ETUDEAlzheimer: Un malade sur deux ne serait pas pris en charge

Alzheimer: Un malade sur deux ne serait pas pris en charge

ETUDEDans la Creuse, les Deux-Sèvres ou le Gers, seuls 15% des malades recevraient des soins adaptés...
20 Minutes avec agences

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Plus de 500.000 personnes souffrant d'Alzheimer ou d'une maladie apparentée sont diagnostiquées et prises en charge en France aujourd'hui, alors que la maladie toucherait au total plus d'un million de personnes âgées.

Selon ces chiffres tirés d'une étude publiée, ce mardi, par Cap Retraite [organisme qui conseille les familles cherchant une place en maison de retraite pour un proche âgé en perte d'autonomie], un malade d'Alzheimer sur deux ne serait donc pas diagnostiqué et serait, en conséquence, privé de prise en charge adaptée. Pire: alors que la France est à la peine face à cette démence, d'après les chercheurs de l'Inserm, le nombre de malades risque fort de doubler à l'horizon 2040 pour atteindre les deux millions.

Alzheimer: Les aidants pas vraiment aidés par le nouveau plan

Le Nord, les Bouches-du-Rhône et Paris, bons élèves

Toujours selon cette étude, ce sont les départements urbains du Nord, des Bouches-du-Rhône et de Paris qui diagnostiqueraient le mieux les personnes atteintes d'Alzheimer, avec plus de 30% des malades estimés effectivement pris en charge. En revanche, dans les zones rurales de la Creuse, des Deux-Sèvres ou du Gers, cette proportion serait de 15%.

De leurs côtés, la Lozère, le Vaucluse et les Pyrénées-Orientales sont les mieux fournis en équipes spécialisées à domicile, tandis que la Seine-Saint-Denis, l'Aisne et la Meurthe-et-Moselle proposent l'offre de services la moins adaptée. Ceci alors que depuis le plan Alzheimer 2008-2012, le dispositif de prise en charge s'est pourtant renforcé avec la mise en place de plus de 400 Centres de consultation mémoire et 252 Maisons pour l'autonomie et l'intégration des malades Alzheimer.

Alzheimer: Du vin rouge pour contrer la maladie ?

Créer 20 fois plus de places en Esad

Et alors que le gouvernement a annoncé son nouveau plan en novembre dernier, dans son étude, Cap Retraite souligne que si l'ensemble des malades estimés était diagnostiqué et pris en charge, il faudrait encore créer 20 fois plus de places en Esad [Equipes spécialisées Alzheimer à domicile, les accueils de jour dédiés et l'hébergement temporaire] pour atteindre près de 105.000 places [on compte actuellement 4,4 places en moyenne au sein de ces équipes pour 100 malades estimés], et multiplier par 10 à près de 150.000 le nombre de places en accueil de jour [7,3 places pour 100 malades estimés actuellement].

Au total, ce sont donc plus de 120.000 malades résidant à domicile qui ont donc pu être pris en charge, grâce aux services communs à l'ensemble des personnes âgées en perte d'autonomie, et aux dispositifs spécialisés [25.000 places réparties entre les Esad]. Mais, au final, cela ne représente que 20% des malades estimés résidant à domicile, les 80% restants n'ayant pas encore été suivis, faute de diagnostic.

Un manque cruel d'essentiels et bénéfiques Pôles d'activités

Enfin, sachant que pour les malades atteignant les stades modéré ou sévère, résidant en maisons de retraite médicalisées (Ehpad), les exercices proposés par les Pôles d'activité et de soins adaptés (Pasa) sont «essentiels» pour ralentir l'évolution de la maladie (relaxation, jeux stimulant la motricité, etc.), ces pôles devraient être obligatoirement proposés dans les établissements dédiés. Mais voilà, toujours selon l'étude, ils ne sont présents que dans un Ehpad sur six et il faudrait en créer plus de 6.000 pour les systématiser à tous les Ehpad [les départements les mieux pourvus sont le Vaucluse, les Alpes-de-Haute-Provence et le Loiret, tandis que ceux devant fournir le plus d'efforts sont Paris, l'Aude et le Val-d'Oise].

Alzheimer: Un premier «village Alzheimer» dans les Landes

Au stade sévère, les Ehpad proposent des places dédiées assurant une sécurité et une prise en charge renforcées. Là, les départements des Vosges, de Haute-Savoie et de Savoie font figure de bons élèves et sont donc les mieux équipés. Mais pour prendre en charge l'ensemble des malades estimés, l'étude annonce qu'il faudrait encore créer plus de 130.000 places dédiées en France.


Toujours selon cette étude, ce sont les départements urbains du Nord, des Bouches-du-Rhône et de Paris qui diagnostiqueraient le mieux les personnes atteintes d'Alzheimer, avec plus de 30% des malades estimés effectivement pris en charge. En revanche, dans les zones rurales de la Creuse, des Deux-Sèvres ou du Gers, cette proportion serait de 15%.

De leurs côtés, la Lozère, le Vaucluse et les Pyrénées-Orientales sont les mieux fournis en équipes spécialisées à domicile, tandis que la Seine-Saint-Denis, l'Aisne et la Meurthe-et-Moselle proposent l'offre de services la moins adaptée. Ceci alors que depuis le plan Alzheimer 2008-2012, le dispositif de prise en charge s'est pourtant renforcé avec la mise en place de plus de 400 Centres de consultation mémoire et 252 Maisons pour l'autonomie et l'intégration des malades Alzheimer.

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Créer 20 fois plus de places en Esad

Et alors que le gouvernement a annoncé son nouveau plan en novembre dernier, dans son étude, Cap Retraite souligne que si l'ensemble des malades estimés était diagnostiqué et pris en charge, il faudrait encore créer 20 fois plus de places en Esad [Equipes spécialisées Alzheimer à domicile, les accueils de jour dédiés et l'hébergement temporaire] pour atteindre près de 105.000 places [on compte actuellement 4,4 places en moyenne au sein de ces équipes pour 100 malades estimés], et multiplier par 10 à près de 150.000 le nombre de places en accueil de jour [7,3 places pour 100 malades estimés actuellement].

Au total, ce sont donc plus de 120.000 malades résidant à domicile qui ont donc pu être pris en charge, grâce aux services communs à l'ensemble des personnes âgées en perte d'autonomie, et aux dispositifs spécialisés [25.000 places réparties entre les Esad]. Mais, au final, cela ne représente que 20% des malades estimés résidant à domicile, les 80% restants n'ayant pas encore été suivis, faute de diagnostic.

Un manque cruel d'essentiels et bénéfiques Pôles d'activités

Enfin, sachant que pour les malades atteignant les stades modéré ou sévère, résidant en maisons de retraite médicalisées (Ehpad), les exercices proposés par les Pôles d'activité et de soins adaptés (Pasa) sont «essentiels» pour ralentir l'évolution de la maladie (relaxation, jeux stimulant la motricité, etc.), ces pôles devraient être obligatoirement proposés dans les établissements dédiés. Mais voilà, toujours selon l'étude, ils ne sont présents que dans un Ehpad sur six et il faudrait en créer plus de 6.000 pour les systématiser à tous les Ehpad [les départements les mieux pourvus sont le Vaucluse, les Alpes-de-Haute-Provence et le Loiret, tandis que ceux devant fournir le plus d'efforts sont Paris, l'Aude et le Val-d'Oise].

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Au stade sévère, les Ehpad proposent des places dédiées assurant une sécurité et une prise en charge renforcées. Là, les départements des Vosges, de Haute-Savoie et de Savoie font figure de bons élèves et sont donc les mieux équipés. Mais pour prendre en charge l'ensemble des malades estimés, l'étude annonce qu'il faudrait encore créer plus de 130.000 places dédiées en France.


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Toujours selon cette étude, ce sont les départements urbains du Nord, des Bouches-du-Rhône et de Paris qui diagnostiqueraient le mieux les personnes atteintes d'Alzheimer, avec plus de 30% des malades estimés effectivement pris en charge. En revanche, dans les zones rurales de la Creuse, des Deux-Sèvres ou du Gers, cette proportion serait de 15%.

De leurs côtés, la Lozère, le Vaucluse et les Pyrénées-Orientales sont les mieux fournis en équipes spécialisées à domicile, tandis que la Seine-Saint-Denis, l'Aisne et la Meurthe-et-Moselle proposent l'offre de services la moins adaptée. Ceci alors que depuis le plan Alzheimer 2008-2012, le dispositif de prise en charge s'est pourtant renforcé avec la mise en place de plus de 400 Centres de consultation mémoire et 252 Maisons pour l'autonomie et l'intégration des malades Alzheimer.

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Et alors que le gouvernement a annoncé son nouveau plan en novembre dernier, dans son étude, Cap Retraite souligne que si l'ensemble des malades estimés était diagnostiqué et pris en charge, il faudrait encore créer 20 fois plus de places en Esad [Equipes spécialisées Alzheimer à domicile, les accueils de jour dédiés et l'hébergement temporaire] pour atteindre près de 105.000 places [on compte actuellement 4,4 places en moyenne au sein de ces équipes pour 100 malades estimés], et multiplier par 10 à près de 150.000 le nombre de places en accueil de jour [7,3 places pour 100 malades estimés actuellement].

Au total, ce sont donc plus de 120.000 malades résidant à domicile qui ont donc pu être pris en charge, grâce aux services communs à l'ensemble des personnes âgées en perte d'autonomie, et aux dispositifs spécialisés [25.000 places réparties entre les Esad]. Mais, au final, cela ne représente que 20% des malades estimés résidant à domicile, les 80% restants n'ayant pas encore été suivis, faute de diagnostic.

Un manque cruel d'essentiels et bénéfiques Pôles d'activités

Enfin, sachant que pour les malades atteignant les stades modéré ou sévère, résidant en maisons de retraite médicalisées (Ehpad), les exercices proposés par les Pôles d'activité et de soins adaptés (Pasa) sont «essentiels» pour ralentir l'évolution de la maladie (relaxation, jeux stimulant la motricité, etc.), ces pôles devraient être obligatoirement proposés dans les établissements dédiés. Mais voilà, toujours selon l'étude, ils ne sont présents que dans un Ehpad sur six et il faudrait en créer plus de 6.000 pour les systématiser à tous les Ehpad [les départements les mieux pourvus sont le Vaucluse, les Alpes-de-Haute-Provence et le Loiret, tandis que ceux devant fournir le plus d'efforts sont Paris, l'Aude et le Val-d'Oise].

Alzheimer: Un premier «village Alzheimer» dans les Landes

Au stade sévère, les Ehpad proposent des places dédiées assurant une sécurité et une prise en charge renforcées. Là, les départements des Vosges, de Haute-Savoie et de Savoie font figure de bons élèves et sont donc les mieux équipés. Mais pour prendre en charge l'ensemble des malades estimés, l'étude annonce qu'il faudrait encore créer plus de 130.000 places dédiées en France.


Toujours selon cette étude, ce sont les départements urbains du Nord, des Bouches-du-Rhône et de Paris qui diagnostiqueraient le mieux les personnes atteintes d'Alzheimer, avec plus de 30% des malades estimés effectivement pris en charge. En revanche, dans les zones rurales de la Creuse, des Deux-Sèvres ou du Gers, cette proportion serait de 15%.

De leurs côtés, la Lozère, le Vaucluse et les Pyrénées-Orientales sont les mieux fournis en équipes spécialisées à domicile, tandis que la Seine-Saint-Denis, l'Aisne et la Meurthe-et-Moselle proposent l'offre de services la moins adaptée. Ceci alors que depuis le plan Alzheimer 2008-2012, le dispositif de prise en charge s'est pourtant renforcé avec la mise en place de plus de 400 Centres de consultation mémoire et 252 Maisons pour l'autonomie et l'intégration des malades Alzheimer.

Alzheimer: Du vin rouge pour contrer la maladie ?

Créer 20 fois plus de places en Esad

Et alors que le gouvernement a annoncé son nouveau plan en novembre dernier, dans son étude, Cap Retraite souligne que si l'ensemble des malades estimés était diagnostiqué et pris en charge, il faudrait encore créer 20 fois plus de places en Esad [Equipes spécialisées Alzheimer à domicile, les accueils de jour dédiés et l'hébergement temporaire] pour atteindre près de 105.000 places [on compte actuellement 4,4 places en moyenne au sein de ces équipes pour 100 malades estimés], et multiplier par 10 à près de 150.000 le nombre de places en accueil de jour [7,3 places pour 100 malades estimés actuellement].

Au total, ce sont donc plus de 120.000 malades résidant à domicile qui ont donc pu être pris en charge, grâce aux services communs à l'ensemble des personnes âgées en perte d'autonomie, et aux dispositifs spécialisés [25.000 places réparties entre les Esad]. Mais, au final, cela ne représente que 20% des malades estimés résidant à domicile, les 80% restants n'ayant pas encore été suivis, faute de diagnostic.

Un manque cruel d'essentiels et bénéfiques Pôles d'activités

Enfin, sachant que pour les malades atteignant les stades modéré ou sévère, résidant en maisons de retraite médicalisées (Ehpad), les exercices proposés par les Pôles d'activité et de soins adaptés (Pasa) sont «essentiels» pour ralentir l'évolution de la maladie (relaxation, jeux stimulant la motricité, etc.), ces pôles devraient être obligatoirement proposés dans les établissements dédiés. Mais voilà, toujours selon l'étude, ils ne sont présents que dans un Ehpad sur six et il faudrait en créer plus de 6.000 pour les systématiser à tous les Ehpad [les départements les mieux pourvus sont le Vaucluse, les Alpes-de-Haute-Provence et le Loiret, tandis que ceux devant fournir le plus d'efforts sont Paris, l'Aude et le Val-d'Oise].

Alzheimer: Un premier «village Alzheimer» dans les Landes

Au stade sévère, les Ehpad proposent des places dédiées assurant une sécurité et une prise en charge renforcées. Là, les départements des Vosges, de Haute-Savoie et de Savoie font figure de bons élèves et sont donc les mieux équipés. Mais pour prendre en charge l'ensemble des malades estimés, l'étude annonce qu'il faudrait encore créer plus de 130.000 places dédiées en France.

le gouvernement a annoncé son nouveau plan en novembre dernier

Toujours selon cette étude, ce sont les départements urbains du Nord, des Bouches-du-Rhône et de Paris qui diagnostiqueraient le mieux les personnes atteintes d'Alzheimer, avec plus de 30% des malades estimés effectivement pris en charge. En revanche, dans les zones rurales de la Creuse, des Deux-Sèvres ou du Gers, cette proportion serait de 15%.

De leurs côtés, la Lozère, le Vaucluse et les Pyrénées-Orientales sont les mieux fournis en équipes spécialisées à domicile, tandis que la Seine-Saint-Denis, l'Aisne et la Meurthe-et-Moselle proposent l'offre de services la moins adaptée. Ceci alors que depuis le plan Alzheimer 2008-2012, le dispositif de prise en charge s'est pourtant renforcé avec la mise en place de plus de 400 Centres de consultation mémoire et 252 Maisons pour l'autonomie et l'intégration des malades Alzheimer.

Alzheimer: Du vin rouge pour contrer la maladie ?

Créer 20 fois plus de places en Esad

Et alors que le gouvernement a annoncé son nouveau plan en novembre dernier, dans son étude, Cap Retraite souligne que si l'ensemble des malades estimés était diagnostiqué et pris en charge, il faudrait encore créer 20 fois plus de places en Esad [Equipes spécialisées Alzheimer à domicile, les accueils de jour dédiés et l'hébergement temporaire] pour atteindre près de 105.000 places [on compte actuellement 4,4 places en moyenne au sein de ces équipes pour 100 malades estimés], et multiplier par 10 à près de 150.000 le nombre de places en accueil de jour [7,3 places pour 100 malades estimés actuellement].

Au total, ce sont donc plus de 120.000 malades résidant à domicile qui ont donc pu être pris en charge, grâce aux services communs à l'ensemble des personnes âgées en perte d'autonomie, et aux dispositifs spécialisés [25.000 places réparties entre les Esad]. Mais, au final, cela ne représente que 20% des malades estimés résidant à domicile, les 80% restants n'ayant pas encore été suivis, faute de diagnostic.

Un manque cruel d'essentiels et bénéfiques Pôles d'activités

Enfin, sachant que pour les malades atteignant les stades modéré ou sévère, résidant en maisons de retraite médicalisées (Ehpad), les exercices proposés par les Pôles d'activité et de soins adaptés (Pasa) sont «essentiels» pour ralentir l'évolution de la maladie (relaxation, jeux stimulant la motricité, etc.), ces pôles devraient être obligatoirement proposés dans les établissements dédiés. Mais voilà, toujours selon l'étude, ils ne sont présents que dans un Ehpad sur six et il faudrait en créer plus de 6.000 pour les systématiser à tous les Ehpad [les départements les mieux pourvus sont le Vaucluse, les Alpes-de-Haute-Provence et le Loiret, tandis que ceux devant fournir le plus d'efforts sont Paris, l'Aude et le Val-d'Oise].

Alzheimer: Un premier «village Alzheimer» dans les Landes

Au stade sévère, les Ehpad proposent des places dédiées assurant une sécurité et une prise en charge renforcées. Là, les départements des Vosges, de Haute-Savoie et de Savoie font figure de bons élèves et sont donc les mieux équipés. Mais pour prendre en charge l'ensemble des malades estimés, l'étude annonce qu'il faudrait encore créer plus de 130.000 places dédiées en France.


Toujours selon cette étude, ce sont les départements urbains du Nord, des Bouches-du-Rhône et de Paris qui diagnostiqueraient le mieux les personnes atteintes d'Alzheimer, avec plus de 30% des malades estimés effectivement pris en charge. En revanche, dans les zones rurales de la Creuse, des Deux-Sèvres ou du Gers, cette proportion serait de 15%.

De leurs côtés, la Lozère, le Vaucluse et les Pyrénées-Orientales sont les mieux fournis en équipes spécialisées à domicile, tandis que la Seine-Saint-Denis, l'Aisne et la Meurthe-et-Moselle proposent l'offre de services la moins adaptée. Ceci alors que depuis le plan Alzheimer 2008-2012, le dispositif de prise en charge s'est pourtant renforcé avec la mise en place de plus de 400 Centres de consultation mémoire et 252 Maisons pour l'autonomie et l'intégration des malades Alzheimer.

Alzheimer: Du vin rouge pour contrer la maladie ?

Créer 20 fois plus de places en Esad

Et alors que le gouvernement a annoncé son nouveau plan en novembre dernier, dans son étude, Cap Retraite souligne que si l'ensemble des malades estimés était diagnostiqué et pris en charge, il faudrait encore créer 20 fois plus de places en Esad [Equipes spécialisées Alzheimer à domicile, les accueils de jour dédiés et l'hébergement temporaire] pour atteindre près de 105.000 places [on compte actuellement 4,4 places en moyenne au sein de ces équipes pour 100 malades estimés], et multiplier par 10 à près de 150.000 le nombre de places en accueil de jour [7,3 places pour 100 malades estimés actuellement].

Au total, ce sont donc plus de 120.000 malades résidant à domicile qui ont donc pu être pris en charge, grâce aux services communs à l'ensemble des personnes âgées en perte d'autonomie, et aux dispositifs spécialisés [25.000 places réparties entre les Esad]. Mais, au final, cela ne représente que 20% des malades estimés résidant à domicile, les 80% restants n'ayant pas encore été suivis, faute de diagnostic.

Un manque cruel d'essentiels et bénéfiques Pôles d'activités

Enfin, sachant que pour les malades atteignant les stades modéré ou sévère, résidant en maisons de retraite médicalisées (Ehpad), les exercices proposés par les Pôles d'activité et de soins adaptés (Pasa) sont «essentiels» pour ralentir l'évolution de la maladie (relaxation, jeux stimulant la motricité, etc.), ces pôles devraient être obligatoirement proposés dans les établissements dédiés. Mais voilà, toujours selon l'étude, ils ne sont présents que dans un Ehpad sur six et il faudrait en créer plus de 6.000 pour les systématiser à tous les Ehpad [les départements les mieux pourvus sont le Vaucluse, les Alpes-de-Haute-Provence et le Loiret, tandis que ceux devant fournir le plus d'efforts sont Paris, l'Aude et le Val-d'Oise].

Alzheimer: Un premier «village Alzheimer» dans les Landes

Au stade sévère, les Ehpad proposent des places dédiées assurant une sécurité et une prise en charge renforcées. Là, les départements des Vosges, de Haute-Savoie et de Savoie font figure de bons élèves et sont donc les mieux équipés. Mais pour prendre en charge l'ensemble des malades estimés, l'étude annonce qu'il faudrait encore créer plus de 130.000 places dédiées en France.

les 80% restants n'ayant pas encore été suivis, faute de diagnostic

Toujours selon cette étude, ce sont les départements urbains du Nord, des Bouches-du-Rhône et de Paris qui diagnostiqueraient le mieux les personnes atteintes d'Alzheimer, avec plus de 30% des malades estimés effectivement pris en charge. En revanche, dans les zones rurales de la Creuse, des Deux-Sèvres ou du Gers, cette proportion serait de 15%.

De leurs côtés, la Lozère, le Vaucluse et les Pyrénées-Orientales sont les mieux fournis en équipes spécialisées à domicile, tandis que la Seine-Saint-Denis, l'Aisne et la Meurthe-et-Moselle proposent l'offre de services la moins adaptée. Ceci alors que depuis le plan Alzheimer 2008-2012, le dispositif de prise en charge s'est pourtant renforcé avec la mise en place de plus de 400 Centres de consultation mémoire et 252 Maisons pour l'autonomie et l'intégration des malades Alzheimer.

Alzheimer: Du vin rouge pour contrer la maladie ?

Créer 20 fois plus de places en Esad

Et alors que le gouvernement a annoncé son nouveau plan en novembre dernier, dans son étude, Cap Retraite souligne que si l'ensemble des malades estimés était diagnostiqué et pris en charge, il faudrait encore créer 20 fois plus de places en Esad [Equipes spécialisées Alzheimer à domicile, les accueils de jour dédiés et l'hébergement temporaire] pour atteindre près de 105.000 places [on compte actuellement 4,4 places en moyenne au sein de ces équipes pour 100 malades estimés], et multiplier par 10 à près de 150.000 le nombre de places en accueil de jour [7,3 places pour 100 malades estimés actuellement].

Au total, ce sont donc plus de 120.000 malades résidant à domicile qui ont donc pu être pris en charge, grâce aux services communs à l'ensemble des personnes âgées en perte d'autonomie, et aux dispositifs spécialisés [25.000 places réparties entre les Esad]. Mais, au final, cela ne représente que 20% des malades estimés résidant à domicile, les 80% restants n'ayant pas encore été suivis, faute de diagnostic.

Un manque cruel d'essentiels et bénéfiques Pôles d'activités

Enfin, sachant que pour les malades atteignant les stades modéré ou sévère, résidant en maisons de retraite médicalisées (Ehpad), les exercices proposés par les Pôles d'activité et de soins adaptés (Pasa) sont «essentiels» pour ralentir l'évolution de la maladie (relaxation, jeux stimulant la motricité, etc.), ces pôles devraient être obligatoirement proposés dans les établissements dédiés. Mais voilà, toujours selon l'étude, ils ne sont présents que dans un Ehpad sur six et il faudrait en créer plus de 6.000 pour les systématiser à tous les Ehpad [les départements les mieux pourvus sont le Vaucluse, les Alpes-de-Haute-Provence et le Loiret, tandis que ceux devant fournir le plus d'efforts sont Paris, l'Aude et le Val-d'Oise].

Alzheimer: Un premier «village Alzheimer» dans les Landes

Au stade sévère, les Ehpad proposent des places dédiées assurant une sécurité et une prise en charge renforcées. Là, les départements des Vosges, de Haute-Savoie et de Savoie font figure de bons élèves et sont donc les mieux équipés. Mais pour prendre en charge l'ensemble des malades estimés, l'étude annonce qu'il faudrait encore créer plus de 130.000 places dédiées en France.


Toujours selon cette étude, ce sont les départements urbains du Nord, des Bouches-du-Rhône et de Paris qui diagnostiqueraient le mieux les personnes atteintes d'Alzheimer, avec plus de 30% des malades estimés effectivement pris en charge. En revanche, dans les zones rurales de la Creuse, des Deux-Sèvres ou du Gers, cette proportion serait de 15%.

De leurs côtés, la Lozère, le Vaucluse et les Pyrénées-Orientales sont les mieux fournis en équipes spécialisées à domicile, tandis que la Seine-Saint-Denis, l'Aisne et la Meurthe-et-Moselle proposent l'offre de services la moins adaptée. Ceci alors que depuis le plan Alzheimer 2008-2012, le dispositif de prise en charge s'est pourtant renforcé avec la mise en place de plus de 400 Centres de consultation mémoire et 252 Maisons pour l'autonomie et l'intégration des malades Alzheimer.

Alzheimer: Du vin rouge pour contrer la maladie ?

Créer 20 fois plus de places en Esad

Et alors que le gouvernement a annoncé son nouveau plan en novembre dernier, dans son étude, Cap Retraite souligne que si l'ensemble des malades estimés était diagnostiqué et pris en charge, il faudrait encore créer 20 fois plus de places en Esad [Equipes spécialisées Alzheimer à domicile, les accueils de jour dédiés et l'hébergement temporaire] pour atteindre près de 105.000 places [on compte actuellement 4,4 places en moyenne au sein de ces équipes pour 100 malades estimés], et multiplier par 10 à près de 150.000 le nombre de places en accueil de jour [7,3 places pour 100 malades estimés actuellement].

Au total, ce sont donc plus de 120.000 malades résidant à domicile qui ont donc pu être pris en charge, grâce aux services communs à l'ensemble des personnes âgées en perte d'autonomie, et aux dispositifs spécialisés [25.000 places réparties entre les Esad]. Mais, au final, cela ne représente que 20% des malades estimés résidant à domicile, les 80% restants n'ayant pas encore été suivis, faute de diagnostic.

Un manque cruel d'essentiels et bénéfiques Pôles d'activités

Enfin, sachant que pour les malades atteignant les stades modéré ou sévère, résidant en maisons de retraite médicalisées (Ehpad), les exercices proposés par les Pôles d'activité et de soins adaptés (Pasa) sont «essentiels» pour ralentir l'évolution de la maladie (relaxation, jeux stimulant la motricité, etc.), ces pôles devraient être obligatoirement proposés dans les établissements dédiés. Mais voilà, toujours selon l'étude, ils ne sont présents que dans un Ehpad sur six et il faudrait en créer plus de 6.000 pour les systématiser à tous les Ehpad [les départements les mieux pourvus sont le Vaucluse, les Alpes-de-Haute-Provence et le Loiret, tandis que ceux devant fournir le plus d'efforts sont Paris, l'Aude et le Val-d'Oise].

Alzheimer: Un premier «village Alzheimer» dans les Landes

Au stade sévère, les Ehpad proposent des places dédiées assurant une sécurité et une prise en charge renforcées. Là, les départements des Vosges, de Haute-Savoie et de Savoie font figure de bons élèves et sont donc les mieux équipés. Mais pour prendre en charge l'ensemble des malades estimés, l'étude annonce qu'il faudrait encore créer plus de 130.000 places dédiées en France.


Toujours selon cette étude, ce sont les départements urbains du Nord, des Bouches-du-Rhône et de Paris qui diagnostiqueraient le mieux les personnes atteintes d'Alzheimer, avec plus de 30% des malades estimés effectivement pris en charge. En revanche, dans les zones rurales de la Creuse, des Deux-Sèvres ou du Gers, cette proportion serait de 15%.

De leurs côtés, la Lozère, le Vaucluse et les Pyrénées-Orientales sont les mieux fournis en équipes spécialisées à domicile, tandis que la Seine-Saint-Denis, l'Aisne et la Meurthe-et-Moselle proposent l'offre de services la moins adaptée. Ceci alors que depuis le plan Alzheimer 2008-2012, le dispositif de prise en charge s'est pourtant renforcé avec la mise en place de plus de 400 Centres de consultation mémoire et 252 Maisons pour l'autonomie et l'intégration des malades Alzheimer.

Alzheimer: Du vin rouge pour contrer la maladie ?

Créer 20 fois plus de places en Esad

Et alors que le gouvernement a annoncé son nouveau plan en novembre dernier, dans son étude, Cap Retraite souligne que si l'ensemble des malades estimés était diagnostiqué et pris en charge, il faudrait encore créer 20 fois plus de places en Esad [Equipes spécialisées Alzheimer à domicile, les accueils de jour dédiés et l'hébergement temporaire] pour atteindre près de 105.000 places [on compte actuellement 4,4 places en moyenne au sein de ces équipes pour 100 malades estimés], et multiplier par 10 à près de 150.000 le nombre de places en accueil de jour [7,3 places pour 100 malades estimés actuellement].

Au total, ce sont donc plus de 120.000 malades résidant à domicile qui ont donc pu être pris en charge, grâce aux services communs à l'ensemble des personnes âgées en perte d'autonomie, et aux dispositifs spécialisés [25.000 places réparties entre les Esad]. Mais, au final, cela ne représente que 20% des malades estimés résidant à domicile, les 80% restants n'ayant pas encore été suivis, faute de diagnostic.

Un manque cruel d'essentiels et bénéfiques Pôles d'activités

Enfin, sachant que pour les malades atteignant les stades modéré ou sévère, résidant en maisons de retraite médicalisées (Ehpad), les exercices proposés par les Pôles d'activité et de soins adaptés (Pasa) sont «essentiels» pour ralentir l'évolution de la maladie (relaxation, jeux stimulant la motricité, etc.), ces pôles devraient être obligatoirement proposés dans les établissements dédiés. Mais voilà, toujours selon l'étude, ils ne sont présents que dans un Ehpad sur six et il faudrait en créer plus de 6.000 pour les systématiser à tous les Ehpad [les départements les mieux pourvus sont le Vaucluse, les Alpes-de-Haute-Provence et le Loiret, tandis que ceux devant fournir le plus d'efforts sont Paris, l'Aude et le Val-d'Oise].

Alzheimer: Un premier «village Alzheimer» dans les Landes

Au stade sévère, les Ehpad proposent des places dédiées assurant une sécurité et une prise en charge renforcées. Là, les départements des Vosges, de Haute-Savoie et de Savoie font figure de bons élèves et sont donc les mieux équipés. Mais pour prendre en charge l'ensemble des malades estimés, l'étude annonce qu'il faudrait encore créer plus de 130.000 places dédiées en France.


Alzheimer: Un premier «village Alzheimer» dans les Landes

Toujours selon cette étude, ce sont les départements urbains du Nord, des Bouches-du-Rhône et de Paris qui diagnostiqueraient le mieux les personnes atteintes d'Alzheimer, avec plus de 30% des malades estimés effectivement pris en charge. En revanche, dans les zones rurales de la Creuse, des Deux-Sèvres ou du Gers, cette proportion serait de 15%.

De leurs côtés, la Lozère, le Vaucluse et les Pyrénées-Orientales sont les mieux fournis en équipes spécialisées à domicile, tandis que la Seine-Saint-Denis, l'Aisne et la Meurthe-et-Moselle proposent l'offre de services la moins adaptée. Ceci alors que depuis le plan Alzheimer 2008-2012, le dispositif de prise en charge s'est pourtant renforcé avec la mise en place de plus de 400 Centres de consultation mémoire et 252 Maisons pour l'autonomie et l'intégration des malades Alzheimer.

Alzheimer: Du vin rouge pour contrer la maladie ?

Créer 20 fois plus de places en Esad

Et alors que le gouvernement a annoncé son nouveau plan en novembre dernier, dans son étude, Cap Retraite souligne que si l'ensemble des malades estimés était diagnostiqué et pris en charge, il faudrait encore créer 20 fois plus de places en Esad [Equipes spécialisées Alzheimer à domicile, les accueils de jour dédiés et l'hébergement temporaire] pour atteindre près de 105.000 places [on compte actuellement 4,4 places en moyenne au sein de ces équipes pour 100 malades estimés], et multiplier par 10 à près de 150.000 le nombre de places en accueil de jour [7,3 places pour 100 malades estimés actuellement].

Au total, ce sont donc plus de 120.000 malades résidant à domicile qui ont donc pu être pris en charge, grâce aux services communs à l'ensemble des personnes âgées en perte d'autonomie, et aux dispositifs spécialisés [25.000 places réparties entre les Esad]. Mais, au final, cela ne représente que 20% des malades estimés résidant à domicile, les 80% restants n'ayant pas encore été suivis, faute de diagnostic.

Un manque cruel d'essentiels et bénéfiques Pôles d'activités

Enfin, sachant que pour les malades atteignant les stades modéré ou sévère, résidant en maisons de retraite médicalisées (Ehpad), les exercices proposés par les Pôles d'activité et de soins adaptés (Pasa) sont «essentiels» pour ralentir l'évolution de la maladie (relaxation, jeux stimulant la motricité, etc.), ces pôles devraient être obligatoirement proposés dans les établissements dédiés. Mais voilà, toujours selon l'étude, ils ne sont présents que dans un Ehpad sur six et il faudrait en créer plus de 6.000 pour les systématiser à tous les Ehpad [les départements les mieux pourvus sont le Vaucluse, les Alpes-de-Haute-Provence et le Loiret, tandis que ceux devant fournir le plus d'efforts sont Paris, l'Aude et le Val-d'Oise].

Alzheimer: Un premier «village Alzheimer» dans les Landes

Au stade sévère, les Ehpad proposent des places dédiées assurant une sécurité et une prise en charge renforcées. Là, les départements des Vosges, de Haute-Savoie et de Savoie font figure de bons élèves et sont donc les mieux équipés. Mais pour prendre en charge l'ensemble des malades estimés, l'étude annonce qu'il faudrait encore créer plus de 130.000 places dédiées en France.