A l’issue du mercato d’été, le Stade Rennais compte désormais 37 joueurs sous contrat (prêts inclus). En attendant un éventuel 38e (Yoann Gourcuff), seuls une vingtaine d’entre eux entreront dans les plans de Philippe Montanier.

Annoncés sur le départ, le gardien Abdoulaye Diallo, le latéral gauche Cheikh M’Bengue, le milieu Abdoulaye Doucouré et l’attaquant Habib Habibou n’ont pas trouvé preneur, et restent donc à Rennes.

« Je vous annonce officiellement que je serais toujours rennais cette saison. Je donnerais toujours le max pour le club comme a mon habitude. — Abdoulaye Doucouré (@abdoudoucoure8) September 1, 2015 »

Gardiens (3)

Tributaire d’un jeu de chaises musicales finalement atone (De Gea, Lloris, Mandanda), Benoît Costil, qui n’aurait pas été contre un départ à l’OM, sera le n°1 pour la cinquième année consécutive au SRFC. Ses doublures ? L’expérimenté Olivier Sorin (34 ans) et le jeune Lituanien Edvinas Gertmonas (19 ans).

Défenseurs (9)

Considérant le nouveau schéma tactique de leur coach, constitué de trois arrières centraux, Sylvain Armand, Edson Mexer et Pedro Mendes apparaissent déjà indéboulonnables. Fallou Diagne, et dans une moindre mesure le milieu polyvalent Yacouba Sylla, dépanneront en cas de besoin. Sur les ailes, les recrues Mehdi Zeffane (droit) et Ludovic Baal (gauche) ont une, voire plusieurs longueurs d’avance sur Romain Danzé et Steven Moreira. Le malheureux Dimitri Cavaré, victime d’une nouvelle rupture des ligaments croisés, prend, pour sa part, son mal en patience.

Milieux (4)

Impressionnante face à Toulouse (3-1) samedi dernier, la paire défensive Sylla-Gelson Fernandes devrait perdurer dans les semaines à venir. A moins que Benjamin André, auteur d’une deuxième moitié de saison 2014-2015 convaincante, vienne troubler l’ordre pré-établi. Au poste hypothétique de n°10, le très attendu Juan Fernando Quintero ferait valoir ses technique et vision du jeu. Avant, peut-être, d’entrer en concurrence avec Gourcuff…

Attaquants (5)

Derrière les titulaires en puissance Paul-Georges Ntep et Giovanni Sio, la lutte pour obtenir du temps de jeu s’annonce féroce entre Kamil Grosicki, Pedro Henrique et le « petit dernier » Jérémie Boga.