Terminé
Macron au «13 Heures»: Pour Les Républicains, Macron «a pris les Français pour des enfants»...
INTERVIEW•Revivez l’interview d’Emmanuel Macron au JT de TF1 en direct sur « 20 Minutes »…N.R
L'ESSENTIEL
- Emmanuel Macron était l'invité du JT de 13h de Jean-Pierre Pernaut, sur TF1 ce jeudi.
- Pour l'occasion, le journal s'est déplacé dans une école primaire de l'Orne, à Berd'huis.
- Le président a abordé des sujets tels que la limitation de vitesse à 80km/h, la hausse de la CSG ou bien la réforme de la SNCF.
17h00
Ce live est désormais terminé. Merci de l'avoir suivi avec nous.
16h15
Macron «a pris les Français pour des enfants»:
L'attaque est venue de Bruno Retailleau, président du groupe LR au Sénat : «Le président de la République est venu dire aux Français qu'il avait raison sur tout, qu'il savait tout et que les Français inquiets ne comprenaient rien. Il ne changera rien. Dans une salle de classe, il les a pris pour des enfants».
16h00
Florian Philippot est très remonté:
Voici ce que dit le patron des Patriotes dans un communiqué: «L'autosatisfaction du président est à son comble (...) mais il est dans l'enfumage permanent et prétend être le président de tous les Français, quel cynisme quand on sait le fond de la politique menée. Emmanuel Macron s'enferme en réalité dans une vision technocratique».
15h45
«La volonté sans faille» de Macron:
Au milieu de ces critiques, heureusement le chef d el'Etat peut compter sur ses troupes comme le patron des députés En marche! à l'Assemblée.
15h30
Macron est «hors-sol» pour Mélenchon:
15h20
Chez Les Républicains, on sort la sulfateuse contre Macron:
Pour le député de l'Ain, Damien Abad, Macron est déconnecté
Gilles Platret, porte-parole des Républicains en a rajouté une couche:
Idem pour le vice-président du parti qui parle de Macron comme le Président des carabistouilles.
15h15
Voici ce qu’il faut retenir de l’interview de Macron :
Dans cet article, on balaie les sujets sur lesquels Emmanuel Macron a été interrogé.
15h00
«Emmanuel Macron a encore joué les donneurs de leçons»
Les réactions commencent à tomber après l'interview d'Emmanuel Macron
14h11
« Le fait qu'il y ait des gens parfois pas contents ne m'arrête pas » conclut Macron
C'est la fin de l'interview de Jean-Pierre Pernaut. Merci de l'avoir suivie sur 20 Minutes !
14h10
Macron juge que de nombreux blocages des facs sont dûs à des « professionnels du désordre »
«Si les étudiants veulent avoir leurs examens, il vaut mieux les réviser, car il n'y aura pas d'examens en chocolat dans la République » avertit le président.
14h08
Dernière question sur l'évacuation de la Zad de Notre-Dame-des-Landes
«Nous avons annoncé que l'aéroport ne serait pas fait, et que l'ordre républicain serait rétabli (...) depuis le début de la semaine nous faisons ce que nos concitoyens attendent de l'Etat. »
13h58
Question sur la limitation à 80km/h
«Notre sang s'est échauffé sur cette affaire. Les Françaises et les Français ça les ennuie toujours qu'on régule la route (...) Les expérimentations qui ont été faites elles ont été efficaces. Au 1er juillet, les routes (hors les 2x2 voies) seront limitées pour deux ans à 80 km/h. Et je prend deux engagements : durant ces deux années, l'argent perçu sur les contraventions liés à ces routes sera dédié aux hôpitaux qui soignent les blessés de la route. Et on rendra transparent les résultats. Si ça ne marche pas on arrêtera »
13h53
Le chef de l'Etat est-il aussi le « président des villes » ? demande Jean-Pierre Pernaut
«Il y a une France des villes (...) une France des quartiers (...) une France des villes périphériques (...) une France rurale qui perd des habitants, et une France rurale qui gagne des habitants. C'est plus compliqué que la caricature entre les villes et les champs » reprend Macron.
13h50
Macron répond sur son image de « président des riches »
«Les riches ils n'ont pas besoin d'un président, ils se débrouillent très bien tous seuls. Je suis président de tous les Français ».
13h45
Emmanuel Macron est questionné sur la politique envers les fichés S et la mouvance salafiste.
«Il faut faire attention à ce qu'on appelle salafiste (...) il n'y a pas de définition juridique. Nous avons fait voter une loi à l'automne dernier, et depuis nous avons fermé trois mosquées.»
Emmanuel Macron poursuit: «L'islam radical, c'est un problème (...) on poursuit ceux qui font ça pour les expulser, on doit clarifier les règles de fonctionnement et de financement [des mosquées]. Je ne veux plus de mosquées qui s'ouvrent avec de l'argent caché ». Le président annonce également un renforcement sur le contrôle des écoles hors-contrat.
13h41
Jean-Pierre Pernaut demande si Emmanuel Macron va baisser les impôts, au vu du retour de la croissance
«On a une dette amassée sur les 35 dernières années » rétorque le président. «Quand vous avez des dettes avec la banque, vous commencez à rembourser, vous ne dites pas tiens j'ai un peu plus, je vais dépenser davantage. Si on a de l'argent en plus, je préfère l'investir : l'investir dans l'agriculture, le bio, les circuits courts. Aider l'industrie, et aider les plus modestes comme on l'a fait avec le minimum vieillesse et comme on le fera avec l'allocation adulte handicapé. »
13h37
« Si on ne fait pas cet effort, dans 5 ans, dans 10 ans, on n'arrivera plus à financer le système de retraite » assure Macron
«J'ai beaucoup de considération pour nos aînés » conclut le chef de l'Etat.
13h28
Jean-Pierre Pernaut fait part de la colère des retraités sur la CSG, dont le pouvoir d'achat a diminué
«J'ai demandé un effort aux retraités » assume Macron. « Je leur dis merci » poursuit-il. Le président déroule ensuite ses mesures pour les retraités « 20 euros par mois en moins, c'est beaucoup, mais c'est la condition pour ne pas qu'il y ait de risque sur vos retraites (...) Attendez le 1er novembre, vous aurez un tiers de taxe d'habitation en moins ».
13h25
Emmanuel Macron est interrogé sur la situation dans les hôpitaux
«Sur l'hôpital, il y a des situations de très grand stress» reconnait le président, qui poursuit : « On va essayer de mieux organiser (...) on va mettre plus de moyens dans l'hôpital ». Emmanuel Macron annonce également un changement sur la tarification, pour passer dans certains cas d'une tarification à l'acte (T2A) à celle d'un « parcours de soin ».
13h23
« N'ayez pas de craintes illégitimes » lance Macron aux cheminots
«Je respecte cette lutte, mais je leur demande d'avoir toute la considération qu'il faut pour nos citoyens et pour les entreprises ».