L’UMP pourra-t-elle s’en relever? Le premier parti d’opposition accuse une dette de 80 millions d’euros, selon le Journal du Dimanche et ne pourra, pour la deuxième année consécutive, régler ses échéances bancaires. C’est la conclusion d’un audit décidé par le triumvirat Juppé-Fillon-Raffarin et réalisé par un cabinet indépendant. Le rapport doit être remis officiellement lundi à Luc Chatel, le secrétaire général du parti et présenté mardi en bureau politique mais d’après le JDD, c’est le «train de vie de la maison Copé» qui est en cause. Le premier parti d’opposition accuse une dette de 80 millions d’eurosL’UMP pourra-t-elle s’en relever? Le premier parti d’opposition accuse une dette de 80 millions d’euros, selon le Journal du Dimanche et ne pourra, pour la deuxième année consécutive, régler ses échéances bancaires. C’est la conclusion d’un audit décidé par le triumvirat Juppé-Fillon-Raffarin et réalisé par un cabinet indépendant. Le rapport doit être remis officiellement lundi à Luc Chatel, le secrétaire général du parti et présenté mardi en bureau politique mais d’après le JDD, c’est le «train de vie de la maison Copé» qui est en cause. selon le Journal du Dimanche L’UMP pourra-t-elle s’en relever? Le premier parti d’://www.20minutes.fr/politique/1407790-l-ump-en-perpetuel-desordre" target="_blank">opposition accuse une dette de 80 millions d’euros, selon le Journal du Dimanche et ne pourra, pour la deuxième année consécutive, régler ses échéances bancaires. C’est la conclusion d’un audit décidé par le triumvirat Juppé-Fillon-Raffarin et réalisé par un cabinet indépendant. Le rapport doit être remis officiellement lundi à Luc Chatel, le secrétaire général du parti et présenté mardi en bureau politique mais d’après le JDD, c’est le «train de vie de la maison Copé» qui est en cause. En effet, le document est accablant pour l’ex-président du parti, Jean-François Copé, contraint à la démission après l'affaire Bygmalion. On y apprend notamment que l’an dernier, alors que le parti était déjà en grande difficultés financières, l’UMP aurait réglé pour 24.000 euros de billets d’avion à Nadia Copé, l’épouse de Jean-François Copé, tandis que pour ce dernier, le parti aurait dépensé 27.000 en billets d’avions.
L’UMP pourra-t-elle s’en relever? Le premier parti d’opposition accuse une dette de 80 millions d’euros, selon le Journal du Dimanche et ne pourra, pour la deuxième année consécutive, régler ses échéances bancaires. C’est la conclusion d’un audit décidé par le triumvirat Juppé-Fillon-Raffarin et réalisé par un cabinet indépendant. Le rapport doit être remis officiellement lundi à Luc Chatel, le secrétaire général du parti et présenté mardi en bureau politique mais d’après le JDD, c’est le «train de vie de la maison Copé» qui est en cause.
En effet, le document est accablant pour l’ex-président du parti, Jean-François Copé, contraint à la démission après l'affaire Bygmalion. On y apprend notamment que l’an dernier, alors que le parti était déjà en grande difficultés financières, l’UMP aurait réglé pour 24.000 euros de billets d’avion à Nadia Copé, l’épouse de Jean-François Copé, tandis que pour ce dernier, le parti aurait dépensé 27.000 en billets d’avions.
Une coûteuse guerre des chefs
Les «salaires de certains cadres» sont aussi épinglés, notamment celui de Geoffroy Didier qui, en tant que «collaborateur» de Brice Hortefeux, un des nombreux ex-vice-présidents de l’UMP, percevait 8.500 euros bruts par mois. Selon l’audit, la guerre entre François Fillon et Jean-François Copé pour la présidence de l’UMP aurait coûté près d’un million d’euros.
Enfin, la campagne présidentielle de 2012 aurait bien mis sur la paille le pari puisqu’en juillet 2012, l’UMP aurait été obligé de contracter plusieurs prêts pour un montant global de 55 millions d’euros.
Trois cadres du partis, actuellement mis à pied, devraient pâtir de cette mauvaise gestion et être licenciés dès lundi: il s’agit d’Eric Cesari, le directeur général de l'UMP, Fabienne Liadzé, la directrice administrative et financière, et Pierre Chassat, le directeur de la communication et directeur adjoint de cabinet de l'ancien président Copé.
Les «salaires de certains cadres» sont aussi épinglés, notamment celui de Geoffroy Didier qui, en tant que «collaborateur» de Brice Hortefeux, un des nombreux ex-vice-présidents de l’UMP, percevait 8.500 euros bruts par mois. Selon l’audit, la guerre entre François Fillon et Jean-François Copé pour la présidence de l’UMP aurait coûté près d’un million d’euros.
L’UMP pourra-t-elle s’en relever? Le premier parti d’opposition accuse une dette de 80 millions d’euros, selon le Journal du Dimanche et ne pourra, pour la deuxième année consécutive, régler ses échéances bancaires. C’est la conclusion d’un audit décidé par le triumvirat Juppé-Fillon-Raffarin et réalisé par un cabinet indépendant. Le rapport doit être remis officiellement lundi à Luc Chatel, le secrétaire général du parti et présenté mardi en bureau politique mais d’après le JDD, c’est le «train de vie de la maison Copé» qui est en cause.
En effet, le document est accablant pour l’ex-président du parti, Jean-François Copé, contraint à la démission après l'affaire Bygmalion. On y apprend notamment que l’an dernier, alors que le parti était déjà en grande difficultés financières, l’UMP aurait réglé pour 24.000 euros de billets d’avion à Nadia Copé, l’épouse de Jean-François Copé, tandis que pour ce dernier, le parti aurait dépensé 27.000 en billets d’avions.
Une coûteuse guerre des chefs
Les «salaires de certains cadres» sont aussi épinglés, notamment celui de Geoffroy Didier qui, en tant que «collaborateur» de Brice Hortefeux, un des nombreux ex-vice-présidents de l’UMP, percevait 8.500 euros bruts par mois. Selon l’audit, la guerre entre François Fillon et Jean-François Copé pour la présidence de l’UMP aurait coûté près d’un million d’euros.
Enfin, la campagne présidentielle de 2012 aurait bien mis sur la paille le pari puisqu’en juillet 2012, l’UMP aurait été obligé de contracter plusieurs prêts pour un montant global de 55 millions d’euros.
Trois cadres du partis, actuellement mis à pied, devraient pâtir de cette mauvaise gestion et être licenciés dès lundi: il s’agit d’Eric Cesari, le directeur général de l'UMP, Fabienne Liadzé, la directrice administrative et financière, et Pierre Chassat, le directeur de la communication et directeur adjoint de cabinet de l'ancien président Copé.
L’UMP pourra-t-elle s’en relever? Le premier parti d’opposition accuse une dette de 80 millions d’euros, selon le Journal du Dimanche et ne pourra, pour la deuxième année consécutive, régler ses échéances bancaires. C’est la conclusion d’un audit décidé par le triumvirat Juppé-Fillon-Raffarin et réalisé par un cabinet indépendant. Le rapport doit être remis officiellement lundi à Luc Chatel, le secrétaire général du parti et présenté mardi en bureau politique mais d’après le JDD, c’est le «train de vie de la maison Copé» qui est en cause.
En effet, le document est accablant pour l’ex-président du parti, Jean-François Copé, contraint à la démission après l'affaire Bygmalion. On y apprend notamment que l’an dernier, alors que le parti était déjà en grande difficultés financières, l’UMP aurait réglé pour 24.000 euros de billets d’avion à Nadia Copé, l’épouse de Jean-François Copé, tandis que pour ce dernier, le parti aurait dépensé 27.000 en billets d’avions.
Une coûteuse guerre des chefs
Les «salaires de certains cadres» sont aussi épinglés, notamment celui de Geoffroy Didier qui, en tant que «collaborateur» de Brice Hortefeux, un des nombreux ex-vice-présidents de l’UMP, percevait 8.500 euros bruts par mois. Selon l’audit, la guerre entre François Fillon et Jean-François Copé pour la présidence de l’UMP aurait coûté près d’un million d’euros.
Enfin, la campagne présidentielle de 2012 aurait bien mis sur la paille le pari puisqu’en juillet 2012, l’UMP aurait été obligé de contracter plusieurs prêts pour un montant global de 55 millions d’euros.
Trois cadres du partis, actuellement mis à pied, devraient pâtir de cette mauvaise gestion et être licenciés dès lundi: il s’agit d’Eric Cesari, le directeur général de l'UMP, Fabienne Liadzé, la directrice administrative et financière, et Pierre Chassat, le directeur de la communication et directeur adjoint de cabinet de l'ancien président Copé.
Trois cadres du partis, actuellement mis à pied, devraient pâtir de cette mauvaise gestion et être licenciés dès lundi: il s’agit d’Eric Cesari, le directeur général de l'UMP, Fabienne Liadzé, la directrice administrative et financière, et Pierre Chassat, le directeur de la communication et directeur adjoint de cabinet de l'ancien président Copé.