POLITIQUEPour Sarkozy, Hollande et Tsipras ont la même méthode, «le mensonge»

Pour Sarkozy, Hollande et Tsipras ont la même méthode, «le mensonge»

POLITIQUE«Mentir à tout prix, mentir à tout prix pour conquérir le pouvoir», voilà leur méthode, a lancé Nicolas Sarkozy...
François Hollande et Alexis Tsipras le 22 juin à Bruxelles.
François Hollande et Alexis Tsipras le 22 juin à Bruxelles. - Geert Vanden Wijngaert/AP/Sipa
Maud Pierron

M.P.

Pour Nicolas Sarkozy, François Hollande et Alexis Tsipras, c'est du pareil au même. En déplacement à Nice pour le lancement officiel de la caravane du parti, l'ex-chef de l'Etat a comparé dimanche le président français et le chef de gouvernement grec qui ont, selon lui, la même propension à mentir. «Ils ont la même méthode: mentir à tout prix, mentir à tout prix pour conquérir le pouvoir. (…) L’un a menti aux Grecs, l’autre a menti aux Français», a lancé le président du parti les Républicains, ainsi que le rapporte Le Monde.

Des mensonges qui entraînent «la désespérance»

Nicolas Sarkozy a ainsi devisé sur les «ravages du mensonge en politique», taclant François Hollande et ses promesses non tenues, comme la baisse du chômage, mais aussi Alexis Tsipras, qui a signé un accord contraire aux engagements du référendum qu'il a organisé et gagné.

Ces mensonges entraînent «la colère, la désespérance et la violence» en France et en Europe, a assuré Nicolas Sarkozy, s'étonnant par ailleurs de la «mansuétude de certains à l’égard de M. Tsipras, reçu en grande pompe à l’Elysée» alors que son gouvernement est «composé de l’extrême gauche et de l’extrême droite ».

le rapporte Le Monde.

Pour Nicolas Sarkozy, François Hollande et Alexis Tsipras, c'est du pareil au même. En déplacement à Nice pour le lancement officiel de la caravane du parti, l'ex-chef de l'Etat a comparé dimanche le président français et le chef de gouvernement grec qui ont, selon lui, la même propension à mentir. «Ils ont la même méthode: mentir à tout prix, mentir à tout prix pour conquérir le pouvoir. (…) L’un a menti aux Grecs, l’autre a menti aux Français», a lancé le président du parti les Républicains, ainsi que le rapporte Le Monde.

Des mensonges qui entraînent «la désespérance»

Nicolas Sarkozy a ainsi devisé sur les «ravages du mensonge en politique», taclant François Hollande et ses promesses non tenues, comme la baisse du chômage, mais aussi Alexis Tsipras, qui a signé un accord contraire aux engagements du référendum qu'il a organisé et gagné.

Ces mensonges entraînent «la colère, la désespérance et la violence» en France et en Europe, a assuré Nicolas Sarkozy, s'étonnant par ailleurs de la «mansuétude de certains à l’égard de M. Tsipras, reçu en grande pompe à l’Elysée» alors que son gouvernement est «composé de l’extrême gauche et de l’extrême droite ».


Pour Nicolas Sarkozy, François Hollande et Alexis Tsipras, c'est du pareil au même. En déplacement à Nice pour le lancement officiel de la caravane du parti, l'ex-chef de l'Etat a comparé dimanche le président français et le chef de gouvernement grec qui ont, selon lui, la même propension à mentir. «Ils ont la même méthode: mentir à tout prix, mentir à tout prix pour conquérir le pouvoir. (…) L’un a menti aux Grecs, l’autre a menti aux Français», a lancé le président du parti les Républicains, ainsi que le rapporte Le Monde.

Des mensonges qui entraînent «la désespérance»

Nicolas Sarkozy a ainsi devisé sur les «ravages du mensonge en politique», taclant François Hollande et ses promesses non tenues, comme la baisse du chômage, mais aussi Alexis Tsipras, qui a signé un accord contraire aux engagements du référendum qu'il a organisé et gagné.

Ces mensonges entraînent «la colère, la désespérance et la violence» en France et en Europe, a assuré Nicolas Sarkozy, s'étonnant par ailleurs de la «mansuétude de certains à l’égard de M. Tsipras, reçu en grande pompe à l’Elysée» alors que son gouvernement est «composé de l’extrême gauche et de l’extrême droite ».

signé un accord contraire aux engagements du référendum qu'il a organisé et gagné.

Pour Nicolas Sarkozy, François Hollande et Alexis Tsipras, c'est du pareil au même. En déplacement à Nice pour le lancement officiel de la caravane du parti, l'ex-chef de l'Etat a comparé dimanche le président français et le chef de gouvernement grec qui ont, selon lui, la même propension à mentir. «Ils ont la même méthode: mentir à tout prix, mentir à tout prix pour conquérir le pouvoir. (…) L’un a menti aux Grecs, l’autre a menti aux Français», a lancé le président du parti les Républicains, ainsi que le rapporte Le Monde.

Des mensonges qui entraînent «la désespérance»

Nicolas Sarkozy a ainsi devisé sur les «ravages du mensonge en politique», taclant François Hollande et ses promesses non tenues, comme la baisse du chômage, mais aussi Alexis Tsipras, qui a signé un accord contraire aux engagements du référendum qu'il a organisé et gagné.

Ces mensonges entraînent «la colère, la désespérance et la violence» en France et en Europe, a assuré Nicolas Sarkozy, s'étonnant par ailleurs de la «mansuétude de certains à l’égard de M. Tsipras, reçu en grande pompe à l’Elysée» alors que son gouvernement est «composé de l’extrême gauche et de l’extrême droite ».

eçu en grande pompe à l’Elysée

Pour Nicolas Sarkozy, François Hollande et Alexis Tsipras, c'est du pareil au même. En déplacement à Nice pour le lancement officiel de la caravane du parti, l'ex-chef de l'Etat a comparé dimanche le président français et le chef de gouvernement grec qui ont, selon lui, la même propension à mentir. «Ils ont la même méthode: mentir à tout prix, mentir à tout prix pour conquérir le pouvoir. (…) L’un a menti aux Grecs, l’autre a menti aux Français», a lancé le président du parti les Républicains, ainsi que le rapporte Le Monde.

Des mensonges qui entraînent «la désespérance»

Nicolas Sarkozy a ainsi devisé sur les «ravages du mensonge en politique», taclant François Hollande et ses promesses non tenues, comme la baisse du chômage, mais aussi Alexis Tsipras, qui a signé un accord contraire aux engagements du référendum qu'il a organisé et gagné.

Ces mensonges entraînent «la colère, la désespérance et la violence» en France et en Europe, a assuré Nicolas Sarkozy, s'étonnant par ailleurs de la «mansuétude de certains à l’égard de M. Tsipras, reçu en grande pompe à l’Elysée» alors que son gouvernement est «composé de l’extrême gauche et de l’extrême droite ».