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Ces « petites phrases » qui ont fait basculer les présidentielles

Présidentielle 2022 : Ces « petites phrases » qui ont fait basculer les campagnes précédentes

PUNCHLINECe vendredi, Brut, partenaire de « 20 Minutes », se souvient des phrases choc des élections passées
20 Minutes avec Brut

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Les élections présidentielles 2022 seront-elles, comme les précédentes, marquées par la formule « choc » d’une candidate ou d’un candidat ? Vous savez, une de ces petites phrases bien senties qui illustrent, des années plus tard, telle ou telle campagne. D’ailleurs… vous souvenez-vous seulement de celles définitivement « entrées dans l’histoire » ?

De la peine de mort aux 35 heures

Les plus âgés n’ont pas oublié comment, en 1974, Valéry Giscard d’Estaing rappelait à son adversaire François Mitterrand qu’il « n’avait pas le monopole du cœur ». Ou le courage de ce même François Mitterrand reconnaissant publiquement, en 1981 et alors qu’une majorité de Français était pour la peine de mort, que lui-même n’y était « pas favorable ».

Suivirent la « fracture sociale » de Jacques Chirac qui, en 1995, évoquait déjà « certains quartiers à la dérive, où la loi ne s’applique plus » ; Le « travailler plus pour gagner plus » de Nicolas Sarkozy, en 2007 ; Le « monde de la finance, véritable adversaire » de François Hollande en 2012 et « projet partagé » d’ Emmanuel Macron en 2017.

(Re) découvrez ces formules « éternelles » dans cette vidéo de notre partenaire Brut.



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