VIDEO. #DirectPolitique: Gérard Larcher a répondu à vos questions
POLITIQUE•L'ancien président du Sénat a répondu à vos questions en direct et en vidéo sur 20minutes.fr, en partenariat avec linternaute.com et «Ouest-France»...Armelle Le Goff
Le sénateur UMP des Yvelines s’en est vigoureusement pris à la réforme territoriale, dans le cadre de l’émission #DirectPolitique, sur 20minutes.fr, en partenariat avec Ouest-France et linternaute.com. Il estime que le l’objectf d’une réforme au printemps 2015 est «quasiment impossible si on veut faire une réforme sérieuse, qui est le fruit d’un débat démocratique, donc devant le Parlement, et qui puisse être appliquée!»
Candidat à la présidence du Sénat, qui devrait passer à droite lors des prochaines élections sénatoriales du 28 septembre, il a par ailleurs, estimé que la candidature de Nicolas Sarkozy à la présidence de l’UMP était «un choix légitime, qui va l’engager à reconstruire une fonction politique. Les statuts n’empêchent pas le président à être candidat lors de l’élection présidentielle.»
Gérard Larcher, ancien président de la Haute Assemblée a bien l’intention de retrouver son siège, perdu en 2011 après que Jean-Pierre Bel (PS) l’eut emporté. Tout l’été, l’UMP Gérard Larcher a donc été en campagne active.
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Les élections sénatoriales le 28 septembre
Les postulants au Sénat ont commencé ce lundi à déposer leur candidature pour le scrutin du 28 septembre. Cette élection pourrait permettre à la droite de retrouver la majorité à la Haute Assemblée. Elle pourrait aussi marquer l’arrivée, pour la première fois, d’un sénateur Front national (FN).
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La moitié des départements sont concernés par ce scrutin puisque le Sénat est renouvelable par moitié tous les trois ans. Cette année, ce sont les départements compris, par ordre alphabétique, entre l’Ain (01) et l’Indre (36), puis du Bas-Rhin (67) à l’Yonne (89), hors ceux de l’Ile-de-France, ainsi que ceux de Guyane, de Polynésie française, de Saint-Barthélemy, de Saint-Martin, des Iles Wallis et Futuna. A cette liste, s’ajoute le siège de Jean Arthuis (Mayenne), démissionnaire à la suite de son élection en mai au Parlement européen.
La présidence de la Haute Assemblée le 1er octobre
«Je suis candidat parce que le Sénat est en panne. Depuis deux ans, il n’a pesé sur aucun texte comme il avait pu le faire sur la loi pénitentiaire sous Sarkozy», expliquait récemment l’ancien président du Sénat à La Voix du Nord.
Egalement candidats, Philippe Marini et très probablement Jean-Pierre Raffarin.