ETUDETabac, pollution, obésité... Plus de 30 millions de décès « évitables » dans le monde en 2013

Tabac, pollution, obésité... Plus de 30 millions de décès « évitables » dans le monde en 2013

ETUDEDes scientifiques mettent en avant une combinaison de 14 facteurs alimentaires qui seraient, selon eux, responsables de 21 % de l’ensemble des décès en 2013...
20 Minutes avec agences

20 Minutes avec agences

« Disons le clairement, nous nous comportons mal. Il ne nous viendrait pas à l’idée de ne pas changer l’huile dans notre voiture, mais lorsqu’il s’agit de notre propre corps, nous ne faisons pas autant attention », lâche Ali Mokdad, auteur d’une étude récemment publiée dans la revue britannique The Lancet. Et le scientifique n’a pas tort, car la recherche affirme que les décès dits « évitables » ont augmenté de 23 % entre 1990 et 2013.

En clair, le nombre des décès liés à l’hypertension non traitée ou au tabac (autant de manies évitables donc responsable de décès prématurés) continue d’augmenter et a atteint plus de 30 millions dans le monde en 2013, selon ces chercheurs qui ont passé au crible, dans 188 pays, 79 facteurs de risque comportementaux, environnementaux ou professionnels.

Pollution de l’air : Deux millions de décès pourraient être évités chaque année

10 millions de décès découlent d’une hypertension artérielle non contrôlée

The Lancet

« Disons le clairement, nous nous comportons mal. Il ne nous viendrait pas à l’idée de ne pas changer l’huile dans notre voiture, mais lorsqu’il s’agit de notre propre corps, nous ne faisons pas autant attention », lâche Ali Mokdad, auteur d’une étude récemment publiée dans la revue britannique The Lancet. Et le scientifique n’a pas tort, car la recherche affirme que les décès dits « évitables » ont augmenté de 23 % entre 1990 et 2013.

En clair, le nombre des décès liés à l’hypertension non traitée ou au tabac (autant de manies évitables donc responsable de décès prématurés) continue d’augmenter et a atteint plus de 30 millions dans le monde en 2013, selon ces chercheurs qui ont passé au crible, dans 188 pays, 79 facteurs de risque comportementaux, environnementaux ou professionnels.

Pollution de l’air : Deux millions de décès pourraient être évités chaque année

10 millions de décès découlent d’une hypertension artérielle non contrôlée


« Disons le clairement, nous nous comportons mal. Il ne nous viendrait pas à l’idée de ne pas changer l’huile dans notre voiture, mais lorsqu’il s’agit de notre propre corps, nous ne faisons pas autant attention », lâche Ali Mokdad, auteur d’une étude récemment publiée dans la revue britannique The Lancet. Et le scientifique n’a pas tort, car la recherche affirme que les décès dits « évitables » ont augmenté de 23 % entre 1990 et 2013.

En clair, le nombre des décès liés à l’hypertension non traitée ou au tabac (autant de manies évitables donc responsable de décès prématurés) continue d’augmenter et a atteint plus de 30 millions dans le monde en 2013, selon ces chercheurs qui ont passé au crible, dans 188 pays, 79 facteurs de risque comportementaux, environnementaux ou professionnels.

Pollution de l’air : Deux millions de décès pourraient être évités chaque année

10 millions de décès découlent d’une hypertension artérielle non contrôlée


Pollution de l’air : Deux millions de décès pourraient être évités chaque année

« Disons le clairement, nous nous comportons mal. Il ne nous viendrait pas à l’idée de ne pas changer l’huile dans notre voiture, mais lorsqu’il s’agit de notre propre corps, nous ne faisons pas autant attention », lâche Ali Mokdad, auteur d’une étude récemment publiée dans la revue britannique The Lancet. Et le scientifique n’a pas tort, car la recherche affirme que les décès dits « évitables » ont augmenté de 23 % entre 1990 et 2013.

En clair, le nombre des décès liés à l’hypertension non traitée ou au tabac (autant de manies évitables donc responsable de décès prématurés) continue d’augmenter et a atteint plus de 30 millions dans le monde en 2013, selon ces chercheurs qui ont passé au crible, dans 188 pays, 79 facteurs de risque comportementaux, environnementaux ou professionnels.

Pollution de l’air : Deux millions de décès pourraient être évités chaque année

10 millions de décès découlent d’une hypertension artérielle non contrôlée

Comme en 1990, l’hypertension artérielle (qui constitue un risque majeur de maladies cardiovasculaires et qui peut facilement être contrôlée) arrive en tête des risques évitables en 2013, contribuant à plus de 10 millions de décès dans le monde. Le tabac arrive globalement en seconde position des principaux facteurs de risque associés aux décès*, devant l’obésité et un taux de sucre trop élevé dans le sang.

Au-delà de ces risques déjà bien identifiés, les auteurs de l’étude, coordonnée par l’Université de Washington (Etats-Unis), mettent pour la première fois en avant une combinaison de 14 facteurs alimentaires qui seraient, selon eux, responsables de 21 % de l’ensemble des décès en 2013, principalement par le biais de maladies cardiovasculaires.

Cigarettes, alcool… 37 millions de décès prématurés évitables avec un mode de vie plus sain

Sels et boissons sucrées

Parmi ces facteurs figure notamment une alimentation pauvre en fruits ou en légumes et au contraire trop riche en viandes, en sel et en boissons sucrées. Et si cette malnutrition est à l’origine d’une obésité morbide croissante en Occident (en tête des risques au Moyen-Orient et en Amérique latine), elle est la première cause de décès chez les enfants de moins de 5 ans (1,3 million de décès en 2013, principalement en Afrique). En Afrique subsaharienne, les risques sont plus précisément dominés par une combinaison de malnutrition infantile, d’eau contaminée, de relations sexuelles non protégées et d’alcoolisme.

« Il existe un grand potentiel pour améliorer la santé en évitant certains risques comme le tabac ou une mauvaise alimentation, ainsi qu’en s’attaquant aux risques environnementaux comme la pollution atmosphérique », souligne, pour sa part, le Dr Christopher Murray, de l’Université de Washington, qui note qu’un mode de vie plus sain permettrait d’éviter « un grand nombre de décès prématurés »

* Les risques varient selon les sexes et selon les pays concernés. Si le tabagisme arrive en seconde position chez les hommes avec 4,4 millions de décès dans le monde en 2013, il n’arrive qu’en sixième position chez les femmes (avec 1,4 million de décès).


Comme en 1990, l’hypertension artérielle (qui constitue un risque majeur de maladies cardiovasculaires et qui peut facilement être contrôlée) arrive en tête des risques évitables en 2013, contribuant à plus de 10 millions de décès dans le monde. Le tabac arrive globalement en seconde position des principaux facteurs de risque associés aux décès*, devant l’obésité et un taux de sucre trop élevé dans le sang.

Au-delà de ces risques déjà bien identifiés, les auteurs de l’étude, coordonnée par l’Université de Washington (Etats-Unis), mettent pour la première fois en avant une combinaison de 14 facteurs alimentaires qui seraient, selon eux, responsables de 21 % de l’ensemble des décès en 2013, principalement par le biais de maladies cardiovasculaires.

Cigarettes, alcool… 37 millions de décès prématurés évitables avec un mode de vie plus sain

Sels et boissons sucrées

Parmi ces facteurs figure notamment une alimentation pauvre en fruits ou en légumes et au contraire trop riche en viandes, en sel et en boissons sucrées. Et si cette malnutrition est à l’origine d’une obésité morbide croissante en Occident (en tête des risques au Moyen-Orient et en Amérique latine), elle est la première cause de décès chez les enfants de moins de 5 ans (1,3 million de décès en 2013, principalement en Afrique). En Afrique subsaharienne, les risques sont plus précisément dominés par une combinaison de malnutrition infantile, d’eau contaminée, de relations sexuelles non protégées et d’alcoolisme.

« Il existe un grand potentiel pour améliorer la santé en évitant certains risques comme le tabac ou une mauvaise alimentation, ainsi qu’en s’attaquant aux risques environnementaux comme la pollution atmosphérique », souligne, pour sa part, le Dr Christopher Murray, de l’Université de Washington, qui note qu’un mode de vie plus sain permettrait d’éviter « un grand nombre de décès prématurés »

* Les risques varient selon les sexes et selon les pays concernés. Si le tabagisme arrive en seconde position chez les hommes avec 4,4 millions de décès dans le monde en 2013, il n’arrive qu’en sixième position chez les femmes (avec 1,4 million de décès).


Cigarettes, alcool… 37 millions de décès prématurés évitables avec un mode de vie plus sain

Comme en 1990, l’hypertension artérielle (qui constitue un risque majeur de maladies cardiovasculaires et qui peut facilement être contrôlée) arrive en tête des risques évitables en 2013, contribuant à plus de 10 millions de décès dans le monde. Le tabac arrive globalement en seconde position des principaux facteurs de risque associés aux décès*, devant l’obésité et un taux de sucre trop élevé dans le sang.

Au-delà de ces risques déjà bien identifiés, les auteurs de l’étude, coordonnée par l’Université de Washington (Etats-Unis), mettent pour la première fois en avant une combinaison de 14 facteurs alimentaires qui seraient, selon eux, responsables de 21 % de l’ensemble des décès en 2013, principalement par le biais de maladies cardiovasculaires.

Cigarettes, alcool… 37 millions de décès prématurés évitables avec un mode de vie plus sain

Sels et boissons sucrées

Parmi ces facteurs figure notamment une alimentation pauvre en fruits ou en légumes et au contraire trop riche en viandes, en sel et en boissons sucrées. Et si cette malnutrition est à l’origine d’une obésité morbide croissante en Occident (en tête des risques au Moyen-Orient et en Amérique latine), elle est la première cause de décès chez les enfants de moins de 5 ans (1,3 million de décès en 2013, principalement en Afrique). En Afrique subsaharienne, les risques sont plus précisément dominés par une combinaison de malnutrition infantile, d’eau contaminée, de relations sexuelles non protégées et d’alcoolisme.

« Il existe un grand potentiel pour améliorer la santé en évitant certains risques comme le tabac ou une mauvaise alimentation, ainsi qu’en s’attaquant aux risques environnementaux comme la pollution atmosphérique », souligne, pour sa part, le Dr Christopher Murray, de l’Université de Washington, qui note qu’un mode de vie plus sain permettrait d’éviter « un grand nombre de décès prématurés »

* Les risques varient selon les sexes et selon les pays concernés. Si le tabagisme arrive en seconde position chez les hommes avec 4,4 millions de décès dans le monde en 2013, il n’arrive qu’en sixième position chez les femmes (avec 1,4 million de décès).


Comme en 1990, l’hypertension artérielle (qui constitue un risque majeur de maladies cardiovasculaires et qui peut facilement être contrôlée) arrive en tête des risques évitables en 2013, contribuant à plus de 10 millions de décès dans le monde. Le tabac arrive globalement en seconde position des principaux facteurs de risque associés aux décès*, devant l’obésité et un taux de sucre trop élevé dans le sang.

Au-delà de ces risques déjà bien identifiés, les auteurs de l’étude, coordonnée par l’Université de Washington (Etats-Unis), mettent pour la première fois en avant une combinaison de 14 facteurs alimentaires qui seraient, selon eux, responsables de 21 % de l’ensemble des décès en 2013, principalement par le biais de maladies cardiovasculaires.

Cigarettes, alcool… 37 millions de décès prématurés évitables avec un mode de vie plus sain

Sels et boissons sucrées

Parmi ces facteurs figure notamment une alimentation pauvre en fruits ou en légumes et au contraire trop riche en viandes, en sel et en boissons sucrées. Et si cette malnutrition est à l’origine d’une obésité morbide croissante en Occident (en tête des risques au Moyen-Orient et en Amérique latine), elle est la première cause de décès chez les enfants de moins de 5 ans (1,3 million de décès en 2013, principalement en Afrique). En Afrique subsaharienne, les risques sont plus précisément dominés par une combinaison de malnutrition infantile, d’eau contaminée, de relations sexuelles non protégées et d’alcoolisme.

« Il existe un grand potentiel pour améliorer la santé en évitant certains risques comme le tabac ou une mauvaise alimentation, ainsi qu’en s’attaquant aux risques environnementaux comme la pollution atmosphérique », souligne, pour sa part, le Dr Christopher Murray, de l’Université de Washington, qui note qu’un mode de vie plus sain permettrait d’éviter « un grand nombre de décès prématurés »

* Les risques varient selon les sexes et selon les pays concernés. Si le tabagisme arrive en seconde position chez les hommes avec 4,4 millions de décès dans le monde en 2013, il n’arrive qu’en sixième position chez les femmes (avec 1,4 million de décès).

en tête des risques au Moyen-Orient

Comme en 1990, l’hypertension artérielle (qui constitue un risque majeur de maladies cardiovasculaires et qui peut facilement être contrôlée) arrive en tête des risques évitables en 2013, contribuant à plus de 10 millions de décès dans le monde. Le tabac arrive globalement en seconde position des principaux facteurs de risque associés aux décès*, devant l’obésité et un taux de sucre trop élevé dans le sang.

Au-delà de ces risques déjà bien identifiés, les auteurs de l’étude, coordonnée par l’Université de Washington (Etats-Unis), mettent pour la première fois en avant une combinaison de 14 facteurs alimentaires qui seraient, selon eux, responsables de 21 % de l’ensemble des décès en 2013, principalement par le biais de maladies cardiovasculaires.

Cigarettes, alcool… 37 millions de décès prématurés évitables avec un mode de vie plus sain

Sels et boissons sucrées

Parmi ces facteurs figure notamment une alimentation pauvre en fruits ou en légumes et au contraire trop riche en viandes, en sel et en boissons sucrées. Et si cette malnutrition est à l’origine d’une obésité morbide croissante en Occident (en tête des risques au Moyen-Orient et en Amérique latine), elle est la première cause de décès chez les enfants de moins de 5 ans (1,3 million de décès en 2013, principalement en Afrique). En Afrique subsaharienne, les risques sont plus précisément dominés par une combinaison de malnutrition infantile, d’eau contaminée, de relations sexuelles non protégées et d’alcoolisme.

« Il existe un grand potentiel pour améliorer la santé en évitant certains risques comme le tabac ou une mauvaise alimentation, ainsi qu’en s’attaquant aux risques environnementaux comme la pollution atmosphérique », souligne, pour sa part, le Dr Christopher Murray, de l’Université de Washington, qui note qu’un mode de vie plus sain permettrait d’éviter « un grand nombre de décès prématurés »

* Les risques varient selon les sexes et selon les pays concernés. Si le tabagisme arrive en seconde position chez les hommes avec 4,4 millions de décès dans le monde en 2013, il n’arrive qu’en sixième position chez les femmes (avec 1,4 million de décès).


Comme en 1990, l’hypertension artérielle (qui constitue un risque majeur de maladies cardiovasculaires et qui peut facilement être contrôlée) arrive en tête des risques évitables en 2013, contribuant à plus de 10 millions de décès dans le monde. Le tabac arrive globalement en seconde position des principaux facteurs de risque associés aux décès*, devant l’obésité et un taux de sucre trop élevé dans le sang.

Au-delà de ces risques déjà bien identifiés, les auteurs de l’étude, coordonnée par l’Université de Washington (Etats-Unis), mettent pour la première fois en avant une combinaison de 14 facteurs alimentaires qui seraient, selon eux, responsables de 21 % de l’ensemble des décès en 2013, principalement par le biais de maladies cardiovasculaires.

Cigarettes, alcool… 37 millions de décès prématurés évitables avec un mode de vie plus sain

Sels et boissons sucrées

Parmi ces facteurs figure notamment une alimentation pauvre en fruits ou en légumes et au contraire trop riche en viandes, en sel et en boissons sucrées. Et si cette malnutrition est à l’origine d’une obésité morbide croissante en Occident (en tête des risques au Moyen-Orient et en Amérique latine), elle est la première cause de décès chez les enfants de moins de 5 ans (1,3 million de décès en 2013, principalement en Afrique). En Afrique subsaharienne, les risques sont plus précisément dominés par une combinaison de malnutrition infantile, d’eau contaminée, de relations sexuelles non protégées et d’alcoolisme.

« Il existe un grand potentiel pour améliorer la santé en évitant certains risques comme le tabac ou une mauvaise alimentation, ainsi qu’en s’attaquant aux risques environnementaux comme la pollution atmosphérique », souligne, pour sa part, le Dr Christopher Murray, de l’Université de Washington, qui note qu’un mode de vie plus sain permettrait d’éviter « un grand nombre de décès prématurés »

* Les risques varient selon les sexes et selon les pays concernés. Si le tabagisme arrive en seconde position chez les hommes avec 4,4 millions de décès dans le monde en 2013, il n’arrive qu’en sixième position chez les femmes (avec 1,4 million de décès).


Comme en 1990, l’hypertension artérielle (qui constitue un risque majeur de maladies cardiovasculaires et qui peut facilement être contrôlée) arrive en tête des risques évitables en 2013, contribuant à plus de 10 millions de décès dans le monde. Le tabac arrive globalement en seconde position des principaux facteurs de risque associés aux décès*, devant l’obésité et un taux de sucre trop élevé dans le sang.

Au-delà de ces risques déjà bien identifiés, les auteurs de l’étude, coordonnée par l’Université de Washington (Etats-Unis), mettent pour la première fois en avant une combinaison de 14 facteurs alimentaires qui seraient, selon eux, responsables de 21 % de l’ensemble des décès en 2013, principalement par le biais de maladies cardiovasculaires.

Cigarettes, alcool… 37 millions de décès prématurés évitables avec un mode de vie plus sain

Sels et boissons sucrées

Parmi ces facteurs figure notamment une alimentation pauvre en fruits ou en légumes et au contraire trop riche en viandes, en sel et en boissons sucrées. Et si cette malnutrition est à l’origine d’une obésité morbide croissante en Occident (en tête des risques au Moyen-Orient et en Amérique latine), elle est la première cause de décès chez les enfants de moins de 5 ans (1,3 million de décès en 2013, principalement en Afrique). En Afrique subsaharienne, les risques sont plus précisément dominés par une combinaison de malnutrition infantile, d’eau contaminée, de relations sexuelles non protégées et d’alcoolisme.

« Il existe un grand potentiel pour améliorer la santé en évitant certains risques comme le tabac ou une mauvaise alimentation, ainsi qu’en s’attaquant aux risques environnementaux comme la pollution atmosphérique », souligne, pour sa part, le Dr Christopher Murray, de l’Université de Washington, qui note qu’un mode de vie plus sain permettrait d’éviter « un grand nombre de décès prématurés »

* Les risques varient selon les sexes et selon les pays concernés. Si le tabagisme arrive en seconde position chez les hommes avec 4,4 millions de décès dans le monde en 2013, il n’arrive qu’en sixième position chez les femmes (avec 1,4 million de décès).