter que l’association, qui a aidé plus de 500.000 familles depuis 2004, a annoncé la création d’un groupe de travail « Prématurité et nouveau-nés vulnérables » à l’Assemblée Nationale.
« Nous sommes là pour réveiller les consciences. Ces bébés sont nos adultes de demain. La prématurité est un véritable enjeu de santé publique », a déclaré, ce mardi, Charlotte Bouvard, fondatrice de l’association.
La prématurité a augmenté de 22 % en 15 ans en France
Dans le monde, un bébé sur dix naît prématuré, c’est-à-dire avant 37 semaines d’aménorrhée (ou 35 semaines de grossesse). En France, la prématurité concernait 7,4 % des naissances en 2010 contre 5,9 % en 1995, soit près de 22 % d’augmentation en 15 ans, souligne l’association, fondée en 2004.
Cette évolution s’explique par les progrès de la science, le développement de la procréation médicalement assistée qui favorise les grossesses multiples et donc les naissances prématurées mais aussi le mode de vie des femmes (fatigue liée à un travail pénible, stress, tabagisme, mauvaise alimentation, etc.) ainsi que le recul de l’âge de grossesse.
40 % des grands prématurés présentent des difficultés ou un handicap
Trois enfants sur quatre qui décèdent sont ainsi des prématurés. Et sans aller jusqu’à cette issue tragique, 40 % des grands prématurés (avant 30 semaines de grossesse) présentent des difficultés ou un handicap.
Malgré la réalité des chiffres, « la prise en charge du nouveau-né et de sa famille reste insuffisante », souligne Charlotte Bouvard, qui dénonce par ailleurs des inégalités de traitement intolérables sur le territoire. Les mois, voire les années suivant cette naissance sont « un parcours humain extrêmement difficile pour les parents », décrit-elle.
Bébés éloignés et manque de moyens
Et de citer les cas nombreux de mamans ayant accouché dans une maternité et dont les bébés sont hospitalisés à plus de 100 km de celles-ci. « Certaines ne font la connaissance de leur enfant que plusieurs jours après sa naissance », assure la spécialiste du dossier.
>> A lire ici : Les enfants prématurés réussiraient moins bien leur vie d’adulte
Une experte qui regrette également le manque de moyens : « Il y a des services de néonatologie qui ne disposent même pas de fauteuils décents pour que la maman puisse allaiter dans des conditions décentes. »
A noter que l’association, qui a aidé plus de 500.000 familles depuis 2004, a annoncé la création d’un groupe de travail « Prématurité et nouveau-nés vulnérables » à l’Assemblée Nationale.
« Nous sommes là pour réveiller les consciences. Ces bébés sont nos adultes de demain. La prématurité est un véritable enjeu de santé publique », a déclaré, ce mardi, Charlotte Bouvard, fondatrice de l’association.
La prématurité a augmenté de 22 % en 15 ans en France
Dans le monde, un bébé sur dix naît prématuré, c’est-à-dire avant 37 semaines d’aménorrhée (ou 35 semaines de grossesse). En France, la prématurité concernait 7,4 % des naissances en 2010 contre 5,9 % en 1995, soit près de 22 % d’augmentation en 15 ans, souligne l’association, fondée en 2004.
Cette évolution s’explique par les progrès de la science, le développement de la procréation médicalement assistée qui favorise les grossesses multiples et donc les naissances prématurées mais aussi le mode de vie des femmes (fatigue liée à un travail pénible, stress, tabagisme, mauvaise alimentation, etc.) ainsi que le recul de l’âge de grossesse.
40 % des grands prématurés présentent des difficultés ou un handicap
Trois enfants sur quatre qui décèdent sont ainsi des prématurés. Et sans aller jusqu’à cette issue tragique, 40 % des grands prématurés (avant 30 semaines de grossesse) présentent des difficultés ou un handicap.
Malgré la réalité des chiffres, « la prise en charge du nouveau-né et de sa famille reste insuffisante », souligne Charlotte Bouvard, qui dénonce par ailleurs des inégalités de traitement intolérables sur le territoire. Les mois, voire les années suivant cette naissance sont « un parcours humain extrêmement difficile pour les parents », décrit-elle.
Bébés éloignés et manque de moyens
Et de citer les cas nombreux de mamans ayant accouché dans une maternité et dont les bébés sont hospitalisés à plus de 100 km de celles-ci. « Certaines ne font la connaissance de leur enfant que plusieurs jours après sa naissance », assure la spécialiste du dossier.
>> A lire ici : Les enfants prématurés réussiraient moins bien leur vie d’adulte
Une experte qui regrette également le manque de moyens : « Il y a des services de néonatologie qui ne disposent même pas de fauteuils décents pour que la maman puisse allaiter dans des conditions décentes. »
A noter que l’association, qui a aidé plus de 500.000 familles depuis 2004, a annoncé la création d’un groupe de travail « Prématurité et nouveau-nés vulnérables » à l’Assemblée Nationale.
« Nous sommes là pour réveiller les consciences. Ces bébés sont nos adultes de demain. La prématurité est un véritable enjeu de santé publique », a déclaré, ce mardi, Charlotte Bouvard, fondatrice de l’association.
La prématurité a augmenté de 22 % en 15 ans en France
Dans le monde, un bébé sur dix naît prématuré, c’est-à-dire avant 37 semaines d’aménorrhée (ou 35 semaines de grossesse). En France, la prématurité concernait 7,4 % des naissances en 2010 contre 5,9 % en 1995, soit près de 22 % d’augmentation en 15 ans, souligne l’association, fondée en 2004.
Cette évolution s’explique par les progrès de la science, le développement de la procréation médicalement assistée qui favorise les grossesses multiples et donc les naissances prématurées mais aussi le mode de vie des femmes (fatigue liée à un travail pénible, stress, tabagisme, mauvaise alimentation, etc.) ainsi que le recul de l’âge de grossesse.
40 % des grands prématurés présentent des difficultés ou un handicap
Trois enfants sur quatre qui décèdent sont ainsi des prématurés. Et sans aller jusqu’à cette issue tragique, 40 % des grands prématurés (avant 30 semaines de grossesse) présentent des difficultés ou un handicap.
Malgré la réalité des chiffres, « la prise en charge du nouveau-né et de sa famille reste insuffisante », souligne Charlotte Bouvard, qui dénonce par ailleurs des inégalités de traitement intolérables sur le territoire. Les mois, voire les années suivant cette naissance sont « un parcours humain extrêmement difficile pour les parents », décrit-elle.
Bébés éloignés et manque de moyens
Et de citer les cas nombreux de mamans ayant accouché dans une maternité et dont les bébés sont hospitalisés à plus de 100 km de celles-ci. « Certaines ne font la connaissance de leur enfant que plusieurs jours après sa naissance », assure la spécialiste du dossier.
>> A lire ici : Les enfants prématurés réussiraient moins bien leur vie d’adulte
Une experte qui regrette également le manque de moyens : « Il y a des services de néonatologie qui ne disposent même pas de fauteuils décents pour que la maman puisse allaiter dans des conditions décentes. »
A noter que l’association, qui a aidé plus de 500.000 familles depuis 2004, a annoncé la création d’un groupe de travail « Prématurité et nouveau-nés vulnérables » à l’Assemblée Nationale.
>> A lire ici : Les enfants prématurés réussiraient moins bien leur vie d’adulte
« Nous sommes là pour réveiller les consciences. Ces bébés sont nos adultes de demain. La prématurité est un véritable enjeu de santé publique », a déclaré, ce mardi, Charlotte Bouvard, fondatrice de l’association.
La prématurité a augmenté de 22 % en 15 ans en France
Dans le monde, un bébé sur dix naît prématuré, c’est-à-dire avant 37 semaines d’aménorrhée (ou 35 semaines de grossesse). En France, la prématurité concernait 7,4 % des naissances en 2010 contre 5,9 % en 1995, soit près de 22 % d’augmentation en 15 ans, souligne l’association, fondée en 2004.
Cette évolution s’explique par les progrès de la science, le développement de la procréation médicalement assistée qui favorise les grossesses multiples et donc les naissances prématurées mais aussi le mode de vie des femmes (fatigue liée à un travail pénible, stress, tabagisme, mauvaise alimentation, etc.) ainsi que le recul de l’âge de grossesse.
40 % des grands prématurés présentent des difficultés ou un handicap
Trois enfants sur quatre qui décèdent sont ainsi des prématurés. Et sans aller jusqu’à cette issue tragique, 40 % des grands prématurés (avant 30 semaines de grossesse) présentent des difficultés ou un handicap.
Malgré la réalité des chiffres, « la prise en charge du nouveau-né et de sa famille reste insuffisante », souligne Charlotte Bouvard, qui dénonce par ailleurs des inégalités de traitement intolérables sur le territoire. Les mois, voire les années suivant cette naissance sont « un parcours humain extrêmement difficile pour les parents », décrit-elle.
Bébés éloignés et manque de moyens
Et de citer les cas nombreux de mamans ayant accouché dans une maternité et dont les bébés sont hospitalisés à plus de 100 km de celles-ci. « Certaines ne font la connaissance de leur enfant que plusieurs jours après sa naissance », assure la spécialiste du dossier.
>> A lire ici : Les enfants prématurés réussiraient moins bien leur vie d’adulte
Une experte qui regrette également le manque de moyens : « Il y a des services de néonatologie qui ne disposent même pas de fauteuils décents pour que la maman puisse allaiter dans des conditions décentes. »
A noter que l’association, qui a aidé plus de 500.000 familles depuis 2004, a annoncé la création d’un groupe de travail « Prématurité et nouveau-nés vulnérables » à l’Assemblée Nationale.
« Nous sommes là pour réveiller les consciences. Ces bébés sont nos adultes de demain. La prématurité est un véritable enjeu de santé publique », a déclaré, ce mardi, Charlotte Bouvard, fondatrice de l’association.
La prématurité a augmenté de 22 % en 15 ans en France
Dans le monde, un bébé sur dix naît prématuré, c’est-à-dire avant 37 semaines d’aménorrhée (ou 35 semaines de grossesse). En France, la prématurité concernait 7,4 % des naissances en 2010 contre 5,9 % en 1995, soit près de 22 % d’augmentation en 15 ans, souligne l’association, fondée en 2004.
Cette évolution s’explique par les progrès de la science, le développement de la procréation médicalement assistée qui favorise les grossesses multiples et donc les naissances prématurées mais aussi le mode de vie des femmes (fatigue liée à un travail pénible, stress, tabagisme, mauvaise alimentation, etc.) ainsi que le recul de l’âge de grossesse.
40 % des grands prématurés présentent des difficultés ou un handicap
Trois enfants sur quatre qui décèdent sont ainsi des prématurés. Et sans aller jusqu’à cette issue tragique, 40 % des grands prématurés (avant 30 semaines de grossesse) présentent des difficultés ou un handicap.
Malgré la réalité des chiffres, « la prise en charge du nouveau-né et de sa famille reste insuffisante », souligne Charlotte Bouvard, qui dénonce par ailleurs des inégalités de traitement intolérables sur le territoire. Les mois, voire les années suivant cette naissance sont « un parcours humain extrêmement difficile pour les parents », décrit-elle.
Bébés éloignés et manque de moyens
Et de citer les cas nombreux de mamans ayant accouché dans une maternité et dont les bébés sont hospitalisés à plus de 100 km de celles-ci. « Certaines ne font la connaissance de leur enfant que plusieurs jours après sa naissance », assure la spécialiste du dossier.
>> A lire ici : Les enfants prématurés réussiraient moins bien leur vie d’adulte
Une experte qui regrette également le manque de moyens : « Il y a des services de néonatologie qui ne disposent même pas de fauteuils décents pour que la maman puisse allaiter dans des conditions décentes. »
A noter que l’association, qui a aidé plus de 500.000 familles depuis 2004, a annoncé la création d’un groupe de travail « Prématurité et nouveau-nés vulnérables » à l’Assemblée Nationale.
#JMP2015
« Nous sommes là pour réveiller les consciences. Ces bébés sont nos adultes de demain. La prématurité est un véritable enjeu de santé publique », a déclaré, ce mardi, Charlotte Bouvard, fondatrice de l’association.
La prématurité a augmenté de 22 % en 15 ans en France
Dans le monde, un bébé sur dix naît prématuré, c’est-à-dire avant 37 semaines d’aménorrhée (ou 35 semaines de grossesse). En France, la prématurité concernait 7,4 % des naissances en 2010 contre 5,9 % en 1995, soit près de 22 % d’augmentation en 15 ans, souligne l’association, fondée en 2004.
Cette évolution s’explique par les progrès de la science, le développement de la procréation médicalement assistée qui favorise les grossesses multiples et donc les naissances prématurées mais aussi le mode de vie des femmes (fatigue liée à un travail pénible, stress, tabagisme, mauvaise alimentation, etc.) ainsi que le recul de l’âge de grossesse.
40 % des grands prématurés présentent des difficultés ou un handicap
Trois enfants sur quatre qui décèdent sont ainsi des prématurés. Et sans aller jusqu’à cette issue tragique, 40 % des grands prématurés (avant 30 semaines de grossesse) présentent des difficultés ou un handicap.
Malgré la réalité des chiffres, « la prise en charge du nouveau-né et de sa famille reste insuffisante », souligne Charlotte Bouvard, qui dénonce par ailleurs des inégalités de traitement intolérables sur le territoire. Les mois, voire les années suivant cette naissance sont « un parcours humain extrêmement difficile pour les parents », décrit-elle.
Bébés éloignés et manque de moyens
Et de citer les cas nombreux de mamans ayant accouché dans une maternité et dont les bébés sont hospitalisés à plus de 100 km de celles-ci. « Certaines ne font la connaissance de leur enfant que plusieurs jours après sa naissance », assure la spécialiste du dossier.
>> A lire ici : Les enfants prématurés réussiraient moins bien leur vie d’adulte
Une experte qui regrette également le manque de moyens : « Il y a des services de néonatologie qui ne disposent même pas de fauteuils décents pour que la maman puisse allaiter dans des conditions décentes. »
A noter que l’association, qui a aidé plus de 500.000 familles depuis 2004, a annoncé la création d’un groupe de travail « Prématurité et nouveau-nés vulnérables » à l’Assemblée Nationale.
« Nous sommes là pour réveiller les consciences. Ces bébés sont nos adultes de demain. La prématurité est un véritable enjeu de santé publique », a déclaré, ce mardi, Charlotte Bouvard, fondatrice de l’association.
La prématurité a augmenté de 22 % en 15 ans en France
Dans le monde, un bébé sur dix naît prématuré, c’est-à-dire avant 37 semaines d’aménorrhée (ou 35 semaines de grossesse). En France, la prématurité concernait 7,4 % des naissances en 2010 contre 5,9 % en 1995, soit près de 22 % d’augmentation en 15 ans, souligne l’association, fondée en 2004.
Cette évolution s’explique par les progrès de la science, le développement de la procréation médicalement assistée qui favorise les grossesses multiples et donc les naissances prématurées mais aussi le mode de vie des femmes (fatigue liée à un travail pénible, stress, tabagisme, mauvaise alimentation, etc.) ainsi que le recul de l’âge de grossesse.
40 % des grands prématurés présentent des difficultés ou un handicap
Trois enfants sur quatre qui décèdent sont ainsi des prématurés. Et sans aller jusqu’à cette issue tragique, 40 % des grands prématurés (avant 30 semaines de grossesse) présentent des difficultés ou un handicap.
Malgré la réalité des chiffres, « la prise en charge du nouveau-né et de sa famille reste insuffisante », souligne Charlotte Bouvard, qui dénonce par ailleurs des inégalités de traitement intolérables sur le territoire. Les mois, voire les années suivant cette naissance sont « un parcours humain extrêmement difficile pour les parents », décrit-elle.
Bébés éloignés et manque de moyens
Et de citer les cas nombreux de mamans ayant accouché dans une maternité et dont les bébés sont hospitalisés à plus de 100 km de celles-ci. « Certaines ne font la connaissance de leur enfant que plusieurs jours après sa naissance », assure la spécialiste du dossier.
>> A lire ici : Les enfants prématurés réussiraient moins bien leur vie d’adulte
Une experte qui regrette également le manque de moyens : « Il y a des services de néonatologie qui ne disposent même pas de fauteuils décents pour que la maman puisse allaiter dans des conditions décentes. »
A noter que l’association, qui a aidé plus de 500.000 familles depuis 2004, a annoncé la création d’un groupe de travail « Prématurité et nouveau-nés vulnérables » à l’Assemblée Nationale.
« Nous sommes là pour réveiller les consciences. Ces bébés sont nos adultes de demain. La prématurité est un véritable enjeu de santé publique », a déclaré, ce mardi, Charlotte Bouvard, fondatrice de l’association.
La prématurité a augmenté de 22 % en 15 ans en France
Dans le monde, un bébé sur dix naît prématuré, c’est-à-dire avant 37 semaines d’aménorrhée (ou 35 semaines de grossesse). En France, la prématurité concernait 7,4 % des naissances en 2010 contre 5,9 % en 1995, soit près de 22 % d’augmentation en 15 ans, souligne l’association, fondée en 2004.
Cette évolution s’explique par les progrès de la science, le développement de la procréation médicalement assistée qui favorise les grossesses multiples et donc les naissances prématurées mais aussi le mode de vie des femmes (fatigue liée à un travail pénible, stress, tabagisme, mauvaise alimentation, etc.) ainsi que le recul de l’âge de grossesse.
40 % des grands prématurés présentent des difficultés ou un handicap
Trois enfants sur quatre qui décèdent sont ainsi des prématurés. Et sans aller jusqu’à cette issue tragique, 40 % des grands prématurés (avant 30 semaines de grossesse) présentent des difficultés ou un handicap.
Malgré la réalité des chiffres, « la prise en charge du nouveau-né et de sa famille reste insuffisante », souligne Charlotte Bouvard, qui dénonce par ailleurs des inégalités de traitement intolérables sur le territoire. Les mois, voire les années suivant cette naissance sont « un parcours humain extrêmement difficile pour les parents », décrit-elle.
Bébés éloignés et manque de moyens
Et de citer les cas nombreux de mamans ayant accouché dans une maternité et dont les bébés sont hospitalisés à plus de 100 km de celles-ci. « Certaines ne font la connaissance de leur enfant que plusieurs jours après sa naissance », assure la spécialiste du dossier.
>> A lire ici : Les enfants prématurés réussiraient moins bien leur vie d’adulte
Une experte qui regrette également le manque de moyens : « Il y a des services de néonatologie qui ne disposent même pas de fauteuils décents pour que la maman puisse allaiter dans des conditions décentes. »
A noter que l’association, qui a aidé plus de 500.000 familles depuis 2004, a annoncé la création d’un groupe de travail « Prématurité et nouveau-nés vulnérables » à l’Assemblée Nationale.
« Nous sommes là pour réveiller les consciences. Ces bébés sont nos adultes de demain. La prématurité est un véritable enjeu de santé publique », a déclaré, ce mardi, Charlotte Bouvard, fondatrice de l’association.
La prématurité a augmenté de 22 % en 15 ans en France
Dans le monde, un bébé sur dix naît prématuré, c’est-à-dire avant 37 semaines d’aménorrhée (ou 35 semaines de grossesse). En France, la prématurité concernait 7,4 % des naissances en 2010 contre 5,9 % en 1995, soit près de 22 % d’augmentation en 15 ans, souligne l’association, fondée en 2004.
Cette évolution s’explique par les progrès de la science, le développement de la procréation médicalement assistée qui favorise les grossesses multiples et donc les naissances prématurées mais aussi le mode de vie des femmes (fatigue liée à un travail pénible, stress, tabagisme, mauvaise alimentation, etc.) ainsi que le recul de l’âge de grossesse.
40 % des grands prématurés présentent des difficultés ou un handicap
Trois enfants sur quatre qui décèdent sont ainsi des prématurés. Et sans aller jusqu’à cette issue tragique, 40 % des grands prématurés (avant 30 semaines de grossesse) présentent des difficultés ou un handicap.
Malgré la réalité des chiffres, « la prise en charge du nouveau-né et de sa famille reste insuffisante », souligne Charlotte Bouvard, qui dénonce par ailleurs des inégalités de traitement intolérables sur le territoire. Les mois, voire les années suivant cette naissance sont « un parcours humain extrêmement difficile pour les parents », décrit-elle.
Bébés éloignés et manque de moyens
Et de citer les cas nombreux de mamans ayant accouché dans une maternité et dont les bébés sont hospitalisés à plus de 100 km de celles-ci. « Certaines ne font la connaissance de leur enfant que plusieurs jours après sa naissance », assure la spécialiste du dossier.
>> A lire ici : Les enfants prématurés réussiraient moins bien leur vie d’adulte
Une experte qui regrette également le manque de moyens : « Il y a des services de néonatologie qui ne disposent même pas de fauteuils décents pour que la maman puisse allaiter dans des conditions décentes. »
A noter que l’association, qui a aidé plus de 500.000 familles depuis 2004, a annoncé la création d’un groupe de travail « Prématurité et nouveau-nés vulnérables » à l’Assemblée Nationale.
« Nous sommes là pour réveiller les consciences. Ces bébés sont nos adultes de demain. La prématurité est un véritable enjeu de santé publique », a déclaré, ce mardi, Charlotte Bouvard, fondatrice de l’association.
La prématurité a augmenté de 22 % en 15 ans en France
Dans le monde, un bébé sur dix naît prématuré, c’est-à-dire avant 37 semaines d’aménorrhée (ou 35 semaines de grossesse). En France, la prématurité concernait 7,4 % des naissances en 2010 contre 5,9 % en 1995, soit près de 22 % d’augmentation en 15 ans, souligne l’association, fondée en 2004.
Cette évolution s’explique par les progrès de la science, le développement de la procréation médicalement assistée qui favorise les grossesses multiples et donc les naissances prématurées mais aussi le mode de vie des femmes (fatigue liée à un travail pénible, stress, tabagisme, mauvaise alimentation, etc.) ainsi que le recul de l’âge de grossesse.
40 % des grands prématurés présentent des difficultés ou un handicap
Trois enfants sur quatre qui décèdent sont ainsi des prématurés. Et sans aller jusqu’à cette issue tragique, 40 % des grands prématurés (avant 30 semaines de grossesse) présentent des difficultés ou un handicap.
Malgré la réalité des chiffres, « la prise en charge du nouveau-né et de sa famille reste insuffisante », souligne Charlotte Bouvard, qui dénonce par ailleurs des inégalités de traitement intolérables sur le territoire. Les mois, voire les années suivant cette naissance sont « un parcours humain extrêmement difficile pour les parents », décrit-elle.
Bébés éloignés et manque de moyens
Et de citer les cas nombreux de mamans ayant accouché dans une maternité et dont les bébés sont hospitalisés à plus de 100 km de celles-ci. « Certaines ne font la connaissance de leur enfant que plusieurs jours après sa naissance », assure la spécialiste du dossier.
>> A lire ici : Les enfants prématurés réussiraient moins bien leur vie d’adulte
Une experte qui regrette également le manque de moyens : « Il y a des services de néonatologie qui ne disposent même pas de fauteuils décents pour que la maman puisse allaiter dans des conditions décentes. »
A noter que l’association, qui a aidé plus de 500.000 familles depuis 2004, a annoncé la création d’un groupe de travail « Prématurité et nouveau-nés vulnérables » à l’Assemblée Nationale.
« Nous sommes là pour réveiller les consciences. Ces bébés sont nos adultes de demain. La prématurité est un véritable enjeu de santé publique », a déclaré, ce mardi, Charlotte Bouvard, fondatrice de l’association.
La prématurité a augmenté de 22 % en 15 ans en France
Dans le monde, un bébé sur dix naît prématuré, c’est-à-dire avant 37 semaines d’aménorrhée (ou 35 semaines de grossesse). En France, la prématurité concernait 7,4 % des naissances en 2010 contre 5,9 % en 1995, soit près de 22 % d’augmentation en 15 ans, souligne l’association, fondée en 2004.
Cette évolution s’explique par les progrès de la science, le développement de la procréation médicalement assistée qui favorise les grossesses multiples et donc les naissances prématurées mais aussi le mode de vie des femmes (fatigue liée à un travail pénible, stress, tabagisme, mauvaise alimentation, etc.) ainsi que le recul de l’âge de grossesse.
40 % des grands prématurés présentent des difficultés ou un handicap
Trois enfants sur quatre qui décèdent sont ainsi des prématurés. Et sans aller jusqu’à cette issue tragique, 40 % des grands prématurés (avant 30 semaines de grossesse) présentent des difficultés ou un handicap.
Malgré la réalité des chiffres, « la prise en charge du nouveau-né et de sa famille reste insuffisante », souligne Charlotte Bouvard, qui dénonce par ailleurs des inégalités de traitement intolérables sur le territoire. Les mois, voire les années suivant cette naissance sont « un parcours humain extrêmement difficile pour les parents », décrit-elle.
Bébés éloignés et manque de moyens
Et de citer les cas nombreux de mamans ayant accouché dans une maternité et dont les bébés sont hospitalisés à plus de 100 km de celles-ci. « Certaines ne font la connaissance de leur enfant que plusieurs jours après sa naissance », assure la spécialiste du dossier.
>> A lire ici : Les enfants prématurés réussiraient moins bien leur vie d’adulte
Une experte qui regrette également le manque de moyens : « Il y a des services de néonatologie qui ne disposent même pas de fauteuils décents pour que la maman puisse allaiter dans des conditions décentes. »
A noter que l’association, qui a aidé plus de 500.000 familles depuis 2004, a annoncé la création d’un groupe de travail « Prématurité et nouveau-nés vulnérables » à l’Assemblée Nationale.