POLITIQUEXavier Darcos, «bouc émissaire» ou négociateur plus assez crédible?

Xavier Darcos, «bouc émissaire» ou négociateur plus assez crédible?

POLITIQUELe ministre le plus sévèrement battu aux régionales cède sa place à Eric Woerth...
Maud Noyon

Maud Noyon

Il avait survécu à l’Education, il est évincé à cause des régionales. Après ses mauvais résultats en Aquitaine, Xavier Darcos quitte son poste au ministère du Travail. Une éviction qui ne faisait plus aucun doute lundi dans la soirée alors que son entourage a confirmé lundi à l’AFP la réception de son «congé». Il devrait, selon un communiqué de l'Elysée, être rapidement appelé à «d'autres responsabilités».

En obtenant seulement 28% des suffrages contre 56% pour son adversaire socialiste Alain Rousset, Xavier Darcos a encaissé dimanche une nouvelle défaite, après sa déconvenue à la mairie de Périgueux en 2008 et une première claque à la conquête de l’Aquitaine en 2004.

En position de faiblesse pour négocier sur les retraites

Des mauvais résultats dans les urnes qui décrédibilisent le ministre à la veille des négociations pour la réforme des retraites, une des réformes clés de la fin du quinquennat de Nicolas Sarkozy. Il céderait ainsi sa place à un ministre incontesté, Eric Woerth, actuellement au Budget.

«C'est totalement injuste, Darcos a eu le courage d'y aller (aux élections), on savait que l'Aquitaine était une région très difficile», a commenté l'entourage du ministre en confirmant son éviction. «On ne comprend vraiment pas les raisons de son éviction, ce n'est pas dû à un dossier qui aurait été mal géré», précise l'entourage de Xavier Darcos, estimant que le ministre a été désigné comme «bouc-émissaire» à l’issue des régionales.

Sévèrement critiqué à la tête de l’Education

Troisième ministre du Travail en trois ans, Xavier Darcos, 62 ans, semblait pourtant suivre jusqu'alors un parcours proche de celui de François Fillon -aussi passé par l'Education et les Affaires sociales- et était cité parfois comme Premier ministrable. «Le destin d'un ministre est de servir, quitte à durer moins longtemps que les réformes qu'il a entreprises», a commenté lundi l'intéressé.

Le ministre semblait très affaibli depuis plusieurs mois.Sévèrement critiqué à la tête de l’Education -occupée de 2007 à 2009-, le ministre avait dû reculer sur la réforme des lycées sans perdre son poste et être transféré au Travail à l’issue des élections européennes. Dernière déconvenue, Xavier Darcos avait été «recadré» en février après le retrait controversé vendredi de son site internet des listes des entreprises mal notées en matière de prévention du stress.

Selon le leader de FO Jean-Claude Mailly, le départ de Xavier Darcos marque aussi la fin d' «initiatives intempestives apparemment remisées» comme l'annonce d'une nouvelle refonte de la législation du travail ou de la fin des plans sociaux visant des seniors.

a encaissé dimanche une nouvelle défaite

En obtenant seulement 28% des suffrages contre 56% pour son adversaire socialiste Alain Rousset, Xavier Darcos a encaissé dimanche une nouvelle défaite, après sa déconvenue à la mairie de Périgueux en 2008 et une première claque à la conquête de l’Aquitaine en 2004.

En position de faiblesse pour négocier sur les retraites

Des mauvais résultats dans les urnes qui décrédibilisent le ministre à la veille des négociations pour la réforme des retraites, une des réformes clés de la fin du quinquennat de Nicolas Sarkozy. Il céderait ainsi sa place à un ministre incontesté, Eric Woerth, actuellement au Budget.

«C'est totalement injuste, Darcos a eu le courage d'y aller (aux élections), on savait que l'Aquitaine était une région très difficile», a commenté l'entourage du ministre en confirmant son éviction. «On ne comprend vraiment pas les raisons de son éviction, ce n'est pas dû à un dossier qui aurait été mal géré», précise l'entourage de Xavier Darcos, estimant que le ministre a été désigné comme «bouc-émissaire» à l’issue des régionales.

Sévèrement critiqué à la tête de l’Education

Troisième ministre du Travail en trois ans, Xavier Darcos, 62 ans, semblait pourtant suivre jusqu'alors un parcours proche de celui de François Fillon -aussi passé par l'Education et les Affaires sociales- et était cité parfois comme Premier ministrable. «Le destin d'un ministre est de servir, quitte à durer moins longtemps que les réformes qu'il a entreprises», a commenté lundi l'intéressé.

Le ministre semblait très affaibli depuis plusieurs mois.Sévèrement critiqué à la tête de l’Education -occupée de 2007 à 2009-, le ministre avait dû reculer sur la réforme des lycées sans perdre son poste et être transféré au Travail à l’issue des élections européennes. Dernière déconvenue, Xavier Darcos avait été «recadré» en février après le retrait controversé vendredi de son site internet des listes des entreprises mal notées en matière de prévention du stress.

Selon le leader de FO Jean-Claude Mailly, le départ de Xavier Darcos marque aussi la fin d' «initiatives intempestives apparemment remisées» comme l'annonce d'une nouvelle refonte de la législation du travail ou de la fin des plans sociaux visant des seniors.


En obtenant seulement 28% des suffrages contre 56% pour son adversaire socialiste Alain Rousset, Xavier Darcos a encaissé dimanche une nouvelle défaite, après sa déconvenue à la mairie de Périgueux en 2008 et une première claque à la conquête de l’Aquitaine en 2004.

En position de faiblesse pour négocier sur les retraites

Des mauvais résultats dans les urnes qui décrédibilisent le ministre à la veille des négociations pour la réforme des retraites, une des réformes clés de la fin du quinquennat de Nicolas Sarkozy. Il céderait ainsi sa place à un ministre incontesté, Eric Woerth, actuellement au Budget.

«C'est totalement injuste, Darcos a eu le courage d'y aller (aux élections), on savait que l'Aquitaine était une région très difficile», a commenté l'entourage du ministre en confirmant son éviction. «On ne comprend vraiment pas les raisons de son éviction, ce n'est pas dû à un dossier qui aurait été mal géré», précise l'entourage de Xavier Darcos, estimant que le ministre a été désigné comme «bouc-émissaire» à l’issue des régionales.

Sévèrement critiqué à la tête de l’Education

Troisième ministre du Travail en trois ans, Xavier Darcos, 62 ans, semblait pourtant suivre jusqu'alors un parcours proche de celui de François Fillon -aussi passé par l'Education et les Affaires sociales- et était cité parfois comme Premier ministrable. «Le destin d'un ministre est de servir, quitte à durer moins longtemps que les réformes qu'il a entreprises», a commenté lundi l'intéressé.

Le ministre semblait très affaibli depuis plusieurs mois.Sévèrement critiqué à la tête de l’Education -occupée de 2007 à 2009-, le ministre avait dû reculer sur la réforme des lycées sans perdre son poste et être transféré au Travail à l’issue des élections européennes. Dernière déconvenue, Xavier Darcos avait été «recadré» en février après le retrait controversé vendredi de son site internet des listes des entreprises mal notées en matière de prévention du stress.

Selon le leader de FO Jean-Claude Mailly, le départ de Xavier Darcos marque aussi la fin d' «initiatives intempestives apparemment remisées» comme l'annonce d'une nouvelle refonte de la législation du travail ou de la fin des plans sociaux visant des seniors.


En obtenant seulement 28% des suffrages contre 56% pour son adversaire socialiste Alain Rousset, Xavier Darcos a encaissé dimanche une nouvelle défaite, après sa déconvenue à la mairie de Périgueux en 2008 et une première claque à la conquête de l’Aquitaine en 2004.

En position de faiblesse pour négocier sur les retraites

Des mauvais résultats dans les urnes qui décrédibilisent le ministre à la veille des négociations pour la réforme des retraites, une des réformes clés de la fin du quinquennat de Nicolas Sarkozy. Il céderait ainsi sa place à un ministre incontesté, Eric Woerth, actuellement au Budget.

«C'est totalement injuste, Darcos a eu le courage d'y aller (aux élections), on savait que l'Aquitaine était une région très difficile», a commenté l'entourage du ministre en confirmant son éviction. «On ne comprend vraiment pas les raisons de son éviction, ce n'est pas dû à un dossier qui aurait été mal géré», précise l'entourage de Xavier Darcos, estimant que le ministre a été désigné comme «bouc-émissaire» à l’issue des régionales.

Sévèrement critiqué à la tête de l’Education

Troisième ministre du Travail en trois ans, Xavier Darcos, 62 ans, semblait pourtant suivre jusqu'alors un parcours proche de celui de François Fillon -aussi passé par l'Education et les Affaires sociales- et était cité parfois comme Premier ministrable. «Le destin d'un ministre est de servir, quitte à durer moins longtemps que les réformes qu'il a entreprises», a commenté lundi l'intéressé.

Le ministre semblait très affaibli depuis plusieurs mois.Sévèrement critiqué à la tête de l’Education -occupée de 2007 à 2009-, le ministre avait dû reculer sur la réforme des lycées sans perdre son poste et être transféré au Travail à l’issue des élections européennes. Dernière déconvenue, Xavier Darcos avait été «recadré» en février après le retrait controversé vendredi de son site internet des listes des entreprises mal notées en matière de prévention du stress.

Selon le leader de FO Jean-Claude Mailly, le départ de Xavier Darcos marque aussi la fin d' «initiatives intempestives apparemment remisées» comme l'annonce d'une nouvelle refonte de la législation du travail ou de la fin des plans sociaux visant des seniors.

une des réformes clés de la fin du quinquennat de Nicolas Sarkozy

En obtenant seulement 28% des suffrages contre 56% pour son adversaire socialiste Alain Rousset, Xavier Darcos a encaissé dimanche une nouvelle défaite, après sa déconvenue à la mairie de Périgueux en 2008 et une première claque à la conquête de l’Aquitaine en 2004.

En position de faiblesse pour négocier sur les retraites

Des mauvais résultats dans les urnes qui décrédibilisent le ministre à la veille des négociations pour la réforme des retraites, une des réformes clés de la fin du quinquennat de Nicolas Sarkozy. Il céderait ainsi sa place à un ministre incontesté, Eric Woerth, actuellement au Budget.

«C'est totalement injuste, Darcos a eu le courage d'y aller (aux élections), on savait que l'Aquitaine était une région très difficile», a commenté l'entourage du ministre en confirmant son éviction. «On ne comprend vraiment pas les raisons de son éviction, ce n'est pas dû à un dossier qui aurait été mal géré», précise l'entourage de Xavier Darcos, estimant que le ministre a été désigné comme «bouc-émissaire» à l’issue des régionales.

Sévèrement critiqué à la tête de l’Education

Troisième ministre du Travail en trois ans, Xavier Darcos, 62 ans, semblait pourtant suivre jusqu'alors un parcours proche de celui de François Fillon -aussi passé par l'Education et les Affaires sociales- et était cité parfois comme Premier ministrable. «Le destin d'un ministre est de servir, quitte à durer moins longtemps que les réformes qu'il a entreprises», a commenté lundi l'intéressé.

Le ministre semblait très affaibli depuis plusieurs mois.Sévèrement critiqué à la tête de l’Education -occupée de 2007 à 2009-, le ministre avait dû reculer sur la réforme des lycées sans perdre son poste et être transféré au Travail à l’issue des élections européennes. Dernière déconvenue, Xavier Darcos avait été «recadré» en février après le retrait controversé vendredi de son site internet des listes des entreprises mal notées en matière de prévention du stress.

Selon le leader de FO Jean-Claude Mailly, le départ de Xavier Darcos marque aussi la fin d' «initiatives intempestives apparemment remisées» comme l'annonce d'une nouvelle refonte de la législation du travail ou de la fin des plans sociaux visant des seniors.


En obtenant seulement 28% des suffrages contre 56% pour son adversaire socialiste Alain Rousset, Xavier Darcos a encaissé dimanche une nouvelle défaite, après sa déconvenue à la mairie de Périgueux en 2008 et une première claque à la conquête de l’Aquitaine en 2004.

En position de faiblesse pour négocier sur les retraites

Des mauvais résultats dans les urnes qui décrédibilisent le ministre à la veille des négociations pour la réforme des retraites, une des réformes clés de la fin du quinquennat de Nicolas Sarkozy. Il céderait ainsi sa place à un ministre incontesté, Eric Woerth, actuellement au Budget.

«C'est totalement injuste, Darcos a eu le courage d'y aller (aux élections), on savait que l'Aquitaine était une région très difficile», a commenté l'entourage du ministre en confirmant son éviction. «On ne comprend vraiment pas les raisons de son éviction, ce n'est pas dû à un dossier qui aurait été mal géré», précise l'entourage de Xavier Darcos, estimant que le ministre a été désigné comme «bouc-émissaire» à l’issue des régionales.

Sévèrement critiqué à la tête de l’Education

Troisième ministre du Travail en trois ans, Xavier Darcos, 62 ans, semblait pourtant suivre jusqu'alors un parcours proche de celui de François Fillon -aussi passé par l'Education et les Affaires sociales- et était cité parfois comme Premier ministrable. «Le destin d'un ministre est de servir, quitte à durer moins longtemps que les réformes qu'il a entreprises», a commenté lundi l'intéressé.

Le ministre semblait très affaibli depuis plusieurs mois.Sévèrement critiqué à la tête de l’Education -occupée de 2007 à 2009-, le ministre avait dû reculer sur la réforme des lycées sans perdre son poste et être transféré au Travail à l’issue des élections européennes. Dernière déconvenue, Xavier Darcos avait été «recadré» en février après le retrait controversé vendredi de son site internet des listes des entreprises mal notées en matière de prévention du stress.

Selon le leader de FO Jean-Claude Mailly, le départ de Xavier Darcos marque aussi la fin d' «initiatives intempestives apparemment remisées» comme l'annonce d'une nouvelle refonte de la législation du travail ou de la fin des plans sociaux visant des seniors.

Darcos a eu le courage d'y aller

En obtenant seulement 28% des suffrages contre 56% pour son adversaire socialiste Alain Rousset, Xavier Darcos a encaissé dimanche une nouvelle défaite, après sa déconvenue à la mairie de Périgueux en 2008 et une première claque à la conquête de l’Aquitaine en 2004.

En position de faiblesse pour négocier sur les retraites

Des mauvais résultats dans les urnes qui décrédibilisent le ministre à la veille des négociations pour la réforme des retraites, une des réformes clés de la fin du quinquennat de Nicolas Sarkozy. Il céderait ainsi sa place à un ministre incontesté, Eric Woerth, actuellement au Budget.

«C'est totalement injuste, Darcos a eu le courage d'y aller (aux élections), on savait que l'Aquitaine était une région très difficile», a commenté l'entourage du ministre en confirmant son éviction. «On ne comprend vraiment pas les raisons de son éviction, ce n'est pas dû à un dossier qui aurait été mal géré», précise l'entourage de Xavier Darcos, estimant que le ministre a été désigné comme «bouc-émissaire» à l’issue des régionales.

Sévèrement critiqué à la tête de l’Education

Troisième ministre du Travail en trois ans, Xavier Darcos, 62 ans, semblait pourtant suivre jusqu'alors un parcours proche de celui de François Fillon -aussi passé par l'Education et les Affaires sociales- et était cité parfois comme Premier ministrable. «Le destin d'un ministre est de servir, quitte à durer moins longtemps que les réformes qu'il a entreprises», a commenté lundi l'intéressé.

Le ministre semblait très affaibli depuis plusieurs mois.Sévèrement critiqué à la tête de l’Education -occupée de 2007 à 2009-, le ministre avait dû reculer sur la réforme des lycées sans perdre son poste et être transféré au Travail à l’issue des élections européennes. Dernière déconvenue, Xavier Darcos avait été «recadré» en février après le retrait controversé vendredi de son site internet des listes des entreprises mal notées en matière de prévention du stress.

Selon le leader de FO Jean-Claude Mailly, le départ de Xavier Darcos marque aussi la fin d' «initiatives intempestives apparemment remisées» comme l'annonce d'une nouvelle refonte de la législation du travail ou de la fin des plans sociaux visant des seniors.


En obtenant seulement 28% des suffrages contre 56% pour son adversaire socialiste Alain Rousset, Xavier Darcos a encaissé dimanche une nouvelle défaite, après sa déconvenue à la mairie de Périgueux en 2008 et une première claque à la conquête de l’Aquitaine en 2004.

En position de faiblesse pour négocier sur les retraites

Des mauvais résultats dans les urnes qui décrédibilisent le ministre à la veille des négociations pour la réforme des retraites, une des réformes clés de la fin du quinquennat de Nicolas Sarkozy. Il céderait ainsi sa place à un ministre incontesté, Eric Woerth, actuellement au Budget.

«C'est totalement injuste, Darcos a eu le courage d'y aller (aux élections), on savait que l'Aquitaine était une région très difficile», a commenté l'entourage du ministre en confirmant son éviction. «On ne comprend vraiment pas les raisons de son éviction, ce n'est pas dû à un dossier qui aurait été mal géré», précise l'entourage de Xavier Darcos, estimant que le ministre a été désigné comme «bouc-émissaire» à l’issue des régionales.

Sévèrement critiqué à la tête de l’Education

Troisième ministre du Travail en trois ans, Xavier Darcos, 62 ans, semblait pourtant suivre jusqu'alors un parcours proche de celui de François Fillon -aussi passé par l'Education et les Affaires sociales- et était cité parfois comme Premier ministrable. «Le destin d'un ministre est de servir, quitte à durer moins longtemps que les réformes qu'il a entreprises», a commenté lundi l'intéressé.

Le ministre semblait très affaibli depuis plusieurs mois.Sévèrement critiqué à la tête de l’Education -occupée de 2007 à 2009-, le ministre avait dû reculer sur la réforme des lycées sans perdre son poste et être transféré au Travail à l’issue des élections européennes. Dernière déconvenue, Xavier Darcos avait été «recadré» en février après le retrait controversé vendredi de son site internet des listes des entreprises mal notées en matière de prévention du stress.

Selon le leader de FO Jean-Claude Mailly, le départ de Xavier Darcos marque aussi la fin d' «initiatives intempestives apparemment remisées» comme l'annonce d'une nouvelle refonte de la législation du travail ou de la fin des plans sociaux visant des seniors.


En obtenant seulement 28% des suffrages contre 56% pour son adversaire socialiste Alain Rousset, Xavier Darcos a encaissé dimanche une nouvelle défaite, après sa déconvenue à la mairie de Périgueux en 2008 et une première claque à la conquête de l’Aquitaine en 2004.

En position de faiblesse pour négocier sur les retraites

Des mauvais résultats dans les urnes qui décrédibilisent le ministre à la veille des négociations pour la réforme des retraites, une des réformes clés de la fin du quinquennat de Nicolas Sarkozy. Il céderait ainsi sa place à un ministre incontesté, Eric Woerth, actuellement au Budget.

«C'est totalement injuste, Darcos a eu le courage d'y aller (aux élections), on savait que l'Aquitaine était une région très difficile», a commenté l'entourage du ministre en confirmant son éviction. «On ne comprend vraiment pas les raisons de son éviction, ce n'est pas dû à un dossier qui aurait été mal géré», précise l'entourage de Xavier Darcos, estimant que le ministre a été désigné comme «bouc-émissaire» à l’issue des régionales.

Sévèrement critiqué à la tête de l’Education

Troisième ministre du Travail en trois ans, Xavier Darcos, 62 ans, semblait pourtant suivre jusqu'alors un parcours proche de celui de François Fillon -aussi passé par l'Education et les Affaires sociales- et était cité parfois comme Premier ministrable. «Le destin d'un ministre est de servir, quitte à durer moins longtemps que les réformes qu'il a entreprises», a commenté lundi l'intéressé.

Le ministre semblait très affaibli depuis plusieurs mois.Sévèrement critiqué à la tête de l’Education -occupée de 2007 à 2009-, le ministre avait dû reculer sur la réforme des lycées sans perdre son poste et être transféré au Travail à l’issue des élections européennes. Dernière déconvenue, Xavier Darcos avait été «recadré» en février après le retrait controversé vendredi de son site internet des listes des entreprises mal notées en matière de prévention du stress.

Selon le leader de FO Jean-Claude Mailly, le départ de Xavier Darcos marque aussi la fin d' «initiatives intempestives apparemment remisées» comme l'annonce d'une nouvelle refonte de la législation du travail ou de la fin des plans sociaux visant des seniors.


En obtenant seulement 28% des suffrages contre 56% pour son adversaire socialiste Alain Rousset, Xavier Darcos a encaissé dimanche une nouvelle défaite, après sa déconvenue à la mairie de Périgueux en 2008 et une première claque à la conquête de l’Aquitaine en 2004.

En position de faiblesse pour négocier sur les retraites

Des mauvais résultats dans les urnes qui décrédibilisent le ministre à la veille des négociations pour la réforme des retraites, une des réformes clés de la fin du quinquennat de Nicolas Sarkozy. Il céderait ainsi sa place à un ministre incontesté, Eric Woerth, actuellement au Budget.

«C'est totalement injuste, Darcos a eu le courage d'y aller (aux élections), on savait que l'Aquitaine était une région très difficile», a commenté l'entourage du ministre en confirmant son éviction. «On ne comprend vraiment pas les raisons de son éviction, ce n'est pas dû à un dossier qui aurait été mal géré», précise l'entourage de Xavier Darcos, estimant que le ministre a été désigné comme «bouc-émissaire» à l’issue des régionales.

Sévèrement critiqué à la tête de l’Education

Troisième ministre du Travail en trois ans, Xavier Darcos, 62 ans, semblait pourtant suivre jusqu'alors un parcours proche de celui de François Fillon -aussi passé par l'Education et les Affaires sociales- et était cité parfois comme Premier ministrable. «Le destin d'un ministre est de servir, quitte à durer moins longtemps que les réformes qu'il a entreprises», a commenté lundi l'intéressé.

Le ministre semblait très affaibli depuis plusieurs mois.Sévèrement critiqué à la tête de l’Education -occupée de 2007 à 2009-, le ministre avait dû reculer sur la réforme des lycées sans perdre son poste et être transféré au Travail à l’issue des élections européennes. Dernière déconvenue, Xavier Darcos avait été «recadré» en février après le retrait controversé vendredi de son site internet des listes des entreprises mal notées en matière de prévention du stress.

Selon le leader de FO Jean-Claude Mailly, le départ de Xavier Darcos marque aussi la fin d' «initiatives intempestives apparemment remisées» comme l'annonce d'une nouvelle refonte de la législation du travail ou de la fin des plans sociaux visant des seniors.

avait dû reculer sur la réforme des lycées

En obtenant seulement 28% des suffrages contre 56% pour son adversaire socialiste Alain Rousset, Xavier Darcos a encaissé dimanche une nouvelle défaite, après sa déconvenue à la mairie de Périgueux en 2008 et une première claque à la conquête de l’Aquitaine en 2004.

En position de faiblesse pour négocier sur les retraites

Des mauvais résultats dans les urnes qui décrédibilisent le ministre à la veille des négociations pour la réforme des retraites, une des réformes clés de la fin du quinquennat de Nicolas Sarkozy. Il céderait ainsi sa place à un ministre incontesté, Eric Woerth, actuellement au Budget.

«C'est totalement injuste, Darcos a eu le courage d'y aller (aux élections), on savait que l'Aquitaine était une région très difficile», a commenté l'entourage du ministre en confirmant son éviction. «On ne comprend vraiment pas les raisons de son éviction, ce n'est pas dû à un dossier qui aurait été mal géré», précise l'entourage de Xavier Darcos, estimant que le ministre a été désigné comme «bouc-émissaire» à l’issue des régionales.

Sévèrement critiqué à la tête de l’Education

Troisième ministre du Travail en trois ans, Xavier Darcos, 62 ans, semblait pourtant suivre jusqu'alors un parcours proche de celui de François Fillon -aussi passé par l'Education et les Affaires sociales- et était cité parfois comme Premier ministrable. «Le destin d'un ministre est de servir, quitte à durer moins longtemps que les réformes qu'il a entreprises», a commenté lundi l'intéressé.

Le ministre semblait très affaibli depuis plusieurs mois.Sévèrement critiqué à la tête de l’Education -occupée de 2007 à 2009-, le ministre avait dû reculer sur la réforme des lycées sans perdre son poste et être transféré au Travail à l’issue des élections européennes. Dernière déconvenue, Xavier Darcos avait été «recadré» en février après le retrait controversé vendredi de son site internet des listes des entreprises mal notées en matière de prévention du stress.

Selon le leader de FO Jean-Claude Mailly, le départ de Xavier Darcos marque aussi la fin d' «initiatives intempestives apparemment remisées» comme l'annonce d'une nouvelle refonte de la législation du travail ou de la fin des plans sociaux visant des seniors.

transféré au Travail à l’issue des élections européennes

En obtenant seulement 28% des suffrages contre 56% pour son adversaire socialiste Alain Rousset, Xavier Darcos a encaissé dimanche une nouvelle défaite, après sa déconvenue à la mairie de Périgueux en 2008 et une première claque à la conquête de l’Aquitaine en 2004.

En position de faiblesse pour négocier sur les retraites

Des mauvais résultats dans les urnes qui décrédibilisent le ministre à la veille des négociations pour la réforme des retraites, une des réformes clés de la fin du quinquennat de Nicolas Sarkozy. Il céderait ainsi sa place à un ministre incontesté, Eric Woerth, actuellement au Budget.

«C'est totalement injuste, Darcos a eu le courage d'y aller (aux élections), on savait que l'Aquitaine était une région très difficile», a commenté l'entourage du ministre en confirmant son éviction. «On ne comprend vraiment pas les raisons de son éviction, ce n'est pas dû à un dossier qui aurait été mal géré», précise l'entourage de Xavier Darcos, estimant que le ministre a été désigné comme «bouc-émissaire» à l’issue des régionales.

Sévèrement critiqué à la tête de l’Education

Troisième ministre du Travail en trois ans, Xavier Darcos, 62 ans, semblait pourtant suivre jusqu'alors un parcours proche de celui de François Fillon -aussi passé par l'Education et les Affaires sociales- et était cité parfois comme Premier ministrable. «Le destin d'un ministre est de servir, quitte à durer moins longtemps que les réformes qu'il a entreprises», a commenté lundi l'intéressé.

Le ministre semblait très affaibli depuis plusieurs mois.Sévèrement critiqué à la tête de l’Education -occupée de 2007 à 2009-, le ministre avait dû reculer sur la réforme des lycées sans perdre son poste et être transféré au Travail à l’issue des élections européennes. Dernière déconvenue, Xavier Darcos avait été «recadré» en février après le retrait controversé vendredi de son site internet des listes des entreprises mal notées en matière de prévention du stress.

Selon le leader de FO Jean-Claude Mailly, le départ de Xavier Darcos marque aussi la fin d' «initiatives intempestives apparemment remisées» comme l'annonce d'une nouvelle refonte de la législation du travail ou de la fin des plans sociaux visant des seniors.

retrait controversé vendredi de son site internet des listes des entreprises mal notées

En obtenant seulement 28% des suffrages contre 56% pour son adversaire socialiste Alain Rousset, Xavier Darcos a encaissé dimanche une nouvelle défaite, après sa déconvenue à la mairie de Périgueux en 2008 et une première claque à la conquête de l’Aquitaine en 2004.

En position de faiblesse pour négocier sur les retraites

Des mauvais résultats dans les urnes qui décrédibilisent le ministre à la veille des négociations pour la réforme des retraites, une des réformes clés de la fin du quinquennat de Nicolas Sarkozy. Il céderait ainsi sa place à un ministre incontesté, Eric Woerth, actuellement au Budget.

«C'est totalement injuste, Darcos a eu le courage d'y aller (aux élections), on savait que l'Aquitaine était une région très difficile», a commenté l'entourage du ministre en confirmant son éviction. «On ne comprend vraiment pas les raisons de son éviction, ce n'est pas dû à un dossier qui aurait été mal géré», précise l'entourage de Xavier Darcos, estimant que le ministre a été désigné comme «bouc-émissaire» à l’issue des régionales.

Sévèrement critiqué à la tête de l’Education

Troisième ministre du Travail en trois ans, Xavier Darcos, 62 ans, semblait pourtant suivre jusqu'alors un parcours proche de celui de François Fillon -aussi passé par l'Education et les Affaires sociales- et était cité parfois comme Premier ministrable. «Le destin d'un ministre est de servir, quitte à durer moins longtemps que les réformes qu'il a entreprises», a commenté lundi l'intéressé.

Le ministre semblait très affaibli depuis plusieurs mois.Sévèrement critiqué à la tête de l’Education -occupée de 2007 à 2009-, le ministre avait dû reculer sur la réforme des lycées sans perdre son poste et être transféré au Travail à l’issue des élections européennes. Dernière déconvenue, Xavier Darcos avait été «recadré» en février après le retrait controversé vendredi de son site internet des listes des entreprises mal notées en matière de prévention du stress.

Selon le leader de FO Jean-Claude Mailly, le départ de Xavier Darcos marque aussi la fin d' «initiatives intempestives apparemment remisées» comme l'annonce d'une nouvelle refonte de la législation du travail ou de la fin des plans sociaux visant des seniors.


En obtenant seulement 28% des suffrages contre 56% pour son adversaire socialiste Alain Rousset, Xavier Darcos a encaissé dimanche une nouvelle défaite, après sa déconvenue à la mairie de Périgueux en 2008 et une première claque à la conquête de l’Aquitaine en 2004.

En position de faiblesse pour négocier sur les retraites

Des mauvais résultats dans les urnes qui décrédibilisent le ministre à la veille des négociations pour la réforme des retraites, une des réformes clés de la fin du quinquennat de Nicolas Sarkozy. Il céderait ainsi sa place à un ministre incontesté, Eric Woerth, actuellement au Budget.

«C'est totalement injuste, Darcos a eu le courage d'y aller (aux élections), on savait que l'Aquitaine était une région très difficile», a commenté l'entourage du ministre en confirmant son éviction. «On ne comprend vraiment pas les raisons de son éviction, ce n'est pas dû à un dossier qui aurait été mal géré», précise l'entourage de Xavier Darcos, estimant que le ministre a été désigné comme «bouc-émissaire» à l’issue des régionales.

Sévèrement critiqué à la tête de l’Education

Troisième ministre du Travail en trois ans, Xavier Darcos, 62 ans, semblait pourtant suivre jusqu'alors un parcours proche de celui de François Fillon -aussi passé par l'Education et les Affaires sociales- et était cité parfois comme Premier ministrable. «Le destin d'un ministre est de servir, quitte à durer moins longtemps que les réformes qu'il a entreprises», a commenté lundi l'intéressé.

Le ministre semblait très affaibli depuis plusieurs mois.Sévèrement critiqué à la tête de l’Education -occupée de 2007 à 2009-, le ministre avait dû reculer sur la réforme des lycées sans perdre son poste et être transféré au Travail à l’issue des élections européennes. Dernière déconvenue, Xavier Darcos avait été «recadré» en février après le retrait controversé vendredi de son site internet des listes des entreprises mal notées en matière de prévention du stress.

Selon le leader de FO Jean-Claude Mailly, le départ de Xavier Darcos marque aussi la fin d' «initiatives intempestives apparemment remisées» comme l'annonce d'une nouvelle refonte de la législation du travail ou de la fin des plans sociaux visant des seniors.