Cancer de l'utérus: La pilule comme moyen de protection
ETUDE•Ces 50 dernières années, la prise de contraceptif oraux aurait évité 400.000 cancers de la muqueuse utérine...20 Minutes avec agences
La pilule contraceptive constitue un élément protecteur contre le cancer de l’endomètre (ou cancer de l’utérus). Souhaitant mieux connaître le rôle des contraceptifs oraux dans le développement des cancers de l’utérus [qui n’a rien à voir avec celui du col de l’utérus qui peut être dépisté par frottis], des chercheurs britanniques ont, en effet, étudié les données de santé de quelque 27.000 femmes atteintes d’un cancer de l’endomètre dans 36 pays d’Europe, d’Amérique du nord, d’Asie, d’Australie et d’Afrique du sud.
Bilan : en l’espace de 50 ans, quelque 400.000 cas de cancers de l’endomètre, sur les 3,4 millions recensés dans ces pays, avaient pu être évités grâce à l’utilisation de contraceptifs oraux, parmi lesquels 200.000 au cours des dix dernières années (2005-2014).
Des bienfaits qui se prolongent bien au-delà de la cinquantaine
La pilule contraceptive constitue un élément protecteur contre le cancer de l’endomètre (ou cancer de l’utérus). Souhaitant mieux connaître le rôle des contraceptifs oraux dans le développement des cancers de l’utérus [qui n’a rien à voir avec celui du col de l’utérus qui peut être dépisté par frottis], des chercheurs britanniques ont, en effet, étudié les données de santé de quelque 27.000 femmes atteintes d’un cancer de l’endomètre dans 36 pays d’Europe, d’Amérique du nord, d’Asie, d’Australie et d’Afrique du sud.
Bilan : en l’espace de 50 ans, quelque 400.000 cas de cancers de l’endomètre, sur les 3,4 millions recensés dans ces pays, avaient pu être évités grâce à l’utilisation de contraceptifs oraux, parmi lesquels 200.000 au cours des dix dernières années (2005-2014).
Des bienfaits qui se prolongent bien au-delà de la cinquantaine
La pilule contraceptive constitue un élément protecteur contre le cancer de l’endomètre (ou cancer de l’utérus). Souhaitant mieux connaître le rôle des contraceptifs oraux dans le développement des cancers de l’utérus [qui n’a rien à voir avec celui du col de l’utérus qui peut être dépisté par frottis], des chercheurs britanniques ont, en effet, étudié les données de santé de quelque 27.000 femmes atteintes d’un cancer de l’endomètre dans 36 pays d’Europe, d’Amérique du nord, d’Asie, d’Australie et d’Afrique du sud.
Bilan : en l’espace de 50 ans, quelque 400.000 cas de cancers de l’endomètre, sur les 3,4 millions recensés dans ces pays, avaient pu être évités grâce à l’utilisation de contraceptifs oraux, parmi lesquels 200.000 au cours des dix dernières années (2005-2014).
Des bienfaits qui se prolongent bien au-delà de la cinquantaine
La pilule contraceptive constitue un élément protecteur contre le cancer de l’endomètre (ou cancer de l’utérus). Souhaitant mieux connaître le rôle des contraceptifs oraux dans le développement des cancers de l’utérus [qui n’a rien à voir avec celui du col de l’utérus qui peut être dépisté par frottis], des chercheurs britanniques ont, en effet, étudié les données de santé de quelque 27.000 femmes atteintes d’un cancer de l’endomètre dans 36 pays d’Europe, d’Amérique du nord, d’Asie, d’Australie et d’Afrique du sud.
Bilan : en l’espace de 50 ans, quelque 400.000 cas de cancers de l’endomètre, sur les 3,4 millions recensés dans ces pays, avaient pu être évités grâce à l’utilisation de contraceptifs oraux, parmi lesquels 200.000 au cours des dix dernières années (2005-2014).
Des bienfaits qui se prolongent bien au-delà de la cinquantaine
« L’effet protecteur important des contraceptifs oraux contre le cancer de l’endomètre persiste des années après l’arrêt de la pilule », souligne, pour sa part, le Pr Valerie Beral de l’Université d’Oxford, qui a coordonné les travaux dont les résultats viennent d’être publiés dans la revue The Lancet Oncology Journal.
Elle ajoute que l’effet bénéfique existe même chez des femmes qui n’ont pris la pilule que pendant quelques années et se prolonge bien au-delà de la cinquantaine, l’âge auquel le cancer de l’endomètre commence à se manifester.
Un risque réduit d’environ 25 %
Selon l’étude, la prise d’un contraceptif oral pendant 5 ans réduirait ainsi le risque d’environ 25 % d’avoir un cancer de l’endomètre avant 75 ans. Sa prise pendant dix ans diviserait pratiquement par deux le risque d’avoir un cancer de l’endomètre, qui passerait ainsi de 2,3 cas pour 100 femmes à 1,3.
A noter que, dans un commentaire joint à l’étude, des spécialistes rappellent que si ces contraceptifs peuvent avoir un effet bénéfique sur le cancer de l’endomètre, ils accroissent le risque de développer certaines maladies cardio-vasculaires (infarctus, accident vasculaire cérébral).
Et le lien entre pilule et cancer du sein ?
« Le bénéfice-risque est beaucoup plus favorable pour les formules existantes faiblement dosées en œstrogène, mais le risque de thrombose veineuse (formation de caillots dans les veines) reste plus important chez les femmes qui utilisent des contraceptifs oraux par rapport à celles qui n’en utilisent pas », notent Nicolas Wentzensen et Amy Berrington de Gonzalez de l’Institut de la santé à Bethesda (USA).
En 2005, l’Iarc, l’agence du cancer de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), estimait que la pilule était responsable d’une légère augmentation du risque de cancer du sein, du col de l’utérus et du foie, mais avait un effet protecteur contre les cancers de l’ovaire et de l’endomètre.
« L’effet protecteur important des contraceptifs oraux contre le cancer de l’endomètre persiste des années après l’arrêt de la pilule », souligne, pour sa part, le Pr Valerie Beral de l’Université d’Oxford, qui a coordonné les travaux dont les résultats viennent d’être publiés dans la revue The Lancet Oncology Journal.
Elle ajoute que l’effet bénéfique existe même chez des femmes qui n’ont pris la pilule que pendant quelques années et se prolonge bien au-delà de la cinquantaine, l’âge auquel le cancer de l’endomètre commence à se manifester.
Un risque réduit d’environ 25 %
Selon l’étude, la prise d’un contraceptif oral pendant 5 ans réduirait ainsi le risque d’environ 25 % d’avoir un cancer de l’endomètre avant 75 ans. Sa prise pendant dix ans diviserait pratiquement par deux le risque d’avoir un cancer de l’endomètre, qui passerait ainsi de 2,3 cas pour 100 femmes à 1,3.
A noter que, dans un commentaire joint à l’étude, des spécialistes rappellent que si ces contraceptifs peuvent avoir un effet bénéfique sur le cancer de l’endomètre, ils accroissent le risque de développer certaines maladies cardio-vasculaires (infarctus, accident vasculaire cérébral).
Et le lien entre pilule et cancer du sein ?
« Le bénéfice-risque est beaucoup plus favorable pour les formules existantes faiblement dosées en œstrogène, mais le risque de thrombose veineuse (formation de caillots dans les veines) reste plus important chez les femmes qui utilisent des contraceptifs oraux par rapport à celles qui n’en utilisent pas », notent Nicolas Wentzensen et Amy Berrington de Gonzalez de l’Institut de la santé à Bethesda (USA).
En 2005, l’Iarc, l’agence du cancer de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), estimait que la pilule était responsable d’une légère augmentation du risque de cancer du sein, du col de l’utérus et du foie, mais avait un effet protecteur contre les cancers de l’ovaire et de l’endomètre.
« L’effet protecteur important des contraceptifs oraux contre le cancer de l’endomètre persiste des années après l’arrêt de la pilule », souligne, pour sa part, le Pr Valerie Beral de l’Université d’Oxford, qui a coordonné les travaux dont les résultats viennent d’être publiés dans la revue The Lancet Oncology Journal.
Elle ajoute que l’effet bénéfique existe même chez des femmes qui n’ont pris la pilule que pendant quelques années et se prolonge bien au-delà de la cinquantaine, l’âge auquel le cancer de l’endomètre commence à se manifester.
Un risque réduit d’environ 25 %
Selon l’étude, la prise d’un contraceptif oral pendant 5 ans réduirait ainsi le risque d’environ 25 % d’avoir un cancer de l’endomètre avant 75 ans. Sa prise pendant dix ans diviserait pratiquement par deux le risque d’avoir un cancer de l’endomètre, qui passerait ainsi de 2,3 cas pour 100 femmes à 1,3.
A noter que, dans un commentaire joint à l’étude, des spécialistes rappellent que si ces contraceptifs peuvent avoir un effet bénéfique sur le cancer de l’endomètre, ils accroissent le risque de développer certaines maladies cardio-vasculaires (infarctus, accident vasculaire cérébral).
Et le lien entre pilule et cancer du sein ?
« Le bénéfice-risque est beaucoup plus favorable pour les formules existantes faiblement dosées en œstrogène, mais le risque de thrombose veineuse (formation de caillots dans les veines) reste plus important chez les femmes qui utilisent des contraceptifs oraux par rapport à celles qui n’en utilisent pas », notent Nicolas Wentzensen et Amy Berrington de Gonzalez de l’Institut de la santé à Bethesda (USA).
En 2005, l’Iarc, l’agence du cancer de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), estimait que la pilule était responsable d’une légère augmentation du risque de cancer du sein, du col de l’utérus et du foie, mais avait un effet protecteur contre les cancers de l’ovaire et de l’endomètre.
« L’effet protecteur important des contraceptifs oraux contre le cancer de l’endomètre persiste des années après l’arrêt de la pilule », souligne, pour sa part, le Pr Valerie Beral de l’Université d’Oxford, qui a coordonné les travaux dont les résultats viennent d’être publiés dans la revue The Lancet Oncology Journal.
Elle ajoute que l’effet bénéfique existe même chez des femmes qui n’ont pris la pilule que pendant quelques années et se prolonge bien au-delà de la cinquantaine, l’âge auquel le cancer de l’endomètre commence à se manifester.
Un risque réduit d’environ 25 %
Selon l’étude, la prise d’un contraceptif oral pendant 5 ans réduirait ainsi le risque d’environ 25 % d’avoir un cancer de l’endomètre avant 75 ans. Sa prise pendant dix ans diviserait pratiquement par deux le risque d’avoir un cancer de l’endomètre, qui passerait ainsi de 2,3 cas pour 100 femmes à 1,3.
A noter que, dans un commentaire joint à l’étude, des spécialistes rappellent que si ces contraceptifs peuvent avoir un effet bénéfique sur le cancer de l’endomètre, ils accroissent le risque de développer certaines maladies cardio-vasculaires (infarctus, accident vasculaire cérébral).
Et le lien entre pilule et cancer du sein ?
« Le bénéfice-risque est beaucoup plus favorable pour les formules existantes faiblement dosées en œstrogène, mais le risque de thrombose veineuse (formation de caillots dans les veines) reste plus important chez les femmes qui utilisent des contraceptifs oraux par rapport à celles qui n’en utilisent pas », notent Nicolas Wentzensen et Amy Berrington de Gonzalez de l’Institut de la santé à Bethesda (USA).
En 2005, l’Iarc, l’agence du cancer de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), estimait que la pilule était responsable d’une légère augmentation du risque de cancer du sein, du col de l’utérus et du foie, mais avait un effet protecteur contre les cancers de l’ovaire et de l’endomètre.
« L’effet protecteur important des contraceptifs oraux contre le cancer de l’endomètre persiste des années après l’arrêt de la pilule », souligne, pour sa part, le Pr Valerie Beral de l’Université d’Oxford, qui a coordonné les travaux dont les résultats viennent d’être publiés dans la revue The Lancet Oncology Journal.
Elle ajoute que l’effet bénéfique existe même chez des femmes qui n’ont pris la pilule que pendant quelques années et se prolonge bien au-delà de la cinquantaine, l’âge auquel le cancer de l’endomètre commence à se manifester.
Un risque réduit d’environ 25 %
Selon l’étude, la prise d’un contraceptif oral pendant 5 ans réduirait ainsi le risque d’environ 25 % d’avoir un cancer de l’endomètre avant 75 ans. Sa prise pendant dix ans diviserait pratiquement par deux le risque d’avoir un cancer de l’endomètre, qui passerait ainsi de 2,3 cas pour 100 femmes à 1,3.
A noter que, dans un commentaire joint à l’étude, des spécialistes rappellent que si ces contraceptifs peuvent avoir un effet bénéfique sur le cancer de l’endomètre, ils accroissent le risque de développer certaines maladies cardio-vasculaires (infarctus, accident vasculaire cérébral).
Et le lien entre pilule et cancer du sein ?
« Le bénéfice-risque est beaucoup plus favorable pour les formules existantes faiblement dosées en œstrogène, mais le risque de thrombose veineuse (formation de caillots dans les veines) reste plus important chez les femmes qui utilisent des contraceptifs oraux par rapport à celles qui n’en utilisent pas », notent Nicolas Wentzensen et Amy Berrington de Gonzalez de l’Institut de la santé à Bethesda (USA).
En 2005, l’Iarc, l’agence du cancer de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), estimait que la pilule était responsable d’une légère augmentation du risque de cancer du sein, du col de l’utérus et du foie, mais avait un effet protecteur contre les cancers de l’ovaire et de l’endomètre.
« L’effet protecteur important des contraceptifs oraux contre le cancer de l’endomètre persiste des années après l’arrêt de la pilule », souligne, pour sa part, le Pr Valerie Beral de l’Université d’Oxford, qui a coordonné les travaux dont les résultats viennent d’être publiés dans la revue The Lancet Oncology Journal.
Elle ajoute que l’effet bénéfique existe même chez des femmes qui n’ont pris la pilule que pendant quelques années et se prolonge bien au-delà de la cinquantaine, l’âge auquel le cancer de l’endomètre commence à se manifester.
Un risque réduit d’environ 25 %
Selon l’étude, la prise d’un contraceptif oral pendant 5 ans réduirait ainsi le risque d’environ 25 % d’avoir un cancer de l’endomètre avant 75 ans. Sa prise pendant dix ans diviserait pratiquement par deux le risque d’avoir un cancer de l’endomètre, qui passerait ainsi de 2,3 cas pour 100 femmes à 1,3.
A noter que, dans un commentaire joint à l’étude, des spécialistes rappellent que si ces contraceptifs peuvent avoir un effet bénéfique sur le cancer de l’endomètre, ils accroissent le risque de développer certaines maladies cardio-vasculaires (infarctus, accident vasculaire cérébral).
Et le lien entre pilule et cancer du sein ?
« Le bénéfice-risque est beaucoup plus favorable pour les formules existantes faiblement dosées en œstrogène, mais le risque de thrombose veineuse (formation de caillots dans les veines) reste plus important chez les femmes qui utilisent des contraceptifs oraux par rapport à celles qui n’en utilisent pas », notent Nicolas Wentzensen et Amy Berrington de Gonzalez de l’Institut de la santé à Bethesda (USA).
En 2005, l’Iarc, l’agence du cancer de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), estimait que la pilule était responsable d’une légère augmentation du risque de cancer du sein, du col de l’utérus et du foie, mais avait un effet protecteur contre les cancers de l’ovaire et de l’endomètre.
« L’effet protecteur important des contraceptifs oraux contre le cancer de l’endomètre persiste des années après l’arrêt de la pilule », souligne, pour sa part, le Pr Valerie Beral de l’Université d’Oxford, qui a coordonné les travaux dont les résultats viennent d’être publiés dans la revue The Lancet Oncology Journal.
Elle ajoute que l’effet bénéfique existe même chez des femmes qui n’ont pris la pilule que pendant quelques années et se prolonge bien au-delà de la cinquantaine, l’âge auquel le cancer de l’endomètre commence à se manifester.
Un risque réduit d’environ 25 %
Selon l’étude, la prise d’un contraceptif oral pendant 5 ans réduirait ainsi le risque d’environ 25 % d’avoir un cancer de l’endomètre avant 75 ans. Sa prise pendant dix ans diviserait pratiquement par deux le risque d’avoir un cancer de l’endomètre, qui passerait ainsi de 2,3 cas pour 100 femmes à 1,3.
A noter que, dans un commentaire joint à l’étude, des spécialistes rappellent que si ces contraceptifs peuvent avoir un effet bénéfique sur le cancer de l’endomètre, ils accroissent le risque de développer certaines maladies cardio-vasculaires (infarctus, accident vasculaire cérébral).
Et le lien entre pilule et cancer du sein ?
« Le bénéfice-risque est beaucoup plus favorable pour les formules existantes faiblement dosées en œstrogène, mais le risque de thrombose veineuse (formation de caillots dans les veines) reste plus important chez les femmes qui utilisent des contraceptifs oraux par rapport à celles qui n’en utilisent pas », notent Nicolas Wentzensen et Amy Berrington de Gonzalez de l’Institut de la santé à Bethesda (USA).
En 2005, l’Iarc, l’agence du cancer de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), estimait que la pilule était responsable d’une légère augmentation du risque de cancer du sein, du col de l’utérus et du foie, mais avait un effet protecteur contre les cancers de l’ovaire et de l’endomètre.
« L’effet protecteur important des contraceptifs oraux contre le cancer de l’endomètre persiste des années après l’arrêt de la pilule », souligne, pour sa part, le Pr Valerie Beral de l’Université d’Oxford, qui a coordonné les travaux dont les résultats viennent d’être publiés dans la revue The Lancet Oncology Journal.
Elle ajoute que l’effet bénéfique existe même chez des femmes qui n’ont pris la pilule que pendant quelques années et se prolonge bien au-delà de la cinquantaine, l’âge auquel le cancer de l’endomètre commence à se manifester.
Un risque réduit d’environ 25 %
Selon l’étude, la prise d’un contraceptif oral pendant 5 ans réduirait ainsi le risque d’environ 25 % d’avoir un cancer de l’endomètre avant 75 ans. Sa prise pendant dix ans diviserait pratiquement par deux le risque d’avoir un cancer de l’endomètre, qui passerait ainsi de 2,3 cas pour 100 femmes à 1,3.
A noter que, dans un commentaire joint à l’étude, des spécialistes rappellent que si ces contraceptifs peuvent avoir un effet bénéfique sur le cancer de l’endomètre, ils accroissent le risque de développer certaines maladies cardio-vasculaires (infarctus, accident vasculaire cérébral).
Et le lien entre pilule et cancer du sein ?
« Le bénéfice-risque est beaucoup plus favorable pour les formules existantes faiblement dosées en œstrogène, mais le risque de thrombose veineuse (formation de caillots dans les veines) reste plus important chez les femmes qui utilisent des contraceptifs oraux par rapport à celles qui n’en utilisent pas », notent Nicolas Wentzensen et Amy Berrington de Gonzalez de l’Institut de la santé à Bethesda (USA).
En 2005, l’Iarc, l’agence du cancer de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), estimait que la pilule était responsable d’une légère augmentation du risque de cancer du sein, du col de l’utérus et du foie, mais avait un effet protecteur contre les cancers de l’ovaire et de l’endomètre.
« L’effet protecteur important des contraceptifs oraux contre le cancer de l’endomètre persiste des années après l’arrêt de la pilule », souligne, pour sa part, le Pr Valerie Beral de l’Université d’Oxford, qui a coordonné les travaux dont les résultats viennent d’être publiés dans la revue The Lancet Oncology Journal.
Elle ajoute que l’effet bénéfique existe même chez des femmes qui n’ont pris la pilule que pendant quelques années et se prolonge bien au-delà de la cinquantaine, l’âge auquel le cancer de l’endomètre commence à se manifester.
Un risque réduit d’environ 25 %
Selon l’étude, la prise d’un contraceptif oral pendant 5 ans réduirait ainsi le risque d’environ 25 % d’avoir un cancer de l’endomètre avant 75 ans. Sa prise pendant dix ans diviserait pratiquement par deux le risque d’avoir un cancer de l’endomètre, qui passerait ainsi de 2,3 cas pour 100 femmes à 1,3.
A noter que, dans un commentaire joint à l’étude, des spécialistes rappellent que si ces contraceptifs peuvent avoir un effet bénéfique sur le cancer de l’endomètre, ils accroissent le risque de développer certaines maladies cardio-vasculaires (infarctus, accident vasculaire cérébral).
Et le lien entre pilule et cancer du sein ?
« Le bénéfice-risque est beaucoup plus favorable pour les formules existantes faiblement dosées en œstrogène, mais le risque de thrombose veineuse (formation de caillots dans les veines) reste plus important chez les femmes qui utilisent des contraceptifs oraux par rapport à celles qui n’en utilisent pas », notent Nicolas Wentzensen et Amy Berrington de Gonzalez de l’Institut de la santé à Bethesda (USA).
En 2005, l’Iarc, l’agence du cancer de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), estimait que la pilule était responsable d’une légère augmentation du risque de cancer du sein, du col de l’utérus et du foie, mais avait un effet protecteur contre les cancers de l’ovaire et de l’endomètre.
« L’effet protecteur important des contraceptifs oraux contre le cancer de l’endomètre persiste des années après l’arrêt de la pilule », souligne, pour sa part, le Pr Valerie Beral de l’Université d’Oxford, qui a coordonné les travaux dont les résultats viennent d’être publiés dans la revue The Lancet Oncology Journal.
Elle ajoute que l’effet bénéfique existe même chez des femmes qui n’ont pris la pilule que pendant quelques années et se prolonge bien au-delà de la cinquantaine, l’âge auquel le cancer de l’endomètre commence à se manifester.
Un risque réduit d’environ 25 %
Selon l’étude, la prise d’un contraceptif oral pendant 5 ans réduirait ainsi le risque d’environ 25 % d’avoir un cancer de l’endomètre avant 75 ans. Sa prise pendant dix ans diviserait pratiquement par deux le risque d’avoir un cancer de l’endomètre, qui passerait ainsi de 2,3 cas pour 100 femmes à 1,3.
A noter que, dans un commentaire joint à l’étude, des spécialistes rappellent que si ces contraceptifs peuvent avoir un effet bénéfique sur le cancer de l’endomètre, ils accroissent le risque de développer certaines maladies cardio-vasculaires (infarctus, accident vasculaire cérébral).
Et le lien entre pilule et cancer du sein ?
« Le bénéfice-risque est beaucoup plus favorable pour les formules existantes faiblement dosées en œstrogène, mais le risque de thrombose veineuse (formation de caillots dans les veines) reste plus important chez les femmes qui utilisent des contraceptifs oraux par rapport à celles qui n’en utilisent pas », notent Nicolas Wentzensen et Amy Berrington de Gonzalez de l’Institut de la santé à Bethesda (USA).
En 2005, l’Iarc, l’agence du cancer de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), estimait que la pilule était responsable d’une légère augmentation du risque de cancer du sein, du col de l’utérus et du foie, mais avait un effet protecteur contre les cancers de l’ovaire et de l’endomètre.