DIPLOMATIE«France is back», «la France est de retour», prévient Macron depuis Davos

VIDEO. «France is back», «la France est de retour», prévient Emmanuel Macron depuis Davos

DIPLOMATIELe chef de l’Etat a réclamé un « nouveau contrat mondial » face à une mondialisation « qui tire le monde vers le bas»...
20 Minutes avec AFP

20 Minutes avec AFP

Ses quelques mots ont suscité les applaudissements des grands patrons et dirigeants politiques réunis à Davos. « France is back », « la France est de retour », a lancé mercredi le président français Emmanuel Macron. « Il était interdit d’échouer en France et interdit de réussir », a affirmé le président français dans un discours au Forum économique mondial, lui qui veut encourager au contraire à « prendre des risques », et qui a longuement détaillé ses réformes en anglais.

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

Avertissement face à la montée des extrémismes

C’est en français que le chef de l’Etat a poursuivi sa longue allocution, pour réclamer un « nouveau contrat mondial » face à une mondialisation « qui tire le monde vers le bas ». Sans quoi, a-t-il averti, « les extrémismes gagneront dans 10 ou 15 ans dans tous les pays. »

Emmanuel Macron a par exemple appelé les multinationales, dont beaucoup ont envoyé leur état-major dans la très chic station de ski suisse, à « renoncer à l’optimisation fiscale à tous crins ». Les gouvernements devraient eux avoir des « stratégies fiscales coordonnées au niveau international », notamment pour taxer les géants du numérique « qui ne paient pas d’impôts », a dit le président français.

S’il vient de baisser le taux d’imposition des sociétés, tout comme d’ailleurs le président américain Donald Trump, attendu jeudi à Davos, Emmanuel Macron n’en a pas moins appelé à cesser la « course au moins-disant » fiscal entre Etats. Le président français souhaite par exemple que les Etats-Unis et la Chine rejoignent une initiative d’harmonisation fiscale menée par l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE).

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies