REGIMECompléments alimentaires: 23.000 hospitalisations par an aux Etats-Unis

Compléments alimentaires: 23.000 hospitalisations par an aux Etats-Unis

REGIME58 % de ces patients se plaignaient de symptômes cardiovasculaires...
20 Minutes avec agences

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La consommation de compléments alimentaires conduit plus de 23.000 personnes par an aux services d’urgences hospitaliers aux Etats-Unis. Plus précisément, les compléments favorisant la perte de poids ou destinés à donner de l’énergie ont été à l’origine de 71,8 % de ces visites aux urgences.

Selon une étude réalisée conjointement par la Food and Drug Administration (FDA), l’agence des médicaments et des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), 28 % de ces patients sont de jeunes adultes, âgés de 20 à 34 ans. Et environ 10 % du total de ces personnes s’étant rendues aux urgences ont nécessité une hospitalisation de longue durée.

58 % de ces patients se plaignaient de symptômes cardiovasculaires

compléments alimentaires

La consommation de compléments alimentaires conduit plus de 23.000 personnes par an aux services d’urgences hospitaliers aux Etats-Unis. Plus précisément, les compléments favorisant la perte de poids ou destinés à donner de l’énergie ont été à l’origine de 71,8 % de ces visites aux urgences.

Selon une étude réalisée conjointement par la Food and Drug Administration (FDA), l’agence des médicaments et des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), 28 % de ces patients sont de jeunes adultes, âgés de 20 à 34 ans. Et environ 10 % du total de ces personnes s’étant rendues aux urgences ont nécessité une hospitalisation de longue durée.

58 % de ces patients se plaignaient de symptômes cardiovasculaires


La consommation de compléments alimentaires conduit plus de 23.000 personnes par an aux services d’urgences hospitaliers aux Etats-Unis. Plus précisément, les compléments favorisant la perte de poids ou destinés à donner de l’énergie ont été à l’origine de 71,8 % de ces visites aux urgences.

Selon une étude réalisée conjointement par la Food and Drug Administration (FDA), l’agence des médicaments et des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), 28 % de ces patients sont de jeunes adultes, âgés de 20 à 34 ans. Et environ 10 % du total de ces personnes s’étant rendues aux urgences ont nécessité une hospitalisation de longue durée.

58 % de ces patients se plaignaient de symptômes cardiovasculaires


La consommation de compléments alimentaires conduit plus de 23.000 personnes par an aux services d’urgences hospitaliers aux Etats-Unis. Plus précisément, les compléments favorisant la perte de poids ou destinés à donner de l’énergie ont été à l’origine de 71,8 % de ces visites aux urgences.

Selon une étude réalisée conjointement par la Food and Drug Administration (FDA), l’agence des médicaments et des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), 28 % de ces patients sont de jeunes adultes, âgés de 20 à 34 ans. Et environ 10 % du total de ces personnes s’étant rendues aux urgences ont nécessité une hospitalisation de longue durée.

58 % de ces patients se plaignaient de symptômes cardiovasculaires

Les experts précisent que 58 % de ces patients se plaignaient de symptômes cardiovasculaires (palpitations, des douleurs à la poitrine et une accélération du rythme cardiaque correspondant à de la tachycardie, etc.). La consommation de ces compléments aurait également entraîné des réactions allergiques graves, des vomissements et des nausées liés à leur composition très variée (vitamines, minéraux, acides aminés, produits à base de plantes).

Ce constat chiffré, publié dans le New England Journal of Medicine, a nécessité l’analyse de dix années de statistiques (de 2004 à 2013) issus de 63 hôpitaux représentatifs aux Etats-Unis [cette étude fédérale ne fournit aucune statistique sur les décès ayant pu résulter de la consommation de ces produits].

Royaume-Uni : Une jeune femme meurt après avoir ingéré des pilules amaigrissantes

Il s’agit même de la première recherche révélant un nombre aussi élevé de problèmes de santé sérieux liés à la consommation de compléments alimentaires. Une industrie qui pèse 32 milliards de dollars par an aux Etats-Unis et qui fait l’objet d’une surveillance accrue des autorités fédérales et de groupes de consommateurs.

Selon la loi, les compléments alimentaires sont considérés sans danger

Alors qu’aucun complément alimentaire ne requiert le feu vert de la FDA pour être commercialisé par les fabricants outre-Atlantique [contrairement aux médicaments], ces groupes de consommateurs réclament d’ailleurs aujourd’hui des réglementations plus strictes.

Car si, selon les experts, certains compléments contiennent des substances pouvant avoir de puissants effets dangereux sur l’organisme, les fabricants ne sont pas non plus obligés d’apposer des avertissements sur les étiquettes. Selon une loi de 1994, décriée par les autorités sanitaires américaines, les compléments alimentaires sont d’ailleurs considérés sans danger jusqu’à preuve du contraire…

des réactions allergiques graves

Les experts précisent que 58 % de ces patients se plaignaient de symptômes cardiovasculaires (palpitations, des douleurs à la poitrine et une accélération du rythme cardiaque correspondant à de la tachycardie, etc.). La consommation de ces compléments aurait également entraîné des réactions allergiques graves, des vomissements et des nausées liés à leur composition très variée (vitamines, minéraux, acides aminés, produits à base de plantes).

Ce constat chiffré, publié dans le New England Journal of Medicine, a nécessité l’analyse de dix années de statistiques (de 2004 à 2013) issus de 63 hôpitaux représentatifs aux Etats-Unis [cette étude fédérale ne fournit aucune statistique sur les décès ayant pu résulter de la consommation de ces produits].

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Il s’agit même de la première recherche révélant un nombre aussi élevé de problèmes de santé sérieux liés à la consommation de compléments alimentaires. Une industrie qui pèse 32 milliards de dollars par an aux Etats-Unis et qui fait l’objet d’une surveillance accrue des autorités fédérales et de groupes de consommateurs.

Selon la loi, les compléments alimentaires sont considérés sans danger

Alors qu’aucun complément alimentaire ne requiert le feu vert de la FDA pour être commercialisé par les fabricants outre-Atlantique [contrairement aux médicaments], ces groupes de consommateurs réclament d’ailleurs aujourd’hui des réglementations plus strictes.

Car si, selon les experts, certains compléments contiennent des substances pouvant avoir de puissants effets dangereux sur l’organisme, les fabricants ne sont pas non plus obligés d’apposer des avertissements sur les étiquettes. Selon une loi de 1994, décriée par les autorités sanitaires américaines, les compléments alimentaires sont d’ailleurs considérés sans danger jusqu’à preuve du contraire…


Les experts précisent que 58 % de ces patients se plaignaient de symptômes cardiovasculaires (palpitations, des douleurs à la poitrine et une accélération du rythme cardiaque correspondant à de la tachycardie, etc.). La consommation de ces compléments aurait également entraîné des réactions allergiques graves, des vomissements et des nausées liés à leur composition très variée (vitamines, minéraux, acides aminés, produits à base de plantes).

Ce constat chiffré, publié dans le New England Journal of Medicine, a nécessité l’analyse de dix années de statistiques (de 2004 à 2013) issus de 63 hôpitaux représentatifs aux Etats-Unis [cette étude fédérale ne fournit aucune statistique sur les décès ayant pu résulter de la consommation de ces produits].

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Il s’agit même de la première recherche révélant un nombre aussi élevé de problèmes de santé sérieux liés à la consommation de compléments alimentaires. Une industrie qui pèse 32 milliards de dollars par an aux Etats-Unis et qui fait l’objet d’une surveillance accrue des autorités fédérales et de groupes de consommateurs.

Selon la loi, les compléments alimentaires sont considérés sans danger

Alors qu’aucun complément alimentaire ne requiert le feu vert de la FDA pour être commercialisé par les fabricants outre-Atlantique [contrairement aux médicaments], ces groupes de consommateurs réclament d’ailleurs aujourd’hui des réglementations plus strictes.

Car si, selon les experts, certains compléments contiennent des substances pouvant avoir de puissants effets dangereux sur l’organisme, les fabricants ne sont pas non plus obligés d’apposer des avertissements sur les étiquettes. Selon une loi de 1994, décriée par les autorités sanitaires américaines, les compléments alimentaires sont d’ailleurs considérés sans danger jusqu’à preuve du contraire…

New England Journal of Medicine

Les experts précisent que 58 % de ces patients se plaignaient de symptômes cardiovasculaires (palpitations, des douleurs à la poitrine et une accélération du rythme cardiaque correspondant à de la tachycardie, etc.). La consommation de ces compléments aurait également entraîné des réactions allergiques graves, des vomissements et des nausées liés à leur composition très variée (vitamines, minéraux, acides aminés, produits à base de plantes).

Ce constat chiffré, publié dans le New England Journal of Medicine, a nécessité l’analyse de dix années de statistiques (de 2004 à 2013) issus de 63 hôpitaux représentatifs aux Etats-Unis [cette étude fédérale ne fournit aucune statistique sur les décès ayant pu résulter de la consommation de ces produits].

Royaume-Uni : Une jeune femme meurt après avoir ingéré des pilules amaigrissantes

Il s’agit même de la première recherche révélant un nombre aussi élevé de problèmes de santé sérieux liés à la consommation de compléments alimentaires. Une industrie qui pèse 32 milliards de dollars par an aux Etats-Unis et qui fait l’objet d’une surveillance accrue des autorités fédérales et de groupes de consommateurs.

Selon la loi, les compléments alimentaires sont considérés sans danger

Alors qu’aucun complément alimentaire ne requiert le feu vert de la FDA pour être commercialisé par les fabricants outre-Atlantique [contrairement aux médicaments], ces groupes de consommateurs réclament d’ailleurs aujourd’hui des réglementations plus strictes.

Car si, selon les experts, certains compléments contiennent des substances pouvant avoir de puissants effets dangereux sur l’organisme, les fabricants ne sont pas non plus obligés d’apposer des avertissements sur les étiquettes. Selon une loi de 1994, décriée par les autorités sanitaires américaines, les compléments alimentaires sont d’ailleurs considérés sans danger jusqu’à preuve du contraire…


Royaume-Uni : Une jeune femme meurt après avoir ingéré des pilules amaigrissantes

Les experts précisent que 58 % de ces patients se plaignaient de symptômes cardiovasculaires (palpitations, des douleurs à la poitrine et une accélération du rythme cardiaque correspondant à de la tachycardie, etc.). La consommation de ces compléments aurait également entraîné des réactions allergiques graves, des vomissements et des nausées liés à leur composition très variée (vitamines, minéraux, acides aminés, produits à base de plantes).

Ce constat chiffré, publié dans le New England Journal of Medicine, a nécessité l’analyse de dix années de statistiques (de 2004 à 2013) issus de 63 hôpitaux représentatifs aux Etats-Unis [cette étude fédérale ne fournit aucune statistique sur les décès ayant pu résulter de la consommation de ces produits].

Royaume-Uni : Une jeune femme meurt après avoir ingéré des pilules amaigrissantes

Il s’agit même de la première recherche révélant un nombre aussi élevé de problèmes de santé sérieux liés à la consommation de compléments alimentaires. Une industrie qui pèse 32 milliards de dollars par an aux Etats-Unis et qui fait l’objet d’une surveillance accrue des autorités fédérales et de groupes de consommateurs.

Selon la loi, les compléments alimentaires sont considérés sans danger

Alors qu’aucun complément alimentaire ne requiert le feu vert de la FDA pour être commercialisé par les fabricants outre-Atlantique [contrairement aux médicaments], ces groupes de consommateurs réclament d’ailleurs aujourd’hui des réglementations plus strictes.

Car si, selon les experts, certains compléments contiennent des substances pouvant avoir de puissants effets dangereux sur l’organisme, les fabricants ne sont pas non plus obligés d’apposer des avertissements sur les étiquettes. Selon une loi de 1994, décriée par les autorités sanitaires américaines, les compléments alimentaires sont d’ailleurs considérés sans danger jusqu’à preuve du contraire…

problèmes de santé sérieux liés à la consommation de compléments alimentaires

Les experts précisent que 58 % de ces patients se plaignaient de symptômes cardiovasculaires (palpitations, des douleurs à la poitrine et une accélération du rythme cardiaque correspondant à de la tachycardie, etc.). La consommation de ces compléments aurait également entraîné des réactions allergiques graves, des vomissements et des nausées liés à leur composition très variée (vitamines, minéraux, acides aminés, produits à base de plantes).

Ce constat chiffré, publié dans le New England Journal of Medicine, a nécessité l’analyse de dix années de statistiques (de 2004 à 2013) issus de 63 hôpitaux représentatifs aux Etats-Unis [cette étude fédérale ne fournit aucune statistique sur les décès ayant pu résulter de la consommation de ces produits].

Royaume-Uni : Une jeune femme meurt après avoir ingéré des pilules amaigrissantes

Il s’agit même de la première recherche révélant un nombre aussi élevé de problèmes de santé sérieux liés à la consommation de compléments alimentaires. Une industrie qui pèse 32 milliards de dollars par an aux Etats-Unis et qui fait l’objet d’une surveillance accrue des autorités fédérales et de groupes de consommateurs.

Selon la loi, les compléments alimentaires sont considérés sans danger

Alors qu’aucun complément alimentaire ne requiert le feu vert de la FDA pour être commercialisé par les fabricants outre-Atlantique [contrairement aux médicaments], ces groupes de consommateurs réclament d’ailleurs aujourd’hui des réglementations plus strictes.

Car si, selon les experts, certains compléments contiennent des substances pouvant avoir de puissants effets dangereux sur l’organisme, les fabricants ne sont pas non plus obligés d’apposer des avertissements sur les étiquettes. Selon une loi de 1994, décriée par les autorités sanitaires américaines, les compléments alimentaires sont d’ailleurs considérés sans danger jusqu’à preuve du contraire…


Les experts précisent que 58 % de ces patients se plaignaient de symptômes cardiovasculaires (palpitations, des douleurs à la poitrine et une accélération du rythme cardiaque correspondant à de la tachycardie, etc.). La consommation de ces compléments aurait également entraîné des réactions allergiques graves, des vomissements et des nausées liés à leur composition très variée (vitamines, minéraux, acides aminés, produits à base de plantes).

Ce constat chiffré, publié dans le New England Journal of Medicine, a nécessité l’analyse de dix années de statistiques (de 2004 à 2013) issus de 63 hôpitaux représentatifs aux Etats-Unis [cette étude fédérale ne fournit aucune statistique sur les décès ayant pu résulter de la consommation de ces produits].

Royaume-Uni : Une jeune femme meurt après avoir ingéré des pilules amaigrissantes

Il s’agit même de la première recherche révélant un nombre aussi élevé de problèmes de santé sérieux liés à la consommation de compléments alimentaires. Une industrie qui pèse 32 milliards de dollars par an aux Etats-Unis et qui fait l’objet d’une surveillance accrue des autorités fédérales et de groupes de consommateurs.

Selon la loi, les compléments alimentaires sont considérés sans danger

Alors qu’aucun complément alimentaire ne requiert le feu vert de la FDA pour être commercialisé par les fabricants outre-Atlantique [contrairement aux médicaments], ces groupes de consommateurs réclament d’ailleurs aujourd’hui des réglementations plus strictes.

Car si, selon les experts, certains compléments contiennent des substances pouvant avoir de puissants effets dangereux sur l’organisme, les fabricants ne sont pas non plus obligés d’apposer des avertissements sur les étiquettes. Selon une loi de 1994, décriée par les autorités sanitaires américaines, les compléments alimentaires sont d’ailleurs considérés sans danger jusqu’à preuve du contraire…


Les experts précisent que 58 % de ces patients se plaignaient de symptômes cardiovasculaires (palpitations, des douleurs à la poitrine et une accélération du rythme cardiaque correspondant à de la tachycardie, etc.). La consommation de ces compléments aurait également entraîné des réactions allergiques graves, des vomissements et des nausées liés à leur composition très variée (vitamines, minéraux, acides aminés, produits à base de plantes).

Ce constat chiffré, publié dans le New England Journal of Medicine, a nécessité l’analyse de dix années de statistiques (de 2004 à 2013) issus de 63 hôpitaux représentatifs aux Etats-Unis [cette étude fédérale ne fournit aucune statistique sur les décès ayant pu résulter de la consommation de ces produits].

Royaume-Uni : Une jeune femme meurt après avoir ingéré des pilules amaigrissantes

Il s’agit même de la première recherche révélant un nombre aussi élevé de problèmes de santé sérieux liés à la consommation de compléments alimentaires. Une industrie qui pèse 32 milliards de dollars par an aux Etats-Unis et qui fait l’objet d’une surveillance accrue des autorités fédérales et de groupes de consommateurs.

Selon la loi, les compléments alimentaires sont considérés sans danger

Alors qu’aucun complément alimentaire ne requiert le feu vert de la FDA pour être commercialisé par les fabricants outre-Atlantique [contrairement aux médicaments], ces groupes de consommateurs réclament d’ailleurs aujourd’hui des réglementations plus strictes.

Car si, selon les experts, certains compléments contiennent des substances pouvant avoir de puissants effets dangereux sur l’organisme, les fabricants ne sont pas non plus obligés d’apposer des avertissements sur les étiquettes. Selon une loi de 1994, décriée par les autorités sanitaires américaines, les compléments alimentaires sont d’ailleurs considérés sans danger jusqu’à preuve du contraire…

complément alimentaire

Les experts précisent que 58 % de ces patients se plaignaient de symptômes cardiovasculaires (palpitations, des douleurs à la poitrine et une accélération du rythme cardiaque correspondant à de la tachycardie, etc.). La consommation de ces compléments aurait également entraîné des réactions allergiques graves, des vomissements et des nausées liés à leur composition très variée (vitamines, minéraux, acides aminés, produits à base de plantes).

Ce constat chiffré, publié dans le New England Journal of Medicine, a nécessité l’analyse de dix années de statistiques (de 2004 à 2013) issus de 63 hôpitaux représentatifs aux Etats-Unis [cette étude fédérale ne fournit aucune statistique sur les décès ayant pu résulter de la consommation de ces produits].

Royaume-Uni : Une jeune femme meurt après avoir ingéré des pilules amaigrissantes

Il s’agit même de la première recherche révélant un nombre aussi élevé de problèmes de santé sérieux liés à la consommation de compléments alimentaires. Une industrie qui pèse 32 milliards de dollars par an aux Etats-Unis et qui fait l’objet d’une surveillance accrue des autorités fédérales et de groupes de consommateurs.

Selon la loi, les compléments alimentaires sont considérés sans danger

Alors qu’aucun complément alimentaire ne requiert le feu vert de la FDA pour être commercialisé par les fabricants outre-Atlantique [contrairement aux médicaments], ces groupes de consommateurs réclament d’ailleurs aujourd’hui des réglementations plus strictes.

Car si, selon les experts, certains compléments contiennent des substances pouvant avoir de puissants effets dangereux sur l’organisme, les fabricants ne sont pas non plus obligés d’apposer des avertissements sur les étiquettes. Selon une loi de 1994, décriée par les autorités sanitaires américaines, les compléments alimentaires sont d’ailleurs considérés sans danger jusqu’à preuve du contraire…


Les experts précisent que 58 % de ces patients se plaignaient de symptômes cardiovasculaires (palpitations, des douleurs à la poitrine et une accélération du rythme cardiaque correspondant à de la tachycardie, etc.). La consommation de ces compléments aurait également entraîné des réactions allergiques graves, des vomissements et des nausées liés à leur composition très variée (vitamines, minéraux, acides aminés, produits à base de plantes).

Ce constat chiffré, publié dans le New England Journal of Medicine, a nécessité l’analyse de dix années de statistiques (de 2004 à 2013) issus de 63 hôpitaux représentatifs aux Etats-Unis [cette étude fédérale ne fournit aucune statistique sur les décès ayant pu résulter de la consommation de ces produits].

Royaume-Uni : Une jeune femme meurt après avoir ingéré des pilules amaigrissantes

Il s’agit même de la première recherche révélant un nombre aussi élevé de problèmes de santé sérieux liés à la consommation de compléments alimentaires. Une industrie qui pèse 32 milliards de dollars par an aux Etats-Unis et qui fait l’objet d’une surveillance accrue des autorités fédérales et de groupes de consommateurs.

Selon la loi, les compléments alimentaires sont considérés sans danger

Alors qu’aucun complément alimentaire ne requiert le feu vert de la FDA pour être commercialisé par les fabricants outre-Atlantique [contrairement aux médicaments], ces groupes de consommateurs réclament d’ailleurs aujourd’hui des réglementations plus strictes.

Car si, selon les experts, certains compléments contiennent des substances pouvant avoir de puissants effets dangereux sur l’organisme, les fabricants ne sont pas non plus obligés d’apposer des avertissements sur les étiquettes. Selon une loi de 1994, décriée par les autorités sanitaires américaines, les compléments alimentaires sont d’ailleurs considérés sans danger jusqu’à preuve du contraire…