SOCIETEEtats-Unis: Quand la vaccination devient un enjeu politique

Etats-Unis: Quand la vaccination devient un enjeu politique

SOCIETELe taux de vaccination contre la rougeole aux Etats-Unis ne dépasse pas 92%...
20 Minutes avec agences

20 Minutes avec agences

La rougeole (lire encadré), censée être éradiquée aux Etats-Unis depuis 2000, a repointé le bout de son nez en Californie. Le foyer de l'épidémie ayant été localisé à Disneyland. Et avec elle, réapparaît le débat sur l'innocuité du vaccin contre la rougeole.

Le foyer de l'épidémie ayant été localisé à Disneyland

La rougeole (lire encadré), censée être éradiquée aux Etats-Unis depuis 2000, a repointé le bout de son nez en Californie. Le foyer de l'épidémie ayant été localisé à Disneyland. Et avec elle, réapparaît le débat sur l'innocuité du vaccin contre la rougeole.

Au point que les autorités sanitaires américaines et même le président Barack Obama ont lancé ces derniers jours un vibrant appel à la vaccination face à la crainte d'une épidémie étendue de la maladie dans le pays. Car, selon les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), depuis décembre et ce retour de la rougeole chez Disney, 102 cas ont été recensés dans 14 Etats américains.

« Where measles cases have been reported and how the current outbreak compares to previous years http://t.co/jRf0rgLcQa pic.twitter.com/SVSgpu2NrN — The New York Times (@nytimes) February 3, 2015 »



Austisme, religion et politique

Des CDC qui, par la voix de leur directeur, le Dr Tom Frieden, ont donc insisté pour que tous les parents fassent vacciner leurs enfants. Car, selon les autorités, le retour en force de cette infection coïncide avec le rejet du vaccin par nombre de parents. Beaucoup craignent que ce triple-vaccin (rougeole, oreillons et rubéole) ne soit responsable de l'augmentation des cas d'autisme. Les autres évoquent des raisons religieuses ou politiques.

« "Cette épidémie de rougeole risque de polariser et affaiblir le consensus social sur la vaccination" RT @nytimes: http://t.co/qzkEZSw6s5 — JeVotePourLaScience (@JVPLS) February 4, 2015 »



Barack Obama fait donc peser toute son autorité pour convaincre les parents sceptiques d'ignorer ces croyances infondées, déclarant sur la BBC savoir «qu'il y a des familles qui sont parfois inquiètes des effets de la vaccination mais vous devez savoir que la science est vraiment indiscutable. Nous avons examiné cela de nombreuses fois et il n'y a aucune raison de ne pas se faire vacciner».

Campagne de vaccination et campagne présidentielle

Et si ce scepticisme remonte à la publication, en 1998, d'un article biaisé dans la très sérieuse revue médicale britannique le Lancet (une revue qui ne s'est rétractée sur le sujet qu'en 2010), il est au cœur de la politique américaine.

Car si les médias ont été critiqués pour s'être largement fait l'écho de cette recherche frauduleuse, les candidats républicains potentiels à la présidentielle de 2016 jouent sur le doute. Eux qui ne veulent pas s'aliéner la frange de leur électorat ultra-conservateur qui, pour des raisons religieuses ou par pure conviction politique, rejettent l'obligation de la vaccination. De fait, le taux de vaccination contre la rougeole aux Etats-Unis ne dépasse pas 92%.

La rougeole trace doucement sa route

Le gouverneur du New Jersey Chris Christie, un républicain modéré, a ainsi déclaré qu'il fallait que les parents «aient leur mot à dire». «Je pense que c'est une bonne idée de se faire vacciner, mais je crois aussi qu'il s'agit d'une décision personnelle», a estimé, sans vraiment trancher donc, le sénateur Rand Paul, médecin de profession, de sensibilité libertarienne et figure du Tea Party, le mouvement ultra-conservateur.

Le débat sur les vaccins est une nouvelle illustration des positions alambiquées de certains républicains sur des grandes questions scientifiques comme le changement climatique ou la théorie de l'évolution. Mais en attendant, la rougeole trace doucement sa route, touchant 644 Américains en 2014, un nombre sans précédent depuis 2000. Seuls 173 cas avaient été déclarés en 2013, et une petite soixantaine par an dans les années précédentes.


Barack Obama fait donc peser toute son autorité pour convaincre les parents sceptiques d'ignorer ces croyances infondées, déclarant sur la BBC savoir «qu'il y a des familles qui sont parfois inquiètes des effets de la vaccination mais vous devez savoir que la science est vraiment indiscutable. Nous avons examiné cela de nombreuses fois et il n'y a aucune raison de ne pas se faire vacciner».

Campagne de vaccination et campagne présidentielle

Et si ce scepticisme remonte à la publication, en 1998, d'un article biaisé dans la très sérieuse revue médicale britannique le Lancet (une revue qui ne s'est rétractée sur le sujet qu'en 2010), il est au cœur de la politique américaine.

Car si les médias ont été critiqués pour s'être largement fait l'écho de cette recherche frauduleuse, les candidats républicains potentiels à la présidentielle de 2016 jouent sur le doute. Eux qui ne veulent pas s'aliéner la frange de leur électorat ultra-conservateur qui, pour des raisons religieuses ou par pure conviction politique, rejettent l'obligation de la vaccination. De fait, le taux de vaccination contre la rougeole aux Etats-Unis ne dépasse pas 92%.

La rougeole trace doucement sa route

Le gouverneur du New Jersey Chris Christie, un républicain modéré, a ainsi déclaré qu'il fallait que les parents «aient leur mot à dire». «Je pense que c'est une bonne idée de se faire vacciner, mais je crois aussi qu'il s'agit d'une décision personnelle», a estimé, sans vraiment trancher donc, le sénateur Rand Paul, médecin de profession, de sensibilité libertarienne et figure du Tea Party, le mouvement ultra-conservateur.

Le débat sur les vaccins est une nouvelle illustration des positions alambiquées de certains républicains sur des grandes questions scientifiques comme le changement climatique ou la théorie de l'évolution. Mais en attendant, la rougeole trace doucement sa route, touchant 644 Américains en 2014, un nombre sans précédent depuis 2000. Seuls 173 cas avaient été déclarés en 2013, et une petite soixantaine par an dans les années précédentes.

http://t.co/eE1zBBhuLH

Barack Obama fait donc peser toute son autorité pour convaincre les parents sceptiques d'ignorer ces croyances infondées, déclarant sur la BBC savoir «qu'il y a des familles qui sont parfois inquiètes des effets de la vaccination mais vous devez savoir que la science est vraiment indiscutable. Nous avons examiné cela de nombreuses fois et il n'y a aucune raison de ne pas se faire vacciner».

Campagne de vaccination et campagne présidentielle

Et si ce scepticisme remonte à la publication, en 1998, d'un article biaisé dans la très sérieuse revue médicale britannique le Lancet (une revue qui ne s'est rétractée sur le sujet qu'en 2010), il est au cœur de la politique américaine.

Car si les médias ont été critiqués pour s'être largement fait l'écho de cette recherche frauduleuse, les candidats républicains potentiels à la présidentielle de 2016 jouent sur le doute. Eux qui ne veulent pas s'aliéner la frange de leur électorat ultra-conservateur qui, pour des raisons religieuses ou par pure conviction politique, rejettent l'obligation de la vaccination. De fait, le taux de vaccination contre la rougeole aux Etats-Unis ne dépasse pas 92%.

La rougeole trace doucement sa route

Le gouverneur du New Jersey Chris Christie, un républicain modéré, a ainsi déclaré qu'il fallait que les parents «aient leur mot à dire». «Je pense que c'est une bonne idée de se faire vacciner, mais je crois aussi qu'il s'agit d'une décision personnelle», a estimé, sans vraiment trancher donc, le sénateur Rand Paul, médecin de profession, de sensibilité libertarienne et figure du Tea Party, le mouvement ultra-conservateur.

Le débat sur les vaccins est une nouvelle illustration des positions alambiquées de certains républicains sur des grandes questions scientifiques comme le changement climatique ou la théorie de l'évolution. Mais en attendant, la rougeole trace doucement sa route, touchant 644 Américains en 2014, un nombre sans précédent depuis 2000. Seuls 173 cas avaient été déclarés en 2013, et une petite soixantaine par an dans les années précédentes.

February 4, 2015

Barack Obama fait donc peser toute son autorité pour convaincre les parents sceptiques d'ignorer ces croyances infondées, déclarant sur la BBC savoir «qu'il y a des familles qui sont parfois inquiètes des effets de la vaccination mais vous devez savoir que la science est vraiment indiscutable. Nous avons examiné cela de nombreuses fois et il n'y a aucune raison de ne pas se faire vacciner».

Campagne de vaccination et campagne présidentielle

Et si ce scepticisme remonte à la publication, en 1998, d'un article biaisé dans la très sérieuse revue médicale britannique le Lancet (une revue qui ne s'est rétractée sur le sujet qu'en 2010), il est au cœur de la politique américaine.

Car si les médias ont été critiqués pour s'être largement fait l'écho de cette recherche frauduleuse, les candidats républicains potentiels à la présidentielle de 2016 jouent sur le doute. Eux qui ne veulent pas s'aliéner la frange de leur électorat ultra-conservateur qui, pour des raisons religieuses ou par pure conviction politique, rejettent l'obligation de la vaccination. De fait, le taux de vaccination contre la rougeole aux Etats-Unis ne dépasse pas 92%.

La rougeole trace doucement sa route

Le gouverneur du New Jersey Chris Christie, un républicain modéré, a ainsi déclaré qu'il fallait que les parents «aient leur mot à dire». «Je pense que c'est une bonne idée de se faire vacciner, mais je crois aussi qu'il s'agit d'une décision personnelle», a estimé, sans vraiment trancher donc, le sénateur Rand Paul, médecin de profession, de sensibilité libertarienne et figure du Tea Party, le mouvement ultra-conservateur.

Le débat sur les vaccins est une nouvelle illustration des positions alambiquées de certains républicains sur des grandes questions scientifiques comme le changement climatique ou la théorie de l'évolution. Mais en attendant, la rougeole trace doucement sa route, touchant 644 Américains en 2014, un nombre sans précédent depuis 2000. Seuls 173 cas avaient été déclarés en 2013, et une petite soixantaine par an dans les années précédentes.


Barack Obama fait donc peser toute son autorité pour convaincre les parents sceptiques d'ignorer ces croyances infondées, déclarant sur la BBC savoir «qu'il y a des familles qui sont parfois inquiètes des effets de la vaccination mais vous devez savoir que la science est vraiment indiscutable. Nous avons examiné cela de nombreuses fois et il n'y a aucune raison de ne pas se faire vacciner».

Campagne de vaccination et campagne présidentielle

Et si ce scepticisme remonte à la publication, en 1998, d'un article biaisé dans la très sérieuse revue médicale britannique le Lancet (une revue qui ne s'est rétractée sur le sujet qu'en 2010), il est au cœur de la politique américaine.

Car si les médias ont été critiqués pour s'être largement fait l'écho de cette recherche frauduleuse, les candidats républicains potentiels à la présidentielle de 2016 jouent sur le doute. Eux qui ne veulent pas s'aliéner la frange de leur électorat ultra-conservateur qui, pour des raisons religieuses ou par pure conviction politique, rejettent l'obligation de la vaccination. De fait, le taux de vaccination contre la rougeole aux Etats-Unis ne dépasse pas 92%.

La rougeole trace doucement sa route

Le gouverneur du New Jersey Chris Christie, un républicain modéré, a ainsi déclaré qu'il fallait que les parents «aient leur mot à dire». «Je pense que c'est une bonne idée de se faire vacciner, mais je crois aussi qu'il s'agit d'une décision personnelle», a estimé, sans vraiment trancher donc, le sénateur Rand Paul, médecin de profession, de sensibilité libertarienne et figure du Tea Party, le mouvement ultra-conservateur.

Le débat sur les vaccins est une nouvelle illustration des positions alambiquées de certains républicains sur des grandes questions scientifiques comme le changement climatique ou la théorie de l'évolution. Mais en attendant, la rougeole trace doucement sa route, touchant 644 Américains en 2014, un nombre sans précédent depuis 2000. Seuls 173 cas avaient été déclarés en 2013, et une petite soixantaine par an dans les années précédentes.


Barack Obama fait donc peser toute son autorité pour convaincre les parents sceptiques d'ignorer ces croyances infondées, déclarant sur la BBC savoir «qu'il y a des familles qui sont parfois inquiètes des effets de la vaccination mais vous devez savoir que la science est vraiment indiscutable. Nous avons examiné cela de nombreuses fois et il n'y a aucune raison de ne pas se faire vacciner».

Campagne de vaccination et campagne présidentielle

Et si ce scepticisme remonte à la publication, en 1998, d'un article biaisé dans la très sérieuse revue médicale britannique le Lancet (une revue qui ne s'est rétractée sur le sujet qu'en 2010), il est au cœur de la politique américaine.

Car si les médias ont été critiqués pour s'être largement fait l'écho de cette recherche frauduleuse, les candidats républicains potentiels à la présidentielle de 2016 jouent sur le doute. Eux qui ne veulent pas s'aliéner la frange de leur électorat ultra-conservateur qui, pour des raisons religieuses ou par pure conviction politique, rejettent l'obligation de la vaccination. De fait, le taux de vaccination contre la rougeole aux Etats-Unis ne dépasse pas 92%.

La rougeole trace doucement sa route

Le gouverneur du New Jersey Chris Christie, un républicain modéré, a ainsi déclaré qu'il fallait que les parents «aient leur mot à dire». «Je pense que c'est une bonne idée de se faire vacciner, mais je crois aussi qu'il s'agit d'une décision personnelle», a estimé, sans vraiment trancher donc, le sénateur Rand Paul, médecin de profession, de sensibilité libertarienne et figure du Tea Party, le mouvement ultra-conservateur.

Le débat sur les vaccins est une nouvelle illustration des positions alambiquées de certains républicains sur des grandes questions scientifiques comme le changement climatique ou la théorie de l'évolution. Mais en attendant, la rougeole trace doucement sa route, touchant 644 Américains en 2014, un nombre sans précédent depuis 2000. Seuls 173 cas avaient été déclarés en 2013, et une petite soixantaine par an dans les années précédentes.


Barack Obama fait donc peser toute son autorité pour convaincre les parents sceptiques d'ignorer ces croyances infondées, déclarant sur la BBC savoir «qu'il y a des familles qui sont parfois inquiètes des effets de la vaccination mais vous devez savoir que la science est vraiment indiscutable. Nous avons examiné cela de nombreuses fois et il n'y a aucune raison de ne pas se faire vacciner».

Campagne de vaccination et campagne présidentielle

Et si ce scepticisme remonte à la publication, en 1998, d'un article biaisé dans la très sérieuse revue médicale britannique le Lancet (une revue qui ne s'est rétractée sur le sujet qu'en 2010), il est au cœur de la politique américaine.

Car si les médias ont été critiqués pour s'être largement fait l'écho de cette recherche frauduleuse, les candidats républicains potentiels à la présidentielle de 2016 jouent sur le doute. Eux qui ne veulent pas s'aliéner la frange de leur électorat ultra-conservateur qui, pour des raisons religieuses ou par pure conviction politique, rejettent l'obligation de la vaccination. De fait, le taux de vaccination contre la rougeole aux Etats-Unis ne dépasse pas 92%.

La rougeole trace doucement sa route

Le gouverneur du New Jersey Chris Christie, un républicain modéré, a ainsi déclaré qu'il fallait que les parents «aient leur mot à dire». «Je pense que c'est une bonne idée de se faire vacciner, mais je crois aussi qu'il s'agit d'une décision personnelle», a estimé, sans vraiment trancher donc, le sénateur Rand Paul, médecin de profession, de sensibilité libertarienne et figure du Tea Party, le mouvement ultra-conservateur.

Le débat sur les vaccins est une nouvelle illustration des positions alambiquées de certains républicains sur des grandes questions scientifiques comme le changement climatique ou la théorie de l'évolution. Mais en attendant, la rougeole trace doucement sa route, touchant 644 Américains en 2014, un nombre sans précédent depuis 2000. Seuls 173 cas avaient été déclarés en 2013, et une petite soixantaine par an dans les années précédentes.

#Measles

Barack Obama fait donc peser toute son autorité pour convaincre les parents sceptiques d'ignorer ces croyances infondées, déclarant sur la BBC savoir «qu'il y a des familles qui sont parfois inquiètes des effets de la vaccination mais vous devez savoir que la science est vraiment indiscutable. Nous avons examiné cela de nombreuses fois et il n'y a aucune raison de ne pas se faire vacciner».

Campagne de vaccination et campagne présidentielle

Et si ce scepticisme remonte à la publication, en 1998, d'un article biaisé dans la très sérieuse revue médicale britannique le Lancet (une revue qui ne s'est rétractée sur le sujet qu'en 2010), il est au cœur de la politique américaine.

Car si les médias ont été critiqués pour s'être largement fait l'écho de cette recherche frauduleuse, les candidats républicains potentiels à la présidentielle de 2016 jouent sur le doute. Eux qui ne veulent pas s'aliéner la frange de leur électorat ultra-conservateur qui, pour des raisons religieuses ou par pure conviction politique, rejettent l'obligation de la vaccination. De fait, le taux de vaccination contre la rougeole aux Etats-Unis ne dépasse pas 92%.

La rougeole trace doucement sa route

Le gouverneur du New Jersey Chris Christie, un républicain modéré, a ainsi déclaré qu'il fallait que les parents «aient leur mot à dire». «Je pense que c'est une bonne idée de se faire vacciner, mais je crois aussi qu'il s'agit d'une décision personnelle», a estimé, sans vraiment trancher donc, le sénateur Rand Paul, médecin de profession, de sensibilité libertarienne et figure du Tea Party, le mouvement ultra-conservateur.

Le débat sur les vaccins est une nouvelle illustration des positions alambiquées de certains républicains sur des grandes questions scientifiques comme le changement climatique ou la théorie de l'évolution. Mais en attendant, la rougeole trace doucement sa route, touchant 644 Américains en 2014, un nombre sans précédent depuis 2000. Seuls 173 cas avaient été déclarés en 2013, et une petite soixantaine par an dans les années précédentes.

http://t.co/j9gSb535Rj

Barack Obama fait donc peser toute son autorité pour convaincre les parents sceptiques d'ignorer ces croyances infondées, déclarant sur la BBC savoir «qu'il y a des familles qui sont parfois inquiètes des effets de la vaccination mais vous devez savoir que la science est vraiment indiscutable. Nous avons examiné cela de nombreuses fois et il n'y a aucune raison de ne pas se faire vacciner».

Campagne de vaccination et campagne présidentielle

Et si ce scepticisme remonte à la publication, en 1998, d'un article biaisé dans la très sérieuse revue médicale britannique le Lancet (une revue qui ne s'est rétractée sur le sujet qu'en 2010), il est au cœur de la politique américaine.

Car si les médias ont été critiqués pour s'être largement fait l'écho de cette recherche frauduleuse, les candidats républicains potentiels à la présidentielle de 2016 jouent sur le doute. Eux qui ne veulent pas s'aliéner la frange de leur électorat ultra-conservateur qui, pour des raisons religieuses ou par pure conviction politique, rejettent l'obligation de la vaccination. De fait, le taux de vaccination contre la rougeole aux Etats-Unis ne dépasse pas 92%.

La rougeole trace doucement sa route

Le gouverneur du New Jersey Chris Christie, un républicain modéré, a ainsi déclaré qu'il fallait que les parents «aient leur mot à dire». «Je pense que c'est une bonne idée de se faire vacciner, mais je crois aussi qu'il s'agit d'une décision personnelle», a estimé, sans vraiment trancher donc, le sénateur Rand Paul, médecin de profession, de sensibilité libertarienne et figure du Tea Party, le mouvement ultra-conservateur.

Le débat sur les vaccins est une nouvelle illustration des positions alambiquées de certains républicains sur des grandes questions scientifiques comme le changement climatique ou la théorie de l'évolution. Mais en attendant, la rougeole trace doucement sa route, touchant 644 Américains en 2014, un nombre sans précédent depuis 2000. Seuls 173 cas avaient été déclarés en 2013, et une petite soixantaine par an dans les années précédentes.


Barack Obama fait donc peser toute son autorité pour convaincre les parents sceptiques d'ignorer ces croyances infondées, déclarant sur la BBC savoir «qu'il y a des familles qui sont parfois inquiètes des effets de la vaccination mais vous devez savoir que la science est vraiment indiscutable. Nous avons examiné cela de nombreuses fois et il n'y a aucune raison de ne pas se faire vacciner».

Campagne de vaccination et campagne présidentielle

Et si ce scepticisme remonte à la publication, en 1998, d'un article biaisé dans la très sérieuse revue médicale britannique le Lancet (une revue qui ne s'est rétractée sur le sujet qu'en 2010), il est au cœur de la politique américaine.

Car si les médias ont été critiqués pour s'être largement fait l'écho de cette recherche frauduleuse, les candidats républicains potentiels à la présidentielle de 2016 jouent sur le doute. Eux qui ne veulent pas s'aliéner la frange de leur électorat ultra-conservateur qui, pour des raisons religieuses ou par pure conviction politique, rejettent l'obligation de la vaccination. De fait, le taux de vaccination contre la rougeole aux Etats-Unis ne dépasse pas 92%.

La rougeole trace doucement sa route

Le gouverneur du New Jersey Chris Christie, un républicain modéré, a ainsi déclaré qu'il fallait que les parents «aient leur mot à dire». «Je pense que c'est une bonne idée de se faire vacciner, mais je crois aussi qu'il s'agit d'une décision personnelle», a estimé, sans vraiment trancher donc, le sénateur Rand Paul, médecin de profession, de sensibilité libertarienne et figure du Tea Party, le mouvement ultra-conservateur.

Le débat sur les vaccins est une nouvelle illustration des positions alambiquées de certains républicains sur des grandes questions scientifiques comme le changement climatique ou la théorie de l'évolution. Mais en attendant, la rougeole trace doucement sa route, touchant 644 Américains en 2014, un nombre sans précédent depuis 2000. Seuls 173 cas avaient été déclarés en 2013, et une petite soixantaine par an dans les années précédentes.

February 4, 2015

Barack Obama fait donc peser toute son autorité pour convaincre les parents sceptiques d'ignorer ces croyances infondées, déclarant sur la BBC savoir «qu'il y a des familles qui sont parfois inquiètes des effets de la vaccination mais vous devez savoir que la science est vraiment indiscutable. Nous avons examiné cela de nombreuses fois et il n'y a aucune raison de ne pas se faire vacciner».

Campagne de vaccination et campagne présidentielle

Et si ce scepticisme remonte à la publication, en 1998, d'un article biaisé dans la très sérieuse revue médicale britannique le Lancet (une revue qui ne s'est rétractée sur le sujet qu'en 2010), il est au cœur de la politique américaine.

Car si les médias ont été critiqués pour s'être largement fait l'écho de cette recherche frauduleuse, les candidats républicains potentiels à la présidentielle de 2016 jouent sur le doute. Eux qui ne veulent pas s'aliéner la frange de leur électorat ultra-conservateur qui, pour des raisons religieuses ou par pure conviction politique, rejettent l'obligation de la vaccination. De fait, le taux de vaccination contre la rougeole aux Etats-Unis ne dépasse pas 92%.

La rougeole trace doucement sa route

Le gouverneur du New Jersey Chris Christie, un républicain modéré, a ainsi déclaré qu'il fallait que les parents «aient leur mot à dire». «Je pense que c'est une bonne idée de se faire vacciner, mais je crois aussi qu'il s'agit d'une décision personnelle», a estimé, sans vraiment trancher donc, le sénateur Rand Paul, médecin de profession, de sensibilité libertarienne et figure du Tea Party, le mouvement ultra-conservateur.

Le débat sur les vaccins est une nouvelle illustration des positions alambiquées de certains républicains sur des grandes questions scientifiques comme le changement climatique ou la théorie de l'évolution. Mais en attendant, la rougeole trace doucement sa route, touchant 644 Américains en 2014, un nombre sans précédent depuis 2000. Seuls 173 cas avaient été déclarés en 2013, et une petite soixantaine par an dans les années précédentes.

Barack Obama fait donc peser toute son autorité pour convaincre les parents sceptiques d'ignorer ces croyances infondées, déclarant sur la BBC savoir «qu'il y a des familles qui sont parfois inquiètes des effets de la vaccination mais vous devez savoir que la science est vraiment indiscutable. Nous avons examiné cela de nombreuses fois et il n'y a aucune raison de ne pas se faire vacciner».

Campagne de vaccination et campagne présidentielle

Et si ce scepticisme remonte à la publication, en 1998, d'un article biaisé dans la très sérieuse revue médicale britannique le Lancet (une revue qui ne s'est rétractée sur le sujet qu'en 2010), il est au cœur de la politique américaine.

Car si les médias ont été critiqués pour s'être largement fait l'écho de cette recherche frauduleuse, les candidats républicains potentiels à la présidentielle de 2016 jouent sur le doute. Eux qui ne veulent pas s'aliéner la frange de leur électorat ultra-conservateur qui, pour des raisons religieuses ou par pure conviction politique, rejettent l'obligation de la vaccination. De fait, le taux de vaccination contre la rougeole aux Etats-Unis ne dépasse pas 92%.

La rougeole trace doucement sa route

Le gouverneur du New Jersey Chris Christie, un républicain modéré, a ainsi déclaré qu'il fallait que les parents «aient leur mot à dire». «Je pense que c'est une bonne idée de se faire vacciner, mais je crois aussi qu'il s'agit d'une décision personnelle», a estimé, sans vraiment trancher donc, le sénateur Rand Paul, médecin de profession, de sensibilité libertarienne et figure du Tea Party, le mouvement ultra-conservateur.

Le débat sur les vaccins est une nouvelle illustration des positions alambiquées de certains républicains sur des grandes questions scientifiques comme le changement climatique ou la théorie de l'évolution. Mais en attendant, la rougeole trace doucement sa route, touchant 644 Américains en 2014, un nombre sans précédent depuis 2000. Seuls 173 cas avaient été déclarés en 2013, et une petite soixantaine par an dans les années précédentes.


Barack Obama fait donc peser toute son autorité pour convaincre les parents sceptiques d'ignorer ces croyances infondées, déclarant sur la BBC savoir «qu'il y a des familles qui sont parfois inquiètes des effets de la vaccination mais vous devez savoir que la science est vraiment indiscutable. Nous avons examiné cela de nombreuses fois et il n'y a aucune raison de ne pas se faire vacciner».

Campagne de vaccination et campagne présidentielle

Et si ce scepticisme remonte à la publication, en 1998, d'un article biaisé dans la très sérieuse revue médicale britannique le Lancet (une revue qui ne s'est rétractée sur le sujet qu'en 2010), il est au cœur de la politique américaine.

Car si les médias ont été critiqués pour s'être largement fait l'écho de cette recherche frauduleuse, les candidats républicains potentiels à la présidentielle de 2016 jouent sur le doute. Eux qui ne veulent pas s'aliéner la frange de leur électorat ultra-conservateur qui, pour des raisons religieuses ou par pure conviction politique, rejettent l'obligation de la vaccination. De fait, le taux de vaccination contre la rougeole aux Etats-Unis ne dépasse pas 92%.

La rougeole trace doucement sa route

Le gouverneur du New Jersey Chris Christie, un républicain modéré, a ainsi déclaré qu'il fallait que les parents «aient leur mot à dire». «Je pense que c'est une bonne idée de se faire vacciner, mais je crois aussi qu'il s'agit d'une décision personnelle», a estimé, sans vraiment trancher donc, le sénateur Rand Paul, médecin de profession, de sensibilité libertarienne et figure du Tea Party, le mouvement ultra-conservateur.

Le débat sur les vaccins est une nouvelle illustration des positions alambiquées de certains républicains sur des grandes questions scientifiques comme le changement climatique ou la théorie de l'évolution. Mais en attendant, la rougeole trace doucement sa route, touchant 644 Américains en 2014, un nombre sans précédent depuis 2000. Seuls 173 cas avaient été déclarés en 2013, et une petite soixantaine par an dans les années précédentes.


Barack Obama fait donc peser toute son autorité pour convaincre les parents sceptiques d'ignorer ces croyances infondées, déclarant sur la BBC savoir «qu'il y a des familles qui sont parfois inquiètes des effets de la vaccination mais vous devez savoir que la science est vraiment indiscutable. Nous avons examiné cela de nombreuses fois et il n'y a aucune raison de ne pas se faire vacciner».

Campagne de vaccination et campagne présidentielle

Et si ce scepticisme remonte à la publication, en 1998, d'un article biaisé dans la très sérieuse revue médicale britannique le Lancet (une revue qui ne s'est rétractée sur le sujet qu'en 2010), il est au cœur de la politique américaine.

Car si les médias ont été critiqués pour s'être largement fait l'écho de cette recherche frauduleuse, les candidats républicains potentiels à la présidentielle de 2016 jouent sur le doute. Eux qui ne veulent pas s'aliéner la frange de leur électorat ultra-conservateur qui, pour des raisons religieuses ou par pure conviction politique, rejettent l'obligation de la vaccination. De fait, le taux de vaccination contre la rougeole aux Etats-Unis ne dépasse pas 92%.

La rougeole trace doucement sa route

Le gouverneur du New Jersey Chris Christie, un républicain modéré, a ainsi déclaré qu'il fallait que les parents «aient leur mot à dire». «Je pense que c'est une bonne idée de se faire vacciner, mais je crois aussi qu'il s'agit d'une décision personnelle», a estimé, sans vraiment trancher donc, le sénateur Rand Paul, médecin de profession, de sensibilité libertarienne et figure du Tea Party, le mouvement ultra-conservateur.

Le débat sur les vaccins est une nouvelle illustration des positions alambiquées de certains républicains sur des grandes questions scientifiques comme le changement climatique ou la théorie de l'évolution. Mais en attendant, la rougeole trace doucement sa route, touchant 644 Américains en 2014, un nombre sans précédent depuis 2000. Seuls 173 cas avaient été déclarés en 2013, et une petite soixantaine par an dans les années précédentes.

La rougeole est très contagieuse car elle se transmet par voie aérienne. Elle provoque des accès de fièvre et des éruptions cutanées. Les cas les plus graves peuvent entraîner une pneumonie ou une encéphalite et être mortels.