... Merci de nous avoir suivi. On se retrouve demain pour un nouvel épisode de « La France attend son ou sa Première ministre ».

Pas de trêve olympique, ni de trêve politique pour le Nouveau front populaire. Pour les écologistes, « pas de trêve climatique » non plus, comme le signale leur patronne, Marine Tondelier, dans un tweet. Jour de dépassement oblige.

Pour ceux qui ignorent la signification du jour de dépassement, il s’agit de la date de l’année, calculée par l’ONG Global Footprint Network, à partir de laquelle « l’humanité a consommé l’ensemble des ressources naturelles que la planète est capable de produire en un an pour régénérer ses consommations ou absorber les déchets produits ».

Cette année, le Jour du dépassement intervient donc cinq mois avant la fin de l’année, et un jour plus tôt qu’en 2023. En 1970, le Jour du dépassement intervenait le 29 décembre. En clair, à partir de demain, l’humanité vit à crédit par rapport aux ressources de la terre et ne sait toujours pas comment rembourser cette dette.

Apres le HuffPost, mercredi, c’est Libération qui aujourd’hui, évoque l’hypothèse Xavier Bertrand à Matignon. Les amis de l’intéressé l’y voient déjà. Reste à convaincre un certain Emmanuel Macron.

Lors d’une visite chez Duralex, mercredi, la candidate du Nouveau Front populaire pour Matignon, Lucie Castets, avait prôné un « changement de méthode » en faisant « confiance au travail collectif ». Elle faisait référence au rachat de l’entreprise par les salariés.

Cette visite n’a visiblement pas plu au ministre de l’Industrie Roland Lescure qui s’en émeut sur X. « Une usine (…) ce n’est pas une pièce de théâtre », déplore-t-il.

Effet JO ? La cote de confiance du président Emmanuel Macron et de son Premier ministre démissionnaire, Gabriel Attal, ont gagné deux points en trois semaines pour s’établir respectivement à 27 % et 33 %, selon un sondage Elabe pour le journal Les Echos, paru ce jeudi.

Au tableau du classement des personnalités, l’ancien Premier ministre Edouard Philippe conserve la première place, avec 45 % des personnes interrogées déclarant en avoir une image positive (+ 1 point), toujours suivi de Jordan Bardella (39 %, + 1 point) et Marine Le Pen (37 %, + 2 points).

L’étude a été réalisée par internet les 30 et 31 juillet auprès d’un échantillon de 1.004 personnes représentatif de la population française.

Le chef de l’Etat aurait, selon ses proches, « quelques pistes » pour proposer à la mi-août un nom pour diriger un nouveau gouvernement, rapporte Le Monde. Lucie Castets? Le chef de l'Etat « peine à masquer son peu d’enthousiasme pour cette énarque parisienne, inconnue du grand public ». Il « s’agace de la posture jugée vindicative de la trentenaire qui entend appliquer le programme du NFP, comprenant le rétablissement de l’impôt sur la fortune ou l’abrogation de la réforme des retraites », indique Le Monde.

Lamia El Aaraje, porte-parole de la maire socialiste Anne Hidalgo, a affirmé que l'exposition politique de Lucie Castets avait été « bien identifié » par les services et évoqué une saisine de la commission de déontologie de la Ville. Qui n'aura finalement pas lieu, a-t-elle ensuite expliqué.

« Nos services juridiques et RH ont fait une analyse, suite à la sollicitation de Lucie Castets et n'ont pas relevé de problématique juridique », a-t-elle précisé. Ces deux services ont estimé qu'il n'y avait « pas de problématique quant à l'exercice d'une activité politique en dehors d'une campagne électorale, et en période de congés » pour la fonctionnaire, a expliqué l'élue PS.

Mais « si cette situation devait se prolonger, si elle poursuit une activité politique après fin août » et la fin de ses congés, la mairie procèdera à un « réexamen de sa situation », a ajouté Lamia El Aaraje.

Quant à l'obligation de réserve, elle « n'empêche pas les agents de la Ville de manifester leur opinion » mais « leur impose de faire preuve de retenue et de modération dans leur comportement et leur expression », a-t-elle indiqué, se basant sur l'analyse des services juridiques de la mairie.

Le Conseil constitutionnel a rejeté mercredi un recours des députés de La France insoumise contre la réélection de Yaël Braun-Pivet à la présidence de l'Assemblée nationale, se déclarant incompétent pour statuer sur cette question. La gauche s'était insurgée contre la réélection, le 18 juillet, de la présidente sortante, candidate du camp macroniste, alors que ce dernier a été défait aux élections législatives.

Yaël Braun-Pivet avait recueilli, au troisième tour, 13 voix de plus que son concurrent communiste André Chassaigne. Les mélenchonistes contestaient notamment la participation au vote de 17 ministres qui ont pu retrouver leur siège de députés à la faveur de la démission du gouvernement tout en continuant à exercer leurs fonctions exécutives pour gérer les affaires courantes.

Les élus parisiens de l'opposition, ont envoyé une lettre au procureur de la République de Paris évoquant « une violation de son devoir de réserve par ses prises de position politiques, ce qui l'expose, a minima, à une sanction disciplinaire ». Ils y parlent aussi d'un possible « détournement de fonds publics » car toujours rémunérée par la Ville de Paris et profitant de « l'usage du service de presse » de la Mairie.

« Je vois bien que l'opposition de droite parisienne essaie de chercher des points d'appui contre le Nouveau Front populaire qui est arrivé en tête aux élections » législatives, a balayé Lucie Castets jeudi. « Ça détourne le débat des vraies questions », a-t-elle estimé.

Elle a également précisé que tous ses frais de déplacement étaient pris en charge par les partis constituant le nouveau Front populaire.

La candidate du Nouveau Front populaire à Matignon, Lucie Castets, s'est justifiée ce jeudi de ce choix de prendre des congés payés pour mener son action politique cet été plutôt que de se mettre en disponibilité de son emploi à la Mairie de Paris, jugeant « la situation extrêmement claire ».

« Ma situation personnelle, elle est très claire et évidemment, je me suis assurée que tout était en ordre », a déclaré la directrice des Finances et des Achats à la Mairie de Paris sur RTL. « J'ai le droit d'avoir des opinions et des activités politiques », a-t-elle ajouté, précisant: « s'il le faut, le moment venu, je me mettrai en disponibilité », a-t-elle encore précisé.

Le Canard enchaîné a en effet révélé que la candidate du NFP pour devenir Première ministre avait posé des congés payés plutôt que de se mettre en disponibilité. Son statut de fonctionnaire travaillant à la ville de Paris l'oblige à un devoir de réserve.

Deux mois après les manifestations et violences dans l'archipel, Marie Guévenoux, ministre déléguée des Outre-mer, est en déplacement en Nouvelle-Calédonie jusqu'à vendredi. Elle est allée à la rencontre des forces de l'ordre et doit échanger avec plusieurs maires ce jeudi.

Une enquête a été ouverte après que le maire de Pau et président du Modem François Bayrou a reçu des menaces de mort par lettres anonymes, a-t-on appris auprès du parquet de Pau.

Cette visite chez Duralex a également été l’occasion de montrer l’unité du Nouveau Front populaire. Sur place, Lucie Castets était en effet accompagnée des représentants de chaque parti de la coalition : la cheffe des Ecologistes Marine Tondelier, le patron des socialistes Olivier Faure, les députés LFI Antoine Léaument et Hadrien Clouet ainsi que Léon Deffontaines, tête de liste communiste aux dernières européennes.

La candidate du Nouveau Front populaire pour Matignon, Lucie Castets, a prôné mercredi un « changement de méthode » en faisant « confiance au travail collectif », manière de saluer la reprise de l’usine Duralex par ses salariés autant que d’appuyer ses ambitions gouvernementales. La haute fonctionnaire de 37 ans, désignée la semaine dernière par les quatre formations du NFP, a rendu visite aux salariés de l’emblématique manufacture verrière dont le projet de reprise en Scop a été validé vendredi par le tribunal de commerce d’Orléans, sauvant 226 emplois.

Devant l’usine de vaisselle réputée incassable, à La Chapelle-Saint-Mesmin (Loiret), Elle a fait part de « la nécessité d’un changement de méthode », réclamé par les salariés dans la direction de leur entreprise mais qui doit également s’appliquer selon elle à la conduite du pays. « On le porte, nous, Nouveau Front populaire. Et moi, personnellement, je porte un changement de méthode. Ce n’est pas qu’un slogan », a-t-elle martelé en disant vouloir « faire confiance davantage aux salariés et aux représentants syndicaux ».

Bonjour à toutes et à tous. Comme chaque jour, la rédaction de 20 Minutes est mobilisée pour vous donner l’ensemble des informations au sujet de la politique française. A Matignon, c’est toujours Gabriel Attal, bien que démissionnaire, qui gère les affaires courantes. Emmanuel Macron ne compte en effet pas nommer un nouveau Premier ministre avant la fin des JO. Alors que le chef de l’Etat est en vacances, la candidate du Nouveau Front populaire pour diriger le gouvernement, Lucie Castets, occupe le terrain afin d’installer son nom dans le paysage politique.

Les élus parisiens de l'opposition, ont envoyé une lettre au procureur de la République de Paris évoquant « une violation de son devoir de réserve par ses prises de position politiques, ce qui l'expose, a minima, à une sanction disciplinaire ». Ils y parlent aussi d'un possible « détournement de fonds publics » car toujours rémunérée par la Ville de Paris et profitant de « l'usage du service de presse » de la Mairie.

« Je vois bien que l'opposition de droite parisienne essaie de chercher des points d'appui contre le Nouveau Front populaire qui est arrivé en tête aux élections » législatives, a balayé Lucie Castets jeudi. « Ça détourne le débat des vraies questions », a-t-elle estimé.

Elle a également précisé que tous ses frais de déplacement étaient pris en charge par les partis constituant le nouveau Front populaire.

Le Canard enchaîné a en effet révélé que la candidate du NFP pour devenir Première ministre avait posé des congés payés plutôt que de se mettre en disponibilité. Son statut de fonctionnaire travaillant à la ville de Paris l'oblige à un devoir de réserve.