POLITIQUEVIDÉO. Affaire Hollande-Gayet: «Les affaires privées se traitent en privé», répond Hollande

VIDÉO. Affaire Hollande-Gayet: «Les affaires privées se traitent en privé», répond Hollande

POLITIQUEInterrogé sur sa vie sentimentale, le chef de l'Etat a annoncé qu'il clarifierait la situation avant le 11 février...
E.O.

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La question, inévitable, a été la première à être posée. Mais, interrogé lors de la conférence de presse donnée ce mardi à l’Elysée, François Hollande n’a pas souhaité donner de clarification sur sa vie privée, cinq jours après la révélation d'une liaison avec l'actrice Julie Gayet.



«Chacun dans sa vie personnelle peut traverser des épreuves, et c’est notre cas», a déclaré le chef de l’Etat, évoquant des «moments douloureux». «J’ai un principe», a-t-il continué, l’air grave, «c’est que les affaires privées se traitent en privé». Or «ce n’est ni le lieu ni l’endroit» pour aborder le sujet, a lancé François Hollande qui a affirmé toutefois qu’il clarifierait la situation de son couple avant son déplacement aux Etats-Unis, prévu le 11 février.

Valérie Trierweiler «se repose»

Le Président a par ailleurs martelé que son «indignation» était «totale» vis-à-vis du magazine Closer, qui a révélé vendredi dernier sa relation avec Julie Gayet. Mais il a aussi indiqué ne pas engager de poursuite judiciaire, en raison de l'immunité qui le protège.

Quant à Valérie Trierweiler, hospitalisée depuis vendredi après un «coup de blues, «elle se repose», a simplement dit François Hollande, s'abstenant de tout autre commentaire.

Enfin, François Hollande a balayé d'un revers de la main les interrogations sur sa sécurité, après la publication de photos le montrant circulant sur un scooter. «Partout, ma sécurité est assurée, et à tout moment, lorsque je me déplace officiellement, en France, à Paris, dans le monde, avec un service extrêmement efficace, ou lorsque je me déplace à titre privé, forcément avec une protection qui est moins étoffée». «Que personne ne s'inquiète là-dessus», a poursuivi François Hollande, alors que Christian Jacob, le patron des députés UMP, avait interrogé le gouvernement sur le sujet, plus tôt dans l'après-midi à l'Assemblée.