PRESIDENTIELLEPour Cambadélis, Valls est l'un des plus «présidentiables» du PS

Présidentielle: Pour Jean-Christophe Cambadélis, Valls est l'un des plus «présidentiables» du PS

PRESIDENTIELLESi François Hollande ne se représente pas à la présidentielle, « il y a quatre ou cinq personnalités qui peuvent se présenter », selon le patron du Parti socialiste…
20 Minutes avec AFP

20 Minutes avec AFP

On ne sait toujours pas officiellement si François Hollande sera candidat à sa propre succession. Dans l’attente d’une décision de l’actuel chef de l’Etat, Manuel Valls est l’un des « présidentiables » du Parti socialiste, a estimé ce lundi sur France Inter. Ce dernier a même ajouté que « [le Premier ministre] est celui sûrement qui a aujourd’hui le plus de possibilités ».

« Il y a beaucoup de personnalités, pas énormément, mais il y a quatre ou cinq personnalités qui peuvent se présenter. La principale vous le savez bien, c’est », a déclaré Jean-Christophe Cambadélis sur , précisant qu'« on n’en est pas là » parce que « pour l’instant on ne sait pas si le président de la République se représentera ».

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D’autres candidats possibles

« Il est Premier ministre et c’est l’un de nos présidentiables. C’est celui sûrement qui a aujourd’hui le plus de possibilités. Mais il y a d’autres candidats possibles », a-t-il ajouté.

« Tout le monde sait, au fond, que c’est le président de la République qui décidera s’il se présente ou s’il ne se présente pas », a affirmé Jean-Christophe Cambadélis. Relancé plus tard sur , il a jugé que François Hollande « ne s’est pas facilité le travail, mais pour autant c’est à lui de prendre la décision ».

Toujours à propos de ce livre polémique, il a estimé « qu’il y avait beaucoup de préventions avant et que ce livre a permis de les cristalliser, alors qu’elles étaient tues à l’intérieur de la gauche ». « C’est cela le rôle de ce livre, c’est un catalyseur de la situation, de l’interrogation, qui existait bien avant l’écriture de ce livre ».

« Il y a un risque que nous soyons très bas aux élections présidentielles parce que nous n’avons pas surmonté nos propres difficultés à présenter un candidat de rassemblement », a-t-il reconnu, évoquant également un « risque qu’aux élections législatives le Front national soit beaucoup plus haut que les commentateurs et les analystes ne le disent aujourd’hui ».