ELECTIONJean-Louis Debré avoue avoir voté Hollande à la présidentielle de 2012

Présidentielle: Jean-Louis Debré avoue avoir voté Hollande en 2012, et ne voterait pas Sarkozy en 2017

ELECTIONL’ancien président du Conseil constitutionnel a par ailleurs confirmé son soutien à Alain Juppé dans la primaire de la droite…
Jean-Louis Debré, ancien président du Conseil constitutionnel, à Paris en octobre 2010.
Jean-Louis Debré, ancien président du Conseil constitutionnel, à Paris en octobre 2010. - THOMAS SAMSON / AFP
20 Minutes avec AFP

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Ce n’est un secret pour personne, déteste Nicolas Sarkozy. L’ancien président l’a réaffirmé ce mardi matin au micro de . Il a également révélé avoir voté pour en 2012, et laissé entendre qu’il ne donnerait pas son suffrage à Nicolas Sarkozy l’an prochain si ce dernier gagnait les primaires de la droite.

A la question : « Si est désigné par la primaire , vous ne voterez pas pour lui ? », Jean-Louis Debré a répondu : « Pour moi, qu’on soit à droite ou à gauche, l’important, c’est d’être républicain. J’ai déjà voté à gauche. Ne me demandez pas de faire un choix alors que je ne connais pas les candidats qui sont en présence. »

En 2012, vous avez voté Hollande ? « Oui. Voilà. C’est très simple. »

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« C’est Alain Juppé qui a le meilleur profil, l’autorité, la dignité, l’expérience »

Jean-Louis Debré a par ailleurs confirmé ce mardi son soutien à Alain Juppé dans , après avoir assisté lundi soir à son meeting au Zénith de Paris. « Je suis très opposé au principe même des primaires. » Mais « aujourd’hui, le temps de se lamenter sur les primaires est terminé. La France est à un tournant après un quinquennat bling-bling (…] et un deuxième quinquennat totalement raté. La France doit se reprendre », a-t-il déclaré.

« Nous avons besoin d’un président qui rassemble, qui redonne à l’Etat une autorité qu’il a perdue. Et je pense qu’aujourd’hui, dans le panorama de ceux qui se présentent, à droite comme à gauche - à gauche, on ne sait pas encore - c’est qui a le meilleur profil, l’autorité, la dignité, l’expérience pour remettre la France dans le droit chemin », a poursuivi celui qui fut également ministre de l’Intérieur Juppé (1995-1997).