VIDEO: Stéphane Le Foll invité de #DirectPolitique

C’est l’un des plus proches compagnons politiques du président de la République François Hollande. Stéphane Le Foll, aujourd’hui ministre de l’Agriculture, était ce mardi l’invité de #DirectPolitique, l’émission politique de Linternaute.com, en partenariat avec 20 Minutes et Ouest-France.

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Analyse des résultats des élections municipales

Comment le ministre analyse-t-il les chiffres du premier rendez-vous électoral de la majorité, mise en difficulté dans plusieurs villes? «La baisse de la participation a été plus forte pour la gauche», reconnaît le ministre. «Il faut être capable d’écouter, d’entendre et d’ajuster», considère Stéphane Le Foll, qui précise néanmoins «Ce n’est pas pour dire qu’il faut changer de politique, on ne va pas zigzaguer tout le temps».

«Le front républicain, à cause de l’UMP, n’existe pas»

«Je ne vais pas parler du front républicain, à cause de l’UMP, il n’existe pas», a affirmé le ministre de l’Agriculture, qui s’est dit néanmoins conscient de la «responsabilité qui nous incombe».

L’environnement, ça peut peut-être positif pour l’économie

«L’agroécologie, c’est la double performance: écologique et économique», a affirmé le ministre de l’Agriculture interrogé sur la loi sur l’Agroécologie censée amener l’agriculture française vers des modes de culture et d’élevage plus respectueux de l’environnement.

Les OGM nécessitent un débat

Le ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll s’est montré favorable à un débat sur «l’intérêt général» qu’il y aurait éventuellement à recourir aux organismes génétiquement modifiés, les OGM. «Il y a un débat qu’il faut organiser sur l’intérêt général qui peut être, ou pas, d’utiliser les OGM» a indiqué le ministre lors de l’émission en ligne co-organisée par le site Linternaute.com et les quotidiens 20 Minutes et Ouest-France. «Il faut laisser aux Etats des possibilités juridiquement cadrées pour prendre une décision» sur la culture ou non des OGM au sein de l’Union européenne. Or «tout le monde s’en lave un peu les mains», a regretté Stéphane Le Foll qui réclame «des règles claires».