ASSEMBLEE NATIONALEUn mois et demi plus tard... c'est le bordel dans l'hémicycle !

Après un mois et demi de sessions parlementaires… C’est le bordel dans l’hémicycle !

ASSEMBLEE NATIONALEEntre punchlines et échanges musclés, c’est à celui qui aura la meilleure répartie…
Après un mois et demi de sessions parlementaires,... C'est le bordel dans l'hémicycle !
Emilie Petit

Emilie Petit

L'essentiel

  • La première session parlementaire s’est déroulée le 27 juin 2017. Où en sont les débats, un mois plus tard ?
  • L’Assemblée nationale affiche, aujourd’hui, un hémicycle cosmopolite. Pas toujours facile…

Le 27 juin dernier, 577 députés faisaient leur entrée dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale. Certains pour la première fois. Depuis, entre votes d’amendements et d’articles, les journées - et les nuits - ont sans doute semblé longues à plus d’un. Si bien que parfois, la machine et ses rouages se sont emballés…

À l’image d’un François de Rugy, président de l’Assemblée nationale, un tantinet agacé et victime de son micro resté ouvert. « Putain, il est chiant » a-t-il lâché, sûrement par inadvertance, avant l’intervention du député communiste Jean-Paul Dufrègne.

Où encore d’un François Ruffin (LFI) révolté (toujours) par, selon lui, la négligence du président dans le comptage des voix lors du vote d’un amendement. « Y’a une opportunité de faire un assis-debout, je sais pas ce que c’est exactement, m’enfin on peut jouer un peu », s’est-il amusé.

Bref, dans l’hémicycle, on aime se taquiner. Rigoler aussi. Mais surtout, « on est là pour travailler ! », dixit Christian Jacob, président du groupe LR et habitué des rangs depuis… 1992.