TABACUne nouvelle molécule efficace pour arrêter de fumer

Une nouvelle molécule efficace pour arrêter de fumer

TABACLa varénicline combattrait l'accoutumance à la nicotine en agissant sur certains récepteurs dans le cerveau...
20 Minutes avec agences

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Une recherche clinique, dont les résultats ont été publiés dans le Journal of the American Medical Association (JAMA), vient de démontrer l'efficacité de la varénicline pour aider des fumeurs à renoncer progressivement à la cigarette.

Financés par le laboratoire pharmaceutique américain Pfizer, qui commercialise cette molécule dans ses médicaments Champix (aussi appelés Chantix aux Etats-Unis), les chercheurs de la Mayo Clinic (une institution à but non lucratif) se sont penchés sur l'addiction de quelque 1.500 fumeurs habitants dix pays et qui avaient indiqué ne pas être prêts à renoncer du jour au lendemain à la cigarette.

Un soutien pour réduire sa consommation

Journal of the American Medical Association

Une recherche clinique, dont les résultats ont été publiés dans le Journal of the American Medical Association (JAMA), vient de démontrer l'efficacité de la varénicline pour aider des fumeurs à renoncer progressivement à la cigarette.

Financés par le laboratoire pharmaceutique américain Pfizer, qui commercialise cette molécule dans ses médicaments Champix (aussi appelés Chantix aux Etats-Unis), les chercheurs de la Mayo Clinic (une institution à but non lucratif) se sont penchés sur l'addiction de quelque 1.500 fumeurs habitants dix pays et qui avaient indiqué ne pas être prêts à renoncer du jour au lendemain à la cigarette.

Un soutien pour réduire sa consommation

aider des fumeurs à renoncer progressivement à la cigarette

Une recherche clinique, dont les résultats ont été publiés dans le Journal of the American Medical Association (JAMA), vient de démontrer l'efficacité de la varénicline pour aider des fumeurs à renoncer progressivement à la cigarette.

Financés par le laboratoire pharmaceutique américain Pfizer, qui commercialise cette molécule dans ses médicaments Champix (aussi appelés Chantix aux Etats-Unis), les chercheurs de la Mayo Clinic (une institution à but non lucratif) se sont penchés sur l'addiction de quelque 1.500 fumeurs habitants dix pays et qui avaient indiqué ne pas être prêts à renoncer du jour au lendemain à la cigarette.

Un soutien pour réduire sa consommation


Une recherche clinique, dont les résultats ont été publiés dans le Journal of the American Medical Association (JAMA), vient de démontrer l'efficacité de la varénicline pour aider des fumeurs à renoncer progressivement à la cigarette.

Financés par le laboratoire pharmaceutique américain Pfizer, qui commercialise cette molécule dans ses médicaments Champix (aussi appelés Chantix aux Etats-Unis), les chercheurs de la Mayo Clinic (une institution à but non lucratif) se sont penchés sur l'addiction de quelque 1.500 fumeurs habitants dix pays et qui avaient indiqué ne pas être prêts à renoncer du jour au lendemain à la cigarette.

Un soutien pour réduire sa consommation

le laboratoire pharmaceutique américain Pfizer

Une recherche clinique, dont les résultats ont été publiés dans le Journal of the American Medical Association (JAMA), vient de démontrer l'efficacité de la varénicline pour aider des fumeurs à renoncer progressivement à la cigarette.

Financés par le laboratoire pharmaceutique américain Pfizer, qui commercialise cette molécule dans ses médicaments Champix (aussi appelés Chantix aux Etats-Unis), les chercheurs de la Mayo Clinic (une institution à but non lucratif) se sont penchés sur l'addiction de quelque 1.500 fumeurs habitants dix pays et qui avaient indiqué ne pas être prêts à renoncer du jour au lendemain à la cigarette.

Un soutien pour réduire sa consommation


Une recherche clinique, dont les résultats ont été publiés dans le Journal of the American Medical Association (JAMA), vient de démontrer l'efficacité de la varénicline pour aider des fumeurs à renoncer progressivement à la cigarette.

Financés par le laboratoire pharmaceutique américain Pfizer, qui commercialise cette molécule dans ses médicaments Champix (aussi appelés Chantix aux Etats-Unis), les chercheurs de la Mayo Clinic (une institution à but non lucratif) se sont penchés sur l'addiction de quelque 1.500 fumeurs habitants dix pays et qui avaient indiqué ne pas être prêts à renoncer du jour au lendemain à la cigarette.

Un soutien pour réduire sa consommation

Mais après six mois, les participants ayant pris le médicament contenant la varénicline, qui combat l'accoutumance à la nicotine en agissant sur certains récepteurs dans le cerveau, étaient au moins quatre fois plus nombreux à avoir cessé de fumer (32%) que ceux d'un groupe témoin traités avec un placebo (6,9%).

«Cette étude clinique ouvre la voie au traitement de quelque 14 millions de fumeurs qui ne sont pas disposés à arrêter de fumer brutalement mais cherchent dans un premier temps à réduire leur consommation dans le but de renoncer ensuite complètement au tabac», a expliqué le Dr Jon Ebbert, principal coauteur de cette étude pour qui la varénicline est « une approche efficace et sûre pour accroître le nombre de personnes qui arrêtent durablement de fumer».

Des effets secondaires sévères

Reste que des effets secondaires sévères ont été constatés chez 3,7% des membres du groupe traité avec la molécule, contre 2,2% chez ceux ayant pris un placebo.

A noter que 18% de la population américaine fume aujourd'hui, contre 42% en 1964, mais que, malgré ces progrès, 443.000 Américains meurent encore chaque année d'une maladie liée au tabagisme. Dans le monde, le tabac est à l'origine de 5,7 millions de morts chaque année.


Mais après six mois, les participants ayant pris le médicament contenant la varénicline, qui combat l'accoutumance à la nicotine en agissant sur certains récepteurs dans le cerveau, étaient au moins quatre fois plus nombreux à avoir cessé de fumer (32%) que ceux d'un groupe témoin traités avec un placebo (6,9%).

«Cette étude clinique ouvre la voie au traitement de quelque 14 millions de fumeurs qui ne sont pas disposés à arrêter de fumer brutalement mais cherchent dans un premier temps à réduire leur consommation dans le but de renoncer ensuite complètement au tabac», a expliqué le Dr Jon Ebbert, principal coauteur de cette étude pour qui la varénicline est « une approche efficace et sûre pour accroître le nombre de personnes qui arrêtent durablement de fumer».

Des effets secondaires sévères

Reste que des effets secondaires sévères ont été constatés chez 3,7% des membres du groupe traité avec la molécule, contre 2,2% chez ceux ayant pris un placebo.

A noter que 18% de la population américaine fume aujourd'hui, contre 42% en 1964, mais que, malgré ces progrès, 443.000 Américains meurent encore chaque année d'une maladie liée au tabagisme. Dans le monde, le tabac est à l'origine de 5,7 millions de morts chaque année.


Mais après six mois, les participants ayant pris le médicament contenant la varénicline, qui combat l'accoutumance à la nicotine en agissant sur certains récepteurs dans le cerveau, étaient au moins quatre fois plus nombreux à avoir cessé de fumer (32%) que ceux d'un groupe témoin traités avec un placebo (6,9%).

«Cette étude clinique ouvre la voie au traitement de quelque 14 millions de fumeurs qui ne sont pas disposés à arrêter de fumer brutalement mais cherchent dans un premier temps à réduire leur consommation dans le but de renoncer ensuite complètement au tabac», a expliqué le Dr Jon Ebbert, principal coauteur de cette étude pour qui la varénicline est « une approche efficace et sûre pour accroître le nombre de personnes qui arrêtent durablement de fumer».

Des effets secondaires sévères

Reste que des effets secondaires sévères ont été constatés chez 3,7% des membres du groupe traité avec la molécule, contre 2,2% chez ceux ayant pris un placebo.

A noter que 18% de la population américaine fume aujourd'hui, contre 42% en 1964, mais que, malgré ces progrès, 443.000 Américains meurent encore chaque année d'une maladie liée au tabagisme. Dans le monde, le tabac est à l'origine de 5,7 millions de morts chaque année.


Mais après six mois, les participants ayant pris le médicament contenant la varénicline, qui combat l'accoutumance à la nicotine en agissant sur certains récepteurs dans le cerveau, étaient au moins quatre fois plus nombreux à avoir cessé de fumer (32%) que ceux d'un groupe témoin traités avec un placebo (6,9%).

«Cette étude clinique ouvre la voie au traitement de quelque 14 millions de fumeurs qui ne sont pas disposés à arrêter de fumer brutalement mais cherchent dans un premier temps à réduire leur consommation dans le but de renoncer ensuite complètement au tabac», a expliqué le Dr Jon Ebbert, principal coauteur de cette étude pour qui la varénicline est « une approche efficace et sûre pour accroître le nombre de personnes qui arrêtent durablement de fumer».

Des effets secondaires sévères

Reste que des effets secondaires sévères ont été constatés chez 3,7% des membres du groupe traité avec la molécule, contre 2,2% chez ceux ayant pris un placebo.

A noter que 18% de la population américaine fume aujourd'hui, contre 42% en 1964, mais que, malgré ces progrès, 443.000 Américains meurent encore chaque année d'une maladie liée au tabagisme. Dans le monde, le tabac est à l'origine de 5,7 millions de morts chaque année.


Mais après six mois, les participants ayant pris le médicament contenant la varénicline, qui combat l'accoutumance à la nicotine en agissant sur certains récepteurs dans le cerveau, étaient au moins quatre fois plus nombreux à avoir cessé de fumer (32%) que ceux d'un groupe témoin traités avec un placebo (6,9%).

«Cette étude clinique ouvre la voie au traitement de quelque 14 millions de fumeurs qui ne sont pas disposés à arrêter de fumer brutalement mais cherchent dans un premier temps à réduire leur consommation dans le but de renoncer ensuite complètement au tabac», a expliqué le Dr Jon Ebbert, principal coauteur de cette étude pour qui la varénicline est « une approche efficace et sûre pour accroître le nombre de personnes qui arrêtent durablement de fumer».

Des effets secondaires sévères

Reste que des effets secondaires sévères ont été constatés chez 3,7% des membres du groupe traité avec la molécule, contre 2,2% chez ceux ayant pris un placebo.

A noter que 18% de la population américaine fume aujourd'hui, contre 42% en 1964, mais que, malgré ces progrès, 443.000 Américains meurent encore chaque année d'une maladie liée au tabagisme. Dans le monde, le tabac est à l'origine de 5,7 millions de morts chaque année.

meurent encore chaque année d'une maladie liée au tabagisme

Mais après six mois, les participants ayant pris le médicament contenant la varénicline, qui combat l'accoutumance à la nicotine en agissant sur certains récepteurs dans le cerveau, étaient au moins quatre fois plus nombreux à avoir cessé de fumer (32%) que ceux d'un groupe témoin traités avec un placebo (6,9%).

«Cette étude clinique ouvre la voie au traitement de quelque 14 millions de fumeurs qui ne sont pas disposés à arrêter de fumer brutalement mais cherchent dans un premier temps à réduire leur consommation dans le but de renoncer ensuite complètement au tabac», a expliqué le Dr Jon Ebbert, principal coauteur de cette étude pour qui la varénicline est « une approche efficace et sûre pour accroître le nombre de personnes qui arrêtent durablement de fumer».

Des effets secondaires sévères

Reste que des effets secondaires sévères ont été constatés chez 3,7% des membres du groupe traité avec la molécule, contre 2,2% chez ceux ayant pris un placebo.

A noter que 18% de la population américaine fume aujourd'hui, contre 42% en 1964, mais que, malgré ces progrès, 443.000 Américains meurent encore chaque année d'une maladie liée au tabagisme. Dans le monde, le tabac est à l'origine de 5,7 millions de morts chaque année.

le tabac est à l'origine

Mais après six mois, les participants ayant pris le médicament contenant la varénicline, qui combat l'accoutumance à la nicotine en agissant sur certains récepteurs dans le cerveau, étaient au moins quatre fois plus nombreux à avoir cessé de fumer (32%) que ceux d'un groupe témoin traités avec un placebo (6,9%).

«Cette étude clinique ouvre la voie au traitement de quelque 14 millions de fumeurs qui ne sont pas disposés à arrêter de fumer brutalement mais cherchent dans un premier temps à réduire leur consommation dans le but de renoncer ensuite complètement au tabac», a expliqué le Dr Jon Ebbert, principal coauteur de cette étude pour qui la varénicline est « une approche efficace et sûre pour accroître le nombre de personnes qui arrêtent durablement de fumer».

Des effets secondaires sévères

Reste que des effets secondaires sévères ont été constatés chez 3,7% des membres du groupe traité avec la molécule, contre 2,2% chez ceux ayant pris un placebo.

A noter que 18% de la population américaine fume aujourd'hui, contre 42% en 1964, mais que, malgré ces progrès, 443.000 Américains meurent encore chaque année d'une maladie liée au tabagisme. Dans le monde, le tabac est à l'origine de 5,7 millions de morts chaque année.