Paraguay: «Chaque jour deux fillettes de 10 à 14 ans accouchent dans ce pays», selon l'Unicef
SOCIETE•Une fillette de 10 ans se retrouve enceinte après avoir été violée et n'a pas l'autorisation d'avorter...20 Minutes avec agences
L'Unicef tire la sonnette d'alarme au Paraguay face au manque de protection pour les fillettes victimes d'abus sexuels après le scandale de la fillette de dix ans violée par son beau-père et qui ne peut avorter, au péril de sa vie. «Chaque jour, deux fillettes de 10 à 14 ans accouchent dans ce pays», rappelle Andrea Cid, responsable de la protection de l'enfance pour l'Unicef au Paraguay. «Ces cas sont la conséquence d'abus sexuels et, dans la majorité des situations, d'abus sexuels répétés face auxquels les victimes n'ont pas reçu la protection opportune et appropriée.» 1598343
L'Unicef tire la sonnette d'alarme au Paraguay face au manque de protection pour les fillettes victimes d'abus sexuels après le scandale de la fillette de dix ans violée par son beau-père et qui ne peut avorter, au péril de sa vie. «Chaque jour, deux fillettes de 10 à 14 ans accouchent dans ce pays», rappelle Andrea Cid, responsable de la protection de l'enfance pour l'Unicef au Paraguay. «Ces cas sont la conséquence d'abus sexuels et, dans la majorité des situations, d'abus sexuels répétés face auxquels les victimes n'ont pas reçu la protection opportune et appropriée.» 1598343
«Une enfance sans protection, en danger permanent»
Pour cette experte de l'agence des Nations unies, derrière cette situation dramatique, il y a d'abord un problème de politique publique: le faible budget alloué à l'éducation au Paraguay, un facteur aggravant la vulnérabilité de ces jeunes filles. «Tandis que d'autres pays de la région consacrent 7 à 8% de leur budget à l'éducation, le Paraguay ne dépasse pas les 4%». Cela se traduit par «une enfance sans protection, en danger permanent», note Andrea Cid, ajoutant qu'en 2014, 650 fillettes de 10 à 14 ans ont accouché et 20.000 jeunes filles de 15 à 19 ans sont tombées enceintes.
Dernier scandale en date, celui, révélé fin avril, de la grossesse d'une fillette de 10 ans, violée par le compagnon de sa mère. Enceinte de 23 semaines, soit cinq mois, la petite fille est actuellement sous la surveillance de l'hôpital de la Croix-Rouge d'Asuncion où elle est examinée par des médecins, psychologues et psychiatres. Son beau-père, Gilberto Benitez Zarate, âgé de 42 ans, est, lui, toujours recherché par la police. Sa mère a été placée en détention, accusée de «négligence» et «d'obstruction à la justice» après avoir livré de fausses informations sur son compagnon.
Dans ce pays qui n'autorise l'avortement qu'en cas de danger pour la vie de la mère et uniquement jusqu'à la 20e semaine de grossesse, l'opinion semble divisée, entre partisans de la loi et ceux plaidant pour son assouplissement en cas de viol. Les autorités, elles, n'ont pas de doute et refusent tout avortement.
#NiñaEnPeligro
Pour empêcher que l'on contraigne la fillette, qui fêtera ses 11 ans en mai, à mener sa grossesse à terme, une campagne a été lancée par la branche locale d'Amnesty International, sous le mot-clé #NiñaEnPeligro.
L'Unicef souligne que ce cas est le premier depuis longtemps à susciter un débat public, dans un pays où la légalisation de l'avortement n'est encore qu'une revendication de personnalités politiques de gauche, de certains professionnels et de féministes.
«Une enfance sans protection, en danger permanent»
Pour cette experte de l'agence des Nations unies, derrière cette situation dramatique, il y a d'abord un problème de politique publique: le faible budget alloué à l'éducation au Paraguay, un facteur aggravant la vulnérabilité de ces jeunes filles. «Tandis que d'autres pays de la région consacrent 7 à 8% de leur budget à l'éducation, le Paraguay ne dépasse pas les 4%». Cela se traduit par «une enfance sans protection, en danger permanent», note Andrea Cid, ajoutant qu'en 2014, 650 fillettes de 10 à 14 ans ont accouché et 20.000 jeunes filles de 15 à 19 ans sont tombées enceintes.
Dernier scandale en date, celui, révélé fin avril, de la grossesse d'une fillette de 10 ans, violée par le compagnon de sa mère. Enceinte de 23 semaines, soit cinq mois, la petite fille est actuellement sous la surveillance de l'hôpital de la Croix-Rouge d'Asuncion où elle est examinée par des médecins, psychologues et psychiatres. Son beau-père, Gilberto Benitez Zarate, âgé de 42 ans, est, lui, toujours recherché par la police. Sa mère a été placée en détention, accusée de «négligence» et «d'obstruction à la justice» après avoir livré de fausses informations sur son compagnon.
Dans ce pays qui n'autorise l'avortement qu'en cas de danger pour la vie de la mère et uniquement jusqu'à la 20e semaine de grossesse, l'opinion semble divisée, entre partisans de la loi et ceux plaidant pour son assouplissement en cas de viol. Les autorités, elles, n'ont pas de doute et refusent tout avortement.
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Pour empêcher que l'on contraigne la fillette, qui fêtera ses 11 ans en mai, à mener sa grossesse à terme, une campagne a été lancée par la branche locale d'Amnesty International, sous le mot-clé #NiñaEnPeligro.
L'Unicef souligne que ce cas est le premier depuis longtemps à susciter un débat public, dans un pays où la légalisation de l'avortement n'est encore qu'une revendication de personnalités politiques de gauche, de certains professionnels et de féministes.
«Une enfance sans protection, en danger permanent»
Pour cette experte de l'agence des Nations unies, derrière cette situation dramatique, il y a d'abord un problème de politique publique: le faible budget alloué à l'éducation au Paraguay, un facteur aggravant la vulnérabilité de ces jeunes filles. «Tandis que d'autres pays de la région consacrent 7 à 8% de leur budget à l'éducation, le Paraguay ne dépasse pas les 4%». Cela se traduit par «une enfance sans protection, en danger permanent», note Andrea Cid, ajoutant qu'en 2014, 650 fillettes de 10 à 14 ans ont accouché et 20.000 jeunes filles de 15 à 19 ans sont tombées enceintes.
Dernier scandale en date, celui, révélé fin avril, de la grossesse d'une fillette de 10 ans, violée par le compagnon de sa mère. Enceinte de 23 semaines, soit cinq mois, la petite fille est actuellement sous la surveillance de l'hôpital de la Croix-Rouge d'Asuncion où elle est examinée par des médecins, psychologues et psychiatres. Son beau-père, Gilberto Benitez Zarate, âgé de 42 ans, est, lui, toujours recherché par la police. Sa mère a été placée en détention, accusée de «négligence» et «d'obstruction à la justice» après avoir livré de fausses informations sur son compagnon.
Dans ce pays qui n'autorise l'avortement qu'en cas de danger pour la vie de la mère et uniquement jusqu'à la 20e semaine de grossesse, l'opinion semble divisée, entre partisans de la loi et ceux plaidant pour son assouplissement en cas de viol. Les autorités, elles, n'ont pas de doute et refusent tout avortement.
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Pour empêcher que l'on contraigne la fillette, qui fêtera ses 11 ans en mai, à mener sa grossesse à terme, une campagne a été lancée par la branche locale d'Amnesty International, sous le mot-clé #NiñaEnPeligro.
L'Unicef souligne que ce cas est le premier depuis longtemps à susciter un débat public, dans un pays où la légalisation de l'avortement n'est encore qu'une revendication de personnalités politiques de gauche, de certains professionnels et de féministes.
«Une enfance sans protection, en danger permanent»
Pour cette experte de l'agence des Nations unies, derrière cette situation dramatique, il y a d'abord un problème de politique publique: le faible budget alloué à l'éducation au Paraguay, un facteur aggravant la vulnérabilité de ces jeunes filles. «Tandis que d'autres pays de la région consacrent 7 à 8% de leur budget à l'éducation, le Paraguay ne dépasse pas les 4%». Cela se traduit par «une enfance sans protection, en danger permanent», note Andrea Cid, ajoutant qu'en 2014, 650 fillettes de 10 à 14 ans ont accouché et 20.000 jeunes filles de 15 à 19 ans sont tombées enceintes.
Dernier scandale en date, celui, révélé fin avril, de la grossesse d'une fillette de 10 ans, violée par le compagnon de sa mère. Enceinte de 23 semaines, soit cinq mois, la petite fille est actuellement sous la surveillance de l'hôpital de la Croix-Rouge d'Asuncion où elle est examinée par des médecins, psychologues et psychiatres. Son beau-père, Gilberto Benitez Zarate, âgé de 42 ans, est, lui, toujours recherché par la police. Sa mère a été placée en détention, accusée de «négligence» et «d'obstruction à la justice» après avoir livré de fausses informations sur son compagnon.
Dans ce pays qui n'autorise l'avortement qu'en cas de danger pour la vie de la mère et uniquement jusqu'à la 20e semaine de grossesse, l'opinion semble divisée, entre partisans de la loi et ceux plaidant pour son assouplissement en cas de viol. Les autorités, elles, n'ont pas de doute et refusent tout avortement.
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Pour cette experte de l'agence des Nations unies, derrière cette situation dramatique, il y a d'abord un problème de politique publique: le faible budget alloué à l'éducation au Paraguay, un facteur aggravant la vulnérabilité de ces jeunes filles. «Tandis que d'autres pays de la région consacrent 7 à 8% de leur budget à l'éducation, le Paraguay ne dépasse pas les 4%». Cela se traduit par «une enfance sans protection, en danger permanent», note Andrea Cid, ajoutant qu'en 2014, 650 fillettes de 10 à 14 ans ont accouché et 20.000 jeunes filles de 15 à 19 ans sont tombées enceintes.
Dernier scandale en date, celui, révélé fin avril, de la grossesse d'une fillette de 10 ans, violée par le compagnon de sa mère. Enceinte de 23 semaines, soit cinq mois, la petite fille est actuellement sous la surveillance de l'hôpital de la Croix-Rouge d'Asuncion où elle est examinée par des médecins, psychologues et psychiatres. Son beau-père, Gilberto Benitez Zarate, âgé de 42 ans, est, lui, toujours recherché par la police. Sa mère a été placée en détention, accusée de «négligence» et «d'obstruction à la justice» après avoir livré de fausses informations sur son compagnon.
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Pour cette experte de l'agence des Nations unies, derrière cette situation dramatique, il y a d'abord un problème de politique publique: le faible budget alloué à l'éducation au Paraguay, un facteur aggravant la vulnérabilité de ces jeunes filles. «Tandis que d'autres pays de la région consacrent 7 à 8% de leur budget à l'éducation, le Paraguay ne dépasse pas les 4%». Cela se traduit par «une enfance sans protection, en danger permanent», note Andrea Cid, ajoutant qu'en 2014, 650 fillettes de 10 à 14 ans ont accouché et 20.000 jeunes filles de 15 à 19 ans sont tombées enceintes.
Dernier scandale en date, celui, révélé fin avril, de la grossesse d'une fillette de 10 ans, violée par le compagnon de sa mère. Enceinte de 23 semaines, soit cinq mois, la petite fille est actuellement sous la surveillance de l'hôpital de la Croix-Rouge d'Asuncion où elle est examinée par des médecins, psychologues et psychiatres. Son beau-père, Gilberto Benitez Zarate, âgé de 42 ans, est, lui, toujours recherché par la police. Sa mère a été placée en détention, accusée de «négligence» et «d'obstruction à la justice» après avoir livré de fausses informations sur son compagnon.
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«Une enfance sans protection, en danger permanent»
Pour cette experte de l'agence des Nations unies, derrière cette situation dramatique, il y a d'abord un problème de politique publique: le faible budget alloué à l'éducation au Paraguay, un facteur aggravant la vulnérabilité de ces jeunes filles. «Tandis que d'autres pays de la région consacrent 7 à 8% de leur budget à l'éducation, le Paraguay ne dépasse pas les 4%». Cela se traduit par «une enfance sans protection, en danger permanent», note Andrea Cid, ajoutant qu'en 2014, 650 fillettes de 10 à 14 ans ont accouché et 20.000 jeunes filles de 15 à 19 ans sont tombées enceintes.
Dernier scandale en date, celui, révélé fin avril, de la grossesse d'une fillette de 10 ans, violée par le compagnon de sa mère. Enceinte de 23 semaines, soit cinq mois, la petite fille est actuellement sous la surveillance de l'hôpital de la Croix-Rouge d'Asuncion où elle est examinée par des médecins, psychologues et psychiatres. Son beau-père, Gilberto Benitez Zarate, âgé de 42 ans, est, lui, toujours recherché par la police. Sa mère a été placée en détention, accusée de «négligence» et «d'obstruction à la justice» après avoir livré de fausses informations sur son compagnon.
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L'Unicef souligne que ce cas est le premier depuis longtemps à susciter un débat public, dans un pays où la légalisation de l'avortement n'est encore qu'une revendication de personnalités politiques de gauche, de certains professionnels et de féministes.
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Pour cette experte de l'agence des Nations unies, derrière cette situation dramatique, il y a d'abord un problème de politique publique: le faible budget alloué à l'éducation au Paraguay, un facteur aggravant la vulnérabilité de ces jeunes filles. «Tandis que d'autres pays de la région consacrent 7 à 8% de leur budget à l'éducation, le Paraguay ne dépasse pas les 4%». Cela se traduit par «une enfance sans protection, en danger permanent», note Andrea Cid, ajoutant qu'en 2014, 650 fillettes de 10 à 14 ans ont accouché et 20.000 jeunes filles de 15 à 19 ans sont tombées enceintes.
Dernier scandale en date, celui, révélé fin avril, de la grossesse d'une fillette de 10 ans, violée par le compagnon de sa mère. Enceinte de 23 semaines, soit cinq mois, la petite fille est actuellement sous la surveillance de l'hôpital de la Croix-Rouge d'Asuncion où elle est examinée par des médecins, psychologues et psychiatres. Son beau-père, Gilberto Benitez Zarate, âgé de 42 ans, est, lui, toujours recherché par la police. Sa mère a été placée en détention, accusée de «négligence» et «d'obstruction à la justice» après avoir livré de fausses informations sur son compagnon.
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«Une enfance sans protection, en danger permanent»
Pour cette experte de l'agence des Nations unies, derrière cette situation dramatique, il y a d'abord un problème de politique publique: le faible budget alloué à l'éducation au Paraguay, un facteur aggravant la vulnérabilité de ces jeunes filles. «Tandis que d'autres pays de la région consacrent 7 à 8% de leur budget à l'éducation, le Paraguay ne dépasse pas les 4%». Cela se traduit par «une enfance sans protection, en danger permanent», note Andrea Cid, ajoutant qu'en 2014, 650 fillettes de 10 à 14 ans ont accouché et 20.000 jeunes filles de 15 à 19 ans sont tombées enceintes.
Dernier scandale en date, celui, révélé fin avril, de la grossesse d'une fillette de 10 ans, violée par le compagnon de sa mère. Enceinte de 23 semaines, soit cinq mois, la petite fille est actuellement sous la surveillance de l'hôpital de la Croix-Rouge d'Asuncion où elle est examinée par des médecins, psychologues et psychiatres. Son beau-père, Gilberto Benitez Zarate, âgé de 42 ans, est, lui, toujours recherché par la police. Sa mère a été placée en détention, accusée de «négligence» et «d'obstruction à la justice» après avoir livré de fausses informations sur son compagnon.
Dans ce pays qui n'autorise l'avortement qu'en cas de danger pour la vie de la mère et uniquement jusqu'à la 20e semaine de grossesse, l'opinion semble divisée, entre partisans de la loi et ceux plaidant pour son assouplissement en cas de viol. Les autorités, elles, n'ont pas de doute et refusent tout avortement.
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«Une enfance sans protection, en danger permanent»
Pour cette experte de l'agence des Nations unies, derrière cette situation dramatique, il y a d'abord un problème de politique publique: le faible budget alloué à l'éducation au Paraguay, un facteur aggravant la vulnérabilité de ces jeunes filles. «Tandis que d'autres pays de la région consacrent 7 à 8% de leur budget à l'éducation, le Paraguay ne dépasse pas les 4%». Cela se traduit par «une enfance sans protection, en danger permanent», note Andrea Cid, ajoutant qu'en 2014, 650 fillettes de 10 à 14 ans ont accouché et 20.000 jeunes filles de 15 à 19 ans sont tombées enceintes.
Dernier scandale en date, celui, révélé fin avril, de la grossesse d'une fillette de 10 ans, violée par le compagnon de sa mère. Enceinte de 23 semaines, soit cinq mois, la petite fille est actuellement sous la surveillance de l'hôpital de la Croix-Rouge d'Asuncion où elle est examinée par des médecins, psychologues et psychiatres. Son beau-père, Gilberto Benitez Zarate, âgé de 42 ans, est, lui, toujours recherché par la police. Sa mère a été placée en détention, accusée de «négligence» et «d'obstruction à la justice» après avoir livré de fausses informations sur son compagnon.
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Pour cette experte de l'agence des Nations unies, derrière cette situation dramatique, il y a d'abord un problème de politique publique: le faible budget alloué à l'éducation au Paraguay, un facteur aggravant la vulnérabilité de ces jeunes filles. «Tandis que d'autres pays de la région consacrent 7 à 8% de leur budget à l'éducation, le Paraguay ne dépasse pas les 4%». Cela se traduit par «une enfance sans protection, en danger permanent», note Andrea Cid, ajoutant qu'en 2014, 650 fillettes de 10 à 14 ans ont accouché et 20.000 jeunes filles de 15 à 19 ans sont tombées enceintes.
Dernier scandale en date, celui, révélé fin avril, de la grossesse d'une fillette de 10 ans, violée par le compagnon de sa mère. Enceinte de 23 semaines, soit cinq mois, la petite fille est actuellement sous la surveillance de l'hôpital de la Croix-Rouge d'Asuncion où elle est examinée par des médecins, psychologues et psychiatres. Son beau-père, Gilberto Benitez Zarate, âgé de 42 ans, est, lui, toujours recherché par la police. Sa mère a été placée en détention, accusée de «négligence» et «d'obstruction à la justice» après avoir livré de fausses informations sur son compagnon.
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Dernier scandale en date, celui, révélé fin avril, de la grossesse d'une fillette de 10 ans, violée par le compagnon de sa mère. Enceinte de 23 semaines, soit cinq mois, la petite fille est actuellement sous la surveillance de l'hôpital de la Croix-Rouge d'Asuncion où elle est examinée par des médecins, psychologues et psychiatres. Son beau-père, Gilberto Benitez Zarate, âgé de 42 ans, est, lui, toujours recherché par la police. Sa mère a été placée en détention, accusée de «négligence» et «d'obstruction à la justice» après avoir livré de fausses informations sur son compagnon.
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Dernier scandale en date, celui, révélé fin avril, de la grossesse d'une fillette de 10 ans, violée par le compagnon de sa mère. Enceinte de 23 semaines, soit cinq mois, la petite fille est actuellement sous la surveillance de l'hôpital de la Croix-Rouge d'Asuncion où elle est examinée par des médecins, psychologues et psychiatres. Son beau-père, Gilberto Benitez Zarate, âgé de 42 ans, est, lui, toujours recherché par la police. Sa mère a été placée en détention, accusée de «négligence» et «d'obstruction à la justice» après avoir livré de fausses informations sur son compagnon.
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L'Unicef souligne que ce cas est le premier depuis longtemps à susciter un débat public, dans un pays où la légalisation de l'avortement n'est encore qu'une revendication de personnalités politiques de gauche, de certains professionnels et de féministes.
«Une enfance sans protection, en danger permanent»
Pour cette experte de l'agence des Nations unies, derrière cette situation dramatique, il y a d'abord un problème de politique publique: le faible budget alloué à l'éducation au Paraguay, un facteur aggravant la vulnérabilité de ces jeunes filles. «Tandis que d'autres pays de la région consacrent 7 à 8% de leur budget à l'éducation, le Paraguay ne dépasse pas les 4%». Cela se traduit par «une enfance sans protection, en danger permanent», note Andrea Cid, ajoutant qu'en 2014, 650 fillettes de 10 à 14 ans ont accouché et 20.000 jeunes filles de 15 à 19 ans sont tombées enceintes.
Dernier scandale en date, celui, révélé fin avril, de la grossesse d'une fillette de 10 ans, violée par le compagnon de sa mère. Enceinte de 23 semaines, soit cinq mois, la petite fille est actuellement sous la surveillance de l'hôpital de la Croix-Rouge d'Asuncion où elle est examinée par des médecins, psychologues et psychiatres. Son beau-père, Gilberto Benitez Zarate, âgé de 42 ans, est, lui, toujours recherché par la police. Sa mère a été placée en détention, accusée de «négligence» et «d'obstruction à la justice» après avoir livré de fausses informations sur son compagnon.
Dans ce pays qui n'autorise l'avortement qu'en cas de danger pour la vie de la mère et uniquement jusqu'à la 20e semaine de grossesse, l'opinion semble divisée, entre partisans de la loi et ceux plaidant pour son assouplissement en cas de viol. Les autorités, elles, n'ont pas de doute et refusent tout avortement.
#NiñaEnPeligro
Pour empêcher que l'on contraigne la fillette, qui fêtera ses 11 ans en mai, à mener sa grossesse à terme, une campagne a été lancée par la branche locale d'Amnesty International, sous le mot-clé #NiñaEnPeligro.
L'Unicef souligne que ce cas est le premier depuis longtemps à susciter un débat public, dans un pays où la légalisation de l'avortement n'est encore qu'une revendication de personnalités politiques de gauche, de certains professionnels et de féministes.
«Une enfance sans protection, en danger permanent»
Pour cette experte de l'agence des Nations unies, derrière cette situation dramatique, il y a d'abord un problème de politique publique: le faible budget alloué à l'éducation au Paraguay, un facteur aggravant la vulnérabilité de ces jeunes filles. «Tandis que d'autres pays de la région consacrent 7 à 8% de leur budget à l'éducation, le Paraguay ne dépasse pas les 4%». Cela se traduit par «une enfance sans protection, en danger permanent», note Andrea Cid, ajoutant qu'en 2014, 650 fillettes de 10 à 14 ans ont accouché et 20.000 jeunes filles de 15 à 19 ans sont tombées enceintes.
Dernier scandale en date, celui, révélé fin avril, de la grossesse d'une fillette de 10 ans, violée par le compagnon de sa mère. Enceinte de 23 semaines, soit cinq mois, la petite fille est actuellement sous la surveillance de l'hôpital de la Croix-Rouge d'Asuncion où elle est examinée par des médecins, psychologues et psychiatres. Son beau-père, Gilberto Benitez Zarate, âgé de 42 ans, est, lui, toujours recherché par la police. Sa mère a été placée en détention, accusée de «négligence» et «d'obstruction à la justice» après avoir livré de fausses informations sur son compagnon.
Dans ce pays qui n'autorise l'avortement qu'en cas de danger pour la vie de la mère et uniquement jusqu'à la 20e semaine de grossesse, l'opinion semble divisée, entre partisans de la loi et ceux plaidant pour son assouplissement en cas de viol. Les autorités, elles, n'ont pas de doute et refusent tout avortement.
#NiñaEnPeligro
Pour empêcher que l'on contraigne la fillette, qui fêtera ses 11 ans en mai, à mener sa grossesse à terme, une campagne a été lancée par la branche locale d'Amnesty International, sous le mot-clé #NiñaEnPeligro.
L'Unicef souligne que ce cas est le premier depuis longtemps à susciter un débat public, dans un pays où la légalisation de l'avortement n'est encore qu'une revendication de personnalités politiques de gauche, de certains professionnels et de féministes.
«Une enfance sans protection, en danger permanent»
Pour cette experte de l'agence des Nations unies, derrière cette situation dramatique, il y a d'abord un problème de politique publique: le faible budget alloué à l'éducation au Paraguay, un facteur aggravant la vulnérabilité de ces jeunes filles. «Tandis que d'autres pays de la région consacrent 7 à 8% de leur budget à l'éducation, le Paraguay ne dépasse pas les 4%». Cela se traduit par «une enfance sans protection, en danger permanent», note Andrea Cid, ajoutant qu'en 2014, 650 fillettes de 10 à 14 ans ont accouché et 20.000 jeunes filles de 15 à 19 ans sont tombées enceintes.
Dernier scandale en date, celui, révélé fin avril, de la grossesse d'une fillette de 10 ans, violée par le compagnon de sa mère. Enceinte de 23 semaines, soit cinq mois, la petite fille est actuellement sous la surveillance de l'hôpital de la Croix-Rouge d'Asuncion où elle est examinée par des médecins, psychologues et psychiatres. Son beau-père, Gilberto Benitez Zarate, âgé de 42 ans, est, lui, toujours recherché par la police. Sa mère a été placée en détention, accusée de «négligence» et «d'obstruction à la justice» après avoir livré de fausses informations sur son compagnon.
Dans ce pays qui n'autorise l'avortement qu'en cas de danger pour la vie de la mère et uniquement jusqu'à la 20e semaine de grossesse, l'opinion semble divisée, entre partisans de la loi et ceux plaidant pour son assouplissement en cas de viol. Les autorités, elles, n'ont pas de doute et refusent tout avortement.
#NiñaEnPeligro
Pour empêcher que l'on contraigne la fillette, qui fêtera ses 11 ans en mai, à mener sa grossesse à terme, une campagne a été lancée par la branche locale d'Amnesty International, sous le mot-clé #NiñaEnPeligro.
L'Unicef souligne que ce cas est le premier depuis longtemps à susciter un débat public, dans un pays où la légalisation de l'avortement n'est encore qu'une revendication de personnalités politiques de gauche, de certains professionnels et de féministes.
«Une enfance sans protection, en danger permanent»
Pour cette experte de l'agence des Nations unies, derrière cette situation dramatique, il y a d'abord un problème de politique publique: le faible budget alloué à l'éducation au Paraguay, un facteur aggravant la vulnérabilité de ces jeunes filles. «Tandis que d'autres pays de la région consacrent 7 à 8% de leur budget à l'éducation, le Paraguay ne dépasse pas les 4%». Cela se traduit par «une enfance sans protection, en danger permanent», note Andrea Cid, ajoutant qu'en 2014, 650 fillettes de 10 à 14 ans ont accouché et 20.000 jeunes filles de 15 à 19 ans sont tombées enceintes.
Dernier scandale en date, celui, révélé fin avril, de la grossesse d'une fillette de 10 ans, violée par le compagnon de sa mère. Enceinte de 23 semaines, soit cinq mois, la petite fille est actuellement sous la surveillance de l'hôpital de la Croix-Rouge d'Asuncion où elle est examinée par des médecins, psychologues et psychiatres. Son beau-père, Gilberto Benitez Zarate, âgé de 42 ans, est, lui, toujours recherché par la police. Sa mère a été placée en détention, accusée de «négligence» et «d'obstruction à la justice» après avoir livré de fausses informations sur son compagnon.
Dans ce pays qui n'autorise l'avortement qu'en cas de danger pour la vie de la mère et uniquement jusqu'à la 20e semaine de grossesse, l'opinion semble divisée, entre partisans de la loi et ceux plaidant pour son assouplissement en cas de viol. Les autorités, elles, n'ont pas de doute et refusent tout avortement.
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Pour empêcher que l'on contraigne la fillette, qui fêtera ses 11 ans en mai, à mener sa grossesse à terme, une campagne a été lancée par la branche locale d'Amnesty International, sous le mot-clé #NiñaEnPeligro.
L'Unicef souligne que ce cas est le premier depuis longtemps à susciter un débat public, dans un pays où la légalisation de l'avortement n'est encore qu'une revendication de personnalités politiques de gauche, de certains professionnels et de féministes.
«Une enfance sans protection, en danger permanent»
Pour cette experte de l'agence des Nations unies, derrière cette situation dramatique, il y a d'abord un problème de politique publique: le faible budget alloué à l'éducation au Paraguay, un facteur aggravant la vulnérabilité de ces jeunes filles. «Tandis que d'autres pays de la région consacrent 7 à 8% de leur budget à l'éducation, le Paraguay ne dépasse pas les 4%». Cela se traduit par «une enfance sans protection, en danger permanent», note Andrea Cid, ajoutant qu'en 2014, 650 fillettes de 10 à 14 ans ont accouché et 20.000 jeunes filles de 15 à 19 ans sont tombées enceintes.
Dernier scandale en date, celui, révélé fin avril, de la grossesse d'une fillette de 10 ans, violée par le compagnon de sa mère. Enceinte de 23 semaines, soit cinq mois, la petite fille est actuellement sous la surveillance de l'hôpital de la Croix-Rouge d'Asuncion où elle est examinée par des médecins, psychologues et psychiatres. Son beau-père, Gilberto Benitez Zarate, âgé de 42 ans, est, lui, toujours recherché par la police. Sa mère a été placée en détention, accusée de «négligence» et «d'obstruction à la justice» après avoir livré de fausses informations sur son compagnon.
Dans ce pays qui n'autorise l'avortement qu'en cas de danger pour la vie de la mère et uniquement jusqu'à la 20e semaine de grossesse, l'opinion semble divisée, entre partisans de la loi et ceux plaidant pour son assouplissement en cas de viol. Les autorités, elles, n'ont pas de doute et refusent tout avortement.
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Pour empêcher que l'on contraigne la fillette, qui fêtera ses 11 ans en mai, à mener sa grossesse à terme, une campagne a été lancée par la branche locale d'Amnesty International, sous le mot-clé #NiñaEnPeligro.
L'Unicef souligne que ce cas est le premier depuis longtemps à susciter un débat public, dans un pays où la légalisation de l'avortement n'est encore qu'une revendication de personnalités politiques de gauche, de certains professionnels et de féministes.
«Une enfance sans protection, en danger permanent»
Pour cette experte de l'agence des Nations unies, derrière cette situation dramatique, il y a d'abord un problème de politique publique: le faible budget alloué à l'éducation au Paraguay, un facteur aggravant la vulnérabilité de ces jeunes filles. «Tandis que d'autres pays de la région consacrent 7 à 8% de leur budget à l'éducation, le Paraguay ne dépasse pas les 4%». Cela se traduit par «une enfance sans protection, en danger permanent», note Andrea Cid, ajoutant qu'en 2014, 650 fillettes de 10 à 14 ans ont accouché et 20.000 jeunes filles de 15 à 19 ans sont tombées enceintes.
Dernier scandale en date, celui, révélé fin avril, de la grossesse d'une fillette de 10 ans, violée par le compagnon de sa mère. Enceinte de 23 semaines, soit cinq mois, la petite fille est actuellement sous la surveillance de l'hôpital de la Croix-Rouge d'Asuncion où elle est examinée par des médecins, psychologues et psychiatres. Son beau-père, Gilberto Benitez Zarate, âgé de 42 ans, est, lui, toujours recherché par la police. Sa mère a été placée en détention, accusée de «négligence» et «d'obstruction à la justice» après avoir livré de fausses informations sur son compagnon.
Dans ce pays qui n'autorise l'avortement qu'en cas de danger pour la vie de la mère et uniquement jusqu'à la 20e semaine de grossesse, l'opinion semble divisée, entre partisans de la loi et ceux plaidant pour son assouplissement en cas de viol. Les autorités, elles, n'ont pas de doute et refusent tout avortement.
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Pour empêcher que l'on contraigne la fillette, qui fêtera ses 11 ans en mai, à mener sa grossesse à terme, une campagne a été lancée par la branche locale d'Amnesty International, sous le mot-clé #NiñaEnPeligro.
L'Unicef souligne que ce cas est le premier depuis longtemps à susciter un débat public, dans un pays où la légalisation de l'avortement n'est encore qu'une revendication de personnalités politiques de gauche, de certains professionnels et de féministes.