Sida: Les diagnostics se font à un stade plus précoce en France
ETUDE•La Guyane, la Guadeloupe, la Martinique et l'Île-de-France affichent les plus forts taux en matière de nouvelles contaminations...20 Minutes avec agences
La France est l'un des pays européens où se pratiquent le plus les tests de dépistage du virus du sida, le VIH. Malgré tout, un nombre encore important de personnes (entre 30.000 et 50.000, selon les sources) continuent d'ignorer leur séropositivité.
Reste que les «efforts en matière de dépistage ont produit des résultats tangibles depuis 2012, avec davantage de diagnostics précoces de contamination par le virus du sida», se félicite Françoise Cazein, principale signataire d'un récent rapport sur la question publié mardi par l'Institut de veille sanitaire (INVS).
29% des diagnostics réalisés moins de six mois après la contamination
Ainsi, seulement 11% des personnes ayant découvert leur séropositivité en 2013 étaient au «stade sida» de la maladie, à savoir celui où les symptômes du sida commencent à se manifester, contre 20% en 2003.
Cette tendance à un dépistage plus précoce concerne avant tout la population homosexuelle, relèvent les épidémiologistes de l'INVS, qui estiment que 29% des diagnostics ont été réalisés moins de six mois après la contamination en 2013. Des diagnostics précoces qui représentent donc, toujours selon ce rapport diffusé dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH), 39% des découvertes de séropositivité en 2013.
Un dépistage plus ciblé
Cette plus grande précocité ne s'explique pas par la multiplication des tests de dépistage (chiffre stable avec 5,2 millions de tests réalisés par an) mais «pourrait être la conséquence d'un dépistage plus ciblé», avance l'INVS. Les populations à risque de contamination semblent être plus régulièrement testées, alors que l'utilisation par les associations caritatives de tests rapides (les «Trod» qui permettent de donner une première réponse sur la séropositivité en 30 minutes) s'est généralisée.
Le rapport note globalement que «le nombre de découvertes de séropositivités est stable depuis 2007» avec 6.220 personnes découvrant, en 2013, leur séropositivité (6.217 en 2012, et 6.085 en 2011). De nouvelles contaminations qui concernent à 69% des hommes et sont consécutives pour 55% à des rapports hétérosexuels.
Sida: des autotests rapides disponibles en France en juillet 2015
A noter également que d'un point de vue régional, la Guyane (908 contaminations en 2013) la Guadeloupe (239), la Martinique (225) et l'Île-de-France (221) affichent les plus forts taux en matière de nouvelles contaminations.
Cette tendance à un dépistage plus précoce concerne avant tout la population homosexuelle, relèvent les épidémiologistes de l'INVS, qui estiment que 29% des diagnostics ont été réalisés moins de six mois après la contamination en 2013. Des diagnostics précoces qui représentent donc, toujours selon ce rapport diffusé dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH), 39% des découvertes de séropositivité en 2013.
Un dépistage plus ciblé
Cette plus grande précocité ne s'explique pas par la multiplication des tests de dépistage (chiffre stable avec 5,2 millions de tests réalisés par an) mais «pourrait être la conséquence d'un dépistage plus ciblé», avance l'INVS. Les populations à risque de contamination semblent être plus régulièrement testées, alors que l'utilisation par les associations caritatives de tests rapides (les «Trod» qui permettent de donner une première réponse sur la séropositivité en 30 minutes) s'est généralisée.
Le rapport note globalement que «le nombre de découvertes de séropositivités est stable depuis 2007» avec 6.220 personnes découvrant, en 2013, leur séropositivité (6.217 en 2012, et 6.085 en 2011). De nouvelles contaminations qui concernent à 69% des hommes et sont consécutives pour 55% à des rapports hétérosexuels.
Sida: des autotests rapides disponibles en France en juillet 2015
A noter également que d'un point de vue régional, la Guyane (908 contaminations en 2013) la Guadeloupe (239), la Martinique (225) et l'Île-de-France (221) affichent les plus forts taux en matière de nouvelles contaminations.
Cette tendance à un dépistage plus précoce concerne avant tout la population homosexuelle, relèvent les épidémiologistes de l'INVS, qui estiment que 29% des diagnostics ont été réalisés moins de six mois après la contamination en 2013. Des diagnostics précoces qui représentent donc, toujours selon ce rapport diffusé dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH), 39% des découvertes de séropositivité en 2013.
Un dépistage plus ciblé
Cette plus grande précocité ne s'explique pas par la multiplication des tests de dépistage (chiffre stable avec 5,2 millions de tests réalisés par an) mais «pourrait être la conséquence d'un dépistage plus ciblé», avance l'INVS. Les populations à risque de contamination semblent être plus régulièrement testées, alors que l'utilisation par les associations caritatives de tests rapides (les «Trod» qui permettent de donner une première réponse sur la séropositivité en 30 minutes) s'est généralisée.
Le rapport note globalement que «le nombre de découvertes de séropositivités est stable depuis 2007» avec 6.220 personnes découvrant, en 2013, leur séropositivité (6.217 en 2012, et 6.085 en 2011). De nouvelles contaminations qui concernent à 69% des hommes et sont consécutives pour 55% à des rapports hétérosexuels.
Sida: des autotests rapides disponibles en France en juillet 2015
A noter également que d'un point de vue régional, la Guyane (908 contaminations en 2013) la Guadeloupe (239), la Martinique (225) et l'Île-de-France (221) affichent les plus forts taux en matière de nouvelles contaminations.
Cette tendance à un dépistage plus précoce concerne avant tout la population homosexuelle, relèvent les épidémiologistes de l'INVS, qui estiment que 29% des diagnostics ont été réalisés moins de six mois après la contamination en 2013. Des diagnostics précoces qui représentent donc, toujours selon ce rapport diffusé dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH), 39% des découvertes de séropositivité en 2013.
Un dépistage plus ciblé
Cette plus grande précocité ne s'explique pas par la multiplication des tests de dépistage (chiffre stable avec 5,2 millions de tests réalisés par an) mais «pourrait être la conséquence d'un dépistage plus ciblé», avance l'INVS. Les populations à risque de contamination semblent être plus régulièrement testées, alors que l'utilisation par les associations caritatives de tests rapides (les «Trod» qui permettent de donner une première réponse sur la séropositivité en 30 minutes) s'est généralisée.
Le rapport note globalement que «le nombre de découvertes de séropositivités est stable depuis 2007» avec 6.220 personnes découvrant, en 2013, leur séropositivité (6.217 en 2012, et 6.085 en 2011). De nouvelles contaminations qui concernent à 69% des hommes et sont consécutives pour 55% à des rapports hétérosexuels.
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A noter également que d'un point de vue régional, la Guyane (908 contaminations en 2013) la Guadeloupe (239), la Martinique (225) et l'Île-de-France (221) affichent les plus forts taux en matière de nouvelles contaminations.
Cette tendance à un dépistage plus précoce concerne avant tout la population homosexuelle, relèvent les épidémiologistes de l'INVS, qui estiment que 29% des diagnostics ont été réalisés moins de six mois après la contamination en 2013. Des diagnostics précoces qui représentent donc, toujours selon ce rapport diffusé dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH), 39% des découvertes de séropositivité en 2013.
Un dépistage plus ciblé
Cette plus grande précocité ne s'explique pas par la multiplication des tests de dépistage (chiffre stable avec 5,2 millions de tests réalisés par an) mais «pourrait être la conséquence d'un dépistage plus ciblé», avance l'INVS. Les populations à risque de contamination semblent être plus régulièrement testées, alors que l'utilisation par les associations caritatives de tests rapides (les «Trod» qui permettent de donner une première réponse sur la séropositivité en 30 minutes) s'est généralisée.
Le rapport note globalement que «le nombre de découvertes de séropositivités est stable depuis 2007» avec 6.220 personnes découvrant, en 2013, leur séropositivité (6.217 en 2012, et 6.085 en 2011). De nouvelles contaminations qui concernent à 69% des hommes et sont consécutives pour 55% à des rapports hétérosexuels.
Sida: des autotests rapides disponibles en France en juillet 2015
A noter également que d'un point de vue régional, la Guyane (908 contaminations en 2013) la Guadeloupe (239), la Martinique (225) et l'Île-de-France (221) affichent les plus forts taux en matière de nouvelles contaminations.
Sida: des autotests rapides disponibles en France en juillet 2015
Cette tendance à un dépistage plus précoce concerne avant tout la population homosexuelle, relèvent les épidémiologistes de l'INVS, qui estiment que 29% des diagnostics ont été réalisés moins de six mois après la contamination en 2013. Des diagnostics précoces qui représentent donc, toujours selon ce rapport diffusé dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH), 39% des découvertes de séropositivité en 2013.
Un dépistage plus ciblé
Cette plus grande précocité ne s'explique pas par la multiplication des tests de dépistage (chiffre stable avec 5,2 millions de tests réalisés par an) mais «pourrait être la conséquence d'un dépistage plus ciblé», avance l'INVS. Les populations à risque de contamination semblent être plus régulièrement testées, alors que l'utilisation par les associations caritatives de tests rapides (les «Trod» qui permettent de donner une première réponse sur la séropositivité en 30 minutes) s'est généralisée.
Le rapport note globalement que «le nombre de découvertes de séropositivités est stable depuis 2007» avec 6.220 personnes découvrant, en 2013, leur séropositivité (6.217 en 2012, et 6.085 en 2011). De nouvelles contaminations qui concernent à 69% des hommes et sont consécutives pour 55% à des rapports hétérosexuels.
Sida: des autotests rapides disponibles en France en juillet 2015
A noter également que d'un point de vue régional, la Guyane (908 contaminations en 2013) la Guadeloupe (239), la Martinique (225) et l'Île-de-France (221) affichent les plus forts taux en matière de nouvelles contaminations.