ETUDEQuand les savons antibactériens ne sont pas efficaces... contre les bactéries

Quand les savons antibactériens ne sont pas efficaces... contre les bactéries

ETUDELes Américains dépenseraient près d’un milliard de dollars par an dans ces produits censés apporter une protection contre les agents infectieux pathogènes…
20 Minutes avec agence

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Les savons antibactériens, à base de triclosan ne sont pas plus efficaces qu’un savon ordinaire pour désinfecter les mains. Voici une nouvelle de poids pour ces « millions de consommateurs qui, aux Etats-Unis, utilisent des savons antibactériens pour se laver les mains ou le corps ».

Car selon les chercheurs de la Korea University de Séoul, ces Américains adeptes des savons antibactériens, « en attendent une protection contre les agents infectieux pathogènes supérieure à celle conférée par les savons ordinaires et dépensent près d’un milliard de dollars par an ».

Un test sur 20 souches de différentes bactéries

Et c’est donc pour faire le point sur les prétendus effets sur les bactéries du triclosan, cet antiseptique controversé mais couramment utilisé dans les savons antibactériens, que l’équipe du docteur Min-Suk Rhee de la Korea University de Séoul a mené deux expériences.

Les scientifiques ont testé cet ingrédient chimique, d’une part sur 20 souches de différentes bactéries (E.Coli, salmonelles, staphylocoques dorés, etc.) et, d’autre part, sur les mains préalablement « enduites » de bactéries de 16 volontaires adultes*. Ceci en recréant les conditions d’un lavage des mains dans la vie courante en laboratoire et en demandant aux volontaires de s’abstenir de recourir à des savons antibactériens pendant une semaine au moins avant le test comparatif.

Le gel antibactérien favoriserait l’absorption par la peau du bisphénol A

Résultat : « Il n’y a aucune différence significative entre les effets bactéricides d’un savon ordinaire et ceux d’un savon antibactérien lorsqu’on les utilise dans les conditions de la vie réelle et quotidienne », affirment les chercheurs qui ont publié leurs résultats, ce mercredi, dans The Journal of Antimicrobial Chemotherapy. Détail peut-être important : si après le court laps de temps consacré à un lavage des mains dans la vie quotidienne, le triclosan ne fait pas le poids, au bout de neuf heures, le triclosan emporte nettement sa bataille contre les bactéries et contre les savons ordinaires.

Triclosan et de dérèglements hormonaux

Dans leur étude, les chercheurs rappellent que nombre des producteurs, en raison des controverses sur les risques sanitaires et le manque d’efficacité du triclosan, ont retiré le produit de leurs savons. Ainsi, seuls 13 des 53 savons antibactériens étudiés en Corée en contenaient.


Les savons antibactériens, à base de triclosan ne sont pas plus efficaces qu’un savon ordinaire pour désinfecter les mains. Voici une nouvelle de poids pour ces « millions de consommateurs qui, aux Etats-Unis, utilisent des savons antibactériens pour se laver les mains ou le corps ».

Car selon les chercheurs de la Korea University de Séoul, ces Américains adeptes des savons antibactériens, « en attendent une protection contre les agents infectieux pathogènes supérieure à celle conférée par les savons ordinaires et dépensent près d’un milliard de dollars par an ».

Un test sur 20 souches de différentes bactéries

Et c’est donc pour faire le point sur les prétendus effets sur les bactéries du triclosan, cet antiseptique controversé mais couramment utilisé dans les savons antibactériens, que l’équipe du docteur Min-Suk Rhee de la Korea University de Séoul a mené deux expériences.

Les scientifiques ont testé cet ingrédient chimique, d’une part sur 20 souches de différentes bactéries (E.Coli, salmonelles, staphylocoques dorés, etc.) et, d’autre part, sur les mains préalablement « enduites » de bactéries de 16 volontaires adultes*. Ceci en recréant les conditions d’un lavage des mains dans la vie courante en laboratoire et en demandant aux volontaires de s’abstenir de recourir à des savons antibactériens pendant une semaine au moins avant le test comparatif.

Le gel antibactérien favoriserait l’absorption par la peau du bisphénol A

Résultat : « Il n’y a aucune différence significative entre les effets bactéricides d’un savon ordinaire et ceux d’un savon antibactérien lorsqu’on les utilise dans les conditions de la vie réelle et quotidienne », affirment les chercheurs qui ont publié leurs résultats, ce mercredi, dans The Journal of Antimicrobial Chemotherapy. Détail peut-être important : si après le court laps de temps consacré à un lavage des mains dans la vie quotidienne, le triclosan ne fait pas le poids, au bout de neuf heures, le triclosan emporte nettement sa bataille contre les bactéries et contre les savons ordinaires.

Triclosan et de dérèglements hormonaux

Dans leur étude, les chercheurs rappellent que nombre des producteurs, en raison des controverses sur les risques sanitaires et le manque d’efficacité du triclosan, ont retiré le produit de leurs savons. Ainsi, seuls 13 des 53 savons antibactériens étudiés en Corée en contenaient.


Les savons antibactériens, à base de triclosan ne sont pas plus efficaces qu’un savon ordinaire pour désinfecter les mains. Voici une nouvelle de poids pour ces « millions de consommateurs qui, aux Etats-Unis, utilisent des savons antibactériens pour se laver les mains ou le corps ».

Car selon les chercheurs de la Korea University de Séoul, ces Américains adeptes des savons antibactériens, « en attendent une protection contre les agents infectieux pathogènes supérieure à celle conférée par les savons ordinaires et dépensent près d’un milliard de dollars par an ».

Un test sur 20 souches de différentes bactéries

Et c’est donc pour faire le point sur les prétendus effets sur les bactéries du triclosan, cet antiseptique controversé mais couramment utilisé dans les savons antibactériens, que l’équipe du docteur Min-Suk Rhee de la Korea University de Séoul a mené deux expériences.

Les scientifiques ont testé cet ingrédient chimique, d’une part sur 20 souches de différentes bactéries (E.Coli, salmonelles, staphylocoques dorés, etc.) et, d’autre part, sur les mains préalablement « enduites » de bactéries de 16 volontaires adultes*. Ceci en recréant les conditions d’un lavage des mains dans la vie courante en laboratoire et en demandant aux volontaires de s’abstenir de recourir à des savons antibactériens pendant une semaine au moins avant le test comparatif.

Le gel antibactérien favoriserait l’absorption par la peau du bisphénol A

Résultat : « Il n’y a aucune différence significative entre les effets bactéricides d’un savon ordinaire et ceux d’un savon antibactérien lorsqu’on les utilise dans les conditions de la vie réelle et quotidienne », affirment les chercheurs qui ont publié leurs résultats, ce mercredi, dans The Journal of Antimicrobial Chemotherapy. Détail peut-être important : si après le court laps de temps consacré à un lavage des mains dans la vie quotidienne, le triclosan ne fait pas le poids, au bout de neuf heures, le triclosan emporte nettement sa bataille contre les bactéries et contre les savons ordinaires.

Triclosan et de dérèglements hormonaux

Dans leur étude, les chercheurs rappellent que nombre des producteurs, en raison des controverses sur les risques sanitaires et le manque d’efficacité du triclosan, ont retiré le produit de leurs savons. Ainsi, seuls 13 des 53 savons antibactériens étudiés en Corée en contenaient.


Les savons antibactériens, à base de triclosan ne sont pas plus efficaces qu’un savon ordinaire pour désinfecter les mains. Voici une nouvelle de poids pour ces « millions de consommateurs qui, aux Etats-Unis, utilisent des savons antibactériens pour se laver les mains ou le corps ».

Car selon les chercheurs de la Korea University de Séoul, ces Américains adeptes des savons antibactériens, « en attendent une protection contre les agents infectieux pathogènes supérieure à celle conférée par les savons ordinaires et dépensent près d’un milliard de dollars par an ».

Un test sur 20 souches de différentes bactéries

Et c’est donc pour faire le point sur les prétendus effets sur les bactéries du triclosan, cet antiseptique controversé mais couramment utilisé dans les savons antibactériens, que l’équipe du docteur Min-Suk Rhee de la Korea University de Séoul a mené deux expériences.

Les scientifiques ont testé cet ingrédient chimique, d’une part sur 20 souches de différentes bactéries (E.Coli, salmonelles, staphylocoques dorés, etc.) et, d’autre part, sur les mains préalablement « enduites » de bactéries de 16 volontaires adultes*. Ceci en recréant les conditions d’un lavage des mains dans la vie courante en laboratoire et en demandant aux volontaires de s’abstenir de recourir à des savons antibactériens pendant une semaine au moins avant le test comparatif.

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Résultat : « Il n’y a aucune différence significative entre les effets bactéricides d’un savon ordinaire et ceux d’un savon antibactérien lorsqu’on les utilise dans les conditions de la vie réelle et quotidienne », affirment les chercheurs qui ont publié leurs résultats, ce mercredi, dans The Journal of Antimicrobial Chemotherapy. Détail peut-être important : si après le court laps de temps consacré à un lavage des mains dans la vie quotidienne, le triclosan ne fait pas le poids, au bout de neuf heures, le triclosan emporte nettement sa bataille contre les bactéries et contre les savons ordinaires.

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Dans leur étude, les chercheurs rappellent que nombre des producteurs, en raison des controverses sur les risques sanitaires et le manque d’efficacité du triclosan, ont retiré le produit de leurs savons. Ainsi, seuls 13 des 53 savons antibactériens étudiés en Corée en contenaient.


Les savons antibactériens, à base de triclosan ne sont pas plus efficaces qu’un savon ordinaire pour désinfecter les mains. Voici une nouvelle de poids pour ces « millions de consommateurs qui, aux Etats-Unis, utilisent des savons antibactériens pour se laver les mains ou le corps ».

Car selon les chercheurs de la Korea University de Séoul, ces Américains adeptes des savons antibactériens, « en attendent une protection contre les agents infectieux pathogènes supérieure à celle conférée par les savons ordinaires et dépensent près d’un milliard de dollars par an ».

Un test sur 20 souches de différentes bactéries

Et c’est donc pour faire le point sur les prétendus effets sur les bactéries du triclosan, cet antiseptique controversé mais couramment utilisé dans les savons antibactériens, que l’équipe du docteur Min-Suk Rhee de la Korea University de Séoul a mené deux expériences.

Les scientifiques ont testé cet ingrédient chimique, d’une part sur 20 souches de différentes bactéries (E.Coli, salmonelles, staphylocoques dorés, etc.) et, d’autre part, sur les mains préalablement « enduites » de bactéries de 16 volontaires adultes*. Ceci en recréant les conditions d’un lavage des mains dans la vie courante en laboratoire et en demandant aux volontaires de s’abstenir de recourir à des savons antibactériens pendant une semaine au moins avant le test comparatif.

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Résultat : « Il n’y a aucune différence significative entre les effets bactéricides d’un savon ordinaire et ceux d’un savon antibactérien lorsqu’on les utilise dans les conditions de la vie réelle et quotidienne », affirment les chercheurs qui ont publié leurs résultats, ce mercredi, dans The Journal of Antimicrobial Chemotherapy. Détail peut-être important : si après le court laps de temps consacré à un lavage des mains dans la vie quotidienne, le triclosan ne fait pas le poids, au bout de neuf heures, le triclosan emporte nettement sa bataille contre les bactéries et contre les savons ordinaires.

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Dans leur étude, les chercheurs rappellent que nombre des producteurs, en raison des controverses sur les risques sanitaires et le manque d’efficacité du triclosan, ont retiré le produit de leurs savons. Ainsi, seuls 13 des 53 savons antibactériens étudiés en Corée en contenaient.


Les savons antibactériens, à base de triclosan ne sont pas plus efficaces qu’un savon ordinaire pour désinfecter les mains. Voici une nouvelle de poids pour ces « millions de consommateurs qui, aux Etats-Unis, utilisent des savons antibactériens pour se laver les mains ou le corps ».

Car selon les chercheurs de la Korea University de Séoul, ces Américains adeptes des savons antibactériens, « en attendent une protection contre les agents infectieux pathogènes supérieure à celle conférée par les savons ordinaires et dépensent près d’un milliard de dollars par an ».

Un test sur 20 souches de différentes bactéries

Et c’est donc pour faire le point sur les prétendus effets sur les bactéries du triclosan, cet antiseptique controversé mais couramment utilisé dans les savons antibactériens, que l’équipe du docteur Min-Suk Rhee de la Korea University de Séoul a mené deux expériences.

Les scientifiques ont testé cet ingrédient chimique, d’une part sur 20 souches de différentes bactéries (E.Coli, salmonelles, staphylocoques dorés, etc.) et, d’autre part, sur les mains préalablement « enduites » de bactéries de 16 volontaires adultes*. Ceci en recréant les conditions d’un lavage des mains dans la vie courante en laboratoire et en demandant aux volontaires de s’abstenir de recourir à des savons antibactériens pendant une semaine au moins avant le test comparatif.

Le gel antibactérien favoriserait l’absorption par la peau du bisphénol A

Résultat : « Il n’y a aucune différence significative entre les effets bactéricides d’un savon ordinaire et ceux d’un savon antibactérien lorsqu’on les utilise dans les conditions de la vie réelle et quotidienne », affirment les chercheurs qui ont publié leurs résultats, ce mercredi, dans The Journal of Antimicrobial Chemotherapy. Détail peut-être important : si après le court laps de temps consacré à un lavage des mains dans la vie quotidienne, le triclosan ne fait pas le poids, au bout de neuf heures, le triclosan emporte nettement sa bataille contre les bactéries et contre les savons ordinaires.

Triclosan et de dérèglements hormonaux

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Les savons antibactériens, à base de triclosan ne sont pas plus efficaces qu’un savon ordinaire pour désinfecter les mains. Voici une nouvelle de poids pour ces « millions de consommateurs qui, aux Etats-Unis, utilisent des savons antibactériens pour se laver les mains ou le corps ».

Car selon les chercheurs de la Korea University de Séoul, ces Américains adeptes des savons antibactériens, « en attendent une protection contre les agents infectieux pathogènes supérieure à celle conférée par les savons ordinaires et dépensent près d’un milliard de dollars par an ».

Un test sur 20 souches de différentes bactéries

Et c’est donc pour faire le point sur les prétendus effets sur les bactéries du triclosan, cet antiseptique controversé mais couramment utilisé dans les savons antibactériens, que l’équipe du docteur Min-Suk Rhee de la Korea University de Séoul a mené deux expériences.

Les scientifiques ont testé cet ingrédient chimique, d’une part sur 20 souches de différentes bactéries (E.Coli, salmonelles, staphylocoques dorés, etc.) et, d’autre part, sur les mains préalablement « enduites » de bactéries de 16 volontaires adultes*. Ceci en recréant les conditions d’un lavage des mains dans la vie courante en laboratoire et en demandant aux volontaires de s’abstenir de recourir à des savons antibactériens pendant une semaine au moins avant le test comparatif.

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Triclosan et de dérèglements hormonaux

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Les savons antibactériens, à base de triclosan ne sont pas plus efficaces qu’un savon ordinaire pour désinfecter les mains. Voici une nouvelle de poids pour ces « millions de consommateurs qui, aux Etats-Unis, utilisent des savons antibactériens pour se laver les mains ou le corps ».

Car selon les chercheurs de la Korea University de Séoul, ces Américains adeptes des savons antibactériens, « en attendent une protection contre les agents infectieux pathogènes supérieure à celle conférée par les savons ordinaires et dépensent près d’un milliard de dollars par an ».

Un test sur 20 souches de différentes bactéries

Et c’est donc pour faire le point sur les prétendus effets sur les bactéries du triclosan, cet antiseptique controversé mais couramment utilisé dans les savons antibactériens, que l’équipe du docteur Min-Suk Rhee de la Korea University de Séoul a mené deux expériences.

Les scientifiques ont testé cet ingrédient chimique, d’une part sur 20 souches de différentes bactéries (E.Coli, salmonelles, staphylocoques dorés, etc.) et, d’autre part, sur les mains préalablement « enduites » de bactéries de 16 volontaires adultes*. Ceci en recréant les conditions d’un lavage des mains dans la vie courante en laboratoire et en demandant aux volontaires de s’abstenir de recourir à des savons antibactériens pendant une semaine au moins avant le test comparatif.

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Résultat : « Il n’y a aucune différence significative entre les effets bactéricides d’un savon ordinaire et ceux d’un savon antibactérien lorsqu’on les utilise dans les conditions de la vie réelle et quotidienne », affirment les chercheurs qui ont publié leurs résultats, ce mercredi, dans The Journal of Antimicrobial Chemotherapy. Détail peut-être important : si après le court laps de temps consacré à un lavage des mains dans la vie quotidienne, le triclosan ne fait pas le poids, au bout de neuf heures, le triclosan emporte nettement sa bataille contre les bactéries et contre les savons ordinaires.

Triclosan et de dérèglements hormonaux

Dans leur étude, les chercheurs rappellent que nombre des producteurs, en raison des controverses sur les risques sanitaires et le manque d’efficacité du triclosan, ont retiré le produit de leurs savons. Ainsi, seuls 13 des 53 savons antibactériens étudiés en Corée en contenaient.

The Journal of Antimicrobial Chemotherapy

Les savons antibactériens, à base de triclosan ne sont pas plus efficaces qu’un savon ordinaire pour désinfecter les mains. Voici une nouvelle de poids pour ces « millions de consommateurs qui, aux Etats-Unis, utilisent des savons antibactériens pour se laver les mains ou le corps ».

Car selon les chercheurs de la Korea University de Séoul, ces Américains adeptes des savons antibactériens, « en attendent une protection contre les agents infectieux pathogènes supérieure à celle conférée par les savons ordinaires et dépensent près d’un milliard de dollars par an ».

Un test sur 20 souches de différentes bactéries

Et c’est donc pour faire le point sur les prétendus effets sur les bactéries du triclosan, cet antiseptique controversé mais couramment utilisé dans les savons antibactériens, que l’équipe du docteur Min-Suk Rhee de la Korea University de Séoul a mené deux expériences.

Les scientifiques ont testé cet ingrédient chimique, d’une part sur 20 souches de différentes bactéries (E.Coli, salmonelles, staphylocoques dorés, etc.) et, d’autre part, sur les mains préalablement « enduites » de bactéries de 16 volontaires adultes*. Ceci en recréant les conditions d’un lavage des mains dans la vie courante en laboratoire et en demandant aux volontaires de s’abstenir de recourir à des savons antibactériens pendant une semaine au moins avant le test comparatif.

Le gel antibactérien favoriserait l’absorption par la peau du bisphénol A

Résultat : « Il n’y a aucune différence significative entre les effets bactéricides d’un savon ordinaire et ceux d’un savon antibactérien lorsqu’on les utilise dans les conditions de la vie réelle et quotidienne », affirment les chercheurs qui ont publié leurs résultats, ce mercredi, dans The Journal of Antimicrobial Chemotherapy. Détail peut-être important : si après le court laps de temps consacré à un lavage des mains dans la vie quotidienne, le triclosan ne fait pas le poids, au bout de neuf heures, le triclosan emporte nettement sa bataille contre les bactéries et contre les savons ordinaires.

Triclosan et de dérèglements hormonaux

Dans leur étude, les chercheurs rappellent que nombre des producteurs, en raison des controverses sur les risques sanitaires et le manque d’efficacité du triclosan, ont retiré le produit de leurs savons. Ainsi, seuls 13 des 53 savons antibactériens étudiés en Corée en contenaient.


Les savons antibactériens, à base de triclosan ne sont pas plus efficaces qu’un savon ordinaire pour désinfecter les mains. Voici une nouvelle de poids pour ces « millions de consommateurs qui, aux Etats-Unis, utilisent des savons antibactériens pour se laver les mains ou le corps ».

Car selon les chercheurs de la Korea University de Séoul, ces Américains adeptes des savons antibactériens, « en attendent une protection contre les agents infectieux pathogènes supérieure à celle conférée par les savons ordinaires et dépensent près d’un milliard de dollars par an ».

Un test sur 20 souches de différentes bactéries

Et c’est donc pour faire le point sur les prétendus effets sur les bactéries du triclosan, cet antiseptique controversé mais couramment utilisé dans les savons antibactériens, que l’équipe du docteur Min-Suk Rhee de la Korea University de Séoul a mené deux expériences.

Les scientifiques ont testé cet ingrédient chimique, d’une part sur 20 souches de différentes bactéries (E.Coli, salmonelles, staphylocoques dorés, etc.) et, d’autre part, sur les mains préalablement « enduites » de bactéries de 16 volontaires adultes*. Ceci en recréant les conditions d’un lavage des mains dans la vie courante en laboratoire et en demandant aux volontaires de s’abstenir de recourir à des savons antibactériens pendant une semaine au moins avant le test comparatif.

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Résultat : « Il n’y a aucune différence significative entre les effets bactéricides d’un savon ordinaire et ceux d’un savon antibactérien lorsqu’on les utilise dans les conditions de la vie réelle et quotidienne », affirment les chercheurs qui ont publié leurs résultats, ce mercredi, dans The Journal of Antimicrobial Chemotherapy. Détail peut-être important : si après le court laps de temps consacré à un lavage des mains dans la vie quotidienne, le triclosan ne fait pas le poids, au bout de neuf heures, le triclosan emporte nettement sa bataille contre les bactéries et contre les savons ordinaires.

Triclosan et de dérèglements hormonaux

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Les savons antibactériens, à base de triclosan ne sont pas plus efficaces qu’un savon ordinaire pour désinfecter les mains. Voici une nouvelle de poids pour ces « millions de consommateurs qui, aux Etats-Unis, utilisent des savons antibactériens pour se laver les mains ou le corps ».

Car selon les chercheurs de la Korea University de Séoul, ces Américains adeptes des savons antibactériens, « en attendent une protection contre les agents infectieux pathogènes supérieure à celle conférée par les savons ordinaires et dépensent près d’un milliard de dollars par an ».

Un test sur 20 souches de différentes bactéries

Et c’est donc pour faire le point sur les prétendus effets sur les bactéries du triclosan, cet antiseptique controversé mais couramment utilisé dans les savons antibactériens, que l’équipe du docteur Min-Suk Rhee de la Korea University de Séoul a mené deux expériences.

Les scientifiques ont testé cet ingrédient chimique, d’une part sur 20 souches de différentes bactéries (E.Coli, salmonelles, staphylocoques dorés, etc.) et, d’autre part, sur les mains préalablement « enduites » de bactéries de 16 volontaires adultes*. Ceci en recréant les conditions d’un lavage des mains dans la vie courante en laboratoire et en demandant aux volontaires de s’abstenir de recourir à des savons antibactériens pendant une semaine au moins avant le test comparatif.

Le gel antibactérien favoriserait l’absorption par la peau du bisphénol A

Résultat : « Il n’y a aucune différence significative entre les effets bactéricides d’un savon ordinaire et ceux d’un savon antibactérien lorsqu’on les utilise dans les conditions de la vie réelle et quotidienne », affirment les chercheurs qui ont publié leurs résultats, ce mercredi, dans The Journal of Antimicrobial Chemotherapy. Détail peut-être important : si après le court laps de temps consacré à un lavage des mains dans la vie quotidienne, le triclosan ne fait pas le poids, au bout de neuf heures, le triclosan emporte nettement sa bataille contre les bactéries et contre les savons ordinaires.

Triclosan et de dérèglements hormonaux

Dans leur étude, les chercheurs rappellent que nombre des producteurs, en raison des controverses sur les risques sanitaires et le manque d’efficacité du triclosan, ont retiré le produit de leurs savons. Ainsi, seuls 13 des 53 savons antibactériens étudiés en Corée en contenaient.

A noter qu'après la parution d’études liant le triclosan à des cas de résistance aux antibiotiques et de dérèglements hormonaux, les autorités sanitaires américaines ont, de leur côté, décidé de réexaminer son innocuité. Ce qui pourrait aboutir, une fois ce processus achevé et une fois les résultats de cette étude révélés à grande échelle, à des restrictions de son usage.

* Pour leurs tests, les chercheurs ont utilisé une concentration de triclosan à 0,3 %, maximum autorisé dans l’Union Européenne, au Canada, en Australie, en Chine et au Japon.

liant le triclosan à des cas de résistance aux antibiotiques et de dérèglements hormonaux

A noter qu'après la parution d’études liant le triclosan à des cas de résistance aux antibiotiques et de dérèglements hormonaux, les autorités sanitaires américaines ont, de leur côté, décidé de réexaminer son innocuité. Ce qui pourrait aboutir, une fois ce processus achevé et une fois les résultats de cette étude révélés à grande échelle, à des restrictions de son usage.

* Pour leurs tests, les chercheurs ont utilisé une concentration de triclosan à 0,3 %, maximum autorisé dans l’Union Européenne, au Canada, en Australie, en Chine et au Japon.


A noter qu'après la parution d’études liant le triclosan à des cas de résistance aux antibiotiques et de dérèglements hormonaux, les autorités sanitaires américaines ont, de leur côté, décidé de réexaminer son innocuité. Ce qui pourrait aboutir, une fois ce processus achevé et une fois les résultats de cette étude révélés à grande échelle, à des restrictions de son usage.

* Pour leurs tests, les chercheurs ont utilisé une concentration de triclosan à 0,3 %, maximum autorisé dans l’Union Européenne, au Canada, en Australie, en Chine et au Japon.


A noter qu'après la parution d’études liant le triclosan à des cas de résistance aux antibiotiques et de dérèglements hormonaux, les autorités sanitaires américaines ont, de leur côté, décidé de réexaminer son innocuité. Ce qui pourrait aboutir, une fois ce processus achevé et une fois les résultats de cette étude révélés à grande échelle, à des restrictions de son usage.

* Pour leurs tests, les chercheurs ont utilisé une concentration de triclosan à 0,3 %, maximum autorisé dans l’Union Européenne, au Canada, en Australie, en Chine et au Japon.