ALIMENTATIONRégime: Le « sans sucre » fait un carton

Régime: Le « sans sucre » fait un carton

ALIMENTATIONEntre le #nosugarchallenge et le succès en librairie de «Zéro sucre»...
20 Minutes avec agences

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Il paraît, selon la docteur en psychologie Traci Mann, que les régimes ne servent à rien. C’était un fait… la semaine dernière. Mais à l’aube de l’été fleurissent bon nombre de recettes miracles. Et il s’avère que, cette saison, c’est sur la vague du « sans sucre » que les jeunes femmes redoutant l’épreuve du bikini et que les jeunes hommes peu convaincus par la tendance « Dadbod » devraient surfer. Entre les blogs, les hashtags #nosugarchallenge ou les livres lançant un vif « J’arrête le sucre » les adeptes du « zéro sucre » sont légion.

Dans le sillage du best-seller de l’Australienne Sarah Wilson I Quit Sugar (« C’est décidé, j’arrête le sucre »), livres, documentaires, articles, témoignages d’internautes sur la question abondent ainsi depuis des mois, alors que les nutritionnistes mettent en garde contre les dangers des « régimes sans ».

« starting a #nosugarchallenge #nocheatday whose with me ? — Alina Ghinga (@FitwithAlina) June 18, 2015 »

Des douceurs réduites en sucre

Qu’importe, nouvelles stars du Web et de nos assiettes, les pâtissiers prennent le train en marchent et tentent recettes et concepts adaptés. Un filon du sans sucre boosté par les nouvelles directives de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui vient d’alerter sur la présence de sucres « cachés » dans de nombreux produits industriels (1).

Se faire plaisir tout en limitant « l’impact glycémique » (le taux de glucose dans le sang), c’est ainsi le nouveau but de Christophe Touchet, un « diabétique gourmand » qui a ouvert à Paris fin 2014 la boulangerie-pâtisserie Eugène, proposant des douceurs réduites en sucre. Cet entrepreneur s’est associé au pâtissier-chocolatier Luc Baudin, et va lancer une deuxième boutique parisienne.

Dans ses vitrines, les gâteaux ne brillent donc pas : ils sont dépourvus de glaçage. Le sirop d’agave supplante le sucre blanc, une crème à base de lait et de pectine remplace la chantilly, la pâte à chou est composée d’un mélange de farine meulée à la pierre et de farine de lentilles, et les chocolats sont au maltitol. Et les quantités de sucre ont été réduites au moins de moitié. Christophe Touchet expliquant tester les pâtisseries lui-même en mesurant sa glycémie après les avoir goûtées…

« Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait »

L’homme devrait facilement gagner des adeptes, d’autant que Zéro sucre, le livre de Danièle Gerkens, cartonne en libraire. La spécialiste santé au magazine Elle y explique comment elle a banni de son alimentation pendant un an tous les produits sucrés (pâtisseries, biscuits, etc.) mais aussi les aliments contenant des sucres cachés comme les sauces industrielles (gâteaux apéritifs et plats cuisinés).

Motivée, entre autres raisons, par « des questions de santé, beaucoup de diabète dans la famille, une prise de poids et des problèmes de thyroïde », la journaliste de 41 ans a trouvé les débuts de cette cure « affreux » : « Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait. » Mais au bout de six à huit semaines, l’envie de sucré l’a quittée, et elle assure avoir depuis lors éliminé les coups de fatigue, se sentir « dans une forme absolue », avoir minci et retrouvé une peau saine, « plus jeune ».

Une « cacophonie nutritionnelle »

Enfin, ce mardi soir, sur France 5, c’est Anne-Sophie Lévy-Chambon, auteur d’un documentaire, qui prônera la tolérance zéor envers le sucre. La réalisatrice a, pour sa part, cessé pendant un mois de manger des sucres, y compris des sucres complexes (pâtes, pommes de terre, céréales, etc.), se limitant à deux-trois fruits par jour, sous la supervision du diabétologue Reginald Allouche.

« Ce n’était pas un régime, c’était vraiment un sevrage de sucre, comme on peut faire une cure », explique la journaliste, qui a, depuis, repris une consommation très occasionnelle de sucreries et obtenu le soutien du pâtissier Philippe Conticini pour élaborer des recettes de gâteaux « sans sucre ajouté et sans édulcorant » (son ouvrage est sorti ce mois-ci).

Reste que cet engouement fait tiquer certains spécialistes. « Il y a des inquiétudes par rapport à ce qu’on mange, les gens font de plus en plus d’évictions alimentaires », constate ainsi le médecin nutritionniste Arnaud Cocaul. « On est dans les régimes "sans" : sans lactose, sans gluten, sans sucre. Après il y aura à nouveau les régimes sans lipides, etc. », juge le médecin, qui souligne la nécessité de consignes personnalisées et déplore une « cacophonie nutritionnelle ».

(1). L’OMS a récemment préconisé de réduire l’apport en sucres à moins de 10 % voire 5 % de la ration énergétique journalière, pour lutter contre l’obésité et les caries dentaires.


Dans ses vitrines, les gâteaux ne brillent donc pas : ils sont dépourvus de glaçage. Le sirop d’agave supplante le sucre blanc, une crème à base de lait et de pectine remplace la chantilly, la pâte à chou est composée d’un mélange de farine meulée à la pierre et de farine de lentilles, et les chocolats sont au maltitol. Et les quantités de sucre ont été réduites au moins de moitié. Christophe Touchet expliquant tester les pâtisseries lui-même en mesurant sa glycémie après les avoir goûtées…

« Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait »

L’homme devrait facilement gagner des adeptes, d’autant que Zéro sucre, le livre de Danièle Gerkens, cartonne en libraire. La spécialiste santé au magazine Elle y explique comment elle a banni de son alimentation pendant un an tous les produits sucrés (pâtisseries, biscuits, etc.) mais aussi les aliments contenant des sucres cachés comme les sauces industrielles (gâteaux apéritifs et plats cuisinés).

Motivée, entre autres raisons, par « des questions de santé, beaucoup de diabète dans la famille, une prise de poids et des problèmes de thyroïde », la journaliste de 41 ans a trouvé les débuts de cette cure « affreux » : « Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait. » Mais au bout de six à huit semaines, l’envie de sucré l’a quittée, et elle assure avoir depuis lors éliminé les coups de fatigue, se sentir « dans une forme absolue », avoir minci et retrouvé une peau saine, « plus jeune ».

Une « cacophonie nutritionnelle »

Enfin, ce mardi soir, sur France 5, c’est Anne-Sophie Lévy-Chambon, auteur d’un documentaire, qui prônera la tolérance zéor envers le sucre. La réalisatrice a, pour sa part, cessé pendant un mois de manger des sucres, y compris des sucres complexes (pâtes, pommes de terre, céréales, etc.), se limitant à deux-trois fruits par jour, sous la supervision du diabétologue Reginald Allouche.

« Ce n’était pas un régime, c’était vraiment un sevrage de sucre, comme on peut faire une cure », explique la journaliste, qui a, depuis, repris une consommation très occasionnelle de sucreries et obtenu le soutien du pâtissier Philippe Conticini pour élaborer des recettes de gâteaux « sans sucre ajouté et sans édulcorant » (son ouvrage est sorti ce mois-ci).

Reste que cet engouement fait tiquer certains spécialistes. « Il y a des inquiétudes par rapport à ce qu’on mange, les gens font de plus en plus d’évictions alimentaires », constate ainsi le médecin nutritionniste Arnaud Cocaul. « On est dans les régimes "sans" : sans lactose, sans gluten, sans sucre. Après il y aura à nouveau les régimes sans lipides, etc. », juge le médecin, qui souligne la nécessité de consignes personnalisées et déplore une « cacophonie nutritionnelle ».

(1). L’OMS a récemment préconisé de réduire l’apport en sucres à moins de 10 % voire 5 % de la ration énergétique journalière, pour lutter contre l’obésité et les caries dentaires.


Dans ses vitrines, les gâteaux ne brillent donc pas : ils sont dépourvus de glaçage. Le sirop d’agave supplante le sucre blanc, une crème à base de lait et de pectine remplace la chantilly, la pâte à chou est composée d’un mélange de farine meulée à la pierre et de farine de lentilles, et les chocolats sont au maltitol. Et les quantités de sucre ont été réduites au moins de moitié. Christophe Touchet expliquant tester les pâtisseries lui-même en mesurant sa glycémie après les avoir goûtées…

« Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait »

L’homme devrait facilement gagner des adeptes, d’autant que Zéro sucre, le livre de Danièle Gerkens, cartonne en libraire. La spécialiste santé au magazine Elle y explique comment elle a banni de son alimentation pendant un an tous les produits sucrés (pâtisseries, biscuits, etc.) mais aussi les aliments contenant des sucres cachés comme les sauces industrielles (gâteaux apéritifs et plats cuisinés).

Motivée, entre autres raisons, par « des questions de santé, beaucoup de diabète dans la famille, une prise de poids et des problèmes de thyroïde », la journaliste de 41 ans a trouvé les débuts de cette cure « affreux » : « Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait. » Mais au bout de six à huit semaines, l’envie de sucré l’a quittée, et elle assure avoir depuis lors éliminé les coups de fatigue, se sentir « dans une forme absolue », avoir minci et retrouvé une peau saine, « plus jeune ».

Une « cacophonie nutritionnelle »

Enfin, ce mardi soir, sur France 5, c’est Anne-Sophie Lévy-Chambon, auteur d’un documentaire, qui prônera la tolérance zéor envers le sucre. La réalisatrice a, pour sa part, cessé pendant un mois de manger des sucres, y compris des sucres complexes (pâtes, pommes de terre, céréales, etc.), se limitant à deux-trois fruits par jour, sous la supervision du diabétologue Reginald Allouche.

« Ce n’était pas un régime, c’était vraiment un sevrage de sucre, comme on peut faire une cure », explique la journaliste, qui a, depuis, repris une consommation très occasionnelle de sucreries et obtenu le soutien du pâtissier Philippe Conticini pour élaborer des recettes de gâteaux « sans sucre ajouté et sans édulcorant » (son ouvrage est sorti ce mois-ci).

Reste que cet engouement fait tiquer certains spécialistes. « Il y a des inquiétudes par rapport à ce qu’on mange, les gens font de plus en plus d’évictions alimentaires », constate ainsi le médecin nutritionniste Arnaud Cocaul. « On est dans les régimes "sans" : sans lactose, sans gluten, sans sucre. Après il y aura à nouveau les régimes sans lipides, etc. », juge le médecin, qui souligne la nécessité de consignes personnalisées et déplore une « cacophonie nutritionnelle ».

(1). L’OMS a récemment préconisé de réduire l’apport en sucres à moins de 10 % voire 5 % de la ration énergétique journalière, pour lutter contre l’obésité et les caries dentaires.


Dans ses vitrines, les gâteaux ne brillent donc pas : ils sont dépourvus de glaçage. Le sirop d’agave supplante le sucre blanc, une crème à base de lait et de pectine remplace la chantilly, la pâte à chou est composée d’un mélange de farine meulée à la pierre et de farine de lentilles, et les chocolats sont au maltitol. Et les quantités de sucre ont été réduites au moins de moitié. Christophe Touchet expliquant tester les pâtisseries lui-même en mesurant sa glycémie après les avoir goûtées…

« Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait »

L’homme devrait facilement gagner des adeptes, d’autant que Zéro sucre, le livre de Danièle Gerkens, cartonne en libraire. La spécialiste santé au magazine Elle y explique comment elle a banni de son alimentation pendant un an tous les produits sucrés (pâtisseries, biscuits, etc.) mais aussi les aliments contenant des sucres cachés comme les sauces industrielles (gâteaux apéritifs et plats cuisinés).

Motivée, entre autres raisons, par « des questions de santé, beaucoup de diabète dans la famille, une prise de poids et des problèmes de thyroïde », la journaliste de 41 ans a trouvé les débuts de cette cure « affreux » : « Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait. » Mais au bout de six à huit semaines, l’envie de sucré l’a quittée, et elle assure avoir depuis lors éliminé les coups de fatigue, se sentir « dans une forme absolue », avoir minci et retrouvé une peau saine, « plus jeune ».

Une « cacophonie nutritionnelle »

Enfin, ce mardi soir, sur France 5, c’est Anne-Sophie Lévy-Chambon, auteur d’un documentaire, qui prônera la tolérance zéor envers le sucre. La réalisatrice a, pour sa part, cessé pendant un mois de manger des sucres, y compris des sucres complexes (pâtes, pommes de terre, céréales, etc.), se limitant à deux-trois fruits par jour, sous la supervision du diabétologue Reginald Allouche.

« Ce n’était pas un régime, c’était vraiment un sevrage de sucre, comme on peut faire une cure », explique la journaliste, qui a, depuis, repris une consommation très occasionnelle de sucreries et obtenu le soutien du pâtissier Philippe Conticini pour élaborer des recettes de gâteaux « sans sucre ajouté et sans édulcorant » (son ouvrage est sorti ce mois-ci).

Reste que cet engouement fait tiquer certains spécialistes. « Il y a des inquiétudes par rapport à ce qu’on mange, les gens font de plus en plus d’évictions alimentaires », constate ainsi le médecin nutritionniste Arnaud Cocaul. « On est dans les régimes "sans" : sans lactose, sans gluten, sans sucre. Après il y aura à nouveau les régimes sans lipides, etc. », juge le médecin, qui souligne la nécessité de consignes personnalisées et déplore une « cacophonie nutritionnelle ».

(1). L’OMS a récemment préconisé de réduire l’apport en sucres à moins de 10 % voire 5 % de la ration énergétique journalière, pour lutter contre l’obésité et les caries dentaires.


Dans ses vitrines, les gâteaux ne brillent donc pas : ils sont dépourvus de glaçage. Le sirop d’agave supplante le sucre blanc, une crème à base de lait et de pectine remplace la chantilly, la pâte à chou est composée d’un mélange de farine meulée à la pierre et de farine de lentilles, et les chocolats sont au maltitol. Et les quantités de sucre ont été réduites au moins de moitié. Christophe Touchet expliquant tester les pâtisseries lui-même en mesurant sa glycémie après les avoir goûtées…

« Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait »

L’homme devrait facilement gagner des adeptes, d’autant que Zéro sucre, le livre de Danièle Gerkens, cartonne en libraire. La spécialiste santé au magazine Elle y explique comment elle a banni de son alimentation pendant un an tous les produits sucrés (pâtisseries, biscuits, etc.) mais aussi les aliments contenant des sucres cachés comme les sauces industrielles (gâteaux apéritifs et plats cuisinés).

Motivée, entre autres raisons, par « des questions de santé, beaucoup de diabète dans la famille, une prise de poids et des problèmes de thyroïde », la journaliste de 41 ans a trouvé les débuts de cette cure « affreux » : « Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait. » Mais au bout de six à huit semaines, l’envie de sucré l’a quittée, et elle assure avoir depuis lors éliminé les coups de fatigue, se sentir « dans une forme absolue », avoir minci et retrouvé une peau saine, « plus jeune ».

Une « cacophonie nutritionnelle »

Enfin, ce mardi soir, sur France 5, c’est Anne-Sophie Lévy-Chambon, auteur d’un documentaire, qui prônera la tolérance zéor envers le sucre. La réalisatrice a, pour sa part, cessé pendant un mois de manger des sucres, y compris des sucres complexes (pâtes, pommes de terre, céréales, etc.), se limitant à deux-trois fruits par jour, sous la supervision du diabétologue Reginald Allouche.

« Ce n’était pas un régime, c’était vraiment un sevrage de sucre, comme on peut faire une cure », explique la journaliste, qui a, depuis, repris une consommation très occasionnelle de sucreries et obtenu le soutien du pâtissier Philippe Conticini pour élaborer des recettes de gâteaux « sans sucre ajouté et sans édulcorant » (son ouvrage est sorti ce mois-ci).

Reste que cet engouement fait tiquer certains spécialistes. « Il y a des inquiétudes par rapport à ce qu’on mange, les gens font de plus en plus d’évictions alimentaires », constate ainsi le médecin nutritionniste Arnaud Cocaul. « On est dans les régimes "sans" : sans lactose, sans gluten, sans sucre. Après il y aura à nouveau les régimes sans lipides, etc. », juge le médecin, qui souligne la nécessité de consignes personnalisées et déplore une « cacophonie nutritionnelle ».

(1). L’OMS a récemment préconisé de réduire l’apport en sucres à moins de 10 % voire 5 % de la ration énergétique journalière, pour lutter contre l’obésité et les caries dentaires.

@valerieorsoni

Dans ses vitrines, les gâteaux ne brillent donc pas : ils sont dépourvus de glaçage. Le sirop d’agave supplante le sucre blanc, une crème à base de lait et de pectine remplace la chantilly, la pâte à chou est composée d’un mélange de farine meulée à la pierre et de farine de lentilles, et les chocolats sont au maltitol. Et les quantités de sucre ont été réduites au moins de moitié. Christophe Touchet expliquant tester les pâtisseries lui-même en mesurant sa glycémie après les avoir goûtées…

« Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait »

L’homme devrait facilement gagner des adeptes, d’autant que Zéro sucre, le livre de Danièle Gerkens, cartonne en libraire. La spécialiste santé au magazine Elle y explique comment elle a banni de son alimentation pendant un an tous les produits sucrés (pâtisseries, biscuits, etc.) mais aussi les aliments contenant des sucres cachés comme les sauces industrielles (gâteaux apéritifs et plats cuisinés).

Motivée, entre autres raisons, par « des questions de santé, beaucoup de diabète dans la famille, une prise de poids et des problèmes de thyroïde », la journaliste de 41 ans a trouvé les débuts de cette cure « affreux » : « Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait. » Mais au bout de six à huit semaines, l’envie de sucré l’a quittée, et elle assure avoir depuis lors éliminé les coups de fatigue, se sentir « dans une forme absolue », avoir minci et retrouvé une peau saine, « plus jeune ».

Une « cacophonie nutritionnelle »

Enfin, ce mardi soir, sur France 5, c’est Anne-Sophie Lévy-Chambon, auteur d’un documentaire, qui prônera la tolérance zéor envers le sucre. La réalisatrice a, pour sa part, cessé pendant un mois de manger des sucres, y compris des sucres complexes (pâtes, pommes de terre, céréales, etc.), se limitant à deux-trois fruits par jour, sous la supervision du diabétologue Reginald Allouche.

« Ce n’était pas un régime, c’était vraiment un sevrage de sucre, comme on peut faire une cure », explique la journaliste, qui a, depuis, repris une consommation très occasionnelle de sucreries et obtenu le soutien du pâtissier Philippe Conticini pour élaborer des recettes de gâteaux « sans sucre ajouté et sans édulcorant » (son ouvrage est sorti ce mois-ci).

Reste que cet engouement fait tiquer certains spécialistes. « Il y a des inquiétudes par rapport à ce qu’on mange, les gens font de plus en plus d’évictions alimentaires », constate ainsi le médecin nutritionniste Arnaud Cocaul. « On est dans les régimes "sans" : sans lactose, sans gluten, sans sucre. Après il y aura à nouveau les régimes sans lipides, etc. », juge le médecin, qui souligne la nécessité de consignes personnalisées et déplore une « cacophonie nutritionnelle ».

(1). L’OMS a récemment préconisé de réduire l’apport en sucres à moins de 10 % voire 5 % de la ration énergétique journalière, pour lutter contre l’obésité et les caries dentaires.

@dangerkens

Dans ses vitrines, les gâteaux ne brillent donc pas : ils sont dépourvus de glaçage. Le sirop d’agave supplante le sucre blanc, une crème à base de lait et de pectine remplace la chantilly, la pâte à chou est composée d’un mélange de farine meulée à la pierre et de farine de lentilles, et les chocolats sont au maltitol. Et les quantités de sucre ont été réduites au moins de moitié. Christophe Touchet expliquant tester les pâtisseries lui-même en mesurant sa glycémie après les avoir goûtées…

« Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait »

L’homme devrait facilement gagner des adeptes, d’autant que Zéro sucre, le livre de Danièle Gerkens, cartonne en libraire. La spécialiste santé au magazine Elle y explique comment elle a banni de son alimentation pendant un an tous les produits sucrés (pâtisseries, biscuits, etc.) mais aussi les aliments contenant des sucres cachés comme les sauces industrielles (gâteaux apéritifs et plats cuisinés).

Motivée, entre autres raisons, par « des questions de santé, beaucoup de diabète dans la famille, une prise de poids et des problèmes de thyroïde », la journaliste de 41 ans a trouvé les débuts de cette cure « affreux » : « Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait. » Mais au bout de six à huit semaines, l’envie de sucré l’a quittée, et elle assure avoir depuis lors éliminé les coups de fatigue, se sentir « dans une forme absolue », avoir minci et retrouvé une peau saine, « plus jeune ».

Une « cacophonie nutritionnelle »

Enfin, ce mardi soir, sur France 5, c’est Anne-Sophie Lévy-Chambon, auteur d’un documentaire, qui prônera la tolérance zéor envers le sucre. La réalisatrice a, pour sa part, cessé pendant un mois de manger des sucres, y compris des sucres complexes (pâtes, pommes de terre, céréales, etc.), se limitant à deux-trois fruits par jour, sous la supervision du diabétologue Reginald Allouche.

« Ce n’était pas un régime, c’était vraiment un sevrage de sucre, comme on peut faire une cure », explique la journaliste, qui a, depuis, repris une consommation très occasionnelle de sucreries et obtenu le soutien du pâtissier Philippe Conticini pour élaborer des recettes de gâteaux « sans sucre ajouté et sans édulcorant » (son ouvrage est sorti ce mois-ci).

Reste que cet engouement fait tiquer certains spécialistes. « Il y a des inquiétudes par rapport à ce qu’on mange, les gens font de plus en plus d’évictions alimentaires », constate ainsi le médecin nutritionniste Arnaud Cocaul. « On est dans les régimes "sans" : sans lactose, sans gluten, sans sucre. Après il y aura à nouveau les régimes sans lipides, etc. », juge le médecin, qui souligne la nécessité de consignes personnalisées et déplore une « cacophonie nutritionnelle ».

(1). L’OMS a récemment préconisé de réduire l’apport en sucres à moins de 10 % voire 5 % de la ration énergétique journalière, pour lutter contre l’obésité et les caries dentaires.

#P2CE

Dans ses vitrines, les gâteaux ne brillent donc pas : ils sont dépourvus de glaçage. Le sirop d’agave supplante le sucre blanc, une crème à base de lait et de pectine remplace la chantilly, la pâte à chou est composée d’un mélange de farine meulée à la pierre et de farine de lentilles, et les chocolats sont au maltitol. Et les quantités de sucre ont été réduites au moins de moitié. Christophe Touchet expliquant tester les pâtisseries lui-même en mesurant sa glycémie après les avoir goûtées…

« Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait »

L’homme devrait facilement gagner des adeptes, d’autant que Zéro sucre, le livre de Danièle Gerkens, cartonne en libraire. La spécialiste santé au magazine Elle y explique comment elle a banni de son alimentation pendant un an tous les produits sucrés (pâtisseries, biscuits, etc.) mais aussi les aliments contenant des sucres cachés comme les sauces industrielles (gâteaux apéritifs et plats cuisinés).

Motivée, entre autres raisons, par « des questions de santé, beaucoup de diabète dans la famille, une prise de poids et des problèmes de thyroïde », la journaliste de 41 ans a trouvé les débuts de cette cure « affreux » : « Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait. » Mais au bout de six à huit semaines, l’envie de sucré l’a quittée, et elle assure avoir depuis lors éliminé les coups de fatigue, se sentir « dans une forme absolue », avoir minci et retrouvé une peau saine, « plus jeune ».

Une « cacophonie nutritionnelle »

Enfin, ce mardi soir, sur France 5, c’est Anne-Sophie Lévy-Chambon, auteur d’un documentaire, qui prônera la tolérance zéor envers le sucre. La réalisatrice a, pour sa part, cessé pendant un mois de manger des sucres, y compris des sucres complexes (pâtes, pommes de terre, céréales, etc.), se limitant à deux-trois fruits par jour, sous la supervision du diabétologue Reginald Allouche.

« Ce n’était pas un régime, c’était vraiment un sevrage de sucre, comme on peut faire une cure », explique la journaliste, qui a, depuis, repris une consommation très occasionnelle de sucreries et obtenu le soutien du pâtissier Philippe Conticini pour élaborer des recettes de gâteaux « sans sucre ajouté et sans édulcorant » (son ouvrage est sorti ce mois-ci).

Reste que cet engouement fait tiquer certains spécialistes. « Il y a des inquiétudes par rapport à ce qu’on mange, les gens font de plus en plus d’évictions alimentaires », constate ainsi le médecin nutritionniste Arnaud Cocaul. « On est dans les régimes "sans" : sans lactose, sans gluten, sans sucre. Après il y aura à nouveau les régimes sans lipides, etc. », juge le médecin, qui souligne la nécessité de consignes personnalisées et déplore une « cacophonie nutritionnelle ».

(1). L’OMS a récemment préconisé de réduire l’apport en sucres à moins de 10 % voire 5 % de la ration énergétique journalière, pour lutter contre l’obésité et les caries dentaires.

#E1

Dans ses vitrines, les gâteaux ne brillent donc pas : ils sont dépourvus de glaçage. Le sirop d’agave supplante le sucre blanc, une crème à base de lait et de pectine remplace la chantilly, la pâte à chou est composée d’un mélange de farine meulée à la pierre et de farine de lentilles, et les chocolats sont au maltitol. Et les quantités de sucre ont été réduites au moins de moitié. Christophe Touchet expliquant tester les pâtisseries lui-même en mesurant sa glycémie après les avoir goûtées…

« Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait »

L’homme devrait facilement gagner des adeptes, d’autant que Zéro sucre, le livre de Danièle Gerkens, cartonne en libraire. La spécialiste santé au magazine Elle y explique comment elle a banni de son alimentation pendant un an tous les produits sucrés (pâtisseries, biscuits, etc.) mais aussi les aliments contenant des sucres cachés comme les sauces industrielles (gâteaux apéritifs et plats cuisinés).

Motivée, entre autres raisons, par « des questions de santé, beaucoup de diabète dans la famille, une prise de poids et des problèmes de thyroïde », la journaliste de 41 ans a trouvé les débuts de cette cure « affreux » : « Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait. » Mais au bout de six à huit semaines, l’envie de sucré l’a quittée, et elle assure avoir depuis lors éliminé les coups de fatigue, se sentir « dans une forme absolue », avoir minci et retrouvé une peau saine, « plus jeune ».

Une « cacophonie nutritionnelle »

Enfin, ce mardi soir, sur France 5, c’est Anne-Sophie Lévy-Chambon, auteur d’un documentaire, qui prônera la tolérance zéor envers le sucre. La réalisatrice a, pour sa part, cessé pendant un mois de manger des sucres, y compris des sucres complexes (pâtes, pommes de terre, céréales, etc.), se limitant à deux-trois fruits par jour, sous la supervision du diabétologue Reginald Allouche.

« Ce n’était pas un régime, c’était vraiment un sevrage de sucre, comme on peut faire une cure », explique la journaliste, qui a, depuis, repris une consommation très occasionnelle de sucreries et obtenu le soutien du pâtissier Philippe Conticini pour élaborer des recettes de gâteaux « sans sucre ajouté et sans édulcorant » (son ouvrage est sorti ce mois-ci).

Reste que cet engouement fait tiquer certains spécialistes. « Il y a des inquiétudes par rapport à ce qu’on mange, les gens font de plus en plus d’évictions alimentaires », constate ainsi le médecin nutritionniste Arnaud Cocaul. « On est dans les régimes "sans" : sans lactose, sans gluten, sans sucre. Après il y aura à nouveau les régimes sans lipides, etc. », juge le médecin, qui souligne la nécessité de consignes personnalisées et déplore une « cacophonie nutritionnelle ».

(1). L’OMS a récemment préconisé de réduire l’apport en sucres à moins de 10 % voire 5 % de la ration énergétique journalière, pour lutter contre l’obésité et les caries dentaires.

pic.twitter.com/YswZtQ0J9L

Dans ses vitrines, les gâteaux ne brillent donc pas : ils sont dépourvus de glaçage. Le sirop d’agave supplante le sucre blanc, une crème à base de lait et de pectine remplace la chantilly, la pâte à chou est composée d’un mélange de farine meulée à la pierre et de farine de lentilles, et les chocolats sont au maltitol. Et les quantités de sucre ont été réduites au moins de moitié. Christophe Touchet expliquant tester les pâtisseries lui-même en mesurant sa glycémie après les avoir goûtées…

« Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait »

L’homme devrait facilement gagner des adeptes, d’autant que Zéro sucre, le livre de Danièle Gerkens, cartonne en libraire. La spécialiste santé au magazine Elle y explique comment elle a banni de son alimentation pendant un an tous les produits sucrés (pâtisseries, biscuits, etc.) mais aussi les aliments contenant des sucres cachés comme les sauces industrielles (gâteaux apéritifs et plats cuisinés).

Motivée, entre autres raisons, par « des questions de santé, beaucoup de diabète dans la famille, une prise de poids et des problèmes de thyroïde », la journaliste de 41 ans a trouvé les débuts de cette cure « affreux » : « Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait. » Mais au bout de six à huit semaines, l’envie de sucré l’a quittée, et elle assure avoir depuis lors éliminé les coups de fatigue, se sentir « dans une forme absolue », avoir minci et retrouvé une peau saine, « plus jeune ».

Une « cacophonie nutritionnelle »

Enfin, ce mardi soir, sur France 5, c’est Anne-Sophie Lévy-Chambon, auteur d’un documentaire, qui prônera la tolérance zéor envers le sucre. La réalisatrice a, pour sa part, cessé pendant un mois de manger des sucres, y compris des sucres complexes (pâtes, pommes de terre, céréales, etc.), se limitant à deux-trois fruits par jour, sous la supervision du diabétologue Reginald Allouche.

« Ce n’était pas un régime, c’était vraiment un sevrage de sucre, comme on peut faire une cure », explique la journaliste, qui a, depuis, repris une consommation très occasionnelle de sucreries et obtenu le soutien du pâtissier Philippe Conticini pour élaborer des recettes de gâteaux « sans sucre ajouté et sans édulcorant » (son ouvrage est sorti ce mois-ci).

Reste que cet engouement fait tiquer certains spécialistes. « Il y a des inquiétudes par rapport à ce qu’on mange, les gens font de plus en plus d’évictions alimentaires », constate ainsi le médecin nutritionniste Arnaud Cocaul. « On est dans les régimes "sans" : sans lactose, sans gluten, sans sucre. Après il y aura à nouveau les régimes sans lipides, etc. », juge le médecin, qui souligne la nécessité de consignes personnalisées et déplore une « cacophonie nutritionnelle ».

(1). L’OMS a récemment préconisé de réduire l’apport en sucres à moins de 10 % voire 5 % de la ration énergétique journalière, pour lutter contre l’obésité et les caries dentaires.

June 11, 2015

Dans ses vitrines, les gâteaux ne brillent donc pas : ils sont dépourvus de glaçage. Le sirop d’agave supplante le sucre blanc, une crème à base de lait et de pectine remplace la chantilly, la pâte à chou est composée d’un mélange de farine meulée à la pierre et de farine de lentilles, et les chocolats sont au maltitol. Et les quantités de sucre ont été réduites au moins de moitié. Christophe Touchet expliquant tester les pâtisseries lui-même en mesurant sa glycémie après les avoir goûtées…

« Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait »

L’homme devrait facilement gagner des adeptes, d’autant que Zéro sucre, le livre de Danièle Gerkens, cartonne en libraire. La spécialiste santé au magazine Elle y explique comment elle a banni de son alimentation pendant un an tous les produits sucrés (pâtisseries, biscuits, etc.) mais aussi les aliments contenant des sucres cachés comme les sauces industrielles (gâteaux apéritifs et plats cuisinés).

Motivée, entre autres raisons, par « des questions de santé, beaucoup de diabète dans la famille, une prise de poids et des problèmes de thyroïde », la journaliste de 41 ans a trouvé les débuts de cette cure « affreux » : « Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait. » Mais au bout de six à huit semaines, l’envie de sucré l’a quittée, et elle assure avoir depuis lors éliminé les coups de fatigue, se sentir « dans une forme absolue », avoir minci et retrouvé une peau saine, « plus jeune ».

Une « cacophonie nutritionnelle »

Enfin, ce mardi soir, sur France 5, c’est Anne-Sophie Lévy-Chambon, auteur d’un documentaire, qui prônera la tolérance zéor envers le sucre. La réalisatrice a, pour sa part, cessé pendant un mois de manger des sucres, y compris des sucres complexes (pâtes, pommes de terre, céréales, etc.), se limitant à deux-trois fruits par jour, sous la supervision du diabétologue Reginald Allouche.

« Ce n’était pas un régime, c’était vraiment un sevrage de sucre, comme on peut faire une cure », explique la journaliste, qui a, depuis, repris une consommation très occasionnelle de sucreries et obtenu le soutien du pâtissier Philippe Conticini pour élaborer des recettes de gâteaux « sans sucre ajouté et sans édulcorant » (son ouvrage est sorti ce mois-ci).

Reste que cet engouement fait tiquer certains spécialistes. « Il y a des inquiétudes par rapport à ce qu’on mange, les gens font de plus en plus d’évictions alimentaires », constate ainsi le médecin nutritionniste Arnaud Cocaul. « On est dans les régimes "sans" : sans lactose, sans gluten, sans sucre. Après il y aura à nouveau les régimes sans lipides, etc. », juge le médecin, qui souligne la nécessité de consignes personnalisées et déplore une « cacophonie nutritionnelle ».

(1). L’OMS a récemment préconisé de réduire l’apport en sucres à moins de 10 % voire 5 % de la ration énergétique journalière, pour lutter contre l’obésité et les caries dentaires.


Dans ses vitrines, les gâteaux ne brillent donc pas : ils sont dépourvus de glaçage. Le sirop d’agave supplante le sucre blanc, une crème à base de lait et de pectine remplace la chantilly, la pâte à chou est composée d’un mélange de farine meulée à la pierre et de farine de lentilles, et les chocolats sont au maltitol. Et les quantités de sucre ont été réduites au moins de moitié. Christophe Touchet expliquant tester les pâtisseries lui-même en mesurant sa glycémie après les avoir goûtées…

« Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait »

L’homme devrait facilement gagner des adeptes, d’autant que Zéro sucre, le livre de Danièle Gerkens, cartonne en libraire. La spécialiste santé au magazine Elle y explique comment elle a banni de son alimentation pendant un an tous les produits sucrés (pâtisseries, biscuits, etc.) mais aussi les aliments contenant des sucres cachés comme les sauces industrielles (gâteaux apéritifs et plats cuisinés).

Motivée, entre autres raisons, par « des questions de santé, beaucoup de diabète dans la famille, une prise de poids et des problèmes de thyroïde », la journaliste de 41 ans a trouvé les débuts de cette cure « affreux » : « Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait. » Mais au bout de six à huit semaines, l’envie de sucré l’a quittée, et elle assure avoir depuis lors éliminé les coups de fatigue, se sentir « dans une forme absolue », avoir minci et retrouvé une peau saine, « plus jeune ».

Une « cacophonie nutritionnelle »

Enfin, ce mardi soir, sur France 5, c’est Anne-Sophie Lévy-Chambon, auteur d’un documentaire, qui prônera la tolérance zéor envers le sucre. La réalisatrice a, pour sa part, cessé pendant un mois de manger des sucres, y compris des sucres complexes (pâtes, pommes de terre, céréales, etc.), se limitant à deux-trois fruits par jour, sous la supervision du diabétologue Reginald Allouche.

« Ce n’était pas un régime, c’était vraiment un sevrage de sucre, comme on peut faire une cure », explique la journaliste, qui a, depuis, repris une consommation très occasionnelle de sucreries et obtenu le soutien du pâtissier Philippe Conticini pour élaborer des recettes de gâteaux « sans sucre ajouté et sans édulcorant » (son ouvrage est sorti ce mois-ci).

Reste que cet engouement fait tiquer certains spécialistes. « Il y a des inquiétudes par rapport à ce qu’on mange, les gens font de plus en plus d’évictions alimentaires », constate ainsi le médecin nutritionniste Arnaud Cocaul. « On est dans les régimes "sans" : sans lactose, sans gluten, sans sucre. Après il y aura à nouveau les régimes sans lipides, etc. », juge le médecin, qui souligne la nécessité de consignes personnalisées et déplore une « cacophonie nutritionnelle ».

(1). L’OMS a récemment préconisé de réduire l’apport en sucres à moins de 10 % voire 5 % de la ration énergétique journalière, pour lutter contre l’obésité et les caries dentaires.


Dans ses vitrines, les gâteaux ne brillent donc pas : ils sont dépourvus de glaçage. Le sirop d’agave supplante le sucre blanc, une crème à base de lait et de pectine remplace la chantilly, la pâte à chou est composée d’un mélange de farine meulée à la pierre et de farine de lentilles, et les chocolats sont au maltitol. Et les quantités de sucre ont été réduites au moins de moitié. Christophe Touchet expliquant tester les pâtisseries lui-même en mesurant sa glycémie après les avoir goûtées…

« Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait »

L’homme devrait facilement gagner des adeptes, d’autant que Zéro sucre, le livre de Danièle Gerkens, cartonne en libraire. La spécialiste santé au magazine Elle y explique comment elle a banni de son alimentation pendant un an tous les produits sucrés (pâtisseries, biscuits, etc.) mais aussi les aliments contenant des sucres cachés comme les sauces industrielles (gâteaux apéritifs et plats cuisinés).

Motivée, entre autres raisons, par « des questions de santé, beaucoup de diabète dans la famille, une prise de poids et des problèmes de thyroïde », la journaliste de 41 ans a trouvé les débuts de cette cure « affreux » : « Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait. » Mais au bout de six à huit semaines, l’envie de sucré l’a quittée, et elle assure avoir depuis lors éliminé les coups de fatigue, se sentir « dans une forme absolue », avoir minci et retrouvé une peau saine, « plus jeune ».

Une « cacophonie nutritionnelle »

Enfin, ce mardi soir, sur France 5, c’est Anne-Sophie Lévy-Chambon, auteur d’un documentaire, qui prônera la tolérance zéor envers le sucre. La réalisatrice a, pour sa part, cessé pendant un mois de manger des sucres, y compris des sucres complexes (pâtes, pommes de terre, céréales, etc.), se limitant à deux-trois fruits par jour, sous la supervision du diabétologue Reginald Allouche.

« Ce n’était pas un régime, c’était vraiment un sevrage de sucre, comme on peut faire une cure », explique la journaliste, qui a, depuis, repris une consommation très occasionnelle de sucreries et obtenu le soutien du pâtissier Philippe Conticini pour élaborer des recettes de gâteaux « sans sucre ajouté et sans édulcorant » (son ouvrage est sorti ce mois-ci).

Reste que cet engouement fait tiquer certains spécialistes. « Il y a des inquiétudes par rapport à ce qu’on mange, les gens font de plus en plus d’évictions alimentaires », constate ainsi le médecin nutritionniste Arnaud Cocaul. « On est dans les régimes "sans" : sans lactose, sans gluten, sans sucre. Après il y aura à nouveau les régimes sans lipides, etc. », juge le médecin, qui souligne la nécessité de consignes personnalisées et déplore une « cacophonie nutritionnelle ».

(1). L’OMS a récemment préconisé de réduire l’apport en sucres à moins de 10 % voire 5 % de la ration énergétique journalière, pour lutter contre l’obésité et les caries dentaires.


Dans ses vitrines, les gâteaux ne brillent donc pas : ils sont dépourvus de glaçage. Le sirop d’agave supplante le sucre blanc, une crème à base de lait et de pectine remplace la chantilly, la pâte à chou est composée d’un mélange de farine meulée à la pierre et de farine de lentilles, et les chocolats sont au maltitol. Et les quantités de sucre ont été réduites au moins de moitié. Christophe Touchet expliquant tester les pâtisseries lui-même en mesurant sa glycémie après les avoir goûtées…

« Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait »

L’homme devrait facilement gagner des adeptes, d’autant que Zéro sucre, le livre de Danièle Gerkens, cartonne en libraire. La spécialiste santé au magazine Elle y explique comment elle a banni de son alimentation pendant un an tous les produits sucrés (pâtisseries, biscuits, etc.) mais aussi les aliments contenant des sucres cachés comme les sauces industrielles (gâteaux apéritifs et plats cuisinés).

Motivée, entre autres raisons, par « des questions de santé, beaucoup de diabète dans la famille, une prise de poids et des problèmes de thyroïde », la journaliste de 41 ans a trouvé les débuts de cette cure « affreux » : « Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait. » Mais au bout de six à huit semaines, l’envie de sucré l’a quittée, et elle assure avoir depuis lors éliminé les coups de fatigue, se sentir « dans une forme absolue », avoir minci et retrouvé une peau saine, « plus jeune ».

Une « cacophonie nutritionnelle »

Enfin, ce mardi soir, sur France 5, c’est Anne-Sophie Lévy-Chambon, auteur d’un documentaire, qui prônera la tolérance zéor envers le sucre. La réalisatrice a, pour sa part, cessé pendant un mois de manger des sucres, y compris des sucres complexes (pâtes, pommes de terre, céréales, etc.), se limitant à deux-trois fruits par jour, sous la supervision du diabétologue Reginald Allouche.

« Ce n’était pas un régime, c’était vraiment un sevrage de sucre, comme on peut faire une cure », explique la journaliste, qui a, depuis, repris une consommation très occasionnelle de sucreries et obtenu le soutien du pâtissier Philippe Conticini pour élaborer des recettes de gâteaux « sans sucre ajouté et sans édulcorant » (son ouvrage est sorti ce mois-ci).

Reste que cet engouement fait tiquer certains spécialistes. « Il y a des inquiétudes par rapport à ce qu’on mange, les gens font de plus en plus d’évictions alimentaires », constate ainsi le médecin nutritionniste Arnaud Cocaul. « On est dans les régimes "sans" : sans lactose, sans gluten, sans sucre. Après il y aura à nouveau les régimes sans lipides, etc. », juge le médecin, qui souligne la nécessité de consignes personnalisées et déplore une « cacophonie nutritionnelle ».

(1). L’OMS a récemment préconisé de réduire l’apport en sucres à moins de 10 % voire 5 % de la ration énergétique journalière, pour lutter contre l’obésité et les caries dentaires.


Dans ses vitrines, les gâteaux ne brillent donc pas : ils sont dépourvus de glaçage. Le sirop d’agave supplante le sucre blanc, une crème à base de lait et de pectine remplace la chantilly, la pâte à chou est composée d’un mélange de farine meulée à la pierre et de farine de lentilles, et les chocolats sont au maltitol. Et les quantités de sucre ont été réduites au moins de moitié. Christophe Touchet expliquant tester les pâtisseries lui-même en mesurant sa glycémie après les avoir goûtées…

« Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait »

L’homme devrait facilement gagner des adeptes, d’autant que Zéro sucre, le livre de Danièle Gerkens, cartonne en libraire. La spécialiste santé au magazine Elle y explique comment elle a banni de son alimentation pendant un an tous les produits sucrés (pâtisseries, biscuits, etc.) mais aussi les aliments contenant des sucres cachés comme les sauces industrielles (gâteaux apéritifs et plats cuisinés).

Motivée, entre autres raisons, par « des questions de santé, beaucoup de diabète dans la famille, une prise de poids et des problèmes de thyroïde », la journaliste de 41 ans a trouvé les débuts de cette cure « affreux » : « Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait. » Mais au bout de six à huit semaines, l’envie de sucré l’a quittée, et elle assure avoir depuis lors éliminé les coups de fatigue, se sentir « dans une forme absolue », avoir minci et retrouvé une peau saine, « plus jeune ».

Une « cacophonie nutritionnelle »

Enfin, ce mardi soir, sur France 5, c’est Anne-Sophie Lévy-Chambon, auteur d’un documentaire, qui prônera la tolérance zéor envers le sucre. La réalisatrice a, pour sa part, cessé pendant un mois de manger des sucres, y compris des sucres complexes (pâtes, pommes de terre, céréales, etc.), se limitant à deux-trois fruits par jour, sous la supervision du diabétologue Reginald Allouche.

« Ce n’était pas un régime, c’était vraiment un sevrage de sucre, comme on peut faire une cure », explique la journaliste, qui a, depuis, repris une consommation très occasionnelle de sucreries et obtenu le soutien du pâtissier Philippe Conticini pour élaborer des recettes de gâteaux « sans sucre ajouté et sans édulcorant » (son ouvrage est sorti ce mois-ci).

Reste que cet engouement fait tiquer certains spécialistes. « Il y a des inquiétudes par rapport à ce qu’on mange, les gens font de plus en plus d’évictions alimentaires », constate ainsi le médecin nutritionniste Arnaud Cocaul. « On est dans les régimes "sans" : sans lactose, sans gluten, sans sucre. Après il y aura à nouveau les régimes sans lipides, etc. », juge le médecin, qui souligne la nécessité de consignes personnalisées et déplore une « cacophonie nutritionnelle ».

(1). L’OMS a récemment préconisé de réduire l’apport en sucres à moins de 10 % voire 5 % de la ration énergétique journalière, pour lutter contre l’obésité et les caries dentaires.



Dans ses vitrines, les gâteaux ne brillent donc pas : ils sont dépourvus de glaçage. Le sirop d’agave supplante le sucre blanc, une crème à base de lait et de pectine remplace la chantilly, la pâte à chou est composée d’un mélange de farine meulée à la pierre et de farine de lentilles, et les chocolats sont au maltitol. Et les quantités de sucre ont été réduites au moins de moitié. Christophe Touchet expliquant tester les pâtisseries lui-même en mesurant sa glycémie après les avoir goûtées…

« Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait »

L’homme devrait facilement gagner des adeptes, d’autant que Zéro sucre, le livre de Danièle Gerkens, cartonne en libraire. La spécialiste santé au magazine Elle y explique comment elle a banni de son alimentation pendant un an tous les produits sucrés (pâtisseries, biscuits, etc.) mais aussi les aliments contenant des sucres cachés comme les sauces industrielles (gâteaux apéritifs et plats cuisinés).

Motivée, entre autres raisons, par « des questions de santé, beaucoup de diabète dans la famille, une prise de poids et des problèmes de thyroïde », la journaliste de 41 ans a trouvé les débuts de cette cure « affreux » : « Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait. » Mais au bout de six à huit semaines, l’envie de sucré l’a quittée, et elle assure avoir depuis lors éliminé les coups de fatigue, se sentir « dans une forme absolue », avoir minci et retrouvé une peau saine, « plus jeune ».

Une « cacophonie nutritionnelle »

Enfin, ce mardi soir, sur France 5, c’est Anne-Sophie Lévy-Chambon, auteur d’un documentaire, qui prônera la tolérance zéor envers le sucre. La réalisatrice a, pour sa part, cessé pendant un mois de manger des sucres, y compris des sucres complexes (pâtes, pommes de terre, céréales, etc.), se limitant à deux-trois fruits par jour, sous la supervision du diabétologue Reginald Allouche.

« Ce n’était pas un régime, c’était vraiment un sevrage de sucre, comme on peut faire une cure », explique la journaliste, qui a, depuis, repris une consommation très occasionnelle de sucreries et obtenu le soutien du pâtissier Philippe Conticini pour élaborer des recettes de gâteaux « sans sucre ajouté et sans édulcorant » (son ouvrage est sorti ce mois-ci).

Reste que cet engouement fait tiquer certains spécialistes. « Il y a des inquiétudes par rapport à ce qu’on mange, les gens font de plus en plus d’évictions alimentaires », constate ainsi le médecin nutritionniste Arnaud Cocaul. « On est dans les régimes "sans" : sans lactose, sans gluten, sans sucre. Après il y aura à nouveau les régimes sans lipides, etc. », juge le médecin, qui souligne la nécessité de consignes personnalisées et déplore une « cacophonie nutritionnelle ».

(1). L’OMS a récemment préconisé de réduire l’apport en sucres à moins de 10 % voire 5 % de la ration énergétique journalière, pour lutter contre l’obésité et les caries dentaires.


Dans ses vitrines, les gâteaux ne brillent donc pas : ils sont dépourvus de glaçage. Le sirop d’agave supplante le sucre blanc, une crème à base de lait et de pectine remplace la chantilly, la pâte à chou est composée d’un mélange de farine meulée à la pierre et de farine de lentilles, et les chocolats sont au maltitol. Et les quantités de sucre ont été réduites au moins de moitié. Christophe Touchet expliquant tester les pâtisseries lui-même en mesurant sa glycémie après les avoir goûtées…

« Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait »

L’homme devrait facilement gagner des adeptes, d’autant que Zéro sucre, le livre de Danièle Gerkens, cartonne en libraire. La spécialiste santé au magazine Elle y explique comment elle a banni de son alimentation pendant un an tous les produits sucrés (pâtisseries, biscuits, etc.) mais aussi les aliments contenant des sucres cachés comme les sauces industrielles (gâteaux apéritifs et plats cuisinés).

Motivée, entre autres raisons, par « des questions de santé, beaucoup de diabète dans la famille, une prise de poids et des problèmes de thyroïde », la journaliste de 41 ans a trouvé les débuts de cette cure « affreux » : « Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait. » Mais au bout de six à huit semaines, l’envie de sucré l’a quittée, et elle assure avoir depuis lors éliminé les coups de fatigue, se sentir « dans une forme absolue », avoir minci et retrouvé une peau saine, « plus jeune ».

Une « cacophonie nutritionnelle »

Enfin, ce mardi soir, sur France 5, c’est Anne-Sophie Lévy-Chambon, auteur d’un documentaire, qui prônera la tolérance zéor envers le sucre. La réalisatrice a, pour sa part, cessé pendant un mois de manger des sucres, y compris des sucres complexes (pâtes, pommes de terre, céréales, etc.), se limitant à deux-trois fruits par jour, sous la supervision du diabétologue Reginald Allouche.

« Ce n’était pas un régime, c’était vraiment un sevrage de sucre, comme on peut faire une cure », explique la journaliste, qui a, depuis, repris une consommation très occasionnelle de sucreries et obtenu le soutien du pâtissier Philippe Conticini pour élaborer des recettes de gâteaux « sans sucre ajouté et sans édulcorant » (son ouvrage est sorti ce mois-ci).

Reste que cet engouement fait tiquer certains spécialistes. « Il y a des inquiétudes par rapport à ce qu’on mange, les gens font de plus en plus d’évictions alimentaires », constate ainsi le médecin nutritionniste Arnaud Cocaul. « On est dans les régimes "sans" : sans lactose, sans gluten, sans sucre. Après il y aura à nouveau les régimes sans lipides, etc. », juge le médecin, qui souligne la nécessité de consignes personnalisées et déplore une « cacophonie nutritionnelle ».

(1). L’OMS a récemment préconisé de réduire l’apport en sucres à moins de 10 % voire 5 % de la ration énergétique journalière, pour lutter contre l’obésité et les caries dentaires.

son ouvrage est sorti ce mois-ci

Dans ses vitrines, les gâteaux ne brillent donc pas : ils sont dépourvus de glaçage. Le sirop d’agave supplante le sucre blanc, une crème à base de lait et de pectine remplace la chantilly, la pâte à chou est composée d’un mélange de farine meulée à la pierre et de farine de lentilles, et les chocolats sont au maltitol. Et les quantités de sucre ont été réduites au moins de moitié. Christophe Touchet expliquant tester les pâtisseries lui-même en mesurant sa glycémie après les avoir goûtées…

« Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait »

L’homme devrait facilement gagner des adeptes, d’autant que Zéro sucre, le livre de Danièle Gerkens, cartonne en libraire. La spécialiste santé au magazine Elle y explique comment elle a banni de son alimentation pendant un an tous les produits sucrés (pâtisseries, biscuits, etc.) mais aussi les aliments contenant des sucres cachés comme les sauces industrielles (gâteaux apéritifs et plats cuisinés).

Motivée, entre autres raisons, par « des questions de santé, beaucoup de diabète dans la famille, une prise de poids et des problèmes de thyroïde », la journaliste de 41 ans a trouvé les débuts de cette cure « affreux » : « Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait. » Mais au bout de six à huit semaines, l’envie de sucré l’a quittée, et elle assure avoir depuis lors éliminé les coups de fatigue, se sentir « dans une forme absolue », avoir minci et retrouvé une peau saine, « plus jeune ».

Une « cacophonie nutritionnelle »

Enfin, ce mardi soir, sur France 5, c’est Anne-Sophie Lévy-Chambon, auteur d’un documentaire, qui prônera la tolérance zéor envers le sucre. La réalisatrice a, pour sa part, cessé pendant un mois de manger des sucres, y compris des sucres complexes (pâtes, pommes de terre, céréales, etc.), se limitant à deux-trois fruits par jour, sous la supervision du diabétologue Reginald Allouche.

« Ce n’était pas un régime, c’était vraiment un sevrage de sucre, comme on peut faire une cure », explique la journaliste, qui a, depuis, repris une consommation très occasionnelle de sucreries et obtenu le soutien du pâtissier Philippe Conticini pour élaborer des recettes de gâteaux « sans sucre ajouté et sans édulcorant » (son ouvrage est sorti ce mois-ci).

Reste que cet engouement fait tiquer certains spécialistes. « Il y a des inquiétudes par rapport à ce qu’on mange, les gens font de plus en plus d’évictions alimentaires », constate ainsi le médecin nutritionniste Arnaud Cocaul. « On est dans les régimes "sans" : sans lactose, sans gluten, sans sucre. Après il y aura à nouveau les régimes sans lipides, etc. », juge le médecin, qui souligne la nécessité de consignes personnalisées et déplore une « cacophonie nutritionnelle ».

(1). L’OMS a récemment préconisé de réduire l’apport en sucres à moins de 10 % voire 5 % de la ration énergétique journalière, pour lutter contre l’obésité et les caries dentaires.


Dans ses vitrines, les gâteaux ne brillent donc pas : ils sont dépourvus de glaçage. Le sirop d’agave supplante le sucre blanc, une crème à base de lait et de pectine remplace la chantilly, la pâte à chou est composée d’un mélange de farine meulée à la pierre et de farine de lentilles, et les chocolats sont au maltitol. Et les quantités de sucre ont été réduites au moins de moitié. Christophe Touchet expliquant tester les pâtisseries lui-même en mesurant sa glycémie après les avoir goûtées…

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Motivée, entre autres raisons, par « des questions de santé, beaucoup de diabète dans la famille, une prise de poids et des problèmes de thyroïde », la journaliste de 41 ans a trouvé les débuts de cette cure « affreux » : « Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait. » Mais au bout de six à huit semaines, l’envie de sucré l’a quittée, et elle assure avoir depuis lors éliminé les coups de fatigue, se sentir « dans une forme absolue », avoir minci et retrouvé une peau saine, « plus jeune ».

Une « cacophonie nutritionnelle »

Enfin, ce mardi soir, sur France 5, c’est Anne-Sophie Lévy-Chambon, auteur d’un documentaire, qui prônera la tolérance zéor envers le sucre. La réalisatrice a, pour sa part, cessé pendant un mois de manger des sucres, y compris des sucres complexes (pâtes, pommes de terre, céréales, etc.), se limitant à deux-trois fruits par jour, sous la supervision du diabétologue Reginald Allouche.

« Ce n’était pas un régime, c’était vraiment un sevrage de sucre, comme on peut faire une cure », explique la journaliste, qui a, depuis, repris une consommation très occasionnelle de sucreries et obtenu le soutien du pâtissier Philippe Conticini pour élaborer des recettes de gâteaux « sans sucre ajouté et sans édulcorant » (son ouvrage est sorti ce mois-ci).

Reste que cet engouement fait tiquer certains spécialistes. « Il y a des inquiétudes par rapport à ce qu’on mange, les gens font de plus en plus d’évictions alimentaires », constate ainsi le médecin nutritionniste Arnaud Cocaul. « On est dans les régimes "sans" : sans lactose, sans gluten, sans sucre. Après il y aura à nouveau les régimes sans lipides, etc. », juge le médecin, qui souligne la nécessité de consignes personnalisées et déplore une « cacophonie nutritionnelle ».

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Dans ses vitrines, les gâteaux ne brillent donc pas : ils sont dépourvus de glaçage. Le sirop d’agave supplante le sucre blanc, une crème à base de lait et de pectine remplace la chantilly, la pâte à chou est composée d’un mélange de farine meulée à la pierre et de farine de lentilles, et les chocolats sont au maltitol. Et les quantités de sucre ont été réduites au moins de moitié. Christophe Touchet expliquant tester les pâtisseries lui-même en mesurant sa glycémie après les avoir goûtées…

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Une « cacophonie nutritionnelle »

Enfin, ce mardi soir, sur France 5, c’est Anne-Sophie Lévy-Chambon, auteur d’un documentaire, qui prônera la tolérance zéor envers le sucre. La réalisatrice a, pour sa part, cessé pendant un mois de manger des sucres, y compris des sucres complexes (pâtes, pommes de terre, céréales, etc.), se limitant à deux-trois fruits par jour, sous la supervision du diabétologue Reginald Allouche.

« Ce n’était pas un régime, c’était vraiment un sevrage de sucre, comme on peut faire une cure », explique la journaliste, qui a, depuis, repris une consommation très occasionnelle de sucreries et obtenu le soutien du pâtissier Philippe Conticini pour élaborer des recettes de gâteaux « sans sucre ajouté et sans édulcorant » (son ouvrage est sorti ce mois-ci).

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remplace la chantilly, la pâte à chou est composée d’un mélange de farine meulée à la pierre et de farine de lentilles, et les chocolats sont au maltitol. Et les quantités de sucre ont été réduites au moins de moitié. Christophe Touchet expliquant tester les pâtisseries lui-même en mesurant sa glycémie après les avoir goûtées…

« Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait »

L’homme devrait facilement gagner des adeptes, d’autant que Zéro sucre, le livre de Danièle Gerkens, cartonne en libraire. La spécialiste santé au magazine Elle y explique comment elle a banni de son alimentation pendant un an tous les produits sucrés (pâtisseries, biscuits, etc.) mais aussi les aliments contenant des sucres cachés comme les sauces industrielles (gâteaux apéritifs et plats cuisinés).

Motivée, entre autres raisons, par « des questions de santé, beaucoup de diabète dans la famille, une prise de poids et des problèmes de thyroïde », la journaliste de 41 ans a trouvé les débuts de cette cure « affreux » : « Le plus difficile, c’était se priver de chocolat au lait. » Mais au bout de six à huit semaines, l’envie de sucré l’a quittée, et elle assure avoir depuis lors éliminé les coups de fatigue, se sentir « dans une forme absolue », avoir minci et retrouvé une peau saine, « plus jeune ».

Une « cacophonie nutritionnelle »

Enfin, ce mardi soir, sur France 5, c’est Anne-Sophie Lévy-Chambon, auteur d’un documentaire, qui prônera la tolérance zéor envers le sucre. La réalisatrice a, pour sa part, cessé pendant un mois de manger des sucres, y compris des sucres complexes (pâtes, pommes de terre, céréales, etc.), se limitant à deux-trois fruits par jour, sous la supervision du diabétologue Reginald Allouche.

« Ce n’était pas un régime, c’était vraiment un sevrage de sucre, comme on peut faire une cure », explique la journaliste, qui a, depuis, repris une consommation très occasionnelle de sucreries et obtenu le soutien du pâtissier Philippe Conticini pour élaborer des recettes de gâteaux « sans sucre ajouté et sans édulcorant » (son ouvrage est sorti ce mois-ci).

Reste que cet engouement fait tiquer certains spécialistes. « Il y a des inquiétudes par rapport à ce qu’on mange, les gens font de plus en plus d’évictions alimentaires », constate ainsi le médecin nutritionniste Arnaud Cocaul. « On est dans les régimes "sans" : sans lactose, sans gluten, sans sucre. Après il y aura à nouveau les régimes sans lipides, etc. », juge le médecin, qui souligne la nécessité de consignes personnalisées et déplore une « cacophonie nutritionnelle ».

(1). L’OMS a récemment préconisé de réduire l’apport en sucres à moins de 10 % voire 5 % de la ration énergétique journalière, pour lutter contre l’obésité et les caries dentaires.